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J'ai enculé la soeur de ma femme – Chapitre 1




Le jour où j’ai enculé la sur de ma femme

Bonjour, je mappelle Pedro et ce que je vais vous raconter sest déroulé au début de lannée 2012. Je suis marié depuis six ans. Ma femme est originaire de Santa Caterina au Brésil. Nous navons pas denfant et quand nous nous sommes mariés elle est venue habiter avec moi à Comburiu. Je suis ingénieur et je travaille dans une entreprise de construction, et ma femme est psychologue à la DRH d’une importante administration.

Au cours de l’année 2011, sa jeune sur de 18 ans est venue passée quelques jours chez nous. Elle s’appelle Linda mais elle pourrait s’appeler Amour, car elle est très belle, elle est assez dévergondée, adore faire l’amour, et possède une jolie paire de seins pointus et un beau cul qui rendent les hommes fous.

Elle aiment les concerts de musique pop, la musique sud américaine et les promenades en ville, aussi ma femme la emmenée pour visiter Santa Caterina qui est une ville très belle aussi belle que sur.

Lundi 9 janvier ma femme et ma nièce ont voulu aller à la plage, Linda avait enfilé un petit bikini, à cette occasion , mais ma femme trouvait qu’elle ne pouvait pas porter un bikini comme celui de sa sur, alors elle est allée dans notre chambre pour en choisir un dans l’armoire. Moi j’étais dans la salle de bain occupé à me raser. J’entendis un bruit de pas et je pensais que c’était ma femme, je terminais de me raser, puis je sortis de la salle de bain ne portant qu’un slip , et à ma grande de surprise, je me suis trouvé face à ma ma nièce qui s’apprêtait à faire sa toilette. Qu’elle était excitante la petite Linda avec ses seins bien remplies et son petit cul bien rebondi et j’imaginais qu’elle devait avoir un trou du cul très serré, pas aussi serré bien sur que le trou du cul de la fille de mon collègue qui à l’ âge de 18 ans avait été enculée par son oncle de 91 ans dans un champ de blé au cours de vacances passées à la campagne. Linda se rendit compte de ma présence et poussa un cri et mit sa main sur sa bouche. Je m’excusais et je retournais dans la salle de bain avec ma bite dressée qui grossissait de plus en plus grâce à la petite fée admirable qui m’avait fait lever la queue. Comme mes vêtements étaient encore dans la salle de bain, j’étais toujours à moitié nu, quand j’entendis Linda m’appeler.

«Pedro»

«Oui« 

«Tu peux venir un instant?»

«Mais je n’ai pas mis ma culotte»

«Ne t’inquiète pas, je ne regarderai pas, tu peux venir me donner un coup de main?»   

En une seconde elle était à côté de moi. Je commençais à retirer le haut de son bikini et ma bite était dure et grosse, je ne savais comment faire pour cacher cette masse protubérante dans mon slip.

Alors je m’excusais de nouveau et elle dit qu’elle croyait que c’était Aline, ma femme, et elle ajouta: « Mais ne lui dites pas que tu m’as vue dans cette tenue»

«Non bien sur».

«Très bien, ne te prends pas la tête car je n’ai rien vu»

Lorsqu’elle eut terminé de parler, elle recula et poussa son cul de façon à ce qu’il fut au niveau de ma bite pour qu’il soit dans sa raie du cul, se retourna et regarda fixement mon entrejambe pour admirer le volume qu’occupait ma pine dans mon slip. Elle me dit avec un regard sensuel :  « Merci cher oncle  ». Elle sortit en souriant. J’entrais dans la salle de bain et je me branlais. Je terminais de m’habiller et j’allais à la plage à deux heures. Toute la journée, je fantasmais repensant à Linda, je m’imaginais sucer ses pointes de seins, lécher son con merveilleux prêt à recevoir toutes les bites du monde. Depuis ce jour, Lina commença à me considérer différemment. Cette semaine vers midi, le téléphone sonna, c’était Alina qui me demandait de faire les courses pour le déjeuner. Rentré à la maison j’ai dit à Linda que sa sur ne sera pas de retour avant 15 heures, que j’avais fait les courses et je lui demandais ce qu’elle voulait pour le déjeuner, ou si elle préférait aller au restaurant. Elle répondit qu’elle ne voulait rien car elle était au régime. Elle se leva et posa ses doigts sur son ventre  et me dit:

«Regarde comme je suis grosse ». Je regardais son ventre et je remarquais un tatouage au delà du nombril caché par sa petite culotte, en fait non loin de sa chatte.

«Tu penses que tu es grosse, mais pas du tout. Ton prénom Linda signifie « belle » en portugais et en fait tu l’es belle.

«Et que penses tu de moi ? » J’essayais de me contrôler , elle était ma nièce et j’aimais ma femme. Je préférais ne pas en dire plus, mais elle insista. Comme tu veux rien me dire, je pense que tu n’as pas aimé ce que tu as vu l’autre jour. Mais comme je te l’avais dit je n’ai rien vu maintenant j’ai vu que tu as un tatouage près de ta chatte !

« Tu n’as pas bien vu mon tatouage, je vais te le montrer»

Elle baissa sa culotte,  « mon Dieu tu vas me rendre folle , le tatouage représentait deux papillons et une bouquet de fleurs et elle portait une culotte de nymphette. Tu sais je suis un homme en chair et en os. Elle me répondit : « De chair, d’os et de nerfs, quand je t’ai aperçu dans la salle de bain et que tu disais que tu n’avais rien vu, j’ai senti que tu étais nerveux, tu t’es mis près de moi et tu as posé ta main sur ma nuque pour me donner un baiser» . Puis elle posa sa main sur l’un de ses lolos et le caressa. Je commençais alors à masser son corps délicieux, elle enleva son soutien gorge et moffrit ses deux nichons amoureux et chauds. Je commençais à les lécher et je dirigeais ma main vers sa mignonne chatte.Elle était toute mouillée est prête à être pénétrée. Elle commença aussi à enlever ma chemise. 

Je desserrais ma ceinture et sortit ma bite et je me branlais, puis je mis ma verge dans sa bouche et comme elle suçait bien, je ne tardais pas à décharger mon foutre brûlant et elle avala tout, ça gargouillait au fond de sa gorge et nous étions tous les deux au septième ciel. Elle m’avait sucé pendant 10 minutes, il est vrai qu’une bonne fellation doit durer au moins de 10 à 15 minutes. Je baissais sa petite culotte, je mis ma grosse pine entre ses jambes, je caressais son con avec cette bite qu’elle allait adorer, sa chatte était bien mouillée et allait glisser à merveille, elle gémissait et se tordait tant elle était excitée et murmurait à mon oreille  :

«Jouis mon oncle, jouis, décharge ton foutre dans ma chatte, je veux sentir une agréable chaleur dans mon ventre, retire la maintenant et avant de me pénétrer, lèche mon minou, je vais m’étendre sur le dos dans le lit, ma chatte t’appartient comme ta bite m’appartient, je suis à toi maintenant» et elle continuait à gémir de plaisir.

«Viens, je voudrais que tu me baises »

J’introduisais ma bite dans la petite entrée de sa chatte.

Vas très lentement car c’est la deuxième fois que ta bite pénètre dans mon trou d’amour», mais comme elle était bien excitée, ce fut facile et ma verge glissa gentiment dans son vagin et je sentais qu’elle aspirait ma pine c’était bon, vraiment bon. Lorsque ma bite fut entrée complètement, elle commença à jouir et je sentais sa chatte palpiter, je n’arrêtais pa le mon mouvement de vas et viens et elle me dit que j’étais un oncle qui savait bien faire l’amour et alors je lui demandais de se mettre à quatre pattes, cette position bestiale m’excitait beaucoup et je pouvais voir son beau petit cul, je rentrais de nouveau en elle mais cette fois c’était dans le petit trou de son cul, elle semblait bien aimé se faire enculer, je déculais et je rentrais un doigt, puis deux doigts dans son anus car je voulais le dilater son trou du cul pour l’enculer à fond, très profondément je désirais qu’elle sente mes couilles battre sur ses fesses. Je glissais mes deux doigts délicatement dans son trou du cul, puis j’augmentais le rythme, ce qui la fit gémir de bonheur.

Elle me demanda si j’enculais souvent sa sur Alina .

Oui, tous les soirs avant de nous endormir et souvent le matin aussi, je l’encule toujours ta sur à sec, sans limer son trou du cul au préalable avec mon doigt, parfois je donne un long baiser sur son trou du cul qui est toujours très chaud. Oui, ta sur adore se faire enculer.

Je sortais lentement ma bite de son con et je lubrifiais son trou du cul avec son liquide vaginale, je passais un doigt dans son trou du cul pour vérifier que ma bite pourrait s’enfoncer sans trop de difficulté. Je forçais alors sa porte de derrière dont l’entrée était encore un peu serré mais en donnant des coups secs avec ma bite j’arrivais à cheminer dans le trou de son cul, c’est je crois le chemin où ma bite préférait se promener. Elle me demanda d’arrêter car elle avait mal.Je ne voulais pas saccager le trou du cul de Linda, bien sur. Je donnais de bons baisers sur sa nuque, sur la pointe des nichons et sur son ventre, et elle me dit  :

Essaye encore de rentrer très lentement dans mon trou du cul et dilate le, et cette fois ci je remarquais que la douleur s’estompait à mesure que ma bite se frayait un passage dans le couloir des amours interdits, et ma jolie petit fée commençait a prendre du plaisir, j’étais aux anges, vous l’imaginez, j’étais presque certain d’atteindre mon but qui était le fonds de son cul. Je lui demandais si je pouvais continuer à cheminer dans son trou du cul et elle répondit que maintenant je pouvais la défoncer sans crainte de lui faire mal et c’est ainsi que je lui donnais de puissants coups de bite et lui murmurais à l’oreille«  Je sens que je vais décharger », je continuais à rentrer et à sortir du trou du cul bien aimé mais je ne déchargeais pas dans son trou du cul, bien qu’il ne fusse pas possible de l’engrosser en jutant dans son trou du cul. Je choisis finalement de laisser couler mon foutre abondant dans sa bouche merveilleuse. Ma semence était si abondante et je ne voulais pas l’étouffer, je retirais ma bite de sa bouche et je terminais en envoyant par saccades deux salves de foutre, la première sur sa bouche, la deuxième sur ses lolos. Elle s’effondra sur le lit et elle continua à sucer ma bite, je désirais qu’elle me la fasse grossir, elle continua donc à sucer puis soudainement elle me dit  :

«Je voudrais que tu décharges dans mon trou du cul maintenant et elle ajouta: «Viens mon oncle adoré dans mon cul de nouveau »

J’enfonçais ma bite dans son trou du cul et je recommençais à la défoncer, mais cette fois violemment, elle hurlait de plaisir et je gâtais son cul en lui envoyant trois nouveaux jets de foutre épais qui coulèrent lentement dans son grotte d’amour.

Enculer ma femme et ma nièce, c’était devenu ma raison de vivre désormais.

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