Enfin il rentrait, ces deux semaines de séminaire sétaient fini plus tôt que prévu, le taxi le déposa devant sa porte.
Il ne veut pas faire de bruit, à lheure quil est tout le monde dort dans la maison, il se glisse à lintérieur, pose ses valises et va directement à sa chambre, ouvre la porte et reste la, les jambes coupées, le souffla court.
Il referme la porte et va à la cuisine, se fait un café et sassoit à la table.
Il en est à son second café quand Valérie entre dans la cuisine, elle a un sursaut de surprise.
— Mon chéri, il y a longtemps que tu es arrivé ?
— Une bonne heure !
— Je ne tai pas entendu entrer, tu nes pas venu à la chambre ?
— Pourquoi, jaurais du ?
— Non ! Enfin oui, je ne sais pas, tu ne devais rentrer que ce soir !
Elle fait mine de vouloir retourner dans sa chambre comme si elle y avait oublié quelque chose.
— Je reviens, tu vas sûrement vouloir te reposer et je vais arranger le lit !
— Inutile, laisse le dormir !
— Ho ! Tu nous as vu alors ?
— Oui, beau spectacle que voilà, tu peux me donner une explication !
— Cest, comment dire, cest difficile, je, non, je nen ai pas, je ne sais pas quoi dire !
— Je dois le prendre comment, tu te rends compte de la situation ?
— Oui, non pas vraiment, je nai aucune explication et ne sais pas quoi dire !
— Je comprends que je suis cocu, que tu nas aucune explication à me donner, alors je ne sais pas que dire non plus, tu compte continuer avec lui ton petit jeu ou non ?
— Ce nest pas ce que tu crois, cest arrivé comme ça !
— Il y a longtemps que cela dure ?
— Non, quelques jours pas plus, ho mon chéri comment texpliquer, je ne sais pas moi-même quoi dire !
— Alors ne dis rien, qui risquerait daggraver les choses, je tai posé une question, tu compte continuer avec lui oui ou non ?
— Non, bien sur que non, ça naurait jamais du arriver, je taime, je ne sais pas pourquoi jai fait ça, ho quelle horreur, ce que tu viens de voir est horrible pardon, pardon !
— Horrible est un bien grand mot, je dirais déstabilisant et plutôt inhabituel, retrouver un homme dans son lit nest pas banal et le retrouver entre les cuisses de ma femme encore moins, je laisse les circonstances atténuantes, je ne suis jamais la, je peux comprendre tes besoins, moi-même je suis en manque de câlins mais là je dois dire que je suis sur le cul!
— Je tassure que cela ne se reproduira plus, peux-tu me pardonner, en parler au moins, je dois te faire horreur !
— Non, pourquoi ? Tu sais, je comprends ce que tu peux ressentir et jen suis heureux pour toi et pour lui, je ne suis pas jaloux de lui ni de toi mais je ne sais comment gérer cela !
— Tu approuve ce que jai fait ? Tu ne trouve pas ça immoral et dégoûtant?
— Non, je ne lapprouve pas mais jen suis presque heureux vois-tu et ne tinterdirais jamais de continuer, si tu le désire mais comprends ma situation, jaurais aimé savoir avant, tu as besoin dun amant et tu as pris celui la, comment ten vouloir !
— Ça ne te choque pas et tu me dis de continuer ?
— Tu vas bien pouvoir faire ce que tu veux, je vais quitter cette maison, comprend quon ne peut être deux à partager ton lit et je nai pas envi de te retrouver en permanence avec lui entre tes cuisses et de savoir que sitôt le dos tourné il me remplacera dans mon lit, si lon voulait un autre enfant je me demanderais toujours qui en est le père!
— Si je te jure que ça ne se reproduira plus, tu resterais, tu pourrais me pardonner !
— Rester ? Non ! Te pardonner cest déjà fait mais ne me demande pas doublier ce que jai vu, jespère au moins que vous avez été discret avec Manon et quelle nest pas au courant !
— Manon, est chez sa copine et cest la première fois que nous le faisons dans notre lit, cest affreux ce que je viens de dire, je men rends compte, ho ! Mon amour si tu savais comme je men veux !
— Tu diras à Manon, que je suis en voyage daffaire, je la contacterais par téléphone et quand jaurais un appartement, si elle veut, elle pourra venir me voir !
— Tu es décidé à partir, tu veux divorcer ?
— Je crois que cest mieux, Manon devait venir faire un stage cet été dans lentreprise, je vais régler le problème car si je ne suis plus la, elle aura du mal à venir travailler, je louerais un studio pour elle en ville !
— Si je comprends bien tu ne veux plus rien avoir à faire avec moi et lui?
— Tu as bien compris, tu es jeune tu nas que 40 ans et très belle de surcroît, tu nauras aucun mal à trouver un homme qui accepte que tu ais un amant dans ta maison, pour le remplacer quand il nest pas la !
— Je ne sais plus que dire, tu as raison, ce que jai fait nest pas bien et je te demande pardon mais lui il va mal le prendre, il va se dire que si la famille se déchire, il en est le responsable !
— Il aurait du y penser avant de te baiser et si tu men avais parlé avent de le faire, je taurais donné mon approbation, on aurait trouvé une solution ensemble, ce que je naccepte pas cest que tu te sois cachée pour faire ça, tu aimerais savoir par la bande que je couche avec ma sur ou ma fille ou me trouver un jour entre les cuisses de Manon sans le savoir avant ?
— Je voulais ten parler avant, il y a de cela 15 jours, tu étais parti en Afrique, un jour je suis allé parler avec lui dans sa chambre, jai vue quil avait une érection au bout dun moment car il voyait mes jambes nues et que javais une nuisette qui ne cachait presque rien de ma nudité, ce soir la nous navons rien fait. Je suis vite partie mais le mal était fait, le lendemain nous étions sur le divan, Manon était en ville pour deux jours, chez ta mère, il était contre moi, on regardait la télé et il ma fait un câlin, sa bouche à trouvée la mienne et nous avons fait lamour sur le divan, il était trop tard pour te dire quoi que ce soit et tu nétais pas la, hier ce nétait que la deuxième fois, il était malheureux et est venu parler avec moi dans la chambre, de ce que nous avions fait et on sest retrouvé dans les bras lun de lautre voilà toute lhistoire !
— Tu aurais pu me le dire au téléphone !
— Tu crois que cest facile de parler de cela au téléphone, tien bon soir, dit donc. Jai envi de faire lamour avec mon fils, tu en pense quoi toi ?
— Non ! Mais cest plus honnête !
— En effet mais le résulta est le même en définitive, tu me quitte car tu maurais de toute façon quittée, puisque tu ne veux pas dautre homme dans mon lit quand tu nes pas la !
— Que voudrais-tu faire toi, dit moi et je técouterais, si tu as une solution je suis preneur !
— Je comprends que tu ne veuille pas me partager, alors pourquoi ne pas le faire ensemble, si tu en as envi, bien sur, comme cela je ne te trompe pas et quand tu nes pas la, on sabstient !
— Tu aimerais nous avoir tous les deux dans ton lit et quon te fasse lamour à deux, cest ça ?
— Oui ! Cest ça, viens, il est encore dans la chambre, fais-moi lamour à coté de lui, il dort, quand il se réveillera il verra que tu ne lui en veux pas et on lui fait prendre le train en marche !
— Tu es vraiment perverse et tu voudrais aussi quon fasse lamour, tous les deux moi et lui devant toi, quil me suce ou que je le suce et quon sencule lui et moi !
— Oui, jaimerais et plus même mais je sais que tu ne voudra pas !
— Dis pour voir !
— Toi et Manon et ensuite toi Manon et moi et avec James ! Tu naimerais pas faire lamour à ta fille ?
— Bien sur que si mais tu sais, ce nest pas sur quelle veuille avec moi!
— Tu as tout lété pour ça, quand elle va venir travailler avec toi, il te suffit de la prendre en déplacement quand tu pars et tu nauras pas de mal à la séduire !
— Oui, on verra mais jadore ton idée, viens déjà on va faire lamour avec ton fils !
Franc était la tête entre les jambes de sa femme, James dormait toujours à coté dans le lit, il mit sa main sur le sexe de son fils et commença à le branler, tout en léchant la vulve épanouie de Valérie.
Elle regardait son mari branler son fils et remplaça la main par sa bouche, Franc venait de sintroduire dans sa vulve et bien que sa queue soit plus grosse que celle de son fils, il neut aucun mal à lintroduire dans son con.
Elle jouissait, son fils maintenant réveillé, lui forçait la tête pour quelle lavale en entier, il bandait très dur, lui défonçant la bouche et parlait à son père.
— Papa, si tu savais comme je suis heureux, défonce-lui sa fente, encule la, moi elle ne veut pas, encule la pendant quelle me suce !
Valérie était en levrette et franc sortit son gros mandrin de sa fente pour le lui introduire dans son anus bien dilaté, elle adorait quand Franc lenculait mais lui réservait ce trou à lui seul, elle navait jamais voulu que son fils lencule, enfin pas encore, cela ne faisait que deux fois quil faisait lamour ensemble et cétait la troisième et il y avait son mari avec eux.
Elle allait se laissée faire ce quils voulaient, elle voulait les garder tous les deux et navait trouvée que ce stratagème, que le père et le fils la baise ensemble.
Franc était dans son cul et elle dit à son fils.
— Prend moi, toi aussi, enfonce ta queue dans ma vulve pendant quil est dans mon cul, je veux vos deux queues en moi en même temps !
James se plaça de façons à ce que sa mère puisse venir sempaler sur sa bite et que son père puisse continuer à lui ramoner le cul.
Les trois amants sen donnaient à cur joie sur le lit, James était dans le cul de sa mère et Franc passa derrière lui, lui lubrifia la rondelle de la langue et des doigts et présenta son gland à lanus de son fils.
James ne voulait pas que son père le sodomise, il navait jamais fait cela et nétait pas vraiment bi, il le dit à son père et celui ci lui répondit.
— Tu encule ta mère, cest normal que je tencule non, tu as pris tes responsabilités en couchant avec elle, maintenant il faut les prendre en couchant avec moi, je suis bi et si tu baise ma femme, cest normal que je te baise aussi, si tu veux, tu pourras me baiser quand tu voudras toi aussi, cest comme ça ou cest la dernière fois que tu baise avec nous et avec ta mère !
— Vas-y doucement alors, je suis puceau de là !
— Nai pas peur, jai une grosse bite mais ta mère sans régale et tu vas aimer, tu vas voir, reste dans son cul !
Franc encula James longuement, il voulait se venger un peu du fait que son fils baise sa mère mais était très heureux de la tournure des événements car il savait maintenant, pouvoir faire ce quil voulait dans sa maison et à qui il voulait, sil lui prenait lenvi denculer son fils pour son plaisir il le ferait et chaque fois quil voudrait, sinon plus de baise avec Valérie, le chantage était facile.
Valérie jouissait de la bite de son fils et encore plus de savoir Franc en train de lenculer lui.
Ils jouirent tous les trois ensembles.
Franc pris la pine de James dans sa bouche et lui fourra sa bite dans la sienne, lobligent à le sucer jusquau bout et se déversant à long jet dans sa bouche.
James eu du mal à rebander car même si son père le suçait divinement bien, il naimait pas le sucer lui, sa verge énorme et sentant un peu fort le dégoûtait mais il fut forcé daller au bout de la fellation et davaler la semence paternelle.
Les trois amants repus de sexe sendormirent jusqu’à midi,
Quand Franc se réveilla, il enfonça son pieu dans lanus de son fils et sy vida a nouveau les couilles, devant le regard attendri de Valérie qui embrassait son fils et le suçait en même temps, les deux hommes jouirent ensemble, lun dans le ventre de James et lautre dans la bouche de Valérie.
Après une douche ils se retrouvèrent pour déjeuner à la table de la cuisine.
— Il faudra être prudent quand Manon sera la, il nest pas question quelle se doute de quoi que ce soit, donc pas de baise avec ta mère, quand il y a ta sur ici, et tu te tiens tranquille quand je ne suis pas la, si Manon est absente vous faites ce que vous voulez !
— Tu sais mon amour, nous navons jamais rien fait quand il y a Manon et ce qui est arrivé, cest parce quelle nétait pas à la maison !
— Elle revient quand ?
— Demain soir en principe, elle à cours lundi !
— Donc ça nous laisse toute laprès midi, cette nuit et demain tranquille, James si tu as envi de ta mère, tu as carte blanche à condition quelle soit daccord, et si toi tu as envi de ton fils pas besoin de me demander, par contre jaimerais bien me faire une bonne baise avec toi James, tous les deux, que tu me suce bien et quon sencule, jai pas encore eu droit à ta queue moi !
— Jaime pas trop papa et je préfère éviter !
— Alors les conditions changent, tu ne baise plus Valérie, ni avec ni sans moi !
— Ton père à raison, si tu ne veux pas avec lui, il ny a pas de raison pour que je couche avec toi seul !
— Mais je ne suis pas homo, je ne veux pas me faire enculer et encore moins tenculer et même te sucer me dégoûte !
— Pas de problème, cest comme tu veux mais tu ne touche plus Valérie, sinon tu auras affaire à moi et que je sois la ou non, trouve-toi une copine pour baiser !
— Mamannnnnnnnnnnnnn, je ne veux pas !
— Moi non plus, tu ne me toucheras plus, terminé, je te croyais sans tabou, puisque tu mas baisée mais cest Franc qui décide, tu viens Franc on a du temps à rattraper tous les deux, je nai pas eu ta bite depuis longtemps et ce nest pas ce que tu mas donné ce matin qui ma calmée !
Franc et Valérie partirent dans la chambre, laissant James tout à son désarroi, il avait bien aimé quand son père lavait sodomisé mais comment lavouer et aussi comment dire quil aimait bien le sucer et se faire sucer, devait-il les rejoindre et faire lamour comme Franc le voulait et enculer son père, ça aussi il en avait envi, était-il homo pour autant?
Il resta laprès midi dans sa chambre seul, le soir il dîna avec ses parents, au cours du repas il posa une question.
— Je pourrais venir cette nuit avec vous ?
— Si tu en as envi, oui, bien sur mais tu connais les conditions !
— Oui, jai envi de toi papa et aussi de toi maman et jaimerais bien avec toi papa, jai bien réfléchi, jai bien aimé !
— Voilà, aucun problème, finissons de manger et au dodo, enfin quand je dis dodo, cest au lit, Valérie montre-lui comment tu fais ta toilette avant de venir te faire sodomiser, tu sais que je naime pas trop quand ce nest pas propre, après pour ce sucer cest moins bien, jirais faire la mienne après, si des fois mon fils à des idées !
— Jen ai plus que ce que tu pense, tu vas aimer !
— Jen bande déjà, tien taille-moi une pipe pour voir !
James pris la bite de Franc dans sa bouche et tout en le branlant lui suça la verge, sa mère lui sorti sa pine et ils firent lamour, là, dans la cuisine, à même la table et le sol.
Franc fut heureux quand James bandé comme un bouc lui prit la rondelle, alors quil avait la pine dans le con de sa femme.
Valérie se faisait prendre tour à tour par lun ou lautre pendant quils se sodomisaient, puis les pris dans ses trous tous les deux ensemble, ils lui jouirent ensemble dans son ventre.
Ce nest quau matin quils sendormirent.
La journée du lendemain fut calme, ils avaient besoin de repos, il ny eut que deux ou trois moments chauds, surtout au cour du repas de midi ou Franc suça James sous la table et ensuite fit asseoir Valérie sur son pieu pendant quil mangeait, après que James eut mangé la moule de sa mère.
Le soir Manon arriva et trouva son petit monde bien calme.
La suite tout de suite.