La petit histoire que je vais avoir le plaisir de vous raconter nest pas le fruit de mon imagination mais est bien réelle.
Je me prénomme Antoine et javais environ 30 ans à lépoque des faits. Jétais déjà marié avec Françoise qui est toujours à mes côtés et jétais déjà le papa de deux charmantes petites filles.
Je travaillais dans une usine sidérurgique, aujourdhui fermée, de Meurthe et Moselle dans le bassin de Longwy.
Je faisais partie dune petite équipe de 4 personnes et mes deux collaborateurs directs étaient plus des amis que des collègues, il régnait dans notre atelier une telle complicité que nous ne nous lassions pas de partager les détails croustillants daventures salaces que nous vivions hors-mariage. Je dois vous avouer que je suis extrêmement porté sur le sexe, que la fidélité nest pas mon point fort et que javais, à lépoque, une belle petite collection de maîtresses de tous âges.
Un beau matin notre contremaître nous a présenté Guillaume, un jeune manuvre de 17 ans qui allait, avec nous, faire ses premières armes dans le difficile et cruel monde du travail. Guillaume se destinait à une autre carrière dans le milieu administratif, mais devait travailler en attendant de remplir ses obligations militaires en Belgique. Nous avons tout de suite sympathisé et après seulement quelques jours guillaume était tout à fait intégré dans notre petit groupe. Il était bien plus jeune et inexpérimenté que nous en matière de cul mais il avait son franc-parler, un humour caustique et graveleux et surtout un intérêt colossal vis à vis de tout ce qui concernait le sexe de près ou de loin.
Il avait une petite amie, Alice, de quelques mois plus jeune que lui et avec laquelle il entretenait, selon lui, des rapports sexuels assez réguliers.
Je me suis rendu compte que Guillaume avait confiance en moi quand, quelques semaines seulement après notre première rencontre, il est venu me présenter une requête peu ordinaire. Il avait beaucoup parlé de moi à Alice et surtout mis laccent sur mes frasques, ils adoraient baiser ensemble mais avaient un peu limpression de manquer dexpérience et de technique. Afin dapprofondir leurs connaissances en la matière ils étaient arrivés à la conclusion que ce serait une bonne idée que je présente Guillaume à une de mes nombreuses copines pour une initiation plus poussée. Cette idée était assez originale et curieuse mais interpellait ma libido et me donnait une furieuse envie de rencontrer cette Alice dont il mavait tellement vanté les mérites et qui devait être chaude comme la braise. Je lui ai répondu que cétait probablement envisageable, que jallais y réfléchir et penser à quelle partenaire éventuelle je pourrais faire appel.
Pour des raisons de service Guillaume a été muté dans un autre secteur de lusine, nous avons gardé le contact mais nos horaires nétaient plus vraiment compatibles et au fil des mois nous ne nous voyions plus que de manière sporadique et cet excitant projet est tombé dans loubli.
Nous étions fin juin et Guillaume est venu mannoncer quil avait reçu son ordre dincorporation sous les drapeaux et nous quitterait fin juillet.
Jai gambergé une bonne partie de la journée et en début daprès-midi je tenais mon occasion en or de voir à quoi pouvait bien ressembler cette Alice qui taquinait sans le savoir ma curiosité libidineuse depuis des mois. Le soir même jai proposé à mon épouse dorganiser, à la maison, un repas dadieu pour Guillaume, dont je lui avait parlé en bien, et auquel sa copine Alice serait conviée bien légitimement. Le lendemain jai passé à Guillaume linvitation pour le soir du premier jeudi de juillet, Guillaume était ravis de cette surprise et touché par lintention et a, bien sûr accepté en son nom et en celui dAlice dont il connaissait bien les emplois du temps. Comme ils navaient pas de véhicule à lépoque il était convenu que le papa dAlice les amènerait jusquà mon immeuble et que je me ferais un plaisir de les reconduire en Belgique après le repas. Ils sont arrivés en fin daprès-midi avec un beau bouquet de fleurs pour Françoise et un livre de contes pour les petites.
Jai eu comme un électrochoc dans les testicules quand jai vu Alice. Cétait une superbe jeune fille denviron 1m60, ses cheveux dun beau châtain clair étaient coupés courts sur un joli minois parsemé de taches de rousseur et quéclairaient de beaux yeux bruns, deux lèvres sensuelles soulignaient un petit nez mutin mais, ce qui attira encore plus mon regard cétait sa poitrine, sous un tee-shirt moulant elle dissimulait difficilement deux splendides nichons dun bon 95 C ou D. Elle portait une mini-jupe plissée blanche, des socquettes et des baskets de la même couleur, son sourire ma désarmé en me dévoilant ses dents impeccables que je ne pus mempêcher dimaginer tel un collier divoire autour de mon gland.
Je me suis ressaisi sans attendre et ai fait les présentations dusage puis sommes sommes passés au salon pour prendre lapéritif. Nous avions un canapé assez profond que redoutent nombre de personnes de petite taille et cest donc avec une idée derrière la tête que jai prié Alice dy prendre place juste en face de moi, jallais, du moins je lespérais, pouvoir me rincer lil si la chance me souriait et si Françoise ou Guillaume ne perçaient pas à jour mon coupable mais bandant dessein.
Nous avons discuté de choses et dautres ainsi que de lusine et de la banque à Luxembourg pour laquelle Alice travaillait. Mes yeux étaient attirés comme par des aimants par les jambes dAlice mais javais quand même remarqué quelle mobservait souvent à la dérobée avec un petit sourire en coin qui me faisait penser à de la curiosité ou, peut-être, de lenvie. Guillaume devait lui avoir beaucoup parlé de moi et probablement plus encore de mes écarts de conduite à répétitions ce qui aurait pu provoquer cet air dubitatif que je lui trouvais à ce moment. Jéprouvais de plus en plus de difficultés à détacher mon regard de sa jupe et il ne fallait surtout pas que Françoise ou Guillaume ne surprenne mon émoi. Grâce à ce confortable complice quétait mon canapé chaque fois quelle devait bouger pour saisir lun ou lautre objet Alice devait avancer sa poitrine et ce mouvement, extrêmement agréable à mes yeux par ailleurs, faisait, quimmanquablement , ses jambes sécartaient légèrement et, rien quà entrevoir lintérieur de ses cuisses, je devinais la douceur et la chaleur de sa peau.
Je commençais à attraper une trique denfer et je ressentais comme des fourmis dans les bourses, il me fallait me créer une auto-diversion pour éviter le pire et jai proposé de fumer une cigarette, Guillaume en a pris une et a demandé à Alice de lui passer son briquet, en le lui tendant, elle la fait tomber sur la moquette, je me suis penché pour le ramasser en même temps quAlice se baissait pour le même motif et cest à cet instant que jai eu le bonheur et la chance dapercevoir sa petite culotte blanche et le léger mais troublant renflement de son pubis, ce fut une vision brève mais délicieusement puissante.
Jai vu tout de suite, dans les yeux dAlice quelle navait pas perdu une miette de mon manège de voyeur pervers et je me suis même demandé si elle ne venait pas de provoquer ce petit événement. Javais soudain très chaud et, craignant de rougir comme un collégien, je me suis levé pour me rendre à la salle de bains. Une fois isolé jai repris mes esprits non sans mimaginer glissant une main sous la jupe vers cette petite culotte ou même risquant une langue sur le fin tissu à lendroit de sa petite fente et, pourquoi pas ma queue ?
Cest dans cet état fébrile que jai rejoint lassemblée en mefforçant de ne rien faire paraître de mon trouble ni de mon érection quelque peu maîtrisée.
Comme le temps était au beau fixe et que le repas nétait pas encore prêt dêtre servi jai émis la proposition de faire profiter, à nos jeunes invités, de la vue exceptionnelle quoffrait le toit plat de notre tour de 15 étages. Françoise déclina linvitation ayant encore une ou deux petites choses à faire et comme jinterdisais aux deux (trop) petites de monter sur le toit cest avec Guillaume et Alice que jai emprunté lascenseur vers le dernier étage. Il nous fallait traverser toute la largeur du toit pour parvenir du côté nord-est de limmeuble, je prenais bien soin de laisser un peu davance au jeune couple pour me délecter du subtil déhanchement dAlice et du léger flottement de sa petite jupe qui dévoilait, par intermittence, la naissance de ses fesses. Arrivée au muret de protection et, comme elle nétait pas bien grande, Alice a dû se mettre sur la pointe des pieds pour profiter de la vue, cette position jambes tendues a souligné le galbe de son petit cul et a instantanément fait durcir mon mandrin qui était vraiment mis à rude épreuve.
Guillaume était en train dexpliquer à Alice que la maison de ses parents était juste à lautre orée de la petite forêt que lon pouvait voir à quelques centaines de mètres à vol doiseau, il sextasiait sur ces aspects de paysages quil navait encore jamais vus sous ces angles, de mon côté je nétais pas en reste mais pour dautres perspectives. Profitant que Guillaume était occupé à regarder dans une autre direction je me suis rapproché dAlice et jai posé ma main sur sa jupe juste au creux de ses reins. Elle a continué, comme si de rien nétait, à commenter les propos de Guillaume. Jai entamé une lente caresse vers le bas, je pouvais sentir la douce chaleur de sa croupe sous le tissu de sa jupette et de sa culotte et je me sentais comme sur un petit nuage. Je nai pas insisté au-delà dune poignée de secondes, de peur de me faire surprendre par Guillaume et aussi pour calmer lincendie de ma bite dans mon jeans.
Après quelques minutes nous nous sommes rendus à table et le repas sest très bien passé, Françoise avait été parfaite comme dhabitude. Nous avons encore discuté un bon moment, Guillaume et Alice étaient de très bonne compagnie et sintéressaient à une foule de sujets, pour ma part je regrettais un peu que la table ne fût pas transparente car cela faisait bien deux heures que le spectacle des cuisses dAlice métait enlevé, il faut dire quen consolation javais droit à son décolleté vertigineux et son visage souriant et tellement troublant.
Lheure tournait et le soir était déjà bien tombé, Guillaume ma demandé si cela ne me dérangeait pas de les reconduire en Belgique. Françoise a répondu à ma place que cétait une idée raisonnable et que jallais me charger de cette mission pendant quelle débarrasserait la table. Nous sommes descendus dans mon garage, Guillaume sest installé à côté de moi et Alice derrière lui. Dans mon rétroviseur je pouvais voir luire son sourire à chaque passage sous un réverbère.
En arrivant dans leur village jai demandé qui je devais déposer en premier lieu, tout en espérant secrètement que ce serait Guillaume, et jai vu, dans mon rétroviseur, Alice avec un doigt sur sa bouche qui me désignait Guillaume du menton. Guillaume a proposé de nous rendre dabord chez Alice qui, demblée, lui a fait remarquer que nous venions juste de dépasser le croisement que nous aurions dû emprunter pour la déposer chez elle et quil ne fallait pas abuser de ma serviabilité.
Quelques minutes plus tard nous étions devant le domicile de Guillaume, Alice est sortie de la voiture avec lui, la embrassé et souhaité une bonne nuit. Puis elle est remontée à bord mais à côté de moi cette fois tout en clamant haut et fort, en manière de reproche déguisé à lintention de Guillaume, quavec elle comme convoyeur on ne risquait pas de manquer le croisement comme tout à lheure.
Jai démarré et nous avons pris la direction de sa maison. Ce nétait pas commode de conduire avec les yeux rivés sur la lisière de sa petite jupe. Elle ma sorti de ma rêverie en me priant de tourner à gauche pour emprunter la rue menant à son quartier.
Nous nous sommes engagés dans une petite rue mal éclairée, sans la moindre habitation, et bordée de haies et de champs, voyant ma surprise, Alice ma confirmé que nous étions bien sur la bonne voie et que sa rue était un peu plus loin, juste au bord de la forêt que je devinais proche, cette même forêt dont Guillaume nous avait parlé auparavant.
Elle me lançait des regards furtifs dans lesquels je voyais comme une attente ou une impatience et jai pris le risque de ralentir et de marrêter sur le côté de cette petite route, à proximité de ce qui me semblait être une petite école ou une chapelle.
Alice na pas eu lair dêtre surprise et a tourné son visage dans ma direction alors que ma main a pris sa nuque et attiré ses lèvres contre les miennes, elle avait la bouche entrouverte et nos langues qui sattendaient se sont rencontrées immédiatement, le baiser que nous étions en train déchanger était violent et terriblement sensuel. Alice tremblait légèrement et sa langue se lançait sans cesse à la recherche de la mienne.
Jai posé ma main gauche sur son genou et lai glissée tout doucement le long de sa cuisse douce et incroyablement chaude. Ma main était maintenant sous sa jupe blanche, ses cuisses sécartaient lentement au fur et à mesure de la progression de mes doigts qui sont arrivés contre sa petite culotte, juste au niveau de sa petite chatte. Mon cur battait dans mon gland, sa culotte était brûlante et trempée, mes doigts caressaient, à travers le tissu, ses grandes lèvres qui formaient un sillon en feu, mon pouce était en contact avec la peau nue de sa cuisse qui vibrait. Je sentais que sous mes doigts sa fente se lubrifiait en abondance et quAlice devait être déjà prête à se faire enchatter par un doigt ou un manche, ma queue était sur le point dexploser et nos langues étaient devenues folles.
Je ne voulais pas aller plus loin ce soir là sachant que Françoise mattendait à la maison et quelle ne me connaissait que trop bien et aussi parce que lendroit choisi nétait pas des plus discrets. Tout en continuant à lui explorer la bouche avec ma langue jai exercé une pression assez appuyée sur cette petite culotte avec mes doigts, cela laisserait un souvenir physique à Alice et imprégnait mes doigts de sa mouille intime.
Malgré une furieuse envie décarter ce tissu et de glisser au moins un doigt dans cette fente toute humide à la recherche de son clitoris jai retiré ma main lentement tout en continuant à caresser sa cuisse nue. Notre baiser a encore duré une petite minute, nos bouches se sont détachées et nos langues se sont séparées. Nous avons repris notre respiration et avons attendu que la tension retombe. Je lui ai donné une carte avec un numéro de téléphone sur lequel elle pourrait me contacter si jamais elle avait envie de me revoir sans Guillaume ni Françoise, elle a fait disparaître ce carton dans son sac
et, quelques secondes plus tard, je la déposais devant la maison de ses parents. Elle ma fait un petit signe de la main et est entrée dans la maison tandis que je prenais le chemin du retour.
Jai pris mon temps pour rentrer chez moi, je portais sans cesse mes doigts à mes narines pour humer le parfum entêtant et terriblement excitant de sa petite chatte tout en imaginant Alice probablement en train de se finir dans son lit.
Nul doute que jallais culbuter Françoise en rentrant, quune petite ou grande pensée serait pour Alice et que ma giclée de ce soir lui serait dédiée, javais de nouveau une trique dacier.
Le lundi suivant jai croisé Guillaume devant la pointeuse de lusine, il ma remercié pour cette délicieuse soirée, ma prié de transmettre ses remerciements à Françoise ainsi que ceux dAlice avec qui il avait passé un week-end torride.
Javais un peu de remords quant à ma conduite avec Alice qui, certainement, devait déjà avoir oublié toute cette histoire, pour leur plus grand bien dailleurs.
Il devait être 9h20 ou 9h25 quand Alice ma téléphoné le 13 juillet…