Ils entouraient la blonde et la palpaient tout en discutant dans leur langue. Très vite, elle s’est retrouvée avec des menottes en acier à ses poignets réunis dans le dos et un gros bâillon boule dans la bouche. Une main s’est insinuée entre ses cuisses, des claques l’obligeant à les écarter largement et à s’offrir. Elle ne portait pas les tunnels car elle n’avait pas réussi à les replacer en arrivant à l’hôtel.
Un homme sortit une corde de chanvre de sa poche et entreprit de la faire passer par les trous libres ; il fit un nud et tira fort pour tester la solidité du lien. Elle grogna sous la douleur, mais il n’en avait cure ; se servant de la corde comme d’une laisse, il la traîna derrière lui à travers la pièce. Elle eut juste le temps d’apercevoir Kath toute nue et les yeux pleins de larmes avant de quitter le salon.
L’homme prit l’escalier et descendit au sous-sol, tirant des coups violents sur la laisse. Mélanie suivait le mouvement, le bassin projeté en avant. Les comparses suivaient en discutant et en riant, lui portant régulièrement des claques sur les fesses. Elle suivit son guide dans une grande pièce aussi bien éclairée que la précédente, mais à vocation clairement SM, une sorte de donjon équipé d’appareils de contrainte et d’un assortiment de fouets, cravaches et autres martinets.
La jeune fille commença vraiment à flipper. Deux des hommes prirent de petites caméras HD et lui tournèrent autour, filmant en gros plan son anatomie offerte. Deux autres allèrent chercher des cravaches en cuir noir qu’ils firent siffler en revenant vers elle. L’un deux parla dans un français épouvantable :
Tu vas souffrir, salope !
Et il frappa sa poitrine sans prévenir.
« Ouch ! Putain, que ça fait mal ! » pensa Mél en grimaçant. Il n’avait pas retenu son coup et la peau fragile avait cédé, un filet de sang coulant sur son sein gauche. Heureusement, un comparse protesta et retint le coup suivant. Bon, ils ne voulaient pas la massacrer ; en tout cas pas tout de suite… Le type lui fit d’ailleurs boire un verre de liquide pétillant qui calma un peu sa soif et son appréhension.
Suspendue par les poignets à un palan, les chevilles largement écartées par une barre métallique, la jeune femme subit quand même une sévère rossée à la cravache par trois hommes, les deux autres filmant la scène. Ils frappaient fort, mais rien à voir avec le premier coup reçu. Malgré tout, ce n’était pas tendre, et après dix minutes de ce sévère traitement elle se mit à sangloter.
Quand ils arrêtèrent de frapper, elle saignait de nombreuses coupures fines : seins, ventre, cuisses, fesses et dos. Rien de grave, mais excessivement douloureux, surtout quand ils l’aspergèrent avec un vaporisateur contenant sûrement du vinaigre blanc. Elle hurla sous son bâillon alors qu’ils ricanaient et agitaient leurs cravaches. Ils reculèrent et sortirent des bières d’un petit frigo, trinquant pendant que Mélanie tentait de reprendre son calme malgré la souffrance.
Ils avaient commencé à se déshabiller et arboraient fièrement leurs virilités dressées, prêtes à embrocher la Française.
Inconsciemment, la jolie blonde passa sa langue sur sa lèvre inférieure en imaginant ses orifices fouaillés et défoncés par ces épieux virils. Elle regrettait ce contexte si glauque, sinon nul doute qu’elle aurait apprécié la situation. Ses tétons percés dardaient d’ailleurs outrageusement alors que son ventre s’alourdissait et s’humectait de désir. Mélanie comprit un peu tard que la boisson ingurgitée contenait certainement un puissant aphrodisiaque.
Son corps la trahissait encore, prêt à se soumettre à ces mâles vicieux. Elle soupira, résignée. Elle n’y pouvait rien si Freddy l’avait précipitée dans ce piège sordide. Deux hommes s’approchèrent et la libérèrent pour menotter à nouveau ses poignets dans son dos, puis ils ôtèrent le bâillon avant de montrer à la jeune femme une cagoule de cuir à lacet. Elle ne résista pas quand ils la placèrent sur sa tête, la laçant serrée sur sa nuque. Mél frissonna ; nue et sans défense, elle ne voyait ni n’entendait plus rien ; par contre, sa bouche était libre. Elle comprit que ses orifices allaient être mis à rude épreuve.
Pendant ce temps, Kathleen était entreprise par Nick, le directeur de l’agence. En vérité, déboussolée par le traquenard dans lequel elle et son amie s’étaient jetées tête baissée, elle se laissait caresser sans réagir.
Alors, Kath, tu es une cochonne… Tu aimes te faire enculer : je vois que tu portes un gros plug. Crois-moi, ici tu es bien tombée : tu vas recevoir des mètres de bites dans le cul. Tu as un nom de scène ?
Non, je n’y ai pas pensé.
Tu es rousse ; ça pourrait être Scarlett Johnson, ou Babe Red.
Va pour Babe Red. De toute manière…
Vu tes tatouages, tu ne tourneras qu’avec des Blacks. Plus moi, bien sûr, pour ton premier film.
Nick se déshabilla rapidement, exhibant une matraque de chair de belle facture. Il était entièrement épilé, ce qui rassura inexplicablement Kath. Elle s’ouvrit quand il s’approcha et n’eut qu’un frémissement discret quand il plongea deux doigts dans son vagin presque sec.
Tu ne mouilles pas ? Ce n’est pas grave. L’important, c’est que ton anus soit propre et bien lubrifié. C’est lui qui sera le plus sollicité, bien sûr. Tu aimes te faire enculer ?
Eh bien… pas trop, mais je suis prête.
Ton premier tournage est dans une heure. Erika, ma maquilleuse, arrive dans dix minutes. Nous tournerons ici, avec deux cameramen. À la fin, il est d’usage que tu fasses une fleur aux trois, s’ils le souhaitent. Tu comprends ? Je vais te faire signer le contrat type.
Désorientée, la jeune femme nue signa sans les lire les documents pré-remplis que lui présentait Nick, tout en essayant de ne pas se focaliser sur la verge congestionnée de ce dernier.
Tu es belle, petite Babe. Ma bite est raide sans que j’aie pris une pilule. Je vais bien te démonter, tu vas voir…
Puis Kath fut prise en charge par la maquilleuse, une très jolie femme dans la trentaine aux cheveux noirs de jais. Erika ne parlait pas français mais assez bien anglais, ce qui tranquillisa la rouquine. Gênée par sa nudité, elle se détendit peu à peu en discutant avec la femme. Tchèque, elle avait un peu travaillé dans le porno, tournant quelques films avant de passer de l’autre côté de la caméra. Décoratrice, habilleuse, maquilleuse, elle gagnait bien sa vie par rapport aux standards du pays.
Erika voyait bien que Kath était de plus en plus stressée à l’approche de son premier tournage ; elle la calma de son mieux, lui proposant des poppers sans succès, puis un verre de slivovice, l’alcool de prune national. La jeune femme en but une gorgée, toussa, mais finit son verre sans rechigner.
Maintenant, va aux toilettes et enlève ton plug. Ensuite je vais te graisser le cul avec un lubrifiant spécial et je t’aiderai à passer ta tenue de scène.
En fait de tenue, Kath ne portait qu’un soutien-gorge de dentelle blanc, un slip échancré assorti et des bas autofixants blancs aussi. Juchée sur des escarpins noirs aux talons démesurés, les cheveux en chignon sur la nuque, elle rejoignit Nick qui l’attendait en discutant avec deux hommes bedonnants. Les cameramen, comprit-elle. Ils se tournèrent vers elle et la reluquèrent sans vergogne des pieds à la tête.
Bien, on va pouvoir commencer. Arrête-toi. Tu marches lentement vers moi quand je te fais signe. Moteur, les gars.
Les caméras commencèrent à filmer Kath qui avançait à petits pas, les mains le long du corps. Sur un signe de Nick elle s’agenouilla devant lui et commença à sucer sa verge. Il ne bandait presque plus, mais la rousse n’eut pas à pomper longtemps pour obtenir un résultat appréciable. Il retrouva rapidement une érection conséquente qui distendait la bouche de la jeune femme. Une caméra s’approcha et filma en gros plan la bouche déformée de la rouquine qui essaya de l’oublier, les yeux levés vers ceux de Nick. Celui-ci saisit la nuque gracile et obligea la jeune femme à l’accepter dans sa gorge. Habituée à sucer Don, elle déglutit docilement et laissa la longue colonne de chair la pénétrer jusqu’à toucher du nez le ventre de l’homme. Il rit et la complimenta de sa performance, la laissant respirer quelques secondes avant de revenir au plus profond.
Kath s’appliquait, se prenant au jeu de conduire à la jouissance ce mâle imbu de sa personne et trop sûr de lui. Elle caressa les testicules lisses puis, sur une impulsion, délaissa la bite raide pour les gober et les faire rouler sur sa langue. D’abord une couille, puis les deux, arrachant un gémissement à Nick. Pour se venger, il devint plus directif :
Les mains dans le dos, vite ; je veux plus les voir. Je vais bien m’amuser avec toi, je pense. Laisse mes couilles, reste la bouche bien ouverte…
Intriguée, Kath obéit ; il se racla la bouche pour envoyer adroitement un jet de salive épaisse dans l’orifice offert. La tête maintenue en arrière, la rouquine ne put que subir et dut déglutir malgré son envie de recracher. Déjà il enfonçait sa queue luisante, forant au maximum sans aucune difficulté. Il pilonna sans douceur la gorge de la jeune femme, un cameraman filmant en gros plan le cou déformé et les larmes coulant sur les joues tavelées, emportant le maquillage appliqué auparavant. Après de longues minutes de ce traitement éprouvant, Nick se recula et désigna un canapé blanc.
Va là-dessus, à genoux et bien cambrée. Je vais enfin essayer ton cul, salope.
Euh… oui, bredouilla Kath, un peu essoufflée.
Elle prit la position demandée, tête baissée, consciente des caméras qui enregistraient des plans serrés de son intimité offerte, de sa vulve lisse et rose, de son anus palpitant à peine refermé.
La première claque la prit par surprise ; elle cria, mais sans bouger. Pas question qu’elle montre son émoi, mais la dizaine de claques qu’elle reçut enflamma son postérieur et humecta son ventre de cyprine. Sans attendre, Nick se positionna entre ses cuisses disjointes et présenta son gland à l’entrée de l’anus qu’il pourfendit d’une poussée. Surpris, il vit les épaules de la rouquine trembler et crut qu’elle pleurait. Il s’attendait à des plaintes, voire à une fuite en avant ; pourtant elle ne chercha pas à s’échapper : au contraire, ses fesses bien rondes vinrent à la rencontre de son dard pour le recevoir jusqu’à la garde.
Attentif aux deux hommes qui filmaient la sodomie au plus près, il saisit la taille fine et imposa les derniers centimètres de son gourdin dans les reins de sa nouvelle actrice. Il la pilonna alors à grands coups de boutoir, satisfait d’entendre des gémissements non feints. Sentant monter la jouissance dans ses couilles, il se retira et s’assit. D’elle-même, Kath l’enjamba, dos à lui, et guida sa verge raide sur sa rosette béante pour s’empaler à fond.
Mélanie, quant à elle, subissait les assauts virils des cinq hommes qui l’avaient ravie. Privée de la vue, elle léchait et pompait les verges bien raides qu’on présentait devant sa bouche. Deux fois déjà elle avait avalé de bonnes doses de semence alors que son anus était investi en permanence. Aucun des mâles présents n’était tendre avec elle ; ils fouaillaient son anus à grands coups de reins sans aucune tendresse, cherchant leur plaisir sans se soucier d’elle. Plusieurs s’étaient vidés sur son dos, et les mains de la jolie blonde étaient poisseuses de foutre. Menottée qu’elle était, elle ne pouvait que subir, parvenant parfois aux portes de l’orgasme sans jamais l’atteindre.
Bizarrement, son vagin trempé ne recevait jamais d’hommage, alors que la corde qui le fermait sommairement avait été ôtée depuis longtemps.
Deux hommes jouirent simultanément, un sur ses fesses et l’autre sur sa langue. Ils s’écartèrent tous et Mélanie put souffler un instant, prostrée sur une sorte de matelas pas très épais dont le revêtement synthétique lui paraissait étrange mais ménageait ses genoux. Il lui sembla un instant qu’elle était seule, abandonnée sans défense dans cette pièce, puis le matelas se déforma devant elle. Quelqu’un était là. « Ils reviennent pour profiter encore de moi… » songea-t-elle. Tout plutôt que d’être oubliée et laissée à son triste sort.
Mélanie tenta de se redresser mais une main saisit l’arrière de sa cagoule et la maintint ; aussitôt une masse de chair se présenta devant sa bouche. Obéissante, elle écarta ses lèvres et essaya de gober le gland ; c’en était un de bien plus grande taille que ceux des cinq hommes précédents : celui-ci était du genre énorme.
