Quoi de plus plaisant que la douce et enivrante montée du désir ? Du besoin qui croît de jour en jour ? De cette obsession qui s’insinue en vous, qui vous torture l’esprit et le ventre à chaque instant ?

Qu’enfin arrive cette rencontre tant attendue ? Qu’enfin soit assouvi ce besoin impérieux ? Qu’enfin ce feu dévorant soit apaisé ?

Oui.

Non.

Je ne sais pas !

Premier temps :

Ce soir, c’est avec toi en tête que je vais m’endormir.

Après une douche chaude, c’est la peau nue et encore tiède que je me glisserai sous mes draps et que, comme chaque soir depuis quelques jours, je t’enverrai « un bonsoir » en mots, peut-être en photo

Comme chaque soir, je recevrai le tien en retour.

Quelle vision de toi m’offriras-tu ?

A demi nu, allongé sur ton lit ou ton canapé, la braguette ouverte laissant deviner cette hampe alanguie et pourtant si tentante ? Sous ta douche, de dos me montrant tes fesses si joliment rebondies ? De face, le gel douche moussant sur ton torse si beau ? Nu, de face ou de profil, ton prodigieux dard dressé ? Ou

Tant d’images qui se bousculent en mon esprit, qui attisent mon envie, ma faim de toi. Tant d’images qui provoquent mille et un désirs des plus tendres au plus salaces.

Résisterai-je à te regarder encore ?

Résisterai-je à regarder encore cette dernière vidéo transmise cet après midi ?

Bien sûr que non !

Tu sais.

Tu ne sais que trop bien l’effet que tu me fais !

Tu sais ce que j’aime, ce qui m’affole. Ce qui, de façon plus terre à terre, m’enflamme les sens, me met le feu au cul !

Cette façon que tu as de te déshabiller, de te caresser, de me présenter cette merveille encore à demi molle, de la faire enfler peu à peu, de la faire se raidir, se dresser, de faire gonfler ce gland si appétissant, de cajoler tes bourses, de me montrer tes premiers fluides qui perlent

Cette façon que tu as de me faire saliver, de me mettre en apnéeet de me laisser en plan !

Humpf ! Oui, tu sais  et tu en joues la frustration pour mon plus grand plaisir.

Céderai-je encore à l’envie de glisser mes mains entre mes cuisses ? A tenter d’assouvir le besoin que tu fais naitre en moi ?

Non !

Sans doute encore me ferai-je gémir, sans doute encore mouillerai-je mes draps de plaisir oui !

Serai-je rassasiée ?

Non ! Non et non !

Toi seul le peux !

Je te veux !

Je te veux sous mes yeux, sous mes mains, sur mes lèvres, sur ma langue, en moi !

Je veux tes yeux qui me regardent, tes mains, tes lèvres qui me caressent !

Je veux tes doigts, ta langue, ce fabuleux bâton de chair qui s’insinue !

Je te veux !

Je veux jouer de toi à ma guise.

Je veux être ton jouet.

Je veux jouir de toi, avec toi !

Patience, patience.

Encore une journée à me consumer

O°O°O°O°O°O°O°O°O°O°O°O°O°O°O

Deuxième temps :

Hier, je m’endormais avec le désir de toi, la faim de toi

Aujourd’hui encore, tu m’accompagneras dans les bras de Morphée.

Ce ne sont plus des fantasmes mais de merveilleux souvenirs qui animeront ma nuit.

Ceux de tes baisers, tout en légèreté, en nuance, en subtilité. Définitivement les meilleurs !

De ton parfum qui te correspond si bien, de ton odeur enivrante qui flotte encore sur moi.

De tes mains, si douces, si délicates à me dévoiler, à me découvrir.

De ton torse si beau, tes fesses si joliment rebondies, de ta hampe qui me rend dingue.

De tes lèvres se refermant sur les pointes tendues de mes seins, de tes dents les pinçant.

De ta tête entre mes jambes, le bout de la langue caressant mes lèvres gonflées d’envie, les ouvrant doucement.

De ta langue me titillant ce si sensible bouton, me parcourant la fente grande ouverte pour toi.

De cette langue encore, s’introduisant en moi à la recherche de ma liqueur.

De cette bouche me buvant encore et encore.

De tes doigts me fouillant, m’écartelant

De ton chibre devant forcer mon étroitesse, de ton étonnement 

Mais aussi

De la chaleur de ton corps sous mes paumes

De la douceur de ta peau, de sa douce saveur

De ton regard brillant parfois hagard sous mes caresses

De ton gland entre mes lèvres

De ton membre glissant sur ma langue

De tes bourses gobées à pleine bouche

De tes fesses que j’ai eu envie de croquer

De ton illet que je n’ai pas résisté à explorer

Et encore

Tes gémissementsles miens

Ta jouissance sur mon ventre, dans ma bouche, dans mes mains

Mon plaisir te noyant, s’écoulant sur ton visage, sur les draps.

Ta tendresse, nos câlins

Ton silencele mien

Le bien-être une bulle

Un moment privilégié, inoubliabletout simplement.

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