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Mes premiers congés payés – Chapitre 37




Cathy souligna le fait à Jeanine « tu vois chérie, en général ça les calmes un peu dautorité, dailleurs cest dommage », puis de sa main gantée de caoutchouc elle attrapa entre son pouce et son index, mon sexe, le souleva et le laissa retomber sur mon ventre et en rigolant elle dit à Jeanine « tu vois, en arrivant ici, je suis sur quil navait quune idée en tête, nous fourrer son bout de muscle un peu partout et vider ses couilles par la même occasion, eh bien, il se trompait un peu, il ne va ni nous baiser, ni nous enculer » Jeanine fit une petite moue et dit « ah bon », Cathy éclata de rire et dit « ne soit pas déçue mon cur, il va se vider les couilles quand même, tu verras et par contre je te promets que si tu le veux bien, tu vas en prendre plein la chatte et le cul, et moi aussi, si tu aimes ce que je te proposerais ».

Mine de rien, tout en discutant, elle avait posé la majeur de sa main gantée à la base de mon sexe et lavait fait remonté doucement, il était maintenant sur ma raie et arriva très vite sur mon anus, bien évidemment, javais commencé à reprendre vigueur dès le début de la caresse et lorsque Cathy me regarda à nouveau, cest une belle érection qui pointait, vu ma position, en direction de mon torse, elle jubila en ricanant « tu vois ma chérie, ils ne peuvent pas sen empêcher, tu les touches un peu, ils bandent toute suite, on va remédier à ça », Jeanine qui avait retrouvé sa position jambes croisées lui dit « que vas-tu lui faire »

Cathy « tu vas voir, je vais faire en sorte que ce muscle se repose », puis elle saisit ma queue de sa main gantée et me dit « je suis sur que tu voulais boire notre plaisir, saloperie, et bien tu vas en boire du jus de plaisir, mais ce sera le tien, je vais te branler et quand tu sentiras que tu vas exploser, je veux que tu ouvres ta bouche de sous merde en grand pour que je vises bien, et tu avaleras tout bien sur ».

Javais déjà avalé mon sperme mais pas dans ces conditions, les paroles de Cathy me fouettèrent les sens alors quelle saisissait ma queue et commençait un rapide mouvement de va et vient, cela ne dura pas longtemps, jétais trop excité et cette situation, nouvelle pour moi, narrangeait rien, en quelques minutes je sentis le plaisir monter et je sus que jallais jouir, je dirigeais mon regard vers Jeanine, ses cuisses serrées lune sur lautre, le regard fixé sur la main de Cathy, je la vis trembler, elle venait de jouir sans se toucher et au moment ou je le vis, je sentis mon propre plaisir qui allait jaillir, jouvris la bouche en grand et Cathy eut juste à bouger légèrement mon sexe pour la viser.

La visée était bonne, je pris tout le sperme que jéjaculais au fond de la bouche, sauf les dernières gouttes qui tombèrent sur mon torse, je gardais la bouche ouverte, Cathy me regarda avec le sourire et dit « cest bien tu devances mes désirs, allez avales maintenant », je fermais la bouche et déglutis pour avaler mon propre sperme, cétait la première fois que javalais la totalité de ma propre éjaculation.

Cathy retira son gant, me fouetta les fesses avec et se tournant vers Jeanine lui dit « putain, quelle salope ton cousin, ma chérie, jai jouis au moment où il sest épanché dans sa bouche, une vrai décharge électrique, tu as aimé toi ? »

Jeanine « tu veux rire, je suis trempée, tu es démoniaque ma chérie, un moment érotico pornographique très intense, je nen reviens pas davoir jouis sans me toucher, rien quen regardant et en serrant mes cuisses lune contre lautre »

Cathy posa le gant sur mon entrejambe et sapprocha de Jeanine, se pencha sur elle et lembrassa à pleine bouche tout en déboutonnant son chemisier, puis se détachant de la bouche de Jeanine, elle se recula et ouvrant le chemisier en grand elle dit « hum, ils sont toujours aussi beaux, tu permets ? » et sans attendre la réponse elle dégrafa le soutien-gorge, lôta et le posa sur la table avant de prendre à pleine mains les seins gonflés de plaisir de Jeanine, celle-ci gémit et se cambra pour soffrir encore plus aux caresses, Cathy prit tour à tour chacun des tétons en bouche et les embrassa puis les mordilla, arrachant à Jeanine des gémissements de plaisirs, en même temps elle posait ses mains sur les cuisses de ma cousine et la forçait à décroiser ses jambes, elle ne rencontra aucune résistance, bien au contraire, Jeanine décroisa ses jambes et ouvrit en grand la fourche de ses cuisses dans une invitation sans gêne, puis Cathy glissa une main sous la jupe et quelques secondes plus tard, dit « hum, tu te rases, jadore » puis rajouta « effectivement chérie, tu es trempée, je ne veux pas que tu attrapes froid, laisse-moi tessuyer », elle saisit les mains de Jeanine, la fit se lever, défit la fermeture éclair qui fermait la jupe, la descendit doucement en picorant de baisers chaque morceaux de peau dénudés, puis la jupe à terre, elle appuya doucement sur les épaules de Jeanine, la fit reculer jusquà la table, elle saisit une des cuisses par dessous, la souleva et la posa sur la table, dans cette position, javais une vue imprenable sur la fente grande ouverte et brillante dhumidité, de ma cousine, Cathy saccroupit et mit sa tête entre les cuisses de Jeanine, je ne voyais plus rien, mais les gémissement de Jeanine était suffisamment clairs, Cathy était entrain de lui dévorer le sexe, elle dit entre deux coups de langue « jadore ta ptite chatte toute lisse ma chérie, cest un régal de faire glisser ma langue dessus » et pour le plus grand plaisir de Jeanine, elle replongea entre ses cuisses.

Alors quelle dévorait Jeanine, je vis Cathy déboutonner son chemisier et le retirer, puis sans cesser de faire gémir Jeanine, elle descendit la fermeture de sa jupe et se redressant, elle la laissa choir sur le sol, leva ses pieds lun après lautre et sen débarrassa, javais sous les yeux un très joli ptit cul, qui malgré lâge de sa propriétaire, avait lair bien ferme, je sentis que je recommençais à bander quand Jeanine hurla son plaisir et jouit sous les coups de langues de Cathy.

Cathy se redressa et dit à Jeanine « comme au bon vieux temps ma chérie, et ton goût est toujours aussi bon »

Jeanine reprenant sa respiration : « tu sais toujours aussi bien te servir de ta langue, cest un vrai plaisir, jai adoré comme tu as pu voir »

Cathy se tournant vers moi et voyant que je bandais à nouveau : « tu vas me rendre la pareil mon cur, mais avant il faut faire baisser la tête de se mat, tu veux ten occuper ? »

Jeanine descendit de la table et dit en me regardant avec des yeux gourmands : « avec grand plaisir, je vais moccuper de cette chose en vitesse et après je moccupe de toi ma chérie », puis elle sapprocha de moi, « alors saleté, tu bandes encore, on ta bien dit quici, cétait interdit, en plus tu nous déranges alors quon samusaient bien » et elle me claqua les fesses dune main et saisit le gant de lautre.

Après avoir enfilé le gant, elle saisit ma queue de sa main nue, Cathy lui demanda « pourquoi mettre le gant si tu ne ten sers pas ? »

Jeanine : « ben je vais le ranger correctement, jai peur quil tombe, alors je vais le coincer pour quil ne tombe pas », elle posa son majeur ganté sur mon ptit trou et poussa tout en me branlant énergiquement, une fois son doigt au fond de moi, elle lâcha ma queue, retira le gant délicatement en le retournant pour que seul son majeur reste dedans, elle saisit à nouveau ma bite et me dit « maintenant tu vas jouir saloperie et vite, et tu fais comme tout à lheure, tu ouvres la bouche et tu avaleras tout » et de son doigt elle me lima lanus au même rythme que sa main branlait ma queue.

Je ne mis que quelques minutes à jouir, et tout comme avec Cathy précédemment, jouvris la bouche et cest vers celle-ci que Jeanine dirigea ma queue pour que je me vide à nouveau dedans et que javale mon propre sperme. Puis Jeanine lâcha ma queue et retira son majeur du gant en laissant ce dernier coincé dans mon cul, elle se recula et en se tournant vers Cathy lui dit « comme ça, cest sur il ne tombera pas, et maintenant ma chérie donne-moi ta chatte à bouffer, jai très faim ».

Cathy sassied sur la table et écarta les cuisses en grand, elle avait les yeux brillants de désir et je fus surpris de voir la taille de son clitoris, cétait le plus gros que jai jamais vu, il se dressait comme une petite bite, Jeanine le vit en même temps que moi et lui dit « hum, tu me gattes, tu lu fais faire de lexercice à ce ptit bouton, je vais le faire pleurer de plaisir avec ma langue, chérie » et saccroupissant entre les cuisses de Cathy, elle commença à lui dévorer lentrecuisse.

Cathy jouit 2 ou 3 fois sous les caresses de Jeanine et celle-ci se redressa les lèvres brillantes du plaisir que venait de sécouler dans sa bouche.

Malheureusement pour moi, tout cela mavait fait reprendre un peu de vigueur, oh pas suffisamment pour dire que je bandais, mais suffisamment pour lesprit machiavélique de Cathy.

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