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1968 : une révolution puissance X – Chapitre 2




Sandrine était sincèrement amoureuse de Philippe. Elle ne pouvait envisager de le tromper, de le trahir.  

 En 1968, année de la libération sexuelle, l’histoire dissonante d’une petite bourgeoise anachronique ? Une jeune fille de 18 ans, tellement naïve, élevée dans un caricatural carcan moral, inféodée à la croyance risible en l’amour éternel et qui ignore le caractère fondamentalement éphémère des sentiments ? Peut-être. Sans doute. La preuve, prétendront les cyniques, entrave à des perspectives de vie commune perpétuelle, non seulement Sandrine et Philippe n’étaient concrètement amants que depuis quelques jours, mais pire encore, et sur ce point au moins Marianne avait vu juste, l’orgasme n’avait pas été au rendez-vous.

 

 La relation entre Sandrine et Philippe s’ancrait pourtant dans une durée sacrément consolidée, une continuité sans faille. Mais de privation et de mortification. Car, en guise d’inscription dans l’immuabilité, pour fortifier leur résolution, Sandrine avait imposé à son prétendant un interminable préliminaire de chasteté. La terre promise était à ce prix. Une mise à l’épreuve de presque une année, onze mois, pour être précis, à s’assurer de la sincérité des intentions du garçon.

Onze mois de tergiversations et de finasseries avant de se laisser baiser !

 

 Jeunes, immatures et novices dans le commerce du cur, à l’évidence, ces deux-là s’étaient trouvés. L’un et l’autre ignoraient tout de la chose. Ils avaient grandi, au mitan des années 1960, dans une petite ville de province gouvernée par les préjugés. L’hypocrisie catholique optimale. Aucune éducation sexuelle. Que des tabous et des interdits. Pour les filles, le gouffre d’incompétence sexuelle était sans fond. Sandrine ne s’était jamais masturbée. C’était une maladie, non ? Un péché mortel. De toute façon, elle n’avait pas le mode d’emploi de son corps et aurait été incapable de se procurer le moindre plaisir.

 

 Philippe était tout aussi vierge Et encore plus emprunté. Pourtant impétueux de nature, sous l’emprise de l’amour, intimidé et confus, il perdait tous ses moyens. Cette maladresse émouvait Sandrine. Le rôle de l’amante maternelle lui convenait parfaitement. À aucun moment le jeune mâle ne contesta cet ascendant. Blond aux yeux bleus, mignon comme un cur, grand, bien bâti, vif d’esprit, beaucoup de filles tournaient déjà autour de ce beau parti. Il avait l’embarras du choix. Mais, quitte à se casser les dents, il n’en démordait pas : Sandrine était sa reine éblouissante et, de son piédestal, elle éclipsait toutes les fades courtisanes. Cette vénération cajolait l’orgueil de la jeune fille.

 

 L’ego ainsi confortée, Sandrine cultiva, en tout impunité, sa différence hautaine, sa supériorité spirituelle vis-à-vis des autres. Elle engagea ainsi son prétendant à surinvestir dans la pureté de leur sentiment, essence de leur unicité, car seule une volonté supérieure pouvait avoir raison de l’appel primaire de la chair.

 

 Elle affermit ainsi son emprise sur son prétendant. Ce dernier, loin de se lasser, au lieu de s’attaquer à la pudeur excessive et présomptueuse de sa désirée, n’opposa que du consentement. L’idéaliste idéalisa son attirance pour une jeune fille que d’aucun jugerait insupportablement vaniteuse. Par la magie de la passion, la pimbêche se métamorphosait en une beauté vénérable à l’indépassable grandeur d’âme.

 

 

 En grande ordonnatrice, elle planifia la lente progression de leur liaison.

 

 Après deux mois de pur platonisme, elle concéda quelques baisers, offrit ses lèvres, son cou frissonnant, ses épaules, ses bras, à l’affamé. Philippe brûlait de la dévorer. Mais la cruelle endiguait l’éclosion naturelle des exigences charnelles. Sur tous les fronts, elle refrénait l’empressement du jeune mâle. Quand les mains du bien-aimé, aspirées par le parfum de la chair, devenaient trop aventureuses, elle se détachait en minaudant. Elle soustrayait toujours son corps avec grâce, veillant, par l’addition des poses enjôleuses et des regards papillonnants, à entretenir le trouble érotique. La précieuse se dérobait en entortillant ses formes, esquives ostentatoires de ses courbes, trémoussés de hanche qui ligotaient fermement la ferveur du prétendant. Elle était ainsi certaine de ne pas le décourager. En maniérant à l’excès ses gestes, l’orgueilleuse cherchait ce qu’elle feignait de dénigrer, se complaisait dans l’excitation qu’elle provoquait.

 

 Il n’empêche, la volonté de la jeune fille était impressionnante.

 

 Encore, trente jours de ce régime ascétique avant qu’elle n’autorise les premières caresses et l’accélération graduelle des attouchements. Lèvres ventousées, langues emmêlées et corps pressés, floraison et érection, prolifération, propagation des effusions Une fois engagé, difficile de ne pas déraper sur la libidineuse, humide et moite, pente de la volupté.

 

 Il était hors de question qu’elle amène un garçon à la maison. La chambre de Philippe, dont les parents étaient tout aussi intransigeants, mais beaucoup plus souvent absents, abritait leurs ébats qui, bien qu’inefficients en termes de coït, n’en devenaient pas moins de plus en plus torrides.

 

 Les tourtereaux ne se voyaient pas autant qu’ils l’auraient souhaités et pour s’accorder d’infimes créneaux d’intimité, des moments d’autant plus précieux qu’ils étaient rares, il fallait jongler avec les heures de cours et de multiples obligations sociales et familiales. Sandrine était particulièrement surveillée. Ses parents ne lui accordaient que très peu de liberté. Elle devait toujours justifier de ses faits et gestes. Impensable d’avouer qu’elle avait un amoureux. Elle était dans l’obligation constante de mentir.

 

 

 Presque une année d’amour platonique pour consolider la complicité de ce parfait duo. Les deux inséparables se délectaient de la moindre seconde partagée. Le temps filait à toute vitesse. Une harmonie parfaite, sans jamais aucune fausse note ; insouciance heureuse, enrobée dans le miel des sourires et des rires, sur une large gamme d’accords intellectuels, de projets communs, de serments aussi, et, plus badin mais pas anodin, bien au-delà des mots, tous les chuchotis et gazouillis, les babillages quasi infantiles, signes de l’infinie tendresse qui unit deux êtres.

 

 Et l’impétueux désir sexuel pour subsumer cette harmonie.

 

 Certains mercredis après-midi, les amoureux se réfugiaient dans la chambre de Philippe. Sandrine composait, à son rythme, l’abandon calculée de sa vertu, alternant refus et absence d’objection. Chaque étape, irréversible, annonçait une prochaine concession. Les mains fureteuses du garçon gagnaient ainsi du terrain dans la conquête de la chair adorée. Le dévoilement du tissu dévoilait au garçon des promesses de volupté infinie. Une règle tacite légitimait la symétrie, ainsi à chemisier déboutonné répondirent chemise ouverte ; à robe ou jupe troussée, pantalon baissé. Ils se dépouillèrent progressivement de leurs oripeaux.

 

 Inévitablement, avec l’effeuillage, la friction des peaux prospéra encore en intensité.

 

 Leurs regards s’étaient croisés pour la première fois au début de l’automne. Désormais, le printemps ensoleillait les libidos. Le mois de mai 1968 débutait. Sandrine, fidèle à son éducation conservatrice résistait à l’ébullition hormonale. Mais la révolution génitale était à l’uvre. Ce n’était pas encore la lutte finale. Elle se laissait juste, complaisamment, lutiner par Philippe. La preuve d’une indéniable adhésion à l’insurrection charnelle ? Elle acceptait maintenant le dénuement quasi intégral. À l’exception notable des sous-vêtements !

 

 Un mois encore, elle s’arc-bouta à une limite infranchissable : l’interdiction de pénétration.

 

 Pas de hasard, si la coquette avait sensiblement enrichi sa lingerie. La petite culotte, ajustée à la taille fine, n’avait rien de provoquant, juste un emballage parfaitement suggestif. Un subtil énoncé satiné pour une équation érotique paradoxale, une convergence quasi miraculeuse – des hanches étroites de jeune vierge et un bassin évasé de femelle féconde – qui se résolvait par un léger bombement à l’endroit des délices, du bijou inestimable. Le soutien-gorge était toujours assorti. Elle privilégiait le balconnet. Il rehaussait le galbe de ses adorables protubérances mammaires. Le choix des modèles et des tons, prédilection pour le rose, sa couleur préférée car accordée à son teint claire, quelques fioritures de dentelles, autant d’artifices qui, mine de rien, exaltaient l’arrondi naturel de la poitrine.

 

 Imaginez le jeune mâle torturé par le spectacle d’un tel champ de douceur, assemblage improbable de muscles vifs et d’articulations si fines. La fragilité en puissance. La grâce et la sensualité d’un paysage idyllique mais mouvementé car, sur cette étendue paisible s’épanouissent des nuances tapageuses. Thibaud extrapole le relief somptueux des deux collines, il n’ose se figurer l’arrogance des tétons. Plus bas, le mystère est total, opaque, impénétrable. Un ridicule triangle de tissu barre l’accès, mais des indices concourent à suggérer qu’à l’ombre d’un buisson blond se niche une grotte miraculeuse, à l’embouchure pulpeuse, humide en permanence, qu’une source chaude irrigue ce paradis, que la jouissance y coule à flot. Il suffit de pénétrer

 

 Philippe respectait la règle, arbitraire mais transcendante : pas de main sous la ceinture et pas touche au soutif. Cette loi répondait à un impératif : préserver la virginité. Pour éviter les débordements irréversibles, les zones trop érogènes devaient rester inaccessibles. La pucelle savait pertinemment que des attouchements mammaires et clitoridiens trop prononcés, n’auraient pas manqué d’éroder sa volonté et par la même sa résolution à rester intact.

 

 Pour le reste, large permissivité et rien de bénin dans l’échafaudage d’échauffements épidermiques à répétition. Leurs étreintes confluaient logiquement en position de rut. Le mâle, gouverné par l’instinct, grimpait sur la femelle qui, cuisses écartées, rassurée par la double protection qui dépossédait l’astiquage sexuel de toute finalité copulative, s’abandonnait à l’excitation. L’engin, gourdin engoncé dans le slip, s’échinait contre la dérisoire, mais efficace, barrière de coton derrière laquelle se retranchait une vulve aux lèvres trop mollement entrebâillées pour ne pas être réceptives. Les remparts gagnaient en porosité, comme amincis à mesure que les tissus s’imbibaient de cyprine et de liquide pré-séminal. Mais l’essentiel était préservé. La forteresse restait inviolée.

 

 Cependant, impossible de rester synchrone dans l’exaltation charnelle. Philippe perdait vite le contrôle. Il jouissait dans son boxer. Bien qu’inféconde, cette giclée n’était pas sans effet sur Sandrine. Pressions, soubresauts et spasmes éjaculatoires attisaient l’irradiation clitoridienne ; la jeune fille agrippait les épaules de son amant, enserrait avec ses cuisses les reins puissants et, telle une sangsue en sueur, se ventousait à lui ; il fallait à tout prix amplifier ou au moins entretenir, prolonger, les ondes mouillantes qui se dilapidaient vite, si vite. Trop vite. C’était si bon mais pas assez. Qu’importe ! Elle refusait de perdre pied. Tant pis pour les « encore », tant mieux pour sa mainmise sur leur relation, son empire sur un Philippe qui, gêné, coupable, se décollait, se détournait – diversion puérile pour dissimuler aux yeux de sa dulcinée la copieuse bavure de sperme qui maculait son slip. Pourtant, magnanime, elle ne lui tenait nullement rigueur de cette précocité éjaculatoire. Elle savait pertinemment que les torts étaient partagés. Elle éprouvait même une tendresse concupiscente pour ce manque de retenue, cette preuve d’un amour si débordant qu’il en devenait incontinent. Mais Philippe, atteint dans sa fierté de mâle, partait honteusement dans la salle de bain.

 

 Sandrine goûtait ce court moment de solitude, bienvenu car dédié à l’indolence. Contrairement à son bien-aimé, la jeune fille ne culpabilisait pas. Elle se complaisait plutôt dans l’inaccomplissement sexuel. Le constat des dégâts, la trace visuelle sur sa culotte – auréole de mouille, elle-même tavelée, comme en surimpression, différence des consistances, par le sceau plus épais, plus gluant, du sperme – ce reliquat criant de leur imbroglio corporel, représentait une incommodité sans autre conséquence que des pensées encore plus libidineuses. Elle étirait à loisir cette sensation physique et cérébrale d’envasement. D’ailleurs, elle n’avait pas plus envie que ça de se laver. En guise de prolongations, elle resserrait puis écartait, à peine, ses cuisses, comprimant et relâchant ainsi les lèvres de sa fente, sollicitant incidemment, mentalement, et, en dernier ressort, son clitoris. Elle mordillait ses lèvres, à un doigt du dérapage, refusant la perte de contrôle. Difficile de ne pas s’abandonner totalement au relâchement lascif. Sa raison poussait même un ouf silencieux de soulagement au retour d’un Philippe embarrassé. Douché et changé mais encore emprunté par sa défaillance, le coquelet mimait la mâle assurance. Rassurons-nous, le tumulte licencieux supplantait vite le malaise, car pas stupide, il décryptait la signification profonde des joues brulantes et de l’éclat des pupilles si brillantes. Regards langoureux, relâchement lascif des lèvres, gestuelle à l’érotisme très mal contenue par un corps largement dénudé et si évidemment sexué, autant d’invitations à la rejoindre sur la couche. Il recevait alors la caution d’une sensualité vive et le malentendu s’estompait sans un mot, dans l’éternel retour des caresses.

 

 Autant dire qu’à la fin de la séance, ça miaulait grave à la cave. Dans la rue, Sandrine serrait les cuisses, la chatte envasée dans la gêne et la tête baissée pour éviter le regard des passants, surtout des hommes. Durant tout le trajet, alors qu’elle rentrait à la maison, je ne vous dis pas l’état ! Bonjour le dégât des eaux. L’excitation entretenue par l’échauffement de la marche, les frottements inévitables, une sollicitation, plus ou moins involontaire, d’un con détrempé, aux lèvres engluées au coton de la culotte. L’air qui s’engouffre sous la robe n’arrange rien. Il souffle plutôt sur les braises. Elle marinait ainsi dans le jus odorant de son fendu ; à force de dégorger, il était devenu une véritable patinoire, en souffrance de doigts qui s’y glissent, s’y glissent de délice, et, de délices en délices, finissent de purger jusqu’à la lie le calice. Mais, par principe, une fois dans sa chambre, elle refusait de s’accorder une masturbation libératrice. Se branler ? Un acte avilissant, indigne de la pureté de son amour pour Philippe. Pas question ! Elle entretenait sa frustration en une forme de jouissance cérébrale.

 

 

 Le puceau continua à dilapider sa vigueur, admirable de patience tant il savait que la récolte, placée sous d’aussi favorables augures, serait miraculeuse.

 Infatigable défricheur du jardin intime de sa promise, il caressait, baisait, chaque millimètre de peau qu’elle daignait dénuder. Il s’enivrait de ces prémices et couvait jalousement les derniers fruits défendus : les exquises pommes dans leur corbeille de coton, étal décolleté qu’il consacrait par d’infinies cajoleries – la sanctification était suggérée par les soupirs d’aise de Sandrine – serments de jouissance pour l’instant informulés, latent, à l’orée de deux éminentes tétines, certes encore soustraites au regard mais qui, à travers le soutien-gorge, réagissaient avec un enthousiasme prometteur aux multiples déclarations des doigts ; et puis, surtout, le Graal, cet abricot fendu et juteux en attente de couronnement, dans l’écrin de la culotte, bientôt mûr pour l’intronisation. Bientôt, il pénétrerait la porte du Royaume.

 

 Sandrine, de son côté, gagnait en assurance. L’intimité grandissante autorisait qu’elle vaque devant son bien-aimé en petite tenue, son intégrité juste embarrassée par des sous-vêtements. Alors chaque mouvement accusait ses charmes. Pudeurs de jeune fille de plus en plus équivoques, une sainte-nitouche allumeuse à défaut d’être salope, elle savait comment, en simulant l’ingénuité, valoriser ce qu’elle était censée cacher. Sans jamais abattre ses cartes, l’adorable petit cul jouait subtilement avec ses inestimables atouts, la pleine vocation sexuelle de ses formes épanouies. Elle balançait du bassin et exacerbait ses courbes, cambrait ses reins, dressait sa poitrine, optimisait la rondeur de ses seins. De dos, c’était encore pire. Thibaud en avait le souffle coupé. Le moindre mouvement célébrait le centre de gravité, certifiait les lois de l’attraction universelle d’une croupe insolente de jeunesse, diaboliquement ferme et pleine, incroyable aimant à queue.

 

 Le garçon ne pouvait pas dissimuler l’énorme bosse qui déformait son boxer. Au final, des deux, il était le plus complexé. II comparait son érection à la pureté supposée des intentions de sa dulcinée et, dupé par la comédienne, se jugeait coupable de bander ainsi comme un taureau en rut. C’était complètement déplacé. Au lieu d’afficher fièrement sa virilité, il l’enfouissait, autant que faire se peut, sous les draps. Il évitait de s’exhiber en slip, et, quand venait le moment de se revêtir, il se précipitait, enfilait vite un jean.

Pourtant, la demoiselle n’était pas du tout insensible aux attributs du mâle. Elle matait en douce l’éminence, les fesses et les reins nerveux à souhait de son futur étalon. Elle ne connaissait rien au sexe mais se doutait, qu’en action, une telle machine devait sacrément secouer. Elle avait choisi Philippe parce qu’il était fort, puissant, sécurisant. Elle frémissait d’aise en sentant sous ses doigts, les biceps saillants, les pectoraux d’acier. Elle adorait enlacer cette montagne de muscles, cette masse de chair qui l’enveloppait tout en la protégeant. Et plus que tout, elle convoitait le gourdin encagé dans le tissu, surtout quand il tambourinait contre sa féminité. Elle n’aspirait qu’à céder à ce siège pernicieux. Elle avait tout loisir d’extrapoler l’ampleur de l’engin. Les contacts étaient suffisamment poussés pour qu’elle puisse évaluer, à quelques centimètres prêts, la taille impressionnante de la queue. Sa chatte prenait la mesure. Elle s’acclimatait ainsi à l’idée de se faire transpercer par un tel pieu.

 

 Pour sa culture personnelle et pour mieux se préparer au dépucelage, la curieuse n’aurait pas refusé d’en voir un peu plus. Mais il aurait été inconvenant de signifier son intérêt pour la verge. Cela ne se fait pas ! Elle était prisonnière d’une réciprocité hypocrite qu’elle avait imposée. C’était une question de principe. Un principe arbitraire mais enjeu d’une progression minutieusement calculée dans l’art pervers de se refuser pour mieux être désirée et encore plus intensément se donner.

 

 Ô oui, elle en avait envie ! Leurs ébats, chaque fois plus licencieux mais toujours aussi frustrants, toutes ces variations dans l’embrasement des sens, confluaient vers le vertigineux, l’inexorable dénouement : l’accouplement.

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