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Ma femme et ses deux frères – Chapitre 2




Après le week-end que nous avons passé à la maison paternelle, je me devais d’avoir une bonne conversation avec ma petite Nathaly qui ne savait plus ce qui allait se passer avec notre couple. Je devais de mon côté faire une mise au point sur tout ce que je venais d’apprendre et digérer le fait qu’elle me faisait cocu et ce qui me faisait le plus bizarre, c’était cette relation qu’elle avait avec ses frères.

J’avais le cerveau qui tournait dans tous les sens, parfois choqué, jaloux ou excité de la voir se faire baiser comme une vraie salope. En pesant tous les sentiments, je me suis finalement avoué que j’aimais la voir se faire dominer et baiser comme une vraie salope et que par dessus tout, j’aime cette femme, malgré ce qu’elle est.

Je me devais, maintenant, de lui faire savoir et de faire une mise au point sur ce qu’allait être notre vie, dorénavant.

Le soir venu, elle arrive de travailler. Je lui offre un verre (elle aime bien un bon rhum brun avec un peu de glace) et lui demande de prendre un douche pour se rafraîchir et lui annoncer que nous allons dans un bon resto, même si nous sommes en milieu de semaine. Elle me regarde, pas trop certaine de ce que je vais lui annoncer, ayant peur de ce que cela cachait car elle était sous l’impression que ce que j’avais découvert, mènerait à la rupture de notre couple

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Je lui apporte son verre et va vers la chambre pour se dévêtir, mettre un peignoir, prendre quelques gorgées pour se détendre un peu. Elle m’embrasse pour me remercier de ma petite attention et nous discutons légèrement de notre journée.

Le temps qu’elle est dans la douche, je vais choisir les vêtements de façon à ce qu’elle soit très attirante aux regards des mâles. Comme il fait très chaud, je choisi une camisole de soie très légère avec une bretelle très fine afin de dénuder des épaules, un soutient gorge assez transparent qui laisser voir parfaitement bien les auréoles de ses jolis seins, une petite culotte brésilienne aussi transparente et qui n’a aucun élastique au niveau de son sexe dévoilant la moitié des ses jolies fesses rondes et fermes et pour garnir le tout, une petite jupe ajusté qui lui cache un peu moins que la moitié de ses cuisses.

Lorsqu’elle sort de la salle de bain, je vais l’accueillir avec un second verre, plus léger et la conduit à la chambre où elle découvre le choix des vêtements qui est étalé sur le lit. Sans qu’elle ait le temps de dire un mot, je lui dit que c’est comme ca que je veux la voir pour notre sortie au resto, car je la trouve très attirante dans ce type de tenue. Elle me regarde silencieusement, toujours craintive de voir le déroulement de la soirée et ce qui se cachait devant cette invitation soudaine. Je la sentais nerveuse, triste, vaincu, quasi assurée qu’après le resto, il ne lui resterait qu’à plier son linge et faire ses valises. J’avais le cur qui me serrait et ça me faisait mal aussi de la voir dans cet état. J’avais envie de la prendre et la serrer tout contre moi, l’embrasser et lui montrer à quel point je l’aime, mais il fallait attendre. Elle le méritait bien et le prix à payer n’était pas si cher pour ce qu’elle m’avait caché.

Nous partons finalement de la maison pour se rendre au centre-ville. Le resto a été choisi spécialement pour une section retirée, au fond de la pièce, où nous devons monter deux marches pour y accéder. Cette partie n’est séparée que pare une petite clôture en fer ornemental. Par contre, ceux qui sont assis plus bas, ont une vue imprenable sur les cuisses des jolies dames.

Le gérant de l’établissement nous accueille, Nathaly passe devant et arrivé à notre table, il lui offre la chaise assise face aux tables plus basses. Je glisse un pourboire au gérant, lui glissant à l’oreille "excellent choix". Il me regarde un peu gêné et part.

Bref, nous commandons un apéro et j’aborde vitement le sujet car ça me brise le cur de la voir aussi triste. "Chérie, tu vas écouter tout ce que j’ai à te dire et après, si tu as des questions, on discutera"

Je lui dit que j’ai bien réfléchi à tout ce qui s’est passé lui avouant que j’avais été amèrement déçu d’apprendre tout ce qu’elle faisait dans mon dos. Elle me regarde silencieusement et je vois ses yeux remplis de larmes qu’elle a peine à retenir. Je mets la faute sur ses frères, qui auraient plutôt du la protéger que de la pousser dans la débauche et actes pervers et bla bla bla qui dure quelques minutes. Ensuite je lui dit que j’ai pris une décision et qu’elle devra décider elle même de notre avenir et je la fais languir un peu.

Je lui avoue que j’ai pesé le pour et le contre de tout ça et lui avoue que finalement je lui avoue avoir été terriblement excité de la voir le week-end dernier avec ses frères et les deux amis, surtout le soir avant, quand Steve est monté seul te rejoindre, pour aller te baiser. Et bien, après tout ce qu’il m’avait raconté, c’est moi qui l’ai mis au défi. Moi et Denis, on était caché sur le balcon, au bord de la porte de chambre qui donne sur l’extérieur et on a tout vu. Ensuite je suis allé voir ce que tu ferais avec Denis.

Nath: Alors tu savais avant que les amis de mes frères arrivent. C’était en quelque sorte une vengeance.

Moi: Vengeance, non. Je voulais vraiment te voir avec d’autres, sans me cacher.

Nath: Et tu trouves ça excitant de me regarder me faire prendre par d’autres hommes.

Moi: Oui j’avoue que je trouve ça très excitant. D’un autre côté, je ne pouvais pas imaginer ma vie sans toi. Malgré tout, je me rends compte à quel point je t’aime et qu’il va falloir nous adapter à notre nouvelle vie et s’amuser ensemble.

Nath: Qu’est ce que tu veux dire par s’amuser ensemble?

Moi: Dorénavant, quand tu auras le goût d’une aventure spéciale, on pourra le faire ensemble et si tu as le goût d’être seule, à l’occasion, on en discutera.

Nath: Chéri, tu es l’amour de ma vie, tu sais. J’ai eu la plus grande peur de ma vie et j’étais persuadée que tu me quitterais.

Moi: La preuve que l’amour est plus fort que tout.

Elle me prend alors la main et me serre très fort, une larme de joie sur sa joue. Je lève mon verre à nous deux et nous souhaite de bien s’amuser ensemble.

Nath: Rassure moi encore mon amour. Tu vas vraiment accepter de me partager avec d’autres?

Moi: Oui ma chérie. Ensemble nous ferons du monde heureux et je serai content de voir ces hommes profiter d’une aussi jolie femme.

Nath: Ca va quand même me gêner d’être avec toi. Ce n’est pas toujours évident, tu sais. Je ne sais pas pourquoi je suis toujours aussi excité lorsque je vois des hommes.

Moi: je comprends. Mais il paraît que tu as une attirance pour ce qui n’est pas conforme?

Nath: Qu’est ce que l’on t’a dit?

Moi: Baiser avec des vieux, des gros…

Nath: Oui! (affichant un air super gêné)

Moi: Ok on commence notre petit jeu. Tu dois tout m’avouer, sans rien me cacher.

Moi: Avec un voyou ou plusieurs

Son visage devient rouge, le léger sourire qu’elle avait retrouvé, disparaît, ses mains tremblent légèrement sur son verre et elle répond,

Nath: les deux

Moi: avec des gars qui ont l’air sale, des endroits insalubres.

Nath: Oui, Oui.. Qui t’a dit tout ca… (Sur un ton un peu choqué)

Moi: Peu importe. C’est important pour moi de savoir afin de te diriger, on continue ?

Nath: Oui

Moi: Des gars propres, ordinaires, ca te plait…

Nath: Un peu mais ce n’est pas ce qui m’attire.

Moi: Donc on devra se tenir dans le quartier bas de la ville, si je comprends…

Le quartier bas comporte différents secteur où sortir le soir, est assez risqué. Le gang de rue est omniprésent. On dit qu’il y a environ 35 bandes dans un secteur particulier pauvre de la ville. Ils sont composés de Noirs, Latino, Brésilien, Honduriens et autres races venant de pays pauvres.

Nathaly est demeurée muette et sa respiration était devenu difficile, comprenant que je supposais vouloir l’emmener dans cette partie de la ville.

Finalement notre repas arrive et je fais diversion sur le sujet pour lui faire oublier un peu ce dont nous venons de discuter. Quelques minutes passent et un groupe de quatre hommes, ce qui semble des hommes d’affaire, mais j’ai un certain doute. Il y en a deux qui ont l’air bien ordinaire, un gros joufflu assez grand, tête rasée, barbichette au menton et qui doit peser pas loin du 150 kilos, avec un ventre semblable et un dernier avec des cheveux assez longs, noirs et une barbe de plusieurs jours aux allures d’un arabe.

Le gérant les installent juste en bas de la nôtre, sur le premier plancher. Je regarde Nathaly et pour la taquiner, je lui fais remarquer que nous avons de la compagnie. Les hommes se trouvent dans mon dos, mais face à ma jolie petite femme qu’ils ont aussitôt remarqués. Facile pour moi de les voir avec ce pot d’eau chromé de forme carré dont je peux me servir comme miroir. Là où ils sont, leurs têtes sont juste à la hauteur des cuisses de Nathaly.

Elle voit bien que quelque chose me trotte dans la tête, avec mon petit sourire en coin. Elle me regarde et me demande à quoi je pense.

Moi: Tu aimerais me faire plaisir, ma chérie?

Nath: Oui, bien sure…

Moi: Est-ce que tu es dans ta période de…. tu sais ce que je veux dire.

Nath: Non, c’était la semaine dernière, heureusement.

Moi: Tu aimerais que l’on commence nos petits jeux pervers.

Elle me regarde et je le vois rougir tout d’un coup, voir sa fourchette trembler dans sa main et respirer plus rapidement.

Moi: Dit moi, ma chérie, est-ce que tu trembles toujours comme ca quand tu approche d’un moment pervers.

Nath: Oui… Je ne sais pas pourquoi, mais je deviens très nerveuse et j’ai toujours eu le peur de l’inconnu, mais c’est comme si c’était l’adrénaline qui me poussait à aller plus loin, comme si j’avais un démon en possession de mon corps. Ce n’est pas facile à expliquer.

Moi: Ton cerveau essaie de te raisonner, mais c’est ton corps qui prend toujours le dessus à ce que je vois.

Nath: Tu as tout compris… Qu’est ce que tu as en tête?

Moi: Tu vois les quatre hommes à la table du bas?

Nath: Oui…

Moi: J’aimerais que tu leur montre ta petite culotte et tes jolies cuisses.

Nath: A ces quatre hommes là? Ici…

Moi: Oui. Vas à la toilette et relâche un peu ta petite culotte de façon à ce que le fond ne soit pas collé à ton sexe et comme il n’y a pas d’élastique il y a des chances que le tissus ne couvre pas tout ton sexe et de toute façon, elles sont quand même assez transparentes. Si tu peux aussi remonter un peu plus ta jupe et quand tu seras assise, tu pourras ouvrir légèrement tes cuisses pour attirer leurs regards, tu es partante?

Nathaly reste muette pendant un moment avec un regard fixe. Sa main tremblante saisi son verre d’eau, prendre une gorgée et le déposer sur la table. Soudainement, elle se lève pour se diriger vers la toilette. Je regarde la carafe et je vois les hommes la regarder marcher et le type d’allure Arabe, s’est même retourné pour la suivre de son regard. Comme par hasard, il se lève lui aussi pour se diriger vers les toilettes. Lorsque je vois apparaître Nathaly, l’Arabe sort en même temps et s’impose devant elle. Il s’avance et je vois ma femme reculer derrière le petit muret qui sert à cacher la porte. Il avance d’un pas et je les vois disparaître un moment. De toute évidence, il est entrain de discuter avec elle.

J’ai le cur qui commence à débattre en voyant les secondes qui s’écoulent pour finalement la voir sortir avec cet homme qui la suit tout en continuant de jaser. Lorsqu’ils arrivent à notre table, il me salue brièvement et retourne à sa table.

Moi: Oups! tu as déjà fait connaissance?

Nath: Ils sont tous pareil ces importés. Ils ont tendance à croire qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent avec les femmes.

Moi: Qu’est ce qu’il a fait?

Nath: Il m’a adossé à la porte des toilettes en se présentant poliment et il m’a dit qu’il me trouvait très jolie. Il m’a dit qu’il est en voyage d’affaire pour quelques jours et qu’il a une suite dans l’hôtel, juste à côté et il m’a demandé si j’aimerais passer un bon moment avec lui, demain ou un autre soir. Il ne part que Lundi prochain.

Moi: Et qu’est ce que tu lui a dit?

Nath: D’abord, il a posé une main sur mon épaule pour la glisser dans mon dos. Il m’a attiré sur lui et avec son autre main, sans que je n’ais le temps de réagir, il est venu me caresser un sein. J’ai eu la force de le repousser en lui disant que c’était charmant, mais que j’étais marié et que j’aimais mon mari.

Moi: Tu n’avais pas envi de le laisser faire un peu?

Nath: C’est ce que j’ai fait, en le laissant plusieurs secondes me caresser un sein.

Moi: Oufff! Notre petite soirée est bien commencée. Tu as fais tout ce que je t’ai dit?

Nath: Ouuuiii, mais….

Moi: Mais quoi ?

Nath: Tu n’as pas peur que ca dégénère, avec ce qui vient de se passer?

Moi: Fait le et surtout vers l’Arabe. Excite le. On verra par la suite. Est-ce que ca t’excite?

Nath: Oui, beaucoup, mais j’ai un drôle de pressentiment.

Moi: T’occupe pas, montre à ces mâles, ta jolie féminité.

Je fais signe au serveur de venir nous voir pour commander une demie bouteille de vin, afin d’étirer le temps, avant de passer au dessert et au digestif. Pendant ce temps, ma petite femme s’est mise à exécution. Je l’ai regarder glisser le bassin un peu vers l’avant pour faire sortir encore un peu plus, ses jolies cuisses de sa jupe.

J’ai le cur qui bat à fond. La pointe des ses seins commencent à sortir à travers sa camisole de soie. Je glisse mon couteau sur le bord de la table pour le faire tomber sur le tapis. Nathaly a deviné pourquoi, me sourit nerveusement, je me penche pour me rassurer de sa position et j’arrête de respirer quand je vois une partie de son sexe dénudé par sa culotte qui a légèrement glissé vers sa cuisse. Ses jambes sont écartelées juste un peu, mais assez pour contempler son petit nid d’amour.

En me redressant, je recule un peu ma chaise pour prendre une position un peu plus décontractée, du moins, faire semblant, libère en même temps un peu plus le champ de vision et ajuste un peu le pot d’eau pour bien espionner les hommes. Pas plus de deux minutes et elle est repérée. Nathaly me jase de tout et de rien pour ne pas laisser paraître notre manège. Le gros semble très excité de ce qu’il voit sous la table et fait signe discrètement aux autres pour partager ce plaisir de l’il.

Lorsque je vois l’Arabe regarder je demande à ma chérie de lui en donner plus, d’écarteler un peu plus large. Ma douce me regarde…

Nath: Tu es certain que tu veux continuer mon chéri?

Moi: Et toi, est-ce que ca t’excite?

Nath: Oui chéri, mais suis terriblement gênée et mal à l’aise

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Moi: Continue mon bel amour, laissent les te violer de leurs regards.

Nous continuons à prendre notre vin et je vois les hommes regarder de plus en plus souvent en sa direction. Lorsque le gros se tourne, je lui demande discrètement d’ouvrir plus grand et de le laisser voir son sexe. Sans protester, elle s’abandonne à mes demandes et laisse les hommes déguster ses charmes.

Je vois ce gros qui ne se gêne pas pour fouiller son intimité de ses yeux pervers. Nathaly joue admirablement son rôle, continuant à me jaser comme si de rien n’était. Entre deux phrases, je lui demande discrètement d’ouvrir un peu plus, quand je vois qu’un homme insiste pour se rassasier.

Notre verre de vin terminé, je demande à Nathaly de prendre une pose et de reprendre un position plus descente, histoire de les faire languir un peu. J’appelle le serveur et demande à ma jolie femme si elle désire un dessert, mais tout ce qui se passe lui coupe un peu l’appétit. Elle préfère passer directement au digestif.

Notre serveur revient avec les deux verres que nous dégustons sagement en discutant discrètement si nous donnons suite ou pas à ces étrangers.

Moi: Dit moi franchement, est-ce que ces hommes t’excitent?

Nath: C’est plutôt la situation qui m’excite. Je n’ai jamais fait ca auparavant et en plus, c’est la première fois que nous sommes complices. Ca me fait tout drôle. C’est différent.

Moi: Qu’est ce que tu trouves différent?

Nath: Les relations que j’ai eu ont toujours été avec quelqu’un que je connaissais. Soit par mes frères ou par leurs amis et de fil en aiguille on finissait par me baiser. là, c’est différent. J’excite des hommes que l’on ne connait pas et on s’en va au devant de l’inconnu.

Moi: Tu aimes ca, ce que l’on fait?

Nath: Oui, mais je me sens comme une femelle à baiser. Une proie au milieu de fauves affamés.

Moi: Est-ce que tu veux me faire le plaisir de continuer et t’abandonner à ce nouveau jeux.

Nath: Si je le fais, c’est vraiment parce que tu me le demande. J’avoue que je ne me sens pas très à l’aise. j’ai un peu peur de ces hommes mais en même temps, l’idée de me retrouver sous leur emprise m’excite.

Moi: Alors, continuons. Essaie de faire remonter ta jupe un peu plus et aussi, sans que l’on te surprenne, dégage un peu plus ton sexe de ta petite culotte. Je nous commande une autre verre et si rien ne se concrétise, nous repartirons dès que nous aurons terminé ce digestif.

Je fais signe au serveur et il revient quelques minutes plus tard avec nos verres.

Nous reprenons notre petit jeux et je surveille attentivement mon pichet qui me sert de miroir.

Moi: Est-ce que tu a réussi à adopter ta nouvelle position?

Nath: Oui et ma petite culotte ne cache pratiquement plus rien de mon intimité, mais je suis vraiment gênée de faire ca. J’ai vraiment peur de leur réaction.

Moi: Tu vois, c’est ce que as éveillé en moi. De te voir comme une proie, sans aucune défense, livrée à des prédateurs et je sens que tu ne peut résister à ces nouvelles sensations.

Nath: Promet moi de rester avec moi si ca dégénère…

Pendant notre discussion, les hommes avaient remarqué que ma petite femme avait repris une position plus que provocante. Je ne sais si c’est l’alcool qui dissipe la gêne, mais les hommes sont de moins en moins discret et regardent intensément sous la table. Nathaly me semble de plus en plus nerveuse. Ses mamelons sont très excités et pointent à travers sa camisole. Les hommes s’en rendent compte, ce qui laisse croire que la jolie femelle est en état d’excitation.

Au fond de moi, j’ai espoir que la situation dégénère et de vivre une première expérience avec ma petite chérie.

Moi: Ma chérie! Ca te dirait de monter notre petit jeu d’un cran.

Nath: Qu’est ce que tu as en tête?

Moi: Lorsque le gros chauve se tournera pour te regarder, fixe le dans les yeux et ouvre tes cuisses sans les refermer pendant un bon moment. Je vais continuer de te parler, mais ne t’occupe pas de moi.

Nath: Chéri, tu m’inquiète. Tu veux vraiment que je le provoque à ce point? Je ne sais pas si je vais avoir le courage de le regarder.

Moi: Fait le une fois et après nous partirons.

Nathaly me regarde farouchement comme si elle se demandait si ce n’est pas par esprit de vengeance d’agir de la sorte. Elle prend une bonne gorgée de son digestif, espionne la table des étrangers et au moment ou le gros se retourne je la regarde fixer l’homme. Ses jambes s’écartèlent et un de ses genoux vient se frotter au mien, me confirmant qu’elle montre vivement sa petite chatte à ce gros porc. Je vois ses yeux immobiles regarder l’homme qui salive de pouvoir la toucher. Elle respire à une telle vitesse en le regardant qu’il ne peut conclure rien d’autre qu’elle veut se faire baiser. Prise à son jeux, l’excitation monte et Nathaly s’enfonce de plus en plus dans cet acte pervers qui devient hors de son contrôle. Ses deux mains sont posées à plat, sur la table et elle semble envoûtée par le regard de l’homme.

Je commence à comprendre comment le sexe la domine. Elle semble ne plus me voir, restant concentrée sur l’homme qui la regarde comme si il l’hypnotisait. Elle semble lire dans ses yeux son désir de la posséder, de la baiser et faire d’elle ce qu’il désire.

Je sens son genoux quitter ma jambe, pour ouvrir encore un peu plus ses cuisses et glisse son bassin pour faire monter encore un peu plus sa jupe. Il n’y a plus de doute que le gros se délecte de voir les petites lèvres du sexe de ma tendre épouse.

Nathaly se ressaisie un peu en se redressant et en refermant ses jambes. Je lui demande si ca va, mais aucune réponse de sa part. Elle respire à fond de train et me paraît ne plus avoir de contrôle. Elle recommence avec les deux hommes qui semblent les invités du gros et de l’Arabe. Elle se tourne légèrement pour leur faire face, écarte les jambes et se retourne vers moi. Elle me demande de lui dire comment les deux hommes la regarde.

Moi: Tu aimes que l’on regarde ton sexe, ma chérie?

Nath: Me fait un oui d’un signe de la tête.

Moi: Maintenant, tu aimerais ca qu’ils s’approchent tous de toi et qu’ils commencent à te caresser?

Elle me regarde comme si elle me suppliait de leur demander de la soulager de son mal et me fait un autre signe de la tête.

Moi: Si tu veux exciter les deux hommes, ils te regardent attentivement.

Nath: Ils regardent entre mes cuisses?

Moi: Oui ma belle et ils semblent vraiment excités.

Je sursaute quand je vois l’Arabe apparaître derrière nous avec deux verres en nous abordant. Nathaly se ressaisit, comme si elle sortait de son envoûtement, ferme les cuisses et se redresse sur sa chaise.

L’Arabe: Bonsoir, est-ce que je peux vous offrir un verre. D’abord excusez-moi, mon nom est Yassouf, je suis Arabe et en visite chez vous par affaire.

Moi: Mon nom est Jonathan et ma femme Nathaly. Prenez une chaise et assoyez vous.

Yassouf: Je vais aller direct au but. Vous aimez voir votre femme seulement s’exhiber ou vous aimez quand ca devient plus sérieux.

Moi: Pourquoi vous me demandez ca?

Yassouf: Ne faites pas l’imbécile avec moi. J’ai vu que vous nous regardiez observer votre femme, en vous servant de votre pichet chromé. Vous savez, jouer à ce petit jeu a des conséquences. Vous ne pouvez pas vous servir des gens comme ca sans leur permission. Il y a toujours un prix à payer.

Tout en jasant, Yassouf prend une chaise et s’assoit tout près de Nathaly qui aurait voulu disparaître sous le tapis.

Moi: Bon d’accord mais qu’est ce que vous voulez?

Yassouf: Juste continuer le petit jeu et on verra jusqu’où ca nous mènera.

Pendant notre discussion, le gros vient rejoindre Yassouf et les deux autres hommes restent à leur table à observer. Le gros se présente sous le nom de Aleksei en le prononçant avec un accent Russe, se tire une chaise pour se placer de l’autre côté de ma femme.

D’un geste de la main, il tire sur une des pattes de la chaise de Nathaly la positionnant face à lui. Elle me regarde d’un air inquiet, sur le bord de la panique. Il la regarde et lui dit…

Aleksei: Toi vouloir encorrre regarder moi dans les yeux comme tout à l’heure.

Il lui relève le menton avec une main et la fixe dans les yeux avec un petit sourire moqueur.

Il pose ses grosses mains sur ses genoux et commence à écarteler ses jambes bien lentement. Nathaly ne sait plus où mettre ses mains, me lance le regard du désespoir, espérant que je vais intervenir. Lorsque je tente de m’imposer, Yassouf ouvre son veston pour me montrer un fusil de calibre 38, pour me dissuader de faire quoique ce soit. Nathaly a aussi vu l’arme de l’Arabe et panique encore plus.

Les derniers clients ont réglés leur facture et Yassouf ordonne à Bernard, Gérant du restaurant, de barrer la porte et procéder à la fermeture. Bernard répond "Oui monsieur Yassouf"

Je venais de comprendre que ce restaurant devait lui appartenir, qu’il avait investi de l’argent au Québec pour probablement cacher un autre commerce.

Bernard ferme les vénitiennes, ferme les lumières de la partie avant du resto et disparait dans la cuisine.

Le russe continue d’ouvrir ses cuisses, tire un peu derrière ses genoux pour glisser ses fesses sur la chaise, ce qui fait remonter sa jupe. Le russe lui demande de rester dans cette position en contemplant sa petite culotte et une partie de son sexe. Ses mains glissent de ses genoux en remontant très haut sur ses cuisses comme s’il lui donnait un massage.

Yassouf s’approche de son oreille pour lui chuchoter je ne sais quoi. Ce qu’il lui dit me semble assez long. Nathaly me regarde en panique et je vois ses yeux se remplir de larmes et se mettre à trembler. Il prend ses cheveux d’une main pour lui tirer la tête vers l’arrière et l’embrasse sauvagement en lui enfonçant sa langue au fond de la gorge. Baiser fougueux qui dure plusieurs minutes. Pendant ce temps, le russe a demandé aux deux autres de venir le rejoindre. Ses mains remontent sur ses cuisses, glissent sur ses hanches et commence à descendre sa petite culotte, dénudant son sexe à ces étrangers. Ses mains remontent sur ses genoux. Les deux hommes se sont placés de chaque côté du russe et se joignent à lui pour caresser les jambes de ma femme. Lentement, en la caressant, ils ouvrent ses jambes qui résistent aux attouchements de ces étrangers, occupée par la langue de Yassouf qui, par sa main habile, tire sur le bas de sa camisole pour la sortir de sa jupe. Il glisse sa main sur son ventre en remontant vers ses seins et commence à la caresser. Nathaly a une main sur son bras, tentant de le repousser, mais sa résistance semble l’exciter encore plus. Avec habileté, il découvre l’attache qui se trouve entre ses seins et en quelques secondes, la libère de son sous-vêtement et le dépose sur la table derrière lui. Ses mamelons sont très dures et pointent à travers le fin tissus. Yassouf relève la tête, regarde ma femme dans les yeux, caressant les seins par dessus le tissus léger de sa camisole et l’embrasse d’un nouveau baiser fougueux.

Les deux hommes ouvrent un peu plus les cuisses de ma femme. Admire son joli sexe un peu proéminent, formant une jolie bosse dans le bas de son petit ventre plat et ses lèvres, trop petites, laissent son clitoris à découvert.

Le russe tire sur ses genoux pour approcher son bassin sur le bord de la chaise, masse ses cuisses en poussant toujours un peu plus fort. Les deux hommes écartèlent ses jambes tremblotantes très largement. Le russe remonte en massant s’approchant dangereusement de son sexe. Une de ses mains glisse vers le bas. Il prend un de ses gros doigts et le glisse entre ses fesses. Nathaly a une réaction comme si elle voulait se soustraire de cette caresse. Son doigt progresse entre ses fesses, tortille sa main. De toute évidence il veut pénétrer son anus, ce qu’il n’a pas tardé à faire, en voyant sa main s’enfoncer. Ma belle tente instinctivement de refermer les jambes, mais les deux hommes reprennent vite le contrôle.

Yassouf continue de l’embrasser. Elle gémit probablement à cause de la douleur de la pénétration. Elle bascule ses hanches et avec une de ses mains, tente d’attraper le russe mais en vainc, Yassouf lui saisit le bras pour laisser toute liberté à Aleksei.

Yassouf relève finalement la tête, descend sa main pour remonter comme il l’a fait sur son ventre, remonte sa camisole pour nous dévoiler ses seins, se penche et suce un mamelon. Le russe approche son autre main vers son sexe, taquine ses lèvres de haut en bas, sans oublier d’exciter son clitoris. Il regarde Yassouf pour lui dire… "La petite salope commence à mouiller, je pense qu’elle commence à nous apprécier" et sur ce, glisse ses doigts un peu plus profondément. Nathaly penche sa tête pour regarder le gros entre ses cuisses. Sa main va rejoindre celle du russe pour le dissuader d’un geste instinctif. Aleksei la regarde, la provoque, glisse ses doigts dans sa petite fente, tortille langoureusement sa main pour voir trois de ses gros doigts se faufiler progressivement dans sa petite chatte, ses deux mains accrochés à son poignet. Elle le regarde la pénétrer. Sa respiration est haletante. Yassouf relève la tête et regarde lui aussi Aleksei la pénétrer, tout en continuant de caresser ses seins avec sa main. Il l’encourage en lui disant " Vas-y, fait jouir notre petite salope".

Aleksei accentue ses va et vient dans son anus et pousse ses trois doigts en tortillant sa main en glissant toujours un peu plus, à mesure que son petit sexe s’adapte à la pénétration. Ma douce respire aussi fort et aussi vite qu’une femme qui va accoucher, relâche le poignet du russe et s’agrippe au bras de Yassouf qui se réjouit de la voir abandonner. Ses jambes se ramollissent, son corps s’abandonne et elle commence à gémir fortement. Les doigts de Aleksei ne sont entrés qu’à moitié, débute des mouvements de va et vient en poussant toujours un peu plus loin. Le russe s’amuse avec elle comme si elle n’était qu’une pute à jouir. Il a un large sourire démoniaque accroché au visage.

Il regarde Yassouf et lui dit: Elle est vraiment serrée notre petite salope. Alors Yassouf lui dit "Vas-y, défonce là. Regarde comment elle gémit. Tu vois bien qu’elle aime ca.

Aleksei se concentre sur ses doigts et en trois longs mouvements puissants, il pénètre ses doigts jusqu’à la jointure de sa main, arrachant de longues plaintes de ma petite chérie qui en a eu le souffle coupé. Elle se remet à respirer à une vitesse infernale, toujours accrochée au bras de l’arabe, tête appuyée sur son épaule. Le russe pistonne son anus et son sexe, la faisant gémir comme jamais je ne l’ai entendu. Ma petite femme s’accroche fermement à l’arabe, ses jambes tremblent, son corps s’arque et un violent orgasme vient la foudroyer. Son corps sursaute, provoqué par des spasmes qui lui parcourt le corps.

Aleksei n’en tient pas compte et continue à la fourrer avec ardeur, même, de sa voix épuisée, lui demande d’arrêter. Ses mains vont vers son sexe avec la tentative de le freiner, mais en vainc, l’arabe prend plaisir de la voir résister. Aleksei regarde l’arabe avec un sourire pervers, tournant sa langue autour de ses lèvres et dit:

Aleksei: D’après toi, Yassouf, elle aime ca la petite femme?

Yassouf: Tu l’entends gémir alors tu as ta réponse. (En riant)

Aleksei: Après, elle sera prête pour passer à autre chose, crois-moi, si ta cave est toujours aussi accueillante.

Yassouf reprit ma femme avec un fougueux baiser, effleurant ses seins par dessus le fin tissus de sa camisole pendant que le russe jouit de l’entendre gémir. Ses doigts s’enfoncent dans la petite chatte de ma femme qui a eu peine à récupéré de son premier orgasme. Ses hanches commencent à se balancer sur la main de son ravisseur, gémit langoureusement, sons étouffés par la langue de l’Arabe, mains agrippées à sa chaise, elle reprend progressivement le chemin de l’extase, s’abandonnant à ses ravisseurs.

Aleksei voulait la voir jouir à nouveau, ce qu’il ne tarda pas à faire. Ses quatre doigts progressait rapidement dans sa petite chatte par des mouvements de va et vient assez intenses. Yassouf se détache de la bouche de ma douce, elle regarde le russe violer presque sauvagement son intimité. Sa tête bascule dans tous les sens, gémit, tremble, cette vision me donne le frisson et je bande comme jamais. Elle redresse la tête, respire en gémissant, ses mains glissent pour attraper celle du Russe comme si elle voulait l’aider à la pénétrer, bouge ses hanches sur sa main. L’Arabe caresse ses seins, pendant que ma petite femme se balance sur la main du Russe.

Après quelques intenses minutes, Nathaly se fait foudroyer par un nouvel orgasme, très puissant qui la fait se tortiller dans tous les sens sur sa chaise, toujours sous l’emprise du Russe qui continue et la laissera seulement où il la verra complètement vidé, épuisée, sans plus de résistence.

Le gros se relève, toujours avec ce petit sourire en regardant les deux hommes et l’arabe pour leur dire: " Elle a fini par casser la petite. On peut la descendre à la cave"

A suivre…

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