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Mylena au salon de l'érotisme – Chapitre 1




Introduction et premier chapitre de l’histoire

(Très axé sur les piercings; uro et peut-être scato à venir dans les prochains chapitres)

Cest dans un salon de lérotisme que Mylena avait fait la connaissance de ces deux jeunes filles. Elles sétaient présentées, mais Mylena se demandait si elles nétaient pas un peu resté dans leur personnage Lune se nommait donc manifestement Caprice, et lautre, Désir. Tout comme Mylena, elles devaient avoir entre dix-huit et vingt ans, et semblaient respirer la vitalité. La première, la plus grande des trois, avait un look fortement calqué sur le style gothique, mais sans les fioritures immondes qui faisaient détester ce style à Mylena. Ce jour-ci, elle était donc vêtue dune paire de bottes montantes à talons aiguilles, dont les lacets avaient été remplacés par de fines chaînes chromées. Un ruban satiné entourait sa jambe gauche, lescaladant depuis lintérieur de la botte et enserrant sa cuisse jusquà disparaître sous sa robe courte dun noir de nuit, sans aucune brillance. Le vêtement semblait léger et révélait la plupart de ses formes. Son corps était fuselé, probablement sculpté par des heures dexercice quotidien. Elle portait de beaux cheveux noirs, légèrement bouclés, et possédait des yeux gris-bleu dune intensité rare. En les observant, on croyait observer des perles de nacre, mais la comparaison devenait rapidement obsolète lorsquon se rendait compte de la puissance de ces yeux : ils lui donnait une présence quasiment insoutenable. Mylena, plus réservée quelle voulait bien ladmettre, avait dabord eu du mal à croiser ces yeux envoûtants. Caprice affichait en règle générale une mine hautaine, et se comportait en conséquence. Son langage navait rien de bourgeois ; elle savait bien que cela déplaisait à la majorité, et cette majorité elle comptait bien la séduire. Ce nétait pas elle qui avait abordé Mylena, mais son amie Désir. Elle avait lair plus extravertie, plus amicale aussi. Plus petite et plus fine que son amie, elle lui ressemblait pourtant beaucoup. Pas tout à fait noiraude, elle avait fait teindre ses cheveux mi-longs en rouge rubis aux extrémités, un détail pas flagrant mais très plaisant lorsquon le remarquait. Ce jour-ci, elle portait un pantalon en latex et des bottines de velours dont la hauteur des talons donnait le vertige, et même avec ceci elle restait plus petite que ses camarades. Plus haut, elle avait embrassé loriginalité en recouvrant son buste avec une simple écharpe. Cétait une écharpe certes, mais elle lavait mise en place de manière à se cacher convenablement. Elle navait pas lair du genre à provoquer, mais ce jour-ci elle attirait pas mal de regards. Son expression et en particulier son regard bleu nuit témoignaient de son ouverture desprit : elle avait lil vif, toujours à la recherche de belles choses à voir. Elle avait justement abordé Mylena en venant la complimenter sur son habillé. La jeune fille était chaussée de cuissardes noires au bout arrondi et aux talons coniques, ses jambes achevant dêtre dissimulées par une jupe à plis elle-aussi noire, tenue en place par une ceinture blanche. En haut, elle portait un T-shirt blanc passablement déchiré et recousu grossièrement avec dépaisses lanières noires. Ses cheveux bruns étaient coiffés en arrière, retenus par une copieuse couche de laque. Elle avait de grands yeux marron, très brillants, qui lui donnaient un air de découvreuse et soulignaient son attitude généralement curieuse. Elle était venue ici dans cet état desprit, simaginant que cétait ainsi quelle pourrait rencontrer des gens intéressants

Le soir arrivait, mais la foire navait pas encore touché à son terme. Cétait une manifestation axée sur le libertinage, mais les organisateurs avaient fait une très cruelle sélection dans le choix des exposants, ce qui avait rendu un aspect « soft » à lendroit. Pour mieux y parvenir, ils sétaient même associés avec un autre salon célèbre, plus sec dans le choix de ses thèmes, et on distinguait souvent ces salons en parlant dérotisme et de pornographie, pour que la différence apparaisse plus clairement.

Dans ce salon-ci, les différents commerçants sétaient partagé trois halles géantes en tout. Juste sous le plafond de chaque halle, qui mesuraient toutes les trois dix mètres de haut, les énormes ponts roulants qui avaient été utilisés pour placer le matériel le plus lourds avaient été reconvertis dune manière bien originale : des nacelles avaient été suspendues sous les palans, offrant ainsi la possibilité de se détendre en hauteur et de dominer la foire. Cétait le coin VIP, mais les trois camarades nétaient pas intéressées par ceci. En effet, les « privilégiés » navaient ainsi que le droit dobserver, obligés dattendre la prochaine descente pour pouvoir en sortir et aller faire un tour. En bas, Mylena, Caprice et Désir se sentaient mieux. Elles allaient tranquillement entre les divers étalages, observant ce quon proposait. Il y avait de tout dans ce salon : lingerie, accessoires et jouets, mais aussi tatoueurs, perceurs, et même quelques artisans encore plus originaux, qui effectuaient des créations directement sur les gens qui se montraient intéressés. Ainsi, il nétait pas rare de croiser une ou plusieurs personnes qui avaient laissé leurs habits à lécart, désormais « vêtus » de peintures magnifiques ou encore dassemblages de pièces de tissu qui pouvaient rappeler les habits des gens que lon voit dans les films préhistoriques. Le public était mixte, mais Mylena avait limpression que plus de femmes sétaient intéressées à lexposition.

Mylena avait rencontré ses deux nouvelles amies en fin daprès-midi, chez un perceur. Elle y avait été accostée par Désir, tandis que Caprice était en train dacheter des broches quelle pourrait intervertir avec les piercings quelle portait, et elle en portait beaucoup ! On voyait tout de suite lanneau dargent quelle avait dans la lèvre inférieure, côté gauche, ainsi que les deux bananes qui ornaient son arcade sourcilière droite. Pour ce qui est de ses oreilles, elle avait lhélix gauche criblé danneaux minuscules, et quelques parures dans loreille droite également. Désir ne sétait pas gardé de raconter quelle avait également les seins percés, ainsi que quelque chose dans la vulve. Caprice ne lavait pas autorisée à en dire plus, mais il va sans dire que la curiosité de Mylena avait été réveillée par cette demi-révélation. Pour sa part, la jeune fille navait quune banane dans le nombril et une broche dans la langue, elle se sentait bien pauvre à côté de la bijouterie ambulante quétait Caprice. Désir, quant à elle, nétait pas tout à fait en reste. Elle portait un anneau dans la narine gauche, quatre broches qui formaient un losange sur la langue, ce qui navait pas manqué démoustiller leur nouvelle amie, et elle avait rapidement révélé quelle sétait fait percer les petites lèvres à plusieurs reprises. Très à laise avec cette passion, elle ne gardait pas un seul détail pour elle, exposant tout sauf son sexe proprement dit à Mylena. Celle-ci aimait beaucoup les parures elle-aussi, mais rencontrait plus de difficultés à sauter le pas. Ses deux malheureuses broches lui suffisaient pour linstant.

En soirée, les trois jeunes filles mangèrent un assiette asiatique quelles purent transporter pendant leur marche à travers le petit marché, et bientôt elles décidèrent de sen aller : les salles se vidaient. En fait, si ces trois salles se vidaient, une autre se remplissait en même temps : la boîte de nuit géante qui avait été ouverte en même temps. Elles ny étaient pas encore allées, mais savaient davance ce quelles pourraient y trouver : musique, alcool, gogo-danseuses, prostituées, et même des cabines de verre opaque derrière lesquelles elles pouvaient se laisser aller plus librement avec un semblant dintimité et sans perdre une particule de lambiance.

Mylena et ses amies ne se rendirent pas dans cette discothèque libertine pour ce premier soir. Elles se rendirent plutôt à leur hôtel, dont elles avaient découvert en discutant quelles avaient loué des chambres du même étage, et Mylena fut invitée à passer un bout de soirée avec Caprice et Désir. Personnellement, Mylena avait loué une chambre bon marché, juste pour passer la nuit entre quatre murs. Pour leur part, les deux autres avaient mis un peu plus de moyens, soffrant une suite nettement plus confortable. Le principal atout était le salon : tout en niveaux de gris, le salon avait une lumière douce et chaude, et on y trouvait plusieurs canapés de velours, très confortablement installés sur une moquette blanche et touffue. Les trois jeunes femmes y entrèrent et Caprice alla directement se réfugier derrière le bar, observant les bouteilles qui lui avaient été laissées à disposition. Il y avait aussi un petit réfrigérateur, où elle prit de quoi se faire trois martinis dans lesquels elle plongea de grosses olives empalées sur des cure-dents. Elle ramena les trois verres coniques et les distribua à ses amies, qui étaient déjà assises sur deux canapés. Caprice sassit près de Désir et se colla à elle, avant de lui entourer la taille avec sa main libre. Elle but une petite gorgée de sa boisson en écoutant les autres. Désir interrogeait Mylena :

— Est-ce que tas une copine Mylena ? Demanda-t-elle.

— Hein ? Une copine ? Balbutia celle-ci. Pourquoi, vous croyez que je suis lesbienne ?

Désir sourit et haussa les épaules :

— Cest pas plus déplacé que de te demander si tétais hétéro. Taimes pas les lesbiennes ?

— Si, mais

Elle commença de se rendre compte de la situation, puis demanda, un peu surprise :

— Vous deux vous sortez ensemble ?

Caprice secoua directement la tête et sexpliqua :

— Non, on est pas en couple. Enfin on pourrait, mais on est libres.

Mylena ne comprit pas, évidemment, et Caprice sexpliqua :

— Je suis trop compliquée pour Désir, mais quand elle me veut, je suis là.

— Pareil pour toi ! Répondit doucement Désir en la regardant.

Leurs yeux se croisèrent un moment, elles avaient un petit sourire aux lèvres, tenant toutes les deux leur martini à lécart. Mylena attendait quelles sembrassent, les yeux rivés sur leur bouche, mais elles navancèrent pas dun millimètre. Au bout de quelques secondes, Désir tourna très vite la tête et remarqua :

— Tes bien curieuse pour une hétéro

Mylena sursauta et lui fit un sourire gêné :

— Désolée, jai pas trop lhabitude

— Tu veux essayer ? Lui proposa Désir en savançant, posant les fesses sur le bord de son canapé.

— Quoi ? Essayer quoi ? Sécria Mylena.

— Ben de membrasser ! Remarque, je pense pas quessayer soit le mot juste

Mylena était stupéfaite ; elle ne bougeait pas, pétrifiée. Désir continua :

— Tu penses que tu vas y arriver ?

— Mais je veux pas tembrasser ! Rétorqua vivement Mylena.

Elle commençait à être gênée, et sa protagoniste prit un air attristé :

— Pourquoi pas ? Hé, tu vas pas me dire que tes venue au salon de lérotisme et que tas pas imaginé une seconde que tu pourrais faire des rencontres ? En plus tes venue toute seule, tu tes pris une chambre dhôtel Tu allais faire quoi ?

— Je sais pas Lâcha Mylena en souriant.

Désir lui rendit son sourire et expliqua :

— On va pas dans une foire aux libertins sans avoir une idée en tête Tu veux me faire croire que tes juste passionnée de sexe ?

— Heu non, mais

Mylena hésita quelques secondes, et tout à coup, se mit à rire :

— Je me défends de quoi déjà ?

Désir se tourna vers Caprice et elles éclatèrent toutes les deux de rire. Désir allongea le bras vers la table basse et y déposa son verre. Elle descendit du canapé, se leva nonchalamment en regardant Mylena, puis alla sasseoir à ses côtés, lui prenant son verre pour le déposer près du sien. Mylena se souvint brusquement de ce quelle avait oublié et blêmit. Désir était tournée vers elle et la regardait maintenant avec ses yeux bleu marine. Elle était envoûtante. Mylena nosa pas réagir lorsque la jeune fille sapprocha delle en lui tenant la nuque du plat de la main, puis leurs lèvres se rencontrèrent. Mylena sentit tout de suite une forte chaleur monter en elle, et elle ouvrit la bouche en grand pour inviter la langue percée de Désir contre la sienne. Celle-ci obéit et elles commencèrent de se caresser avec douceur. En même temps, elles se caressaient réciproquement, déjà très attirées. Elles échangèrent un baiser de plusieurs secondes, et finalement, Désir recula avec un petit sourire. Mylena nosait agir, violemment touchée, et elle finit pas lâcher un profond soupir. Elle se sentait comme après une douche très chaude, lhumidité en moins quoique lhumidité commença à venir lorsque Désir se mit à lui caresser le ventre, effleurant le bas de sa poitrine au bout de ses mouvements.

— Désir Appela-t-elle faiblement.

La jeune fille tourna la tête pour observer Caprice, qui se leva pour sapprocher à son tour. Elle ne toucha pas Mylena, ni ne lapprocha ; elle posa les mains sur les épaules de Désir et lui caressa délicatement la nuque, cherchant la broque qui retenait son ample écharpe nouée autour de son corps. Lorsquelle trouva le petit objet métallique, elle défit le lien qui libéra très vite le corps de Désir. Mylena eut un mouvement de recul, elle avait aussi très envie davoir une vue densemble sur le corps de la jeune femme. Désir avait un ventre très musclé, aux abdominaux saillants. Au rythme de sa respiration, la zone de son nombril se bombait et se retirait doucement. Elle avait une broche dans le petit orifice, cétait une petite broche dont une des extrémités portait un anneau couleur argent. Mylena soupira encore une fois à la vue de sa peau magnifique, puis regarda ses seins. Imprudente, Désir navait même pas pris la peine de porter de soutien-gorge sous son écharpe, et elle avait maintenant les seins nus. Ils étaient suspendus sous sa gorge, lourds et compacts, bien formés comme des pommes quon a envie de croquer.

— Ils sont beaux Lâcha doucement Mylena, hypnotisée.

— Elle commence dêtre excitée ! Remarqua Caprice.

Mylena leva des yeux fragiles vers son regard puissant, et elle perdit toute consistance à la vue des iris grisés de Caprice. La jeune femme sourit et lui caressa la joue, murmurant :

— Tu veux bien nous montrer tes seins à toi, Mylena ?

— Mmmh oui Caprice, tout ce que tu veux !

Elle commença tout de suite de se déshabiller, les yeux plongés dans ceux de sa maîtresse. Caprice trouvait sa position très plaisante, elle se rendait bien compte du pouvoir séducteur que ses yeux avaient sur la jeune fille, et comptait bien sen servir pour obtenir ce dont elle avait envie.

Mylena enleva son T-shirt et déboucla la ceinture qui tenait sa jupe. Celle-ci souvrit et elle lenleva comme on enlève une ceinture. Il ne lui resta plus que ses longues cuissardes noires et son string de même couleur. Attirée, Caprice se mit à grogner et elle sapprocha. Ses doigts vinrent caresser les hanches de la jeune fille, tout en douceur, et Désir tendit elle-aussi les mains pour la caresser, effleurant plutôt ses côtes en direction de sa poitrine. Elle sassit différemment sur le canapé, se mettant derrière Mylena, et lui prit les seins pour les malaxer doucement. Peu à peu, Caprice sétait baissée, et elle embrassait maintenant le ventre de Mylena, la faisant frémir sous la caresse des piercings quelle avait dans la langue et la lèvre. Elle la fit gémir en très peu de temps, dautant plus que Désir continuait de lui masser la poitrine, et tout à coup, elles se calmèrent à lunisson, abandonnant presque Mylena alors que lextase sapprochait. Elle rata pitoyablement le coche, et sa frustration laissa place à une libido revancharde qui la change profondément. Elle se leva un petit peu et retira sa culotte, exposant son sexe épilé à ses deux conquêtes du soir. Elle avait envie de jouir, et alla même jusquà le demander :

— Allez Caprice ! lèche-moi, sil te plaît !

La jeune femme dirigea son regard gris-bleu sur elle et se raidit. Elle hésita, puis répliqua violemment :

— Tu me donnes un ordre à moi ? Tu rêves, petite !

Désir attrapa les tétons de Mylena entre deux doigts pour les lui pincer. Mylena frémit et sexcusa :

— Désolée Caprice, prends ton temps !

— Ah mais tu crois quoi ? Tu vas me lécher le minou toi !

— Je pourrai aussi ? Demanda Désir.

— Oui ma petite tu pourras Mon petit Désir !

Désir lui fit un large sourire et se pencha pour lembrasser, tandis que Mylena leur échappait pour obéir aux ordres de Caprice. Celle-ci termina dembrasser sa partenaire et sallongea sur le canapé, en biais pour tendre une jambe vers le sol et laisser lautre en longueur sur les coussins. Mylena sapprocha et poussa le bas de la robe de Caprice. Celle-ci tira le vêtement tout en haut et le retira, lui montrant son corps presque nu. Il lui restait ses bottes et le double ruban qui serpentait sur sa cuisse, finissant par sattacher autour de sa taille après avoir été passé entre ses lèvres intimes et ses fesses. En levant les yeux, Mylena se mit à balbutier quelque chose de confus, avant de sélever un petit peu pour mieux voir. Impressionnée, elle conclut par un simple :

— Waouh !

Elle se mit à soupirer, très excitée. Caprice baissa les yeux et passa les mains sur ses mamelles avantageuses. Dans ses tétons, il y avait deux barrettes qui se croisaient, laissant voir quatre boules de métal réparties en croix autour de ses mamelons. Les deux petites croix avaient complètement pétrifié Mylena, et elle attendit un commentaire de Désir pour se reprendre :

— Elle a pas gobé tes piercings, je crois Lâcha celle-ci.

Mylena secoua la tête et sexclama :

— Cest magnifique, Caprice !

Mylena ne résista pas à lenvie den approcher sa bouche, et elle embrassa les mamelons tout durs de sa partenaire. Celle-ci était aux anges, très détendue, mais elle finit par simpatienter :

— Tu dois me lécher la chatte, Mylena !

— Oui cest vrai pardon !

Elle redescendit donc, sous le regard amusé de Désir, qui se caressait elle-même le sexe en passant la main sous son pantalon moulant en latex. Mylena arriva à la vulve totalement glabre de Caprice et elle écarta délicatement le ruban satiné qui lui barrait la route. Au-dessous, elle découvrit les petits replis tout humides de la jeune femme, et le piercing auquel Désir avait fait allusion : Caprice portait un anneau directement passé dans son clitoris. Elle y déposa la bouche et commença par un simple baiser, et Caprice soupira lentement, appréciant le contact des lèvres douces de Mylena. Elle lui caressa la tête en lencourageant :

— Cest bon ce que tu me fais Suce mon clitoris, jaime quand on me fait ça !

Mylena suivit les instructions à la lettre et Caprice ne sut réprimer un soupir de plaisir. Très excitée, elle écarta les jambes en grand et se laissa faire. À côté, Désir se masturbait à toute vitesse, très excitée, et elle se pencha pour lécher les seins de son amie, tout en lui lançant de petits regards pleins denvie. Mylena continuait de sactiver en bas, et Caprice se mit très bientôt à soupirer plus vite, accélérant au cours du temps. Elle se raidit peu à peu, mais ne demanda rien. Elle se laissa succomber aux caresses de ses deux partenaires et celles-ci ralentirent lorsquelle se mit à crier. Elle retomba une demie minute après, haletante, et Mylena sallongea près delle, réclamant un baiser. Elle accepta de le lui donner, tandis que Désir sapprochait elle-aussi dans la même quête. Elles sembrassèrent un peu plus fougueusement, mais Mylena ne se sentait pas en reste, elle était très satisfaite. Caprice lui demanda de lui offrir son sexe et elle le déposa sur sa bouche. La jeune femme commença de le lécher. En sentant sa langue douce et chaude passer sur ses peaux délicates, Mylena se mit très vite à gémir, puis à crier. Caprice la travailla quelques secondes, mais laissa très vite le relais à Désir, qui se coucha en arrière pour glisser la tête entre elle et Mylena. Elle commença donc à lécher le clitoris de Mylena, et celle-ci bondit en sentant ses quatre piercings glisser contre sa chair sensible. En moins dune minute, un orgasme fulgurant la balaya et elle faillit perdre conscience. En même temps, Désir sétait sans cesse caressé la vulve, et elle se fit jouir à son tour pour mettre fin au début de soirée Une fois reposée de ce premier coup de tonnerre, elles reprirent leurs martinis et se remirent à discuter, échangeant dabord des compliments et se laissant ensuite aller à ce qui leur venait en tête

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