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Mes débuts dans le commerce – Chapitre 1




Salut c’est votre folle de lycra

J’ai attaqué la vie active comme vendeur dans un magasin de vêtements pour hommes. Claude, mon patron, était un quinqua dans la force de l’âge, du haut de son mètre quatre vingt-dix, il savait se faire respecter mais était très cool avec son équipe. C’était un homme qui aimait les femmes, les collègues et moi avions de sérieux doutes sur sa fidélité auprès de sa femme. Sa société était à ce point florissante qu’il avait acheté la boutique d’à côté pour sa femme dont elle a fait un magasin de prêt-à-porter féminin. Cela leur permettait de se surveiller mais surtout de pouvoir ne pas se quitter de la journée. Les deux boutiques communiquaient, nous savions que régulièrement notre patron s’occupait de sa femme dans l’une ou l’autre réserve. Personnellement je trouvais sa femme fort désirable et j’aurais bien voulu être à la place de mon patron le midi ou le soir après le boulot à honorer son épouse Élodie dans la partie cachée du magasin. Bien que cette femme ait largement l’âge de ma mère je peux vous avouer qu’il m’est arrivé souvent de me faire un petit plaisir le soir, avant de m’endormir, en pensant à elle.

Régulièrement j’étais sollicité pour faire des heures supplémentaires pour effectuer un inventaire ou dans l’un ou dans l’autre magasin. Cela me troublait à chaque fois de faire l’inventaire du côté d’Élodie car tenir les vêtements féminins dans mes mains me de perturbait. J’étais encore jeune et innocent et n’avais vu un un minou qu’une fois, en vacances celui de ma cousine Sophie. Il y avait un inventaire tous les deux mois, ce qui permettait de présenter des chiffres exacts dans les stocks et surtout de pointer le vol. Un jour la patronne qui était de ma taille, mais un peu plus carrée a constaté ma gêne avec ses vêtements, elle m’a demandé ce qui m’indisposait et je lui ai répondu que je n’avais pas l’habitude de toucher des vêtements de femmes encore moins des dessous intimes.

— Tu n’as jamais vu une femme toute nue.

— Tu n’as jamais vu une femme se dévêtir devant toi.

— Ne me dis pas que tu n’as jamais touché une femme.

Je vous laisse imaginer combien ces questions me mettaient mal à l’aise.

En joignant le geste à la parole elle a pris mes mains pour venir les poser sur sa poitrine, c’était la première fois de ma vie que je faisais ça et je peux vous garantir que cela me troublait énormément, si vous voyez ce que je veux dire. Heureusement il n’y avait personne autour de nous, l’heure du déjeuner venait de passer, les collègues étaient partis manger un petit quelque chose et les clients étaient repartis bosser ; mais surtout mon patron s’était absenté pour la journée. En quelques secondes j’avais une érection et Élodie devinait parfaitement sa présence.

— Je vois que tu es hyper sensible et surtout que je ne te laisse pas indifférent.

Elle avait parfaitement compris ce qui se passait à l’intérieur de moi, là où j’ai complètement perdu la face, c’est quand elle est venue constater de ses propres mains, l’état de forme de mon sexe. J’étais complètement tétanisé parce qu’elle était en train de faire, elle est partie fermer les deux portes à clé ainsi nous étions que tous les deux dans la réserve. Là elle a sorti mon sexe pour le regarder, l’observer, l’ausculter.

Ne t’inquiète pas Franck, ce n’est pas le premier sexe en érection que je vois et je te garantis que ce n’est pas le dernier.

À l’écouter, j’avais vraiment l’impression qu’elle aimait le sexe, c’est alors qu’elle m’a expliqué que son mari et elle allaient de temps à autre dans des clubs libertins.

— Enlève-moi ma jupe et mon chemisier, nous n’avons pas beaucoup de temps.

J’ai fait celui qui n’avait pas compris sa demande et c’est alors que moi je me suis pris une claque.

— Tu as compris je t’ai dit de m’enlever ma jupe, mon chemisier et dépêche-toi.

C’est ainsi que j’ai commencé à la défaire de sa magnifique jupe en viscose ainsi que de son chemisier satiné. Maintenant apparaissaient à mes yeux une superbe guêpière ainsi que des bas tenus par cette dernière. À ma grande surprise je pouvais constater qu’elle ne portait pas de culotte.

— Tu vas va te mettre à genoux et me manger ma friandise.

C’était la première fois de ma vie que je voyais un minou de si près, vu que j’étais un peu long à réagir elle m’a fait agenouiller et m’a littéralement plongé le visage entre ses jambes.

Je n’ai pas eu le temps de dire ouf, que déjà j’avais le nez en total contact avec son clito et qu’une bonne partie de mon visage était déjà tout mouillé de sa cyprine. J’étais en train de découvrir le goût et l’odeur d’un minou, j’avais l’impression d’être à un cours de sciences appliquées ou de leçon de choses. Élodie avec beaucoup d’assurance et maintenant j’étais accroché à ses cuisses, je commençais à sortir ma langue et découvrais que cette dernière faisait réagir Élodie. Je ne sais pas combien j’avais de temps mais je sais que ce dernier nous était compté, c’est pour cette raison que je me suis mis à poser ma langue sur son vagin. J’ai facilement mis huit ou dix minutes à la débarrasser de toute sa cyprine, à chacun de mes coups de langue je l’entendais soupirer. C’était une première pour moi et dans mon propre intérieur, je remerciai ma patronne pour m’avoir choisi pour lui faire du bien. Elle était directive et autoritaire, je constatais que c’est ce qu’il me fallait pour passer à l’acte.

Quelques minutes sont encore passées avant qu’elle me plaque complètement le visage et me l’appui sur son entrejambe. Je l’ai entendu pousser de petits cris, la patronne venait de prendre son pied sous les coups de langue de son jeune employé. Elle s’est rapidement rhabillée, avant de venir m’embrasser avec gourmandise ; en même temps mon visage avez le goût de son minou.

— Alors comment est-ce que tu as trouvé.

— Pour une première tu t’en sors très bien, il va falloir que l’on remette ça plus souvent.

— Je vais passer le mot à mes collaboratrices car il faut se charger de ton éducation.

Au fond de moi je n’avais pas trop envie qu’elle le chante sur les toits et surtout que cela arrive aux oreilles de mon patron. Elle est partie chercher un magnifique tanga en lycra, elle s’est littéralement nettoyé le vagin avec, elle m’a débarrassé de mon pantalon et de mon boxer sans que je ne sache quoi dire puis elle m’a donné à enfiler le tanga poisseux et odorant.

Je vais vous avouer que sur le coup j’ai pensé à refuser, mais j’avais peur de me prendre de nouveau une claque.

— Avec ça sur toi, tu vas penser à moi toute la journée.

— Je ne serais pas étonnée que tu aies la Gaule tout l’après-midi.

Elle m’a envoyé me débarbouiller, histoire que je sois présentable auprès de nos clients. C’est ainsi que la deuxième partie de journée, comme elle me l’avais promis, je n’ai pas débandé. Je ne sais pas si c’est le contact de ce tanga tout doux ou l’odeur de femme provenant d’entre mes jambes, qui me troublait le plus. Toujours est-il que tout l’après-midi Élodie m’a regardé de loin avec un sourire coquin et surtout provocateur. Vu que ce jour-là j’étais arrivé à onze heures, j’avais un ticket pour fermer la boutique bien évidemment Élodie fermait de son côté. Vu que je n’avais pas eu grand monde dans la fin de journée, j’avais eu le temps de préparer ma caisse à savoir compter les chèques vérifier les cartes bleues et compter l’espèce. Heureusement que dans les magasins de vêtements nous n’avions pas des petite pièce il n’y avait rien en dessous de cinquante centimes, du coup on gagnait beaucoup de temps le soir.

Alors que j’avais baissé mon rideau métallique et que j’étais sur le point de sortir, côté extérieur, Élodie m’a retrouvé dans la réserve et m’a littéralement sauté dessus. En quelques secondes mon érection qui était déjà présente, est devenue vraiment très dure sous ses caresses d’une précision impressionnante. En quelque minute, elle m’avait fait asseoir sur des cartons de livraison de vêtements, elle m’avait débarrassé de mon pantalon et était en train de me malaxer mon sexe à travers mon tanga, ou plutôt le sien. Cela me faisait beaucoup de premières pour une même journée car c’était la première fois qu’une femme me caressait mon trois pièces cuisine.

— J’ai l’impression que tu es puceau et que tu n’as jamais touché une femme.

— Ce soir je vais te faire découvrir un premier plaisir, ce n’est qu’un avant-goût.

Quelques instants après ces commentaires, elle prenait mon sexe en bouche c’était une une sensation que je découvrais, j’avais maintenant la pétoche de me faire surprendre par le patron car je savais qu’il lui arrivait le soir de revenir travailler.

J’étais tellement excité, Élodie s’était tellement bien occupée de moi que je n’ai pas été bien long à éjaculer dans sa bouche et à ma grande surprise elle a tout avalé, elle a continué à me sucer après m’avoir complètement vidé.

— Tu vas voir ce que je viens de te faire va créer des liens entre nous

Jusqu’à maintenant, les sensations de plaisir que je ressentais, c’était pendant que je tirais sur l’élastique et que j’éjaculais sur mon ventre ou dans une petite culotte de ma maman. Là Élodie continuait à me sucer, cela devenait insoutenable mais en même temps monstrueusement bon, j’étais à deux doigts de tomber dans les pommes. Ce soir là je venais de découvrir une nouvelle étape dans le plaisir, sans doute est-ce ça que l’on appelle le septième ciel. Elle a fini par arrêter sa succion pour venir m’embrasser, c’était la première fois que j’embrassais une fille avec le goût de mon sperme dans sa bouche ; cela avait l’air de bien l’exciter.

— J’en ai parlé à mes collaboratrices cet après-midi et elles ne seraient pas contre de se charger de ton éducation petit à petit.

J’étais grillé auprès de mes collègues pour les cinquante ans à venir, j’allais avoir la honte et devenir tout rouge à chaque fois que je les croiserais.

Élodie était un peu maternelle avec moi mais disons que c’était quand même un côté maternel incestueux. Elle est partie se rincer la bouche dans le petit sanitaire que nous avions, pour se refaire une petite beauté puis j’ai eu le droit à un magnifique baiser sur la bouche qui m’a mis de son rouge à lèvres sur les miennes. Nous nous sommes quittés, j’ai eu le droit à une main au cul qui m’a fait beaucoup d’effet, j’avais l’impression que ma sexualité lui appartenait désormais. Je suis rentré à la maison avec la tête dans les nuages, j’ai fait en sorte à ce que ma mère ne se rende compte de rien, même si je sentais un peu fort le minou. Geneviève, ma maman, m’avait attendu elle avait déjà mangé mais avait préparé la table pour que je puisse manger en rentrant. J’étais un peu gêné car je savais que au moment où je lui ferais la bise, elle allait sentir une odeur différente à mon odeur habituelle. Quand elle a voulu savoir comment s’était passée la journée, je lui ai répondu que ce fut une merveilleuse journée, sans évidemment entrer dans les détails. Argumentant que ta journée avait quand même été épuisante, après le repas je suis parti dans ma chambre.

Avant de me coucher je suis quand même passer dans la salle de bain pour récupérer une petite culotte souillée de ma maman car j’en adorais l’odeur, plus une paire de bas. La paire de bas allait me servir pour me faire un petit plaisir, je glisse mon sexe dans l’un d’eux et ma main dans l’autre car le frottement des deux et d’une douceur indicible. Si je me paluche avec juste un bas par-dessus ma main, le bas me brûlait le sexe à force de monter et descendre. Ensuite je laissais sécher dans ma chambre et remettais tout ça au fond du bac à linge sur le côté pour que cela puisse respirer un petit peu. Donc ce soir-là sans surprise vous vous doutez bien je me suis fait du bien en pensant à Élodie et je me suis endormi le sexe dur dans la main et le bas tout mouillé et surtout gluant. Ce soir-là j’avais enfilé la culotte de ma maman plutôt que de la sentir, car j’avais la culotte d’Élodie à humer. Voilà bien longtemps que je fouillais dans le bac à linge pour récupérer des douces pièces de tissu de ma maman. Ou elle ne disait rien car ne s’en rendait pas compte, ou elle préférait se taire pour ne pas me mettre mal à l’aise, toujours est-il que c’était un sacré complément qui m’aidait le soir sous les draps.

Je ne sais pas ce qui m’a pris mais ce soir là, pendant que j’étais en train de me tirer sur l’élastique en plus d’Élodie j’imaginais parfaitement ma maman me faire une fellation. Vous comprendrez par ces mots que Geneviève ne me laissait pas indifférent elle était séparée de mon papa depuis bien longtemps. J’avais aussi une grande sur des dix ans de plus que moi qui sans doute serait aussi belle qu’Élodie à son âge. Heureusement que Coralie ne savait pas qu’il m’était arrivé de me palucher en pensant à elle. En fait j’ai toujours été attiré par les dessous féminins et même les tenues quand elles étaient très douces. Dans la nuit ainsi accoutré, je me suis réveillé pour me refaire à nouveau un plaisir, c’est vous dire combien j’étais excité après ce qui m’était arrivé la veille. Au réveil le matin je vous laisse imaginer combien j’avais la tête dans le potage, j’avais l’impression d’avoir baisé toute la nuit. Il ne s’agissait pas que je traîne au lit, car il arrivait à ma mère de venir me réveiller même si j’avais passé un peu l’âge de ça.

Je me suis levé pour aller prendre mon petit déj’ j’ai enfilé un pyjama par-dessus ma p’tite culotte, maintenant en plus de l’odeur de minou il y avait une odeur de sperme qui rôdait autour de moi. Il était impératif que je parte prendre ma douche avant d’aller bosser. Cela a été plus fort que moi quand je me suis habillé pour partir dossier je n’ai pas pu me retenir d’enfiler le tanga que m’avait donné Élodie. Ma mère avait de la chance, elle partait travailler à pied, alors que moi je partais un peu plus tôt et comme tous les matins quand je suis parti j’ai eu le droit à une petite claque sur les fesses de sa part. Il y a des fois où je me demandais si Geneviève ne me couvait pas trop, ne me protégeait pas trop, ne me mettait pas trop sous une cloche, pour m’éviter tous les malheurs du monde. Ce sentiment maternel était très beau, mais n’était-ce pas trop pour le jeune adulte que j’étais maintenant. Pour l’instant je n’ai eu que de chastes de relations avec mes petites copines, qui ne se sont rendu compte de rien.

Comme d’habitude je suis arrivé au boulot comme si de rien n’était, j’étais d’ouverture et j’ai croisé la collègue qui était d’ouverture dans la boutique de la femme de mon patron. Manifestement elle n’était pas au courant des confessions de sa patronne. J’ai préparé la caisse, j’ai fait un petit facing dans le magasin en m’assurant que tout soit bien présenté et que les étiquettes soient apparentes. Vu que j’avais fermé la veille et il n’y avait pas de consigne, j’ai eu le temps de me préparer tranquillement, l’avantage c’est qu’aujourd’hui j’allais partir plus tôt. Il était neuf heures, il fallait que j’ouvre boutique, le patron est arrivé vers onze heures, j’avais déjà fait quelques ventes. Claude m’a salué comme les autres jours, m’a demandé comment s’était passée la journée d’hier, je lui ai fait un rapport détaillé ; il était satisfait. Dans la réserve il y avait un bureau commun avec celui d’Élodie, il y avait deux ordinateurs un pour chaque boutique. Bizarrement ce matin-là il était plus tactile, avec moi je ne dirais pas paternelle mais un peu dans le genre ; il s’est permis de redresser ma cravate de me refaire un peu mon col de chemise.

Cela ne me dérangeait pas, je trouvais que cela augmentait la convivialité au sein de l’équipe, il a même été jusqu’à me recentrer la boucle de ma ceinture en réserve. L’effet de surprise, fit que je n’ai pas eu le temps de réagir, mais je trouvais ça gentil de sa part. Plus la journée passait et plus il avait des petits gestes délicats et affectueux à mon égard, il n’y avait rien de condamnable et je n’osais rien dire car j’avais peur que sa femme l’ait mis au courant. Plus le temps passait et plus ces gestes délicats à mon égard commençaient à me troubler, il ne m’empêche pas de travailler donc il pouvait continuer. Quand sa femme est arrivée dans l’après-midi, ils sont restés dix minutes ensemble puis lui est parti jusqu’au lendemain. Sachant que dans sa boutique il n’y avait qu’une vendeuse et dans la nôtre il n’y avait qu’un vendeur et moi ; elle savait que si elle me mobilisation, les deux autres personnes ne pourraient pas quitter leur poste. Elle était vêtue ce jour d’un magnifique chemisier, sans doute en soie, et d’une jupe longue, douce et très fluide, sans doute en viscose. Rien que sa tenue ne me laissait pas indifférent, elle devait avoir vingt-cinq ou vingt huit ans de plus que moi mais elle me faisait très envie.

Elle n’a pas été bien longue à me coincer dans la réserve et me caresser et bien évidemment, j’ai immédiatement réagi. Je n’avais pas le choix de l’initiative, c’est Élodie qui dirigeait tout, elle menait les opérations et je ne faisais que me laisser faire. Elle m’a fait agenouiller devant elle puis s’est pour ainsi dire assise sur deux cartons pleins l’un sur l’autre. Elle m’a invité à la débarrasser de sa culotte, qui avait l’air bien humide, c’est docile soumis et obéissant à cette femme fort désirable, que je me suis exécuté.

— Viens me nettoyer, mon berlingo, n’attendait que toi.

— Tu vas voir qu’avec le temps, tu ne pourras plus te passer de brouter un minou ou de faire ma toilette intime d’une femme.

— En moins de vingt quatre heures, je suis en train de constater que tu as un énorme potentiel de soumission et cela me plaît beaucoup.

Pendant que j’étais en train de la défaire de sa culotte pour ensuite passer à l’action, je réalisais que comme le disait Élodie j’étais en train de me soumettre à elle. Bien que ne voyant pas grand-chose, je devinais une abondante toison mais très bien entretenue.

Voilà comment cet après-midi là, j’ai commencé à devenir brouteur de minou attitré auprès de la femme de mon patron. Son vagin lubrifiait énormément et les lèvres autour de son clito étaient vraiment de grandes tailles, finalement ce n’est pas si désagréable que de donner du plaisir à Élodie dissimulés derrière des cartons dans la réserve. Elle était très sensible à mes coups de langue et manifestement très désireuse, du coup, elle n’a pas été bien longue à prendre son pied. Bien qu’elle ait joui, je me suis permis de continuer mon cunnilingus histoire d’essayer de lui faire tourner la tête. La patronne a énormément apprécié mon initiative et elle me l’a fait savoir en me plaquant très fort le visage contre son clito encore très sensible. Je commençais à prendre goût à ce qu’elle me faisait vivre, j’ai continué à la butiner jusqu’à ce qu’elle me retire le visage de son entrejambe. J’étais assez fier de moi, je venais de rassasier cette femme qui avait l’air très désireuse et surtout experte dans l’art du cunnilingus. Elle m’a fait relever pour m’embrasser avec gourmandise, j’adorais la façon dont elle immiscait sa langue dans ma bouche innocente ; je lui étais totalement offert.

Mes journées de travail commençaient à être très agréables.

En espérant que cette nouvelle histoire vous ait plu, j’espère que vous en demanderez une suite

Bisous à vous

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