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Jasmine : princesse et salope – Chapitre 3




Le génie passa son doigt sur la vulve humide de Jasmine et fit rouler son clitoris. Il insista aussi sur son anus mais sans le pénétrer. Il décrivait de petits cercles avec son doigt sur son clitoris et enfonçait parfois une phalange dans sa chatte. Il était le plus délicat possible mais alors quil jouait avec son petit bouton rose, un gémissement particulièrement expressif de Jasmine le fit craquer. Il se releva dun coup, souleva Jasmine et le projeta sur son lit.

— MAITRE ?? Que faites-vous ??

Sans répondre, le génie baissant son pantalon et exposa fièrement son énorme queue à Jasmine qui paraissait horrifiée. Elle replia ses jambes sur elle et limplora :

— Non, Maître, je vous en prie !!! Pas là, pas comme ça !! Je ne suis pas prête ! Vous allez me déchirer !!

Le Génie se jeta malgré tout sur elle. Il prit ses jambes et les écarta dun grand coup brutal. Alors quil empoignait son sexe, Jasmine commença à pleurer et continuait de le supplier. Les larmes et hurlements de Jasmine, ainsi que son visage plus terrifié que jamais, eurent finalement raison de la bestialité du Génie. Il sarrêta net alors que son gland effleurait le sexe de la Princesse puis sortit de la chambre sans dire un mot et en claquant les portes, la laissant sur le lit, nue et en pleur.

Il sortit dans la rue, en direction du bordel, fermement décider à défoncer une pute. Il frappa de toutes ses forces à la porte mais aucune réponse ne lui parvint. Sur la porte était affiché un papier :

« La maison est fermée sur ordre du Sultan ».

Toujours aussi excité et déterminé à se soulager, le génie erra dans les rues à la recherche dune esclave offerte par son généreux maître. Mais il était trop tard et ne croisa personne à part des mendiants. Il échoua finalement devant lAPJ et frappa la porte de létablissement. Cest maîtresse Rose qui lui ouvrit. Elle nétait vêtue que dune robe de nuit très légère et quasi transparente. Sa robe était négligemment fermée au niveau de sa taille par une ceinture de soie mais restait largement ouverte en haut sur ses seins, et en bas sur ses jambes.

Le génie avala sa salive lorsquil laperçut et failli éjaculer dans son pantalon.

— Que puis-je pour vous à cette heure tardive ?

— Je me demandais si lune de vos élève était disponible

— Oohh, pas à cette heure, jen suis navrée Elles dorment toute ou sont rentrées chez leurs maîtres.

— Je vois, veuillez mexcuser.

— Vous voulez entrer un instant ?

— Avec plaisir.

Rose fit entrer le génie dans son appartement privé. La proximité et la lumière des bougies de son appartement accentuant encore plus la transparence de sa robe et le Génie pouvait contempler la moindre parcelle de son corps.

— Que vous arrive-t-il, Monseigneur ? Votre esclave vous cause des soucis ?

— Cest-à-dire Elle est vierge et cest refusé à moi ce soir Je nai pas voulu la violer Ai-je eu tort ?

— Non, vous avez eu raison. Cela aurait pu la braquer pour un long moment et ralentir considérablement son apprentissage. Dautant que la première expérience sexuelle est très importante pour une jeune fille, esclave ou pas. Mais du coup, je suppose que vous êtes terriblement frustré ?

— Effectivement

— Voyons, je suis sûr que nous pouvons arranger cela

En prononçant ces mots, Rose avait hotté dun geste ample sa robe et se montra totalement nue devant le génie qui nen croyait pas ses yeux. La poitrine de Rose était imposante, légèrement tombante du fait de son âge, sa taille était très étroite, ce qui mettait encore plus en valeur un cul absolument divin. Son sexe était orné dune petite toison rousse, parfaitement taillée tandis que son clitoris et ses lèvres étaient, eux, totalement glabres.

Sans prononcer un mot, maîtresse Rose sapprocha du génie, lui baissa son pantalon et laissa jaillir un sexe turgescent, gonflé par plusieurs jours de désir et de frustration.

— Ouh la. sinquiète Rose, on dirait quelle est prête à exploser !

Elle se saisit du sexe du génie avec sa main droite et commença à le masturber avec une très grande maîtrise.

— Alors comme ça votre esclave ne veut pas se laisser baiser ?

— Non

— Et vous vous êtes dit que le cul dune de mes élèves pourrait compenser ? Rajoute-elle en accélérant un peu la cadence.

— Mmhh oui

— Ne vous inquiétez pas Bientôt, cest elle qui réclamera de lui déchirer son beau petit cul vierge !

— Oui, jespère.

— Vous avez envie de lenculer, nest-ce pas ? De lui exploser le fion De la faire hurler avec votre énorme chibre

— Oui Ça Ça vient.

— Vraiment ? Déjà ?

Maîtresse Rose saccroupit alors devant le sexe du génie, lempoigna à deux mains et accélèra furieusement la cadence pour le finir. Un premier jet brulant sortit alors de lénorme gland et vint sabattre sur le visage de Rose. Elle ouvrit la bouche de surprise devant une telle puissance tandis que dautres jets vinrent lui maculer les cheveux, les joues, la poitrine et lui remplir la bouche. Elle dût avaler une première gorgée tandis que léjaculation se terminait en souillant ses mains et ses avant-bras, encore accrochés au sexe secoué de spasme de plaisir.

— Monseigneur, quelle puissance ! Quelle réserve ! sexclame Rose, recouverte de sperme. Vous aviez vraiment besoin de vous soulager

— Oui. Pfffuuu, vous êtes très douée, Maîtresse Rose

— Merci, mais je suis sûr que vous auriez préféré me baiser, nest-ce pas ?

— Je dois avouer

— Sachez que je ne couche que très rarement avec des clients. Je sélectionne mes amants sur des critères très précis et exigeants. Et je me sépare sans hésiter de ceux qui me déçoivent.

— Je vois, dit le Génie manifestement déçu.

— Mais javoue, repris Rose, lair coquine, que votre désarroi et surtout la taille de votre hum engin mont touchés. Mais si vous voulez un jour me baiser, il vous faut être un expert, un génie du sexe, capable de me faire jouir, plusieurs fois, ce qui nest pas à la portée de tout le monde. En attendant, mes élèves peuvent vous aider, mais ce ne sont pas des prostituées, disponibles à volonté. Elles appartiennent à des seigneurs parfois peu prêteurs et sont là avant tout pour apprendre. Je vous conseille de vous exercer au bordel, plus bas dans la ville.

— Il est malheureusement fermé, sur ordre de Jafar

— Mmhh, cest vrai Cest ennuyeux Mais je suis sûr que vous trouverez une solution. Si vous voulez mexcuser, je vais aller prendre un bain chaud maintenant Vous mavez mise dans un de ces états !

— Bien sûr, encore merci Rose. A bientôt.

Le génie sortit de lécole et se promena dans les rues dAgrabah, apaisé et souriant. Il avait à présent un objectif en plus que celui de dresser Jasmine : baiser Maîtresse Rose. Mais pour cela, il devait devenir une bête de sexe car, comme il lavait compris, il naurait droit quà une seule chance avec elle. Il comptait bien casser des petits culs à lAPJ mais ce nest pas ces gamines qui allaient pouvoir le faire progresser. Il fallait que ce bordel rouvre !

Il alla boire un verre dans la taverne du coin. Le tavernier, un ancien bandit reconvertit dans lalcoolisation de masse, avait accepté de prendre Jasmine à lessai à condition quelle soit formée.

— Envoie-moi ton esclave demain, je verrai ce que je peux lui apprendre.

— Parfait, merci mon ami !

— De rien Ma fille ne peut pas servir tout le monde toute seule et mes autre serveuses ont la fâcheuse tendance à tomber enceinte Je ne sais pas pourquoi !!

— Ta fille ?

— Oui, Iris, la grande brune au comptoir

Le génie avait remarqué cette beauté rebelle, tatouée et au visage marqué par une cicatrice sur une joue. Elle était effectivement grande, relativement musclée mais très féminine avec des courbes avantageuse. Elle se promenait entre les tables en exposant ses seins à peine masqués par son haut aux clients et ses fesses mise en valeur par un pantalon de cuir fin.

Le génie eut immédiatement envie de cette fille mais se retint de tout commentaire impoli en présence de son père et nouvel ami.

Lorsquil rentra chez lui, le génie se rendit dans la chambre de Jasmine où il la trouvât endormie, entièrement nue, presque dans la même position que lorsquil était partit. Il prit plaisir à lobserver ainsi exposée, contempla sa belle poitrine, ses langues jambes qui, à peine croisées, laissaient apparaitre une petite partie de son intimité.

Au matin, Jasmine vint sexcuser auprès de lui en baissant la tête :

— Je nétais pas prête, maître, et jai paniqué. Vous étiez si excité et si gros que cela fait peur. Je vous prie de mexcuser.

— Daccord, esclave. Je vais tâcher de me contrôler Mais mets-toit dans la tête que cela arrivera bien un jour. Et quau final, Jafar sera moins compréhensif que moi.

— Je le sais, Maître.

— Bien. Et surtout, ne me fais plus jamais une scène pareille, cest clair ?

— Très clair Que faisons-nous aujourdhui ?

— Tu verras.

Le génie emmena Jasmine à la taverne pour être formée au service, ce qui consista principalement à se faire peloter par le patron sans renverser les plateaux quelle portait. Dabord énervée par le comportement du patron, elle shabitua à ses mains baladeuses et parvint à se faire embaucher. Le génie, quand à lui, passa la matinée à parler et à flirter avec Iris, la fille du tavernier.

— Mon ami, ton esclave fera une excellente serveuse !! sexclama le tavernier. Envoie-moi là demain, aujourdhui cest calme, je naurai pas besoin delle

— Merci mon ami, à demain. Iris dit le Génie en sinclinant devant la demoiselle.

— Monseigneur

Jasmine alla ensuite au marché pour travailler à létale de fruits.

Le soir venu, le génie lui demanda comment cétait passé sa journée.

— Rien de particulier, maître, à part les mains baladeuses du marchant et les commentaires graveleux des clients.

— Des gens tont-ils reconnus ?

— Non, je ne crois pas. En même temps, avec cette tenue

— Cest exact. Dailleurs, enlève là

Jasmine obéit aussitôt et retira son manteau de villageoise. Elle se retrouva alors avec son éternelle tenue bleue de princesse.

— Cest beaucoup mieux ainsi Déshabille-toi.

— Esclave ?

— Oui maître.

En baissant le regard, Jasmine hotta son haut bleu et fit glisser délicatement son pantalon, se montrant ainsi totalement nue devant son maître. Répondant ensuite aux ordres de son maître, que ce soit par des mots ou de simples gestes, Jasmine commença par écarter ses jambes puis sallongea sur le lit. Elle attrapa ses jambes et les écarta les plus possible pour exposer son sexe à son maître qui sourit, satisfait de la vue et de lobéissance de son esclave.

— Tes-tu déjà caressée, esclave ?

— Oui, maître

— Jusquà lorgasme ?

— Oui, parfois

— Et pour tes cours, tu as dû te caresser devant la classe ?

— Pas encore Et ça me fait peur.

— Alors écoute : ce soir, je ne vais pas te baiser. Tu vas te branler devant moi et te faire jouir.

— Bien maître Mais

— Mais ?

— Mais vous ? Quallez-vous faire ?

— Te regarder et me masturber

— Vous nessaierai pas de me prendre ?

— Non, je te le jure.

Jasmine cligne alors des yeux en guise de consentement et approche timidement une main de son sexe. Alors quelle commence à se caresser, le génie se redresse, sort son énorme sexe déjà très dure et se branle doucement en regardant Jasmine. Celle-ci est clairement impressionnée par la taille de lengin mais nest pas apeurée. Au contraire, alors quil accélère le mouvement, elle-même sactive sur son clito avec plus denvie. Son doigt va de gauche à droite, de haut en bas ou encore tourne de plus en plus vite sur son bouton rose.

Le génie, conscient de lexcitation croissante de Jasmine et frustré par plusieurs jours dabstinence, sent quil ne pourra pas tenir éternellement.

— Esclave, tu es superbe et je ne vais pas tarder à jouir !

— Ooohh maître je ne suis pas loin non plus Oohh Voulez-vous venir sur moi ?

— Tu veux que je jouisse sur toi ?

— Oui je crois

Jasmine ouvre alors encore un peu plus les jambes, ferme les yeux et accélère son mouvement en gémissant. Je génie, la voyant ainsi sabandonner au plaisir, se masturbe furieusement et craque. Un premier jet puissant sort du gland et bien sabattre sur un sein de Jasmine tandis que le reste lui recouvre le ventre et la main qui caresse son sexe. Les râles de plaisir du génie, couplés à la sensation du sperme sur sa peau font également craquer Jasmine qui jouit en criant de plaisir, la main droite enduite de foutre.

Après avoir repris sa respiration, Jasmine se redresse sur le lit :

— Merci, maître, pour cet orgasme Je crois que jen avais besoin.

— Ce nest rien, esclave. Dorénavant, lorsque jaurai envie de me masturber, peu importe lheure, peu importe lendroit, je me finirai sur toi et jouirai sur la partie de ton corps de mon choix.

— C Comme il vous plaira, maître.

— Parfait. Tu peux aller te laver, maintenant. Couche-toi tôt, demain, tu iras à lécole, puis travailler à la taverne.

— Bien, maître.

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