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Papa l'homme de ma vie. – Chapitre 8




Une fois rentrée à la maison, Cloé prend une bonne douche, elle s’attarde sur ses orifices; son anus et les grandes lèvres de sa chatte sont hypergonflés et encore ouverts.

Après la douche, Linda, sa tante, lui masse longuement le corps avec de l’huile essentielle.

Cloé pousse de profonds soupirs, Roger la regarde lubriquement, en passe sa langue sur ses lèvres plusieurs fois.

Putain, ma cochonne, tu en as pris plein les trous !

Il ne peut s’empêcher de glisser ses doigts sur la fente enflée, l’écarte doucement et fait un long sifflement en caressant le clito qui n’a pas dégonflé.

Mon Dieu qu’il est beau !

Il le presse délicatement entre deux doigts en le branlant doucement.

Linda masse les seins en profondeur, elle repousse son mari lorsqu’elle arrive à la chatte.

En ronchonnant, il retire ses doigts noueux.

Linda verse de l’huile sur la fente ouverte; ses doigts fins caressent les grandes lèvres, les étirent en les maintenant écartées.

De sa main libre, elle roule entre ses doigts d’experte le clito imbibé d’huile, il ressemble à un gros radis bien rouge.

Roger retire les doigts de sa femme, il tient lui-même les grandes lèvres de Cloé, bien écartées.

Linda lui sourit, en continuant à lui triturer le bouton.

Elle enfonce quatre doigts dans le temple brûlant, ma fille qui se cambre.

Elle les tourne longuement dans la gaine distendue puis joint un cinquième intrus; moi, je m’approche et maintiens les cuisses ouvertes de ma fille.

Elle a les yeux vitreux, sa respiration s’accélère.

Linda lui presse fortement le clito, Cloé pousse un cri qu’elle tente d’étouffer en se mordant la main.

Ma queue commence à prendre du volume dans mon pantalon.

Roger délaisse les grandes lèvres pour s’attaquer aux mamelons, il les gobe à tour de rôle.

L’aspiration est telle que Cloé se cambre en grognant.

Je la regarde et lui murmure :

Tu veux que ça cesse ma chérie ?

Oh non, mon papa, c’est trop bon, encore encore !

Roger rétorque :

Putain, elle est insatiable ta salope, mon frère, mais j’aime qu’elle soit comme ça.

Il faut lui en donner encore ! ajoute Linda.

La main de Linda semble aspirée par la chatte gourmande, elle s’enfonce jusqu’au poignet.

Le ramonage est sévère, les bruits de succion sont terribles.

Cloé geint de plus en plus fort.

Je sors ma queue raide, et l’offre à ma fille qui la gobe jusqu’aux couilles.

Elle fait monter sa bouche et la descend sur mon mat, gorgé de sang; sa langue tourne autour de mon gland de nombreuses fois.

Je grimace et dis :

Mon Dieu, comme ma fille, tu me suces bien ma chérie, j’y tiens plus, ouah !

Je me raidis et envoie au fond de la gorge de ma fille chérie plusieurs décharges de sperme.

Elle me repousse, et avale jusqu’à la dernière goutte.

Linda cesse le ramonage, retrousse sa jupe, écarte sa culotte.

Baise-moi ! me dit-elle.

Je lui lève une jambe à hauteur de ma taille, et lui plante ma queue le plus profondément possible.

Elle s’accroche à mon cou pour ne pas tomber.

Elle agite son bassin, mes couilles frappent sa chatte avide de sexe.

Elle pousse des grognements à chaque enfoncement de ma queue en elle.

Roger lui déchire la culotte, il frotte sa queue contre l’anus déjà visité mainte fois, je dois dire que Linda adore se faire sodomiser.

Elle souffle fortement, lorsque la bite de son mari est entièrement en elle.

Prise par les deux trous, elle ronronne comme une chatte.

Cloé nous regarde, elle a saisi son bouton atrophié, et le branle sauvagement, elle le pince si fort qu’elle en grimace.

Sa main s’active sur son bouton énorme, elle fait une moue puis pousse un grognement en giclant.

Elle accélère le branlage, la jouissance est terrible, elle gicle comme une fontaine.

Roger et moi, nous démontons Linda comme des damnés, elle couine comme un animal sous nos assauts répétés, elle halète, son cur bat la chamade.

Les queues coulissent en elle comme deux pistons bien synchronisés.

Elle s’arc-boute puis explose en hurlant.

Roger serre les dents et lui remplit l’intestin de son sperme gluant.

Moi, je ne tarde pas à le suivre, je me bloque et décharge ma semence épaisse dans la gaine brûlante.

Nous libérons Linda; de ses orifices s’échappe le surplus de semence gluante.

Cloé a les yeux exorbités, elle maltraite son clito en disant des paroles inaudibles.

Roger, surexcité, lui laboure les siens avec ses ongles.

Ma fille maso, jamais j’aurais imaginé ça.

Linda écarte sa chatte et la contemple :

Mes salauds, vous m’avez bien remplie, je suis bien lubrifiée. Roger, viens me ramoner !

Le mari obéissant enfonce un à un ses doigts dans la chatte dégoulinante de Linda qui ferme les yeux, et ouvre toute grande la bouche.

La main puissante de son mari lui dilate la chatte comme jamais.

Elle pousse de petits cris lors du ramonage, ils augmentent lorsque le ramonage s’accélère.

Ma fille bave de jalousie.

Papa, baise-moi fort, encule-moi comme une chienne !

Elle prend la pose adéquate, se cambre et m’offre sa croupe.

J’enfonce aisément ma bite dans le fondement bien ouvert.

A chaque coup de bélier que je donne, mes couilles heurtent les fesses charnues de ma progéniture.

Elle râle comme une bête blessée, je m’évertue à la faire gueuler de plaisir, la défonce est totale.

Ma bite la pilonne sauvagement, elle pose sa tête sur le sol, la croupe est super relevée, elle ronchonne:

Papa, casse-moi le cul, éclate-le, fais-moi mal, j’en ai trop envie !

Je passe une main sous elle et saisis un mamelon, je l’étire au maximum en lui pilonnant le cul par de violents coups de reins.

Oui oui, arrache-moi le téton, plus fort papa, ouiiiiiiiiii !

Elle grimace, se cambre et gicle avec force sur le sol.

Moi, je me démène comme un beau diable, mes coups de boutoir sont terribles, je me bloque et lui remplis le cul de mon sperme.

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