En couple avec Laura depuis un mois, nous logions dans son très joli appartement appartenant à ses parents. Malgré nos facilités financières pour le loyer, nous devions avec Laura avoir des petits boulots pour toutes nos autres dépenses. Laura travaillait comme serveuse et moi je faisais du baby-sitting. Vous allez dire, que pour un garçon, ceci n’est pas très courant mais, étant étudiant(e) infirmier, cela aide les parents à me faire confiance.

  

Ce soir-là, je me rendais garder les enfants d’une infirmière que j’avais connu en stage. Ce couple d’une trentaine d’années devait sortir chez des amis une bonne partie de la soirée. À leur départ, je m’aperçus que Karine que je trouvais déjà dans le service très belle était ce soir une vraie bombe : elle était habillée d’une longue robe noire avec une longue échancrure le long de sa jambe gauche. Je dois bien avouer que cette vision ne me laissait pas indifférent.

  

Ils partirent tous les deux en me laissant m’occuper de leur progéniture, ce qui d’ailleurs se passa très bien. Je lui donnai à manger puis allai le coucher. À 20H30, il était endormi et j’avais toute la soirée pour moi, mais que faire ? Regarder une vidéo ? Non ! J’allais encore une fois succomber à mon odieux vice qui était de fouiller la chambre de mes hôtes, mais pas n’importe où. Ce que je préférais était la penderie de la femme de chez qui je me rendais. C’est donc naturellement que vu que les propriétaires des lieux ne revenant pas avant de nombreuses heures, j’allais m’adonner avec l’aide de la garde-robe de Karine à d’excitants essayages.

   

Tout d’abord, je me dirigeai vers la penderie pour voir ce qu’elle contenait. À mon grand désarroi, celle-ci était très banale, que des fripes sans grand intérêt pour une fétichiste de beaux habits glamours comme moi. Mais en ouvrant un tiroir, quelle ne fut ma surprise de découvrir que celui-ci renfermait le trésor tant convoité, c’est-à-dire un uniforme d’hôtesse de l’air très cliché. Jamais encore auparavant je n’en n’avais porté. C’était l’occasion ou jamais pour moi de réaliser un fantasme et je n’allais pas m’en priver.

  

Je commençai alors à m’habiller. Je mis tout d’abord un soutien-gorge rose fuchsia que je rembourrai et avec lequel j’associai une culotte dentelle du même rose. J’enfilai la robe et la veste rose bonbon en satin, les gants noirs ainsi quun joli béret. Je trouvai même des escarpins vernis pour aller avec tout ça. Heureusement, ceux-ci m’allaient parfaitement.

  

Pour parfaire tout ça, je décidai de me maquiller et, pour cela, je m’approchai de la coiffeuse. J’y trouvai tout ce que j’y voulais : rouge à lèvres et comme je savais à quel jeu je m’adonnais lorsque j’étais chez des gens en leur absence, j’avais amené une longue perruque blonde que je m’empressai d’enfiler. Je décidai alors d’aller m’admirer dans la glace pour contempler le résultat. J’étais pleinement satisfaite de revoir Sofia dans le miroir. 

  

Mais voilà, tout ceci me rendait triste car je savais que je devrais tôt ou tard enlever ce qui pour moi était comme une deuxième peau. Je me promis d’ailleurs de me procurer la même tenue pour en faire profiter Laura.

  

Soudain, une idée me traversa l’esprit. Et si je demandais à ce couple que je connaissais relativement bien de jouer avec moi ? L’idée qui me paraissait saugrenue, me paraissait peut-être jouable. Je pouvais compter sur leur alcoolisation probable et sur une éventuelle liberté sexuelle qui avait l’air d’être une habitude dans leur couple. Mais comment faire ? Je n’allais tout de même pas me présenter à eux comme ça, surtout que je ne pouvais pas connaître la réaction de Julien, le mari de Karine, à l’avance.

  

Une seule chose me paraissait évidente : il fallait que je parle de l’idée à Karine en premier. Je mis alors un système au point en laissant un mot sur le buffet de la cuisine indiquant à Karine que j’étais parti m’allonger dans la chambre d’amis car je ne me sentais pas bien et de venir me voir seule dès qu’ils rentreraient. Tout était prévu, mais les deux heures qui suivirent me parurent une éternité mais, enfin, j’entendis la porte s’ouvrir et mes deux futurs amants entrer dans l’appartement.

  

Comme prévu, Karine vint tout de suite mais quelle ne fut pas sa surprise de me retrouver ainsi accoutrée mais, avant de lui laisser dire quoi que ce soit, je lui dis de se taire et de me laisser m’expliquer. 

  

Je lui fis le coup de la meuf triste qui avait envie de se faire dépuceler et que depuis des années, mon fantasme était de me faire démonter le cul et que c’était ce soir l’occasion ou jamais, mais que je tenais à en parler d’abord à elle pour savoir si elle était d’accord et pour avoir son aide pour convaincre son mari. 

  

Sans sourciller et comme si la scène n’était pas si extraordinaire, elle me répondit que cela ne la dérangeait pas du tout, que d’ailleurs elle me trouvait très jolie en fille et que, vu comment j’étais habillée, son mari ne résisterait pas longtemps à mes charmes. J’étais rassurée.

  

Karine sortit de la chambre et me dit de rester à l’intérieur. Elle alla expliquer elle-même la situation à son mari. Dix minutes plus tard, tous deux entrèrent dans la chambre main dans la main. Ils étaient là, face à moi. Julien prit tout d’abord la parole en disant à Karine que oui elle avait bien raison, j’étais vraiment très jolie dans cet ensemble. Puis il s’approcha de moi et commença à m’embrasser. Sa langue entra dans ma bouche pour un long et langoureux baiser. Puis, ensuite, il m’appuya sur les épaules pour me faire comprendre que la suite des opérations se déroulait plus bas. 

  

Il baissa alors son pantalon ainsi que son boxer et, là, je vis apparaître devant mes yeux une queue plutôt grosse mais n’étant pas encore toute tendue. Ce fut d’ailleurs à ce premier problème que je dus m’atteler. Je pris alors mon courage à deux mains et je commençai par introduire ce sexe chaud à l’intérieur de ma bouche. Au début, je ne faisais que titiller son gland pour le faire grossir jusqu’à sa taille maximum mais, une fois ceci arrivé, je me mis à lui pomper la queue comme si je me retrouvais la star d’un film X. Ce fut pendant cette pipe que je me rendis compte du pouvoir que je disposais sur les hommes et ceci me fit frémir de plaisir. Mais n’étant pas encore experte en la matière, ce qui devait arriver arriva : Julien finit par m’éjaculer dans la bouche sans m’avoir prévenue auparavant. 

  

Cette surprise, une sorte de fierté personnelle en somme, car cela voulait dire que ma bouche devenait de plus en plus experte en ce domaine. Karine s’approcha alors de moi et commença à m’embrasser. Notre baiser de salive se transforma vite en baiser de foutre où toutes deux nous nous amusions avec ce délicieux breuvage.

  

Il me demanda de me retourner afin de m’appuyer sur le bord du lit, il souleva ma robe et écarta ma culotte pour ainsi accéder à mon fruit défendu. J’étais à ce moment-là complètement offerte à lui, comme dans un état second. Il commença par cracher sur mon anus pour le rendre plus humide. Karine apporta sa contribution en bavant le reste de foutre sur ma croupe. Il introduisit alors deux doigts à l’intérieur, ce qui me fit un peu frissonner. 

  

N’en pouvant plus d’attendre, je lui dis de passer tout de suite aux choses sérieuses. Il ne se fit d’ailleurs pas prier davantage puisque, vingt secondes plus tard, je me retrouvai avec sa queue au fond de moi. Tout d’abord, il resta comme ça, sans bouger, pour que mon petit trou s’habitue puis, doucement, il commença à faire de petits va-et-vient dans mon cul qui commençait à me faire trémousser de plaisir. 

  

Ayant pris ses marques, il décida d’accélérer la cadence. Tout d’abord, il prit le foulard qui était attaché autour de mon cou et tira dessus comme s’il était à cheval puis il prit mes fesses, chacune dans une main, et me bourra littéralement le cul. Je devais m’agripper au pied du lit tellement cela devenait vigoureux et ce fut à ce moment-là que je jouis, comme une femme avec tous les muscles qui se crispent, le cur qui explose, les cris de jouissance. Ma jouissance eut d’ailleurs un deuxième effet puisque, en me crispant, j’avais comprimé vivement le sexe de mon bienfaiteur, ce qui le fit instantanément éjaculer en moi.

  

Croyant que notre petit jeu était fini, je m’allongeai sur le lit, épuisée mais contente de ma soirée. Karine vint s’allonger à côté de moi et son mari se plaça à genoux derrière nos têtes. Je me demandais pourquoi il se mettait là puis je sentis couler sur mon visage puis sur mon corps un liquide chaud. 

  

J’ouvris les yeux et je vis qu’il nous pissait dessus. Karine semblait apprécier beaucoup cela car elle se touchait les seins, les yeux fermés en gémissant. Je fis mine de me lever mais Karine m’ordonna de rester près d’elle. Toujours est-il que la petite douche prit fin et que Karine, à son tour, vint se placer au-dessus de ma tête. Elle se mit à uriner et à beaucoup uriner. L’alcool aidant, elle dut pisser un bon litre sur moi. J’étais trempée.

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