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Entre rêves et réalité – Chapitre 4




Julie arriva en peignoir dans sa chambre après avoir pris une douche bien méritée par une après-midi de sport. Elle prit le déodorant et resta bloquer quelques longues secondes.

De ma chambre, je l’ai vu regarder furtivement la webcam installée. Faisant mine de rien elle se mit à chanter et danser.

Ce soir il y avait une soirée de son école, déjà bien salope s’habitude elle voulait s’habiller en conséquence aujourd’hui, car je devais l’accompagné.

En allant vers son armoire à vêtement elle vit ses culottes retournées et une belle ensemble en dentelle au dessus de la pile. Elle venait de comprendre qu’en plus d’avoir installé une webcam j’avais fouillé absolument toute la chambre.

Elle se coucha alors sur le lit, retira son peignoir et commença à se caresser doucement les seins. Bientôt, de petits soupirs commencèrent à se faire entendre, et Julie osait un doigt à l’intérieur de sa chatte, ce qui transforma ses soupirs en petits cris.

Elle se pencha et sortit sa petite boite magique. Le couvercle n’était pas bien fermé alors elle savait que j’avais vu l’intérieur aussi, et tout en se massant, dune main, la poitrine, de lautre elle senfonce un énorme godemichet dans sa vulve. Ses va-et-vient sont rapides, presque violents. Avec ses jambes repliées, elle soulève son bassin. Ses gémissements sont forts, les simule-t-elle ? Je ne peux mempêcher de prendre ma queue érigée en main et en quasi-cadence, je me masturbe en même temps que ma sur. Mon éjaculation est forte, je masperge le torse.

La soirée de ce soit étant une soirée costumée j’enfile ma tenue, une tenue de la marine, tout en blanc imité à la perfection. Je descends alors finir le repas, assez content d’avoir encore réussi mon coup. J’entends Julie descendre et la je reste scotché, je n’avais même pas vu cette tenue en fouillant sa chambre, elle est habillée en policière sexy, je bavais devant cette tunique bleue brillante avec insigne police, la casquette et les longues bottes noires, la matraque en main.

— Vraiment sexy cette tenue, lui dis-je.

— Tu peux bien parler, je nai jamais vu un mec aussi sexy

— Dommage que tu sois ma soeur

Après lui avoir lancé cette perche, elle me fit un regard spécial voulant clairement dire "j’ai envie de toi" et durant tout le repas elle me regardait de la même façon.

— Merci fréro, ce repas était délicieux, comment je peux te remercier ?

— Ah je sais.

Et la je me pencha vers elle, l’embrassa tendrement, mais avec insistance sur la bouche.

— Tu embrasses très bien soeurette, il me fallait un entrainement pour ce soir, je compte bien dragué avec cette tenue.

— Pas de trop quand même, je risquerais d’être jalouse.

Là je savais que c’était dans la poche, lorsque l’on se sert correctement de la jalousie d’une fille, il devient facile de la manipuler. Nous retrouvons les amies de Julie à l’endroit où se déroulait la fête de son comité d’école. Plus ou moins 10 magnifiques filles avec qui je faisais connaissance.

Après avoir fait connaissance avec toutes les filles dont la plupart étaient célibataires, je me mis entre Julie et Constance, sa meilleure amie. Constance est une belle grande blonde, à la taille fine et à la poitrine imposante, habillée en secrétaire avec de fausses lunettes elle était vraiment bonne.

Elle ressemble d’ailleurs fort à Julie.

Déja bien lancé sur l’alcool je commandai une rangée de tequila pour nous 3.

Constance voulue commencer et me dit qu’il y avait qu’une seule bonne manière de boire une tequila. Elle me mit du sel dans le coup, et une tranche de citron que je tenais entre mes lèvres.

Elle lécha tout d’abord longuement le sel, ce qui me donna des frissons de plaisirs, elle but ensuite la tequila et mangea le citron tout en m’embrassant.

— À ton tour beau marin, me dit Constance.

— Avec plaisir, mais varions un peu les traditions

Je mis le sel sur son coup, mais la lamelle de citron je la mis entre se deux seins qui se mirent à pointer directement.

Je pris bien mon temps à lécher le sel, et la tequila vite bue je m’enfouis la tête dans ce bonnet D où ma bouche ne se contentait pas que de manger le citron, mais aussi les deux pastèques qui l’entouraient. J’en profitais pour passer ma langue sur ses tetons qui durcissait de plus en plus, elle n’avait pas de piercing, un détail insignifiant, mais qui pourrait se révéler par la suite

Et d’un coup, d’une voix énervée ;

— Et moi dans tout ça, j’ai envie de boire aussi, nous dit sèchement Julie.

— Désolé d’accaparer ton frère, mais il faut dire qu’il embrasse bien, à ton tour Julie, mais les traditions doivent être suivies.

Pour le coup je ne m’y attendais pas, je pensais que Julie tenterait de m’embrasser, mais elle donna le sel ainsi que le citron à Constance, elle lécha vite le sel dans son coup, bu la tequila, mais par contre Julie pris bien son temps pour prendre le citron entre les lèvres de sa meilleure amie. Ce baiser sensuel fit monter la température.

— A ton tour grand frère.

Pensant que j’allais lui donner le citron, Julie fit de grands yeux lorsque je fis signe à deux de ses amies se rapprocher pour venir jouer avec moi. Chacun un verre, pour un seul citron que je tenais en main, les deux filles étaient obligées de venir le chercher lorsque je le mis entre mes lèvres, un doux baisé à trois qui rendit jalouse Julie, mais aussi Constance.

Après tant d’alcool, on se devait d’aller danser, directement je me mis à danser de manière assez serrer avec la belle Constance, et dont je n’hésitais pas à faire du rentre-dedans en lui pelotant le cul à travers sa mini jupe.

Vers 5h, l’endroit ou nous étions ferma, alors je proposai d’aller dans le seul endroit encore ouvert ; un endroit qui est autant une boite de nuit, qu’une boite de strip-tease, et qu’un sex-shop.

De nombreuses filles dansaient sur les barres de strip-tease, Julie et Constance devant moi n’y échappaient pas et j’avais du mal à cacher mon érection. Je pris Constance par la main, l’attraperais vers moi et je commençai à l’embrasser.

— Rejoins-moi en bas, me dit-elle.

Elle descendit un escalier, et je ne mis pas longtemps à la suivre, un regard en arrière et je vis Julie consternée et folle de rage. Je m’approchai de cabine spéciale, des cabines munies de glory-holes, ces fameux trous qui permettent de se faire des choses à travers la cloison sans voir qui est derrière. Je descendis et entrai au hasard dans lune de ces cabines. Regardant par le trou, japerçus dans la demi-obscurité de la cabine, des jambes féminines, vêtues de bas à mailles larges. Plus haut, une mini-jupe, si mini quelle ne cachait plus grand-chose. C’était bien Constance.

En prenant soin de se tourner en direction du trou par lequel je regardais, elle remonta sa jupe et commença à se caresser à travers le fin tissu de son string rose. Elle le tirait vers le haut pour le faire rentrer dans sa petite fente. Le tissu tendu sur sa vulve épousait la forme de ses grandes lèvres séparées par un sillon plus sombre. Une lèvre, bien rose et bien épilée, sortit du string. Elle joua avec pendant quelques instants, tirant dessus comme pour en juger lélasticité. Elle tira lautre lèvre, et le string se retrouva prisonnier dans la fente de sa vulve. Peu à peu, le tissu humecté de sécrétions vaginales vira au rose foncé. Terriblement excitée, elle finit par retirer complètement son string. Lindex de sa main droite tournait autour de son clitoris gonflé, pendant que son majeur gauche commençait à investir son vagin. Lorsque le doigt fut complètement enfoncé, elle lui fit faire une série daller-retour rapides pour faire monter son plaisir. Le mien montait aussi dailleurs. Je me sentis à létroit. Je baissai mon pantalon, sortis mon pénis et décidai de passer mon sexe au travers du fabuleux orifice. La belle ne se fit pas prier. Je sentis une main enserrer mon membre et très vite, mon gland se retrouva dans un endroit doux, humide et tiède. Ce qui devait être une langue montait et descendait le long de ma verge turgescente. Puis je me retrouvai totalement englouti. Je sentais lorgasme qui commençait à monter, elle maspirait et mavalait à fond. Au bout de quelques minutes, j’entendis du bruit, comme si elle parlait, puis sa langue reprit ses mouvements, assez différents d’avant. Je sentais le plaisir monter en moi alors je me retirai, pour ne pas jouir trop vite.

Une capote enfiler, pour faire comprendre le message et je remis ma verge dans le trou à sa hauteur, car il y a deux autres trous sur les cotés un peu plus haut pour faire passer ses mains.

Je pris la belle par la hanche pour que mon pénis ait un nouvel orifice à pénétrer.

Ces mouvements était de plus en plus rapides et je sentais énormément de cyprine couler sur la verge, puis un cri strident retentis, elle venait de jouir !

Elle se retira et j’en profitais pour respirer un bon coup, en attendant qu’elle vienne m’achever à mon tour, mais c’est à nouveau ses hanches que je tenais, elle se cambra et son cul paru moins rebondie, un peu plus ferme qu’avant.

Ce n’est pas ni sa bouche, ni sa chatte en feu qu’elle me proposait, mais bien son cul.

Même pas lubrifié je pénétrai ce nouvel orifice d’une manière et avec rapidité, je n’en pouvais plus, mais je tenais la cadence.

Je sentais qu’elle était sur le point de jouir alors je mis mes mains au niveau de ses seins, pour la relever et la culbuter encore plus fort à travers cette cabine. Je jouais avec ses seins, en pinçant ses tetons et en jouant avec ce piercing au sein gauche jusqu’a ce qu’un jet puissant de cyprine me fit comprendre qu’elle venait littéralement d’avoir un puissant orgasme…

Entre rêve et réalité, un détail me permettait de savoir que la première partie de mon plan était réussi.

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