Automne 1997, juste après mon 18ème anniversaire. Ce jour-là, mes parents travaillaient et c’est avec ma marraine, que je n’avais pas vue depuis quatre ans, et avec qui je devais passer la journée.

Claudine m’avait en effet téléphoné quinze jours auparavant et m’avait proposé de passer la journée avec elle et de prévoir aussi la soirée (sûrement pour un concert pensais-je). Claudine avait à présent 42 ans, mariée à Alain depuis plus de quinze ans et avait deux enfants de mon âge, 1 fille un peu plus âgée et un garçon un peu plus jeune. C’était une femme très entière, très sympathique et avec un physique plutôt agréable. Elle me plaisait surtout par sa bonne humeur et son esprit d’ouverture ainsi que son esprit jeune. Elle m’avait beaucoup gardé jusqu’à l’âge de 14 ans avant de partir vivre ailleurs. Je l’appréciais beaucoup.

Elle vint me chercher le matin pour aller à Marseille. Elle n’avait pas changé : toujours très séduisante avec sa taille moyenne, ses cheveux châtains bouclés et ses yeux verts. Seule différence, j’étais à présent plus grand qu’elle. Nous avons passé la matinée ensemble dans les boutiques, elle voulait m’acheter des vêtements style costume-cravate. On alla ensuite déjeuner en discutant de choses et d’autres. J’aimais beaucoup discuter avec elle et j’étais vraiment heureux de la retrouver, fier aussi de passer la journée avec elle car beaucoup d’hommes se retournaient en nous voyant. On alla ensuite se baigner à la plage à coter de Marseille. C’était début octobre mais il faisait assez chaud. Il y a avait peu de monde sur la plage. Claudine et moi nous sommes changés sur la plage. J’aurais voulu la regarder se changer mais n’osais pas me retourner alors qu’elle se changeait. Puis nous sommes aller ’ piquer une tête ’. L’eau n’était pas chaude et Claudine avait du mal à rentrer, je lui disais de venir, qu’elle était plus chaude où j’étais. Elle se décida et quitta son paréo. Elle semblait gênée de le quitter alors que pour ma part je la trouvais superbe dans son maillot de bain deux pièces. Elle finit par venir et nous jouâmes un long moment dans l’eau. Je l’effleurai à plusieurs reprises en jouant, on aurait dit deux gamins? Ce fut un merveilleux moment où nos regards se croisèrent à de nombreuses reprises alors que nous riions. Je sentais son corps chaud contre le mien lorsqu’on s’amusait à se couler. Sa poitrine contre mon dos me faisait beaucoup d’effet. Puis on est revenu sur la plage en rigolant. Là, Claudine s’est même fait brancher par trois jeunes qui lui disaient qu’elle avait tort de rester avec un gamin et qu’elle pouvait connaître mieux. Elle les envoya promener poliment avec cette assurance de femme mûre qui m’a toujours fascinée?

En fin d’après midi, elle me dit qu’elle avait une autre surprise pour moi. On reprit sa voiture pour se rendre dans un petit hôtel à la campagne. Elle me demanda de la suivre pour la surprise. Je la suivis donc dans l’entrée puis dans les escaliers admirant ses courbes qui se mouvaient devant moi. Cette femme était vraiment belle !

Elle s’arrêta devant la chambre 17 et ouvrit la porte. La chambre était simple : 1 grand lit dans la chambre et une petite salle de bain. Elle alla prendre une petite douche pendant que je regardais la télé et me proposa d’aller en prendre une et d’enfiler mes sous-vêtements pour venir essayer mon costume qu’elle voulait arranger pendant ma douche. Je m’exécutai. J’étais vraiment heureux de cette après midi passé avec Claudine. Elle était vraiment extra comme femme. Je l’aimais vraiment beaucoup, elle était pleine de vie et tellement gentille. Mais j’avais toujours décelé en elle une part de fragilité ou de non-épanouissement alors qu’elle méritait vraiment d’être heureuse. Perdu dans mes pensées, je prenais ma douche avec l’espérance de passer plus de temps avec Claudine à l’avenir et de rencontrer un jour une femme comme elle. Dix minutes plus tard, j’étais prêt à sortir de la salle de bain, en caleçon. J’étais d’ailleurs quelque peu gêné. J’ouvris la porte?

La lumière était éteinte, seules deux bougies étaient allumées de chaque côté du lit. Claudine apparut alors en nuisette en me disant:

— Bon anniversaire !

Et elle enleva sa ceinture laissant découvrir de magnifiques dessous bleus. Je ne savais plus quoi faire, transi devant ce spectacle… Elle s’approcha de moi et m’entraîna sur le lit. Elle ouvrit sa nuisette pour se présenter devant moi seulement en sous-vêtements. Je n’arrivai pas à y croire. Claudine, ma marraine, cette femme qui était pour moi le modèle même de la femme mûre s’offrait entièrement à moi ! Elle n’avait en effet plus le corps d’une femme de vingt ans mais ceci m’attirait d’autant plus. Elle commençait à avoir un petit ventre qu’elle prenait le soin de rentrer pour se présenter à moi et cela aussi me faisait craquer. Ses fesses et ses seins mis en valeur par ses jolis sous-vêtements étaient encore magnifiques !

Allongés l’un contre l’autre je la serrais dans mes bras. Son corps était chaud et doux. Elle m’embrassait dans le cou, j’étais presque en larmes de bonheur?

Je la regardais, l’admirais et me décidai à lui frôler la poitrine, ses seins pointèrent. En soulevant le soutien gorge, je les caressai puis y posai ma bouche en les embrassant tendrement, en les tétant même. Je la regardai et nos bouches se touchèrent, c’est alors elle qui m’embrassa. J’étais dès à présent au septième ciel. Son baiser était d’une douceur et d’une profondeur intense ! J’avais envie d’elle comme jamais je n’avais encore eu envie d’une femme. Elle descendit sa bouche pour embrasser mon torse imberbe. Elle s’approcha de mon sexe qui n’en tenait plus et enleva délicatement mon caleçon. Elle entama une délicieuse fellation, un va et vient magnifique, je fermai les yeux pour apprécier encore un peu plus ce moment en lui caressant le ventre puis les fesses. Ses fesses que j’avais eus tant de fois envie de prendre dans mes mains? Je passais sous sa culotte ma main à la découverte de ce corps de femme mûre. C’était une sensation extraordinaire. C’était vraiment trop bon. Je me sentis venir et jouis à grandes giclées au bout de quelques minutes devant cette bouche experte.

J’avais essayé de prévenir Claudine mais ma marraine avala toute ma semence. Je crus même qu’elle allait s’étouffer. Elle ne s’attendait peut-être pas à autant de sperme ! Quel bonheur de jouir ainsi dans sa bouche? Elle se rallongea à mes côtés, avec un large sourire et nous restâmes un long moment, sans parler, juste en se caressant, ma tête posée au-dessus de sa poitrine.

Je recommençais alors à parcourir son corps, j’avais envie à présent de la posséder complètement, lui donner du plaisir, prendre mon cadeau qu’elle m’offrait, là de la prendre? Je caressai ses fesses, ses jambes, ses pieds puis remontai doucement pour admirer ce fessier, source de tant de fantasmes ! Je la caressais de partout , ne voulant rien oublier, étudiant chaque centimètre carré de son corps. Ce corps magnifique de femme mûre merveilleuse. J’essayai de lui dégrafer son soutien gorge. Devant ma maladresse, elle m’aida et je commençai alors un massage de son magnifique dos. Je m’allongeai ensuite sur elle mimant doucement l’acte. Nous restâmes quelques instants dans cette position, je faisais attention de ne pas éjaculer à nouveau. Elle se retourna et me regarda tendrement en me proposant plutôt une autre position. Elle fit glisser sa petite culotte bleue le long de ses jambes en me disant qu’elle n’en avait plus besoin à présent. J’admirais son minou, son intimité, que je n’aurais jamais pensé pouvoir admirer de si près. Elle prit les choses en mains en plaçant mes doigts sur son vagin, je découvrais cette région avec une excitation extrême. J’entrepris alors de la caresser avec un doigt puis deux. Au bout de quelques minutes de caresses, je sentis un liquide chaud trahissant son excitation à elle aussi de se retrouver dans cette situation avec moi. Puis vint un moment où je ne tinsse plus. Je voulais entrer en elle, la posséder, lui faire prendre la tête de plaisir, la faire jouir? l’emmener avec moi dans ce plaisir extrême où elle m’avait amené.

Elle sentit mon envie. Elle sentait tout en fait. Je ne pouvais rien lui cacher. Je me frottais contre son pubis sans même savoir vraiment où aller.

— Attends, je vais t’aider.

Elle saisit mon pénis et me guida jusqu’à l’entrée de son vagin. Je sentais ce liquide chaud et un petit orifice. Elle fit pénétrer un peu mon pénis puis le lâcha en fermant les yeux. C’était maintenant à moi de jouer. Son vagin se resserrait sur mon pénis. J’avais peur de lui faire mal?. Mais elle semblait apprécier. Je restais ainsi allongé sur elle. J’étais en elle et lui caressais la nuque et l’arrière de la tête. J’étais aux anges, je la regardais, admirant son visage et d’un léger coup de rein prolongeai la pénétration. Quel pied !!! Je ne savais plus où j’étais mais j’appréciais ce moment de plaisir absolu. Claudine émit un petit son trahissant son plaisir au moment de la pénétration qui décupla mon propre plaisir. Je possédais ma marraine comme j’avais toujours rêvé de posséder une femme mûre. Je voulais la faire jouir, lui faire perdre les pédales? Je commençais un va et vient. Je me sentais déjà venir. Je m’arrêtai alors, savourant ce délicieux moment, puis recommençai et ceci plusieurs fois jusqu’au moment où la pression fut trop importante et je décidai de lui donner tout ce que je pouvais. Je la pris un peu plus fort, la serrant contre moi en allant le plus loin possible. C’est alors que je l’entendis émettre de petits sons de plaisir. Peut-être était-ce pour me faire plaisir car c’est vrai que je fus rapide mais je reste quasiment certain que c’était vraiment du plaisir et qu’elle avait vraiment envie de moi. Elle me souriait. J’accélérais le mouvement, je ne pouvais à présent plus m’arrêter, je la serrais fort contre moi?

J’éjaculai alors au fond de son vagin avec une pression énorme, sans m’arrêter ; elle, fermait les yeux pour mieux apprécier. La puissance de mon éjaculation a dû la surprendre et lui procurer un plaisir supplémentaire. J’avais l’impression de la remplir complètement. Je m’écroulai alors sur elle. Nous restâmes ainsi au moins deux heures collés l’un à l’autre. Je la remerciai pour ce cadeau d’anniversaire au-delà de toutes mes espérances. Je la caressais encore de partout, testant sur son corps, à la recherche de zones érogènes. C’était divin? J’aurais voulu arrêter le temps ici et maintenant, pour toujours.

Dans un léger sommeil, je l’entendis me dire :

— Il faut rentrer, il est presque minuit !

Nous nous sommes rhabillés et elle me raccompagna chez moi. Je la remerciai encore. Elle m’embrassa sur la joue en me souhaitant encore un bon anniversaire. Je sortis de la voiture et rentrai chez moi.

PS : Ceci est ma deuxième expérience sexuelle mais je l’ai vécue comme une deuxième ’ première expérience ’. Je ne remercierai jamais assez ma marraine pour le bonheur qu’elle me procura ce jour-là. Je remercie d’ailleurs toutes les femmes qui ont pris un jour le temps d’offrir leur expérience et leur maturité à un jeune homme inexpérimenté, qui j’en suis sûr garde dans son corps et son c?ur un souvenir tout particulier de cette expérience.

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