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dans le train – Chapitre 1




Voici une histoire qui mest arrivé il y a environ 1 an.

Après quelques jours en déplacement à Londres, je suis content de rentrer en France. Un peu fatigué mais heureux des rencontres professionnelles faites au cours de mon séjour. Je minstalle dans le train, à ma place dans un carré ; en face de moi sinstalle une jeune femme et, dans les 2 places, à côté de nous, sinstalle un couple dIndiens. Jallume mon ordinateur et commence à faire mon rapport de ma visite londonienne. Je suis concentré sur mon travail, mais en levant les yeux je remarque ma voisine qui revient du bar avec de leau. Je navais pas remarqué son départ. La femme à côté delle sest assoupie et elle nose pas la réveiller pour sasseoir. Nos regards se croisent, une ébauche de sourire. Elle essaye de se faufiler sans déranger sa voisine. Elle me présente son dos et je peux lobserver tranquillement. Un chemisier léger laisse entrevoir des bretelles de soutien-gorge noir, une jupe courte sur des fesses bien rondes comme je les aime ; elles passent devant moi à hauteur de la table. Beau spectacle. Elle se retourne pour s’asseoir et nos regards se recroisent ; elle dit :

« Je vous ai vu quelque part à la télé, je crois. Je cherche depuis tout à lheure mais je ne trouve pas ! »

« Ne cherchez plus ! » lui répondis-je « Je ne travaille pas à la télé je dois avoir un sosie »

« Peut-être, je vais chercher encore !! »

Je lui souris et replonge dans mon rapport. Mais je suis un peu déconcentré par ce début de dialogue et cette approche à la façon « drague masculine de base » ! Après quelques minutes, je lui demande :

« Alors vous avez trouvé mon sosie ? »

« Non, mais je cherche » me dit-elle en me souriant et me fixant dun regard appuyé.

Nous nous fixons un peu plus longtemps que la convention le permet

Jétends un peu ma jambe et je touche son genou. Sa jambe ne bouge pas et son regard reste fixé sur le mien. Elle bouge doucement ma jambe pour effleurer son mollet. Je retire ma chaussure et je pose mon pied sur le rebord de son siège. Elle écarte un peu les jambes et jeffleure ses cuisses doucement

Mon téléphone posé sur la table tombe au sol avec les soubresauts du train et je me penche pour le ramasser. Je vois quelle écarte un peu plus les jambes et japerçois un slip blanc un peu transparent qui laisse deviner ses lèvres légèrement gonflées. Je ne peux pas rester indéfiniment penché et je suis obligé de quitter ce joli paysage. Je bande fort et heureusement que lentourage somnole car la bosse laisse deviner mon état.

Je la regarde fixement et ses yeux commencent à briller dexcitation. Je vois sa main posée sur la table disparaître et jimagine quelle est posée sur son entrejambe. Les mouvements de son coude semblent confirmer mon idée. Je me caresse aussi doucement et nous ressentons notre excitation dans nos regards.

Nos voisins réveillés se lèvent pour aller au bar, je lève les yeux vers le début du wagon et je vois que les toilettes sont libres. Je passe mon regard plusieurs fois de ses yeux à laffichage SNCF. Au bout de quelques instants, elle lève les yeux me regarde et se lève. Je la regarde se diriger vers les toilettes, je me lève à mon tour après quelques instants. Je mapproche de la porte et actionne la poignée. La porte souvre ; je me faufile et ferme derrière moi. Elle est assise sur le rebord de lévier, la jupe relevée, je mapproche delle et passe ma main sur son slip tout trempé. Je lécarte et passe un doigt dans sa chatte. Je bande comme un fou. Je bouge un puis deux et trois doigts dans son sexe. Elle bouge son bassin de plaisir, elle ouvre ma braguette et sort ma queue toute tendue et commence à la caresser. Ses doigts se déplacent de plus en plus vite dans son sexe qui est trempé ; avec mon autre main jécarte son slip, caresse ses seins et la pénètre dun coup sec et violent. Jattrape ses fesses avec mes mains et jeffectue de grands mouvements rapides avec mon sexe tout tendu. Nous retenons nos cris. Jaccélère et je sens que je fais jouir. Au dernier moment je me retire et je me finis en me branlant. Elle glisse ses doigts dans sa chatte et les bouge de plus en plus vite. Elle se contorsionne de plaisir. Je me lave rapidement et nous sortons des toilettes. Arrivés à notre place elle sort un calepin de son sac ; je la vois écrire quelque chose ; à ce moment, j’entends l’annonce "Paris terminus du train….".

Je prépare mes affaires, elle fait de même, le train s’arrête, elle me donne le papier et s’en va ;, je suis un peu déconcerté, je pensais pouvoir poursuivre cette aventure. Je lis le petit mot qu’elle m’a glissé :

"Rachel 06 xx xx xx xx".

La suite au prochain épisode

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