Paul était aux anges ce matin-là. Et son copain Ruiz comprit tout de suite la raison de sa joie :
" Alors elle te plaît Simone ?
— Pfouh ! Mon pote, c’est de la bombe !
— Je te l’avais bien dit !"
Et Paul raconta toute l’histoire à son "ami" Ruiz.
Simone s’était libérée de sa robe, qu’elle avait laissée choir sur la plage de fin gravier. Paul la voyait donc nue pour la première fois, et il devait s’avouer que Ruiz ne s’était pas foutu de lui ; elle était vraiment bien gaulée pour ses 40 ans et quelques. Même si Paul était caché derrière son tas de sable, à environ 40 mètres de la scène, grâce à la clarté lunaire, il apercevait bien le corps somptueux de la "sylphide". Des cuisses musclées, qui semblaient bien bronzées, une petite chatte taillée en triangle de poils bruns, un ventre bien fait, et une superbe paire de seins, tels que Paul les aimait: 90 B à première vue, un galbe en forme de poire, et surtout, de toutes petites aréoles pas trop foncées, et de petits tétons, qui pointaient sous l’action de la caresse du vent chaud de cette nuit d’été.
Jusque-là tout était au top ; Paul se demanda ce qu’allait faire la femme qui semblait en manque de sexe ?
Elle s’approcha de l’eau, et y entra doucement, puis nagea quelques brasses. Revenant sur le rivage, elle se coucha au bord du lac, alors qu’un petit vent, qui s’était un peu accentué faisait s’ourler la surface de l’eau en de petites vagues. Dans 10 centimètres d’eau, allongée, les cuisses bien écartées, Simone commença par se caresser les seins, puis l’une de ses mains s’empara de son entrejambe. Alors Paul comprit, au vu du mouvement du poignet, que la femme se masturbait… après trois minutes de mouvements, elle jouit assez bruyamment, laissant éclater comme un cri guttural, accompagné de râles.
Ayant repris son souffle, elle se releva et suivit la lisière du petit lac, sur une cinquantaine de mètres, jusqu’à une espèce d’excavatrice à moitié rouillée. En marchant elle reprit sa litanie lubrique :- Putain, j’ai envie d’une queue, bien dure ! Un mec, voire plusieurs ! J’ai envie de me faire BAISER ! Mon Dieu, j’ai la chatte en feu !
Paul, qui avait lui même sa main dans son short, et qui se masturbait calmement, eut toutes les peines du monde à ne pas montrer sa présence, à aborder la femme et lui proposer fort civilement, et de façon chevaleresque d’accéder à tous ses désirs… mais il se retint. Après tout, il ne savait pas comment la femme réagirait. Il préférait regarder, se soulager, et en parler à Ruiz le lendemain, pour qu’il lui arrange le coup. Alors, avec cet entremetteur, il se dit que les choses seraient plus simples. Un petit mot, et Paul se retrouverait peut-être dès le lendemain à poil, en bas, en train de sauter la nymphomane !
Ayant atteint la vieille machine rouillée, Simone escalada des escaliers métalliques branlants, pour accéder à une plate-forme avec des leviers de commande, à l’extrémité terminée par une grosse boule de plastique, comme les leviers de vitesse des anciens camions de marchandises. Puisant dans une réserve de graisse minérale, Simone en enduisit généreusement chaque extrémité, qui était de hauteur et de grosseur différente.
Puis avec force râles de jouissance, et de cris de bien-être, elle se fit pénétrer par les engins de diverses tailles. A chaque levier, elle éprouvait un orgasme de plus en plus sauvage, criant et gémissant de plus belle. Elle criait à chaque fois : " Oui viens, baise-moi, prends moi ! "… comme si elle s’adressait à un amant invisible.
Paul ayant déjà joui une première fois, reprit son apostolat masturbatoire, et se mit à jouir lui aussi en même temps que la femme, pour la quatrième fois !
Puis elle revint récupérer sa robe, et toujours nue, quitta la carrière et emprunta la route… il devait être deux heures du matin passées.
Paul, qui n’avait pas pu voir tous les détails, s’approcha à son tour de la vieille excavatrice, et comprit les raisons de la jouissance de la femme, et ses orgasmes à répétition, en examinant les leviers de vitesse. Il n’y avait pas à dire, cette femme avait de la ressource et des muscles vaginaux plus que souples, vu la grosseur de l’extrémité du quatrième levier de commande… au moins 11 centimètres de diamètre ! Paul se dit qu’il serait très agréable de fister cette femme, en plus du reste, vu ses capacités. Chose que sa femme lui avait toujours refusée ! Quand il rentra chez lui, sa décision était prise, il allait demander à Ruiz de le mettre en contact avec la débauchée, pour la tringler sous toutes les coutures ! Après tout, sa femme n’avait qu’à se démerder un peu plus au lit !
Ayant terminé son récit, Paul demanda à Ruiz s’il pouvait parler à la femme, pour qu’il devienne l’amant qu’elle semblait tant solliciter…
" Eh bien, je vois qu’elle t’a fait de l’effet, Simone ! Bon je lui parle cet aprem, et ce soir …"en voiture Simone !" Pas de problème. Mais j’aimerais que tu fasses un petit quelque chose pour moi …- Oui, quoi donc ?
— Ta femme bronze toujours nue au bord de votre piscine ?
— Ben oui, ça lui arrive, de temps en temps… pourquoi ?
— Ben, disons que comme toi tu t’es bien rincé l’il, et que tu vas baiser comme un porc ce soir… parce que je te dis pas la Simone c’est une chienne en chaleur, elle est insatiable ! Tu tiendras le coup ? Faudra que t’assures mec ! alors …
— Alors ? Allez, crache le morceau !
— Ben, disons que si ta petite femme se mettait à poil au bord de ta piscine, il n’y aurait pas de mal à ce que nous en profitions un peu… discrètement, tapis dans la haie de lauriers sauce …
— NOUS ? Je comprends pas "
Paul sentait une boule se former dans son estomac, en même temps que sa queue qui grossissait dans son short. Il sentait l’embrouille arriver, et pourtant tout cela était plus fort que lui. Il était excité à l’idée de ce que Ruiz lui proposait.
" Ho, mec, du calme, monte pas sur tes grands chevaux… grâce à moi tu t’es rincé l’il, normal que mes potes et moi on en fasse de même avec ta femme, non ? Un prêté pour un rendu, si tu veux, et puis personne n’en saura rien !- Tes potes, tu veux parler de tes deux parasites de copains, le gros Alban et Lucien "la branlette" ? C’est ça ? Et vous avez envie de voir le cul de ma femme ?
— Et sa chatte ! Mhummmmm ! Putain je me souviens encore de ses lèvres, quand elle s’est baissée devant nous, la salope ! Putain, moi une meuf comme ça, je te dis pas ce que je lui ferais…
— Oh du calme, tu parles de ma femme, là, quand même !
— Oh, désolé d’avoir froissé ton ego, homme prude ! Tu vas quand même niquer Simone ce soir… si on voit la chatte de ta femme cet aprem… et dans les moindres détails !
— C’est-à-dire ?
— Ben, cuisses bien écartées, couchée au bord de la piscine, je veux voir sa fente enduite de mouille !
— Planqués à 80 mètres de la piscine dans votre arbuste ?! Eh ben, putain vous avez de bons yeux !
— T’occupe "Totor", on n’aura pas que nos yeux ! J’ai gardé des petits joujoux de ma période militaire ! Tu t’occupes de rien, tu te débrouilles pour que ta femme soit un peu souple d’esprit, et nous, on fait le reste, en silence… en toute discrétion…"dobra" ?
— Bon OK, mais tu tiens parole pour ce soir !
— Juré craché ! "
Cet après midi-là, Paul passa son temps à l’atelier, mais le travail d’ébénisterie n’avançait pas… il avait deux problèmes… enfin beaucoup plus, à vrai dire. D’abord, il sentait que toute cette affaire lui échappait, mais il avait trop envie de se taper la nympho, alors il n’avait pas le choix, il fallait qu’il exhibe sa femme à ces trois enflures. Parce que maintenant, il n’avait plus de doutes, Ruiz le manipulait… mais il n’avait pas le choix, il devait faire ce qu’il lui demandait s’il voulait se taper l’autre salope…
Il devait être cinglé, mais cela l’excitait à mort de penser que sa femme allait être à poil, au bord de la piscine, et que les trois gougnafiers allaient se rincer l’il, c’est comme s’il la leur livrait sur un plateau d’argent ! Il était surexcité, rien que d’y penser et il bandait comme un taureau ! Il faudrait qu’il se fasse psychanalyser…
Mais autre problème, comment la décider à écarter les cuisses, et à faire un petit numéro de salope ? Là, Paul ne voyait vraiment pas ! C’était mission impossible !
Mais s’il trouvait une solution… les trois mecs en train de mater le cul et la fente de sa femme ! Il en aurait presque éjaculé sur place ! D’autre part, il fallait qu’elle ne se rende compte de rien… parce qu’alors, il n’osait penser aux conséquences sur son couple ! Déjà que cela n’allait pas fort !
Bon enfin un problème après l’autre.
Comme presque toutes les fins d’après-midi, quand Cécile rentra du travail, d’autant qu’elle n’avait pas couru ce matin-là, elle prit sa serviette pour se délasser au bord de la piscine. Dès qu’il fut sûr qu’elle y serait, Paul avait lancé un SMS laconique à Ruiz : – C’est bon.
Il s’imaginait les trois salopards voyeurs passer par la brèche du mur, qu’ils étaient en train de réparer derrière le petit bois, et venir s’installer, bien cachés, dans le buisson de laurier sauce. Enfin il espérait que ces connards seraient bien cachés ! Puis il rejoignit sa femme.
Cette dernière était alanguie sur un transat, un maillot de bain deux pièces sur le corps :
" Tu n’as pas envie de faire de l’intégral aujourd’hui ? Demanda-t-il innocemment à sa femme.- Bon, pourquoi pas, cela t’exciterait ? Mais attention on baise pas… j’ai pas envie, je te connais !
— Mais non t’inquiète, de toute façon, moi non plus ! "
Et Cécile se leva, et défit le lien de son soutien-gorge, qui tomba sur le dallage de la piscine, puis laissa glisser le maillot de bain ; elle était nue, sa petite chatte à la bande de poils blonds bien visible, sur son pubis à la peau blanche.- Tu vois, tu n’en fais peut-être pas assez, tu as les traces du bronzage… veux-tu que je te passe de la crème solaire, ce serait dommage que tu prennes un coup de soleil sur ces zones si sensibles.
Ce faisant, il passa un doigt sur le pubis de sa femme, qui eut un mouvement de recul :- Bon, tu m’en passes, mais tu ne profites pas de la situation.
Paul s’exécuta, et commença à passer la crème sur le ventre, les épaules, gardant les seins pour plus tard, tant il avait peur que sa femme ne se referme dans sa coquille. Il devait réussir l’impossible, la faire s’exhiber, montrer sa chatte et sa petite fente, tâche difficile vu les prémices de la situation… mais il ne se découragea pas. Ayant couvert les jambes, il hésita à en passer sur le pubis. D’ailleurs sa femme se retourna sur le ventre. Il fit alors le dos et les fesses. Et puis… le miracle, Cécile écarta les cuisses et lui dit langoureusement :- Eh bien, tu ne m’en mets pas sur la chatte ? Toi qui adore cet endroit d’habitude ?
Jubilant intérieurement, Paul commença à en passer sur la raie des fesses, et l’intérieur des cuisses, n’osant aller sur la vulve. Mais alors, sa femme se mit sur le côté, face à la piscine, repliant une jambe sous elle, et relevant l’autre ; son entrejambe était complètement découvert, la fente bien apparente. Pour tout dire, la position était largement plus qu’érotique, voir même presque carrément vulgaire. Cécile s’exhibait volontairement, et Paul remarqua que le petit abricot de sa femme, devenait luisant et que la vulve s’ouvrait. Les lèvres étaient gonflées. Paul, le tube toujours à la main, eut un instant d’hésitation, à voir sa femme exhibée ainsi. Que voulait-elle faire exactement ? L’exciter ? Avait-elle envie de faire de l’amour ? Juste à son retour du boulot ? Cela ne lui ressemblait vraiment pas. Surtout, la demande qu’elle lui fit, l’étonna outre mesure :- As-tu envie que je te suce ? Je vois que tu bandes comme un taureau. Est-ce moi qui te fait cet effet, ou y a-t-il une autre raison ? Baisse ton caleçon que je vois ta grosse bite. Je te suce, et toi tu vas me passer cette crème sur mon petit abricot… cela te plaira-t-il ?
Paul très étonné, mais excité comme une puce, ne put dire un mot, mais il s’exécuta, présentant une bite bien gonflée devant la bouche de sa femme, qui s’en empara goulûment et l’avala.
Cécile le suçait comme une pro, pendant que lui, la masturbait doucement avec la crème solaire, qu’il passa sur son pubis, ses grandes lèvres et son clitoris. Le buste de la jeune femme se soulevait, et sa respiration s’accélérait, pendant qu’elle le suçait divinement.
A un moment, elle quitta le membre viril et lui dit :- Dans ma chatte, mets tes doigts dans ma chatte, branle-moi !
Paul s’exécuta, et lima la fente de son épouse, puis y introduisit trois doigts, puis quatre, tant le vagin était dilaté par l’excitation. A un moment, sa femme lui dit d’y mettre tous les doigts, et la crème solaire aidant, Paul put réaliser son rêve secret : limer sa femme avec sa main. Il aurait tenté d’y mettre le poing, mais pris dans son délire sexuel, son excitation au comble, pensant aux trois voyeurs qui mataient la scène porno, il éjacula dans la bouche de son épouse, tandis que Cécile ahanait sous les doigts, qui s’étaient emparés de son sexe en feu :
" Au mon Dieu, c’est bon… Ouiiiiiiiii ! Une bite, je veux ta bite… je veux me faire prendre !- Ben, c’est que… tu aurais dû me le dire avant ?
— Pas grave, il y a ce qu’il faut dans l’armoire ! "
Et telle une furie vivant un rêve érotique, sa femme se leva d’un bond et courut à l’intérieur de la maison. Elle en ressortit avec un godemiché en plastique de belle longueur, et un vibromasseur à bande rotative. Cela faisait bien quatre ans qu’elle ne s’était plus servie de ce genre de jouets. Paul n’en revenait pas. Qu’était-il en train d’arriver à sa femme, d’habitude si rétive à ce genre d’exercices ?
Il l’attendait sur le transat, mais contre toute attente, elle se dirigea vers l’autre extrémité de la piscine, marchant nue, roulant bien des hanches, comme pour l’exciter une fois de plus, et se posa sur le siège en plastique. Là, elle s’installa voluptueusement, faisant reposer les cuisses sur les accoudoirs, le siège dirigé vers le bosquet où étaient situés les trois voyeurs.
Quand Paul la rejoignit, alors qu’elle suçait le godemiché, après se l’être introduit dans la chatte, Paul, comme pris d’un doute, lui demanda pourquoi elle avait retourné le siège dans cette direction :- Mhummm, mon chéri, c’est pour sentir ce petit courant d’air venir me caresser la chatte, veux-tu me goder toi-même ?
Paul se saisit du jouet, et l’appliqua doucement d’abord sur les grandes lèvres, le faisant passer sur le clitoris :- Dans ma chatte, mets-le dans ma chatte, gode moi avec vigueur !
Paul commença à limer son épouse, dans cette posture indécente, qui la faisait exhiber toute son anatomie la plus intime. Sa femme était en effet ouverte, telle qu’il ne l’avait jamais vue. Puis, prise dans une espèce de frénésie sexuelle, elle lui demanda d’aller toujours plus profond, plus vite, plus fort. Paul la lima avec vigueur, pendant qu’elle ahanait, criait sa jouissance… des mots jamais entendus par lui, lui venaient dans la bouche :- Vas-y salop, gode-moi, plus fort … ouiiiii ! Plus fort, vas-y pédé, plus profond, mets-le moi grave dans ma chatte ! Plus fort ! OUiiiiiiiiiii !
A la fin, Paul en avait presque mal au poignet, mais il était de nouveau excité. Il pensait au spectacle complètement fou et vulgaire, que sa femme offrait aux trois voyeurs, sans le savoir. Il n’arrivait plus à la tenir. Elle gueulait de plaisir. Puis elle prit elle-même le vibromasseur et se le positionna dans le sexe, et mit la vitesse au maximum, pendant que les roulements à bille de la bande tournaient à l’intérieur de ses lèvres. Paul, une main sur sa bite, n’en pouvait plus de voir sa femme prendre ainsi son pied. Son regard était focalisé sur l’anneau, qui tournait dans la chatte de son épouse. A un moment il n’y tint plus, et saisissant l’objet des mains de sa femme, il le remplaça par sa queue, et pilonna littéralement son épouse. Celle-ci ne mit pas longtemps à avoir un orgasme de folie, tandis que lui aussi jouissait, joignant ses cris rauques aux siens.
Comblée de jouissance, Cécile se releva et comme par défi, se baissa, comme elle l’avait déjà fait devant Ruiz, dévoilant son abricot distendu et dégouttant de sperme et de cyprine, avec un geste de la main comme pour dire : "allez, vas-y encule moi maintenant ! "
Ne voyant aucune réaction de son mari qui reculait, elle dit simplement : " dommage ! La prochaine fois peut-être ?! "
Puis, elle regagna la maison, la serviette sur l’épaule, et le sperme s’écoulant le long de ses cuisses bronzées.
C’est alors que Paul, s’étant assis dans le fauteuil, s’aperçut d’une odeur de cigarette apportée par la petite brise, qui s’était levée peu avant leurs ébats fougueux. Il se dit alors qu’il était heureux que sa femme n’ait pas remarqué cette odeur insolite dans le jardin. Cela venait de Ruiz, il en était sûr, qui n’avait pu résister à l’envie d’en griller une…
Énervé par le manque de conscience de son ami, il se dit qu’il lui en dirait deux mots ce soir.
Ayant récupéré son portable, il reçut un SMS:- C’était trop top mon pote. Ta femme est une putain de bombasse, j’ai eu du mal à retenir mes potes ! En tout cas, ce soir tu baises… si tu as encore des réserves !
Le soir, Paul se présenta vers minuit, et reprit sa place derrière son tas de sable dans la carrière désaffectée. 20 minutes plus tard, la femme apparaissait, et elle resta à regarder le lac, sans bouger, elle dit alors :- Bon alors, il vient me baiser le voyeur ?
Cette fois-ci, aux anges, Paul descendit et se rendit silencieusement derrière la femme. Elle ne bougea pas quand il lui mit les mains sur les hanches :
" Fous-moi à poil et baise-moi", lui dit-elle simplement.
Un peu court comme présentations, mais au moins on ne perdrait pas de temps. Paul fit glisser la robe sur le sol, elle était nue en dessous, et fébrilement s’empara d’un sein, tandis que son autre main passait sur le haut de la cuisse, et caressait le pubis de la brune. Les doigts caressèrent le triangle de poils rasé assez court, puis cherchèrent la vulve et titillèrent le clitoris ; la femme commença à ahaner et à gémir instantanément.- Doigte-moi la chatte, branle-moi !
Paul s’exécuta, et prit possession du sexe très humide de la femme. Il la limait de ses doigts inquisiteurs. La femme se retourna soudain, et commença à baisser bermuda et slip de l’homme, et lui retira vivement son tee shirt. Se retrouvant nu, la bite en érection, dressée vers les étoiles, elle s’en empara de ses deux mains. L’homme branlait la chatte de la femme, tandis qu’elle-même passait ses mains sur la verge tendue. Puis, se plaçant accroupie à ses genoux, elle se mit à le sucer voracement. Paul, excité comme une puce, se laissa aller et éjacula une grande quantité de sperme dans la bouche de la femme.
Celle-ci se redressa, des filets de sperme lui dégoulinant des lèvres, et se jeta sur la bouche de l’homme, qu’elle embrassa fougueusement.
Paul se laissait quasiment "violer" par la femme en rut, il ne contrôlait plus rien du tout ! Puis Simone, s’étant assurée de la nouvelle érection de l’homme, lui demanda soudain de l’enculer sauvagement. Elle se plaça à quatre pattes, comme une chienne en chaleur, et attendit l’assaut bestial ! Il pénétra la femme, se disant, une fois dans sa chatte, qu’il avait oublié de prendre des préservatifs ! De quoi prendre un gros, gros risque… mais tel le motard enivré par la vitesse, à plus de 210 kilomètres/heure, il n’en avait plus rien à foutre !
La femme dégoulinait de cyprine, et après quelques mouvements de bassin, il dirigea son sexe en érection vers sa rondelle, et suivant ses instructions, il la pénétra d’un seul coup. Cela passa assez facilement, la femme devant être coutumière de ce genre d’exercice contre nature ! Il la possédait par le cul, la pilonnant allégrement, tels les obusiers de 210 allemands, les forts français, au siège de Verdun ! Alors pendant le coït bestial, les deux gémissaient et criaient leur plaisir, jusqu’à l’aboutissement grandiose. Simone se mit à hululer, tel un Grand duc et Paul lui, jouit, dans un grognement rauque, animal.
Les deux se séparèrent alors sans un mot…
Dormant dans son lit, auprès de sa petite femme vicieuse, le mari adultérin se félicitait de sa chance : avoir baisé une chaudasse comme Simone, et avoir vu sa femme se dévergonder de la plus excentrique des façons ! Pourtant un détail le gênait…
En un sens il y avait presque une "symétrie" entre ce que faisaient sa femme et Simone. Ou plutôt ce que demandait Ruiz…
Tout d’abord Ruiz lui avait mis un marché en main : faire courir sa femme en tenue sexy, contre la révélation d’un plan cul disponible.
Il avait ensuite pu voir l’exhibition de Simone dans la carrière, et puis Ruiz lui avait demandé de provoquer sa femme, pour qu’elle fasse elle aussi un petit numéro d’exhibition dans leur propriété.
Enfin il avait pu baiser, et de quelle manière, la nymphomane Simone… un doute horrible lui venait à présent à l’esprit.
Qu’allait maintenant exiger Ruiz ? Car il était certain que ce dernier avait maintenant de quoi le tenir par les couilles…