Les voyeurs.
Vers la fin des vacances, j’avais fait développer certaines photos au village et j’avais eu le plaisir de trouver quelques prises de vues bandantes de ma femme nue nageant ou bronzant. Un jour après un bon déjeuner, en début d’après-midi torride, nous nous baignions, comme chaque jour, à poil, en famille dans la rivière. Il me sembla apercevoir quelqu’un plus haut sur la colline, nous espionnant. Je gardais cela pour moi, car je n’étais pas sûr. Je m’allongeais pour bronzer avec une casquette sur le visage, mais surveillant discrètement les alentours. Mon épouse se baignait avec les petits, nue, elle faisait la planche, pubis, ventre et seins offerts au soleil, yeux fermés au milieu des fleurs de laurier flottantes. Ses tétons pointaient fièrement, tonifiés par la fraicheur de l’eau. Je crus voir de nouveau un mouvement, puis deux dans les fourrés du haut de la colline qui nous surplombait. Puis clairement une tête puis deux: visiblement des jeunes du coin qui mataient gentiment les touristes nu(e)s. Je me demandais depuis combien de jours nous étions épiés. En tout cas rien de méchant ne pouvait arriver, et si l’anatomie de Nathalie leur permettait une branlette, où serait le mal? Je me mis à réfléchir, me demandant si le photographe n’avait pas été indiscret au sujet de nos photos dénudées.
A ce moment mon épouse nue passe superbe, la peau bronzée couverte de gouttes d’eau, devant moi qui suis toujours sous ma casquette, pensant que je somnole, elle fouille dans le sac à dos et dirige son cul bronzé, se déhanchant, papier toilette en main vers le petit coin: une zone discrète entre des rochers un peu en contrebas. Elle a l’habitude d’y aller chaque jour après le repas de midi. Je suis là avec les enfants qui barbotent à surveiller et ces têtes là-haut que je ne vois plus. Au bout d’un long moment de silence rompu seulement par les cris des enfants, je me relève et après un coup d’il circulaire qui ne me montre rien, je recherche une place plus élevée et monte un peu à flanc de la colline de derrière un buisson. De là je vois nos "toilettes", aperçois la tête de Nathalie et son dos, accroupie elle fait apparemment ce qu’elle est partie faire. Je cherche autre chose et finis par entrevoir sur le versant opposé dans les feuillages, les silhouettes déjà vues, droit en face, en vue directe de ma femme "aux toilettes"! Je dois donc surveiller nos enfants dans l’eau, mon épouse occupée à se soulager en face de nos voyeurs chanceux. En ce qui concerne mon épouse elle doit avoir des difficultés car, malgré plus de 10 mn d’absence elle reste immobile. Un bon moment passe encore elle est encore accroupie tête basse puis soudain relève le nez et rejette sa tête en arrière, yeux fermés avec une expression égarée que je reconnais bien et j’entends distinctement un gémissement sortir de sa bouche entrouverte! La coquine vient de se donner du plaisir "aux toilettes" se croyant seule, elle ne se doute pas que son mari mais aussi de jeunes obsédés viennent de la voir se faire jouir, nue en plein air. Stupéfait, je crois entendre des gloussements de rire étouffés.
Ma femme n’entend rien visiblement dans un état second, appuyée de côté sur un rocher, elle finit par se relever, exposant sa nudité et redescend en trébuchant vers la rivière pour rejoindre notre compagnie. Je la précède le plus discrètement possible et elle me trouve pieds dans l’eau avec les enfants. Nathalie s’était bien isolée de nous pour se faire jouir, mais … certainement sans se douter qu’elle serait observée.
Nous rentrons enfin et dès que possible je me jette sur elle, la bécote et la tripote de partout. Elle est très réceptive, joueuse et excitée, moi davantage encore. Nous baisons pendant toute l’après-midi et je ne cesse de lui doigter l’anus avec mes deux pouces, qui sont maintenant acceptés automatiquement. Ma bite est dure comme l’acier dans sa chatte, je coulisse à peine dans son vagin pour ne pas perdre le contrôle, je me contente de longues, profondes et lentes allées et venues. Je joue avec son anneau, le dilatant et l’assouplissant avec un seul pouce, puis quand le deuxième trouve son chemin elle lâche un "ouiiih" et se met à respirer fort. Je chatouille doucement son muscle intérieur et peu à peu écarte les deux pouces, dilatant sa rondelle et essayant de l’ouvrir. C’est très élastique et résiste à l’effort mais en quelques minutes elle s’assouplit et je vois l’orifice s’ouvrir entre mes phalanges. Ma femme le sent passer et gémit doucement en continu, prenant son plaisir. Elle reconnait qu’elle jouit énormément quand je le lui demande à ce moment. Mais ne me laisse pas l’enculer si je présente mon sexe à l’anus: elle se retire et dirige mon assaut de nouveau vers son con soyeux. Trois fois j’essaye ce jour et 3 fois elle se refuse …
Un beau 69 mène à tout.
Les jours suivants nous sommes libérés des enfants qui passent la semaine avec leurs grands-parents. Nous trainons au village et vers 10h0, je propose à ma femme de "monter à la rivière et se rafraichir". Je me vois bien exploiter l’érotisme du lieu pour mon plus grand plaisir. Arrivés là, nous nous baignons sous les cascades, c’est délicieux comme chaque jour, mais plus excitant car nous pouvons nous embrasser et nous caresser sans aucune gêne. Autour de nous mais je n’ai rien vu ni entendu, nous sortons de l’eau et nous étendons sur nos serviettes pour bronzer sur les rochers à l’heure chaude. Je suis sur le côté et admire le corps ma femme qui me sourit. Allongée à côté de moi elle me fait du pied, et vient m’embrasser tout en saisissant ma queue. Elle est très chienne et frotte mon bout contre son pubis et son clitoris. Je la laisse faire et en peu de temps bande comme un cerf. Je passe ma main sur ses fesses, elle ferme les yeux pose son menton sur mon épaule et souffle dans mon cou. Je la caresse une minute ainsi, elle se laisse aller, mes doigts glissent dans sa raie, je palpe son anneau: elle presse ma bite de façon saccadée. A ce moment je vois bouger les fourrés en face, comme la veille: les jeunes sont de retour. Cela accroit si possible mon excitation. Je me redresse, fait basculer ma femme sur moi de façon à nous mettre tête bêche et commence un beau 69, son cul somptueux est tourné vers nos observateurs, qui voient mes doigts écarter ses fesses et ma bouche s’y affairer. Elle enfourne ma queue dans sa bouche et me suce avec ardeur, quant à moi je lèche son périnée avec application. Je passe du temps sur son clitoris qui est dur et dardé comme un petit radis, ses lèvres sont gonflées et sensibles, et malgré ma pine dans la bouche elle gémit vivement quand ma langue les parcourt. Je suce l’entrée de son vagin aspirant sa mouille, cela a pour effet de la faire crier franchement, j’alterne les suçons avec l’intromission de ma langue dans sa chattoune, elle chante et se trémousse sur ma bouche. J’imagine le spectacle pour nos clandestins. Et reviens sur le clitoris délaissé, Nathalie, ne peut même plus me pomper et se raidit : "Prends-moi, maintenant" demande-t-elle. Mais je ne veux pas finir si vite et lui recommande la patience: " Attends mon bébé tu vas adorer, je t’aime". Elle me laisse faire ce que je veux, maintenant elle n’est attentive qu’aux sensations qui la submergent, elle oublie mon plaisir pour ne plus penser qu’au sien, et ce que je veux c’est qu’elle n’en puisse plus de désir … Je la lèche maintenant sur toute la longueur de son périnée, laissant ma langue s’égarer sur son anus en fin de course. Tandis que je suce le clito, puis aspire l’entrée du con et retour, mes doigts écartent ses fesses à tous les regards, je presse et assouplis son anneau rose, encore inviolé mais pour peu de temps, me fait penser l’intensité de l’excitation de Nathalie. Elle murmure et exprime sa jouissance, par des "oui" des "encore" des "vas-y".
Je finis par aventurer franchement une langue anale, acceptée avec des soupirs de bonheur, mais difficile à prodiguer du fait de ma position. Je fais coulisser ma langue durcie en forme de "petite bite" qui presse contre l’anneau souple, puis je suce et aspire ses chairs tendres comme je le faisais à son vagin 2 minutes avant. La réaction et quasi volcanique, elle vibre et ronronne comme une chatte, sa peau est hérissée de chair de poule et ses "oui" éveillent un écho tout autour de nous.
Ma pine me fait mal et Nathalie l’a abandonnée après l’avoir sucée comme un sucre d’orge au début.
Je m’extirpe de sous ma beauté, la fais basculer, puis la replace en levrette et cédant enfin à sa demande la prend lentement mais en un seul mouvement à fond dans la chatte. Cà rentre tout seul elle savoure la fin de l’attente laissant échapper un "Ahhh" de contentement. Je presse mes deux pouces sur son anus très souple et détrempé, et fais quelques mouvements de la bite en rond dans sa belle chatte, puis me retire malgré sa déception. Je me penche en avant et lui appuie profondément une langue anale. Son excitation est au maximum elle est affalée en avant, la tête de côté au sol sur la serviette de bain ainsi que ses épaules, le dos et les hanches pointés vers le ciel, cuisses et genoux écartés, chatte ouverte et suintante, cul offert à la vue de tous: je sais que l’estocade est attendue avec impatience par mon épouse, victime consentante de l’ultime outrage qui s’approche. Je me redresse et fais coulisser ma verge tendue au maximum sur son périnée, glissant sur les lèvres et remontant sur l’anus. Quand je passe sur celui-ci, mes doigts pressent le gland sur les chairs délicates soutirant des soupirs à Nathalie, je vois l’anneau s’entrouvrir sous la pression. Sur le versant de la colline, je peux apercevoir dans l’ombre nos voyeurs qui se cachent à peine, captivés par l’action, je les fixe, croise leur regard et leur envoie un sourire de vainqueur. Nathalie, pendant ce temps frotte son cul contre ma queue en murmurant "Oh oh oh oui, oh oui", de telle façon que j’imprime une pression ferme sur son anus déjà bien dilaté avec mon gland. Nathalie accepte l’évènement en ouvrant une bouche immense et en soufflant rapidement, sans cherche à éviter cette pénétration qu’elle redoute et espère en même temps.