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Mon maitre Djibril – Chapitre 3




Avec Fabien notre relation devient de plus en plus compliquée, c’est loin le début de notre aventure. Il ne fait rien pour que cela aille bien, entre son travail et son addiction aux jeux vidéo, nous n’avons pas beaucoup de temps pour nous deux. Je suis fautive aussi, je pense souvent à mes rapports avec Djibril, le contexte, la situation,… Je me revois en train d’aguicher ces deux vieux dans un bar avec une tenue provocante sous les ordres de Djibril, me faire défoncer sur la table de cuisine,…

Après plusieurs jours sans nouvelles de mon amant, je commence à penser que cette idylle est finie. Je ne veux pas prendre les devants en le contactant ou aller le voir, j’ai peur de sa réaction.

Aujourd’hui, Fabien part au travail vers 21h, il me demande si je veux bien faire un tour dans la galerie commerciale à côté de chez nous.

— Oui, OK, je me prépare, et on y va.

— Tu peux rester comme ça.

— Non, je me change de tenue, je ne vais pas comme ça

Un vieux pantalon et un petit haut, délavé et déformé, je ne sors pas comme cela.

Fabien ça ne le dérange pas, il n’aime pas que l’on regarde surtout si je porte une jupe ou une robe.

Après dix minutes, me voilà dans le salon, habillée d’un jeans moulant et d’un chemisier déboutonné jusqu’au milieu de ma poitrine.

— C’est bien comme ça ?

— Oui c’est bien, mais tu devrais fermer au moins un bouton de plus.

Je le savais, je l’ai fait express, pour voir sa réaction. Je ne réponds pas, mais cela commence à m’énerver d’être vêtue comme une «nonne».

Je mets des escarpins avec 8 centimètres de talons et là c’est pareil, j’ai droit à un regard de mécontentement.

— Et là ça suffit, si cela te plaît pas, je reste ici, tu me gonfles.

Pas de réponse de sa part, et nous voilà parti pour ce centre commercial.

Sur place, on marche, on regarde les vitrines, on déambule,… bien sûr devant un magasin de « lingerie » on ne fait que passer devant, bref c’est navrant. Je me demande pourquoi je reste avec lui, je me pose sérieusement la question. C’est la routine avec lui, sexuellement ce n’est pas le top, surtout après avoir «goûté» mon Djibril. Je ne peux pas me vêtir comme je veux, dès que je mets une jupe, il me dit que je ressemble à une pute. Il est toujours dans sa pièce à jouer avec ses jeux vidéo la journée entière. Il n’est pas aimé de mes parents, car il ne vient pas du même «milieu social» que moi, je viens d’une famille assez aisée. Un ensemble de choses qui me laisse à penser que cela ne va pas durer ainsi.

— Je t’offre un café.

— Oui, je veux bien.

Eh bien, il me surprend, il est rare que l’on puisse passer un peu de temps en tête à tête.

On s’installe à une table, on discute de tout et de rien, et au bout d’un moment je commence à lui faire comprendre qu’il faut qu’il change d’attitude s’il veut que l’on reste ensemble. Il me promet des efforts de sa part. Tout à coup, je reçois un appel, je dis que c’est ma mère,

Fabien lève les bras, l’air navré. Je décroche et on échange de nos nouvelles avec ma mère et je vois Fabien payer nos consommations, et partir dans la galerie commerciale. Je le suis à distance en restant au téléphone, il entre dans un magasin de jeux vidéo et discuter avec le gérant. Je reçois un deuxième appel, je laisse ma mère et je prends ce nouvel appel et c’est Djibril. Je lui dis ou je me trouve et là il me dit de le rejoindre chez lui tout de suite.

— Mais ce n’est pas possible

— Je te rappelle dans deux minutes

, et raccroche sans explication.

En suivant je reçois une vidéo sur mon téléphone, je regarde, mais avant je m’éloigne des gens qui déambulent. Je me vois en train de me faire baiser par

Djibril, mes jambes ficelées sur les pieds de la table de la cuisine. Après je suis avec une robe sans soutien-gorge, mes seins balancent dans tous les sens quand je marche, un rouge à lèvres très vif. Plus loin dans la vidéo, on me voit les jambes écartées, sans sous-vêtement, assise sur une chaise puis passer ma langue sur mes lèvres de façon sensuelle. Pour finir on entend parler Djibril avec deux personnes d’une cinquantaine d’années

— Je peux vous la laisser pendant une heure pour cent euros, vous faites ce que vous voulez avec.

Je reste sans voix, je dois être toute rouge, j’ai honte, être humiliée comme cela,…

Heureusement que j’avais mis les écouteurs. Je repense à ces moments-là, les souvenirs de cette journée me reviennent. Djibril me rappelle, je ne parle pas dans un premier temps, je sais quoi dire. Par contre lui, il parle.

— Alors ma petite pute, que penses-tu de ma vidéo ?

— C’est bien toi sur la vidéo, on te voit bien.

— Par contre, ton attitude, personne ne te connaît comme ça.

— Moi j’adore.

Je commence à me reprendre.

— Que veux-tu, pourquoi as-tu fait cela ?.

— C’est simplement toi que je veux.

— C’est du chantage, que vas-tu de cette vidéo ?

— Non ce n’est pas du chantage, c’est pour te montrer comment tu es une bonne salope

«Mais», je n’ai pas le temps de répondre qui me donne l’ordre de venir maintenant.

Dans l’incertitude, je ne sais quoi faire. Il me dit que si je ne viens pas, je l’oublie.

Il raccroche sans me laisser le temps de parler. Je repars rejoindre Fabien dans son magasin. En arrivant à ses côtés, je lui caresse le bas du dos.

— Ah tu es là!, ça va ?, ah non tu as les yeux tout rouges.

— Non ce n’est rien, rien de grave, on en discutera plus tard.

Et le voilà reparti à discuter avec le vendeur sur son nouveau jeu. Moi, je repense à la discussion avec mon amant et sa vidéo. Au bout d’un moment, entendre parler de jeu, performance d’ordinateur,… Jannonce à Fabien que je repars à l’appart, et là il répond

— Ah, OK.

Je le laisse, je suis furieuse de cette réponse, cela ne gêne pas et en plus il ne sait pas comment je rentre. En avançant dans la galerie, je m’arrête devant la vitrine d’une grande enseigne de prêt-à-porter. Je rentre à l’intérieur et flâne dans les différentes allées en ne pensant à rien. D’un coup, je repère une jupe un peu évasée, rose claire. Je la prends et me dirige vers les cabines d’essayage.

Au passage je prends une paire de bas noirs assez transparents pour voir si cela me va bien. En me regardant avec cet ensemble devant le miroir, je repense à Djibril. Je ne sais pas pourquoi, du fait de l’attitude de Fabien, quasiment absent vis-à-vis de moi, mon amant,…; j’envoie une photo avec cette tenue à Djibril. Je ne sais ce qui m’a pris de faire ça. Je suis peut-être en manque du traitement qu’il me fait subir. Je ne suis folle sans doute ou hypnotiser par mon Djibril.

Sa réponse ne tarde pas à venir. Il me demande si je passe le voir.

— Oui, j’arrive, mais je rentre seule, en bus.

— Je viens te chercher dans 15 minutes.

J’appelle la vendeuse en lui disant que je prenais les articles.

En sortant du magasin, je passe aux toilettes de la galerie commerciale pour me changer, me maquiller et enlever mes sous-vêtements car je ne dois pas les avoir sur moi quand je suis avec lui. Me dirigeant à notre point de rendez-vous, j’ai l’impression que mes seins se baladent dans tous les sens, que tout le monde me regarde, c’est un sentiment étrange.

J’attends Djibril, au moins cinq minutes. Pendant ce temps-là, je suis observée par les passants, je n’aime pas cela.

Enfin il arrive, je monte dans sa voiture et nous voilà partis.

Il met sa main sur ma cuisse, je reste les genoux serrés.

— Chaque fois qu’une personne met la main sur une cuisse, tu les écartes.

Je ne réponds rien, je m’exécute. Il passe sa main pour voir que je n’ai pas de culotte.

— Cela t’a fait de la peine de voir la vidéo.

— Sur le coup, oui beaucoup, maintenant je ny pense plus.

— Ça veut dire que tu acceptes ton statut de salope.

Je ne réponds pas, je le regarde simplement avec un petit sourire.

Il met sa main à «l’intérieur» de ma cuisse gauche, et serre fort, je me soulève un peu en tenant son bras. Des larmes commencent à couler. Il me demande une réponse.

— Oui, je suis votre salope.

— J’aime mieux ça, il ne faut pas avoir peur de le dire, d’accord.

Je ne lui donne pas de réponse, je pense surtout à la marque que je vais avoir demain sur ma cuisse.

«Tu n’approuves pas !!!» et recommence à serrer sa main à «l’intérieur» de ma cuisse

— Si si, je suis votre salope, je vous dirai plus souvent.

Je monte les escaliers qui mènent à son appartement, et Djibril derrière moi.

— Arrête-toi et déboutonne ton chemisier.

Je m’exécute sans un mot

Il relève le derrière de ma jupe et bonne claque sur ma fesse droite qui résonne dans la cage d’escalier.

— Avance et garde ta jupe relevée.

Me voilà dans une drôle de posture ; ma poitrine en dehors de mon chemisier, le cul à l’air et des talons qui claquent sur les marches des escaliers, sous les ordres d’un parfait inconnu il y a encore un mois.

A peine dans son appartement, il me plaque contre un mur. Il m’ordonne de sortir sa bite de son pantalon. Lui, il met deux doigts dans ma bouche, il les enfonce dans ma gorge pour que je salive. Avec ses doigts pleins de salive et les enfonce dans mon vagin.

— Mais tu es déjà toute humide, ma cochonne.

Je le branle un peu et déjà sa queue est en pleine forme. Il demande de me cambrer et d’écarter mes fesses avec mes mains, avant que son engin entre en moi: quel bonheur !!! Djibril commence son va-et-vient, je suis ravie, je prends mon pied, je remue mon derrière pour montrer à Djibril que j’apprécie cette situation. Il passe son bras par-dessus mon épaule et avec sa main attrape un de mes seins qu’il serre fort entre ses doigts. Avec son autre main, il prend ma jambe pour m’écarter encore et surtout de rentrer en moi encore plus profond. Je commence à hurler un peu, il me dit de me lâcher, ce n’est pas grave si les voisins t’entendent couiner comme une pute.

Je crie alors plus fort, et en lui disant que je suis sa salope.

D’un coup, mon téléphone sonne, je dis à Djibril qu’il faut que je réponde c’est Fabien.

— Non ce n’est pas ton mec.

— Exact, c’est mon cocu.

— Tu comprends vite, vas-y décroche.

Fabien m’annonce qu’il mange en ville avec des copains avant de partir au boulot.

Djibril comprend vite que j’allais me retrouver seule jusqu’à demain matin. Je discute avec Fabien et en même temps mon amant me déshabille pour me retrouver seulement avec mes bas et mes talons.

Ensuite il me lèche et mordille le lobe de mon oreille. Je frissonne, j’ai du mal à continuer la conversation avec Fabien et je mets fin à son appel.

Djibril m’attrape les cheveux, les tire pour m’obliger à me mettre à quatre pattes.

— Tu es ma petite chienne pour ce soir.

Une claque sur mes fesses, pour m’indiquer qu’il attend une réponse.

— Je suis votre chienne pour ce soir.

— Ton cocu ne le sait pas mais il vient de te laisser dans mes bras jusqu’à demain matin.

En tirant sur mes cheveux, il me promène dans son appartement avant m’installer à plat ventre sur la table basse. Je me retrouve sanglée très fermement sur celle-ci, les cuisses attachées d’un côté et les poignets de l’autre. Il me passe un lubrifiant sur mon anus et il peut mettre son majeur.

— Non, non, je ne

-…

.

Des fortes claques sur mes fesses.

— Tais-toi, on va voir si tu as suivi ton entraînement, autrement je passe la vidéo sur internet.

Bien sûr, je me suis entraînée, mais j’ai peur de la douleur. Il commence à placer sa queue sur mon anus avant l’introduire petit à petit. Je hurle de douleur mais le plaisir prend le dessus. J’ai l’impression d’être écartelée au fur à mesure que son engin entre en moi.

J’aime cette sensation d’être remplie.

Ses jambes sont autour de mes cuisses et ses mains sur mes épaules et le voilà qui commence à imprimer son rythme. Ma respiration s’accélère, je feule, je crie,…

«Au fait, tu es qui» en me claquant mes fesses.

— Je suis votre saloppppppppppe.

— Et ?

— Je suis votre chiennnnnne.

— Est-ce que je dois arrêter de vous défoncer.

— Non, mon cul vous appartient.

— C’est bien, tu es une bonne pute

— Tu aimes te faire enculer comme ça.

— Oh ouuuuuuuuuuui, c’est bon.

— Tu es une chienne.

— Hummmm.

— Sale pute.

— Hummmm.

— Tu es une grosse putain.

Il continue à me traiter de tous les noms, chose que j’approuve à chaque fois.

— C’est bien, ton cul est bien dilaté, un bon cul de salope.

En relevant ma tête j’aperçois son téléphone, et me dis qu’il garde, à nouveau, un bon souvenir de mes exploits.

Au bout d’un moment, il se vide dans mon cul, je suis pleine, pleine de son sperme. Il me détache et me dit.

— Va chez toi, prends une douche et tu reviens avec une belle tenue, une très belle tenue.

J’ai compris sur la tenue que je dois porter, il a tellement insisté.

Je commence à vouloir me rhabiller et il me dit que je pars chez moi comme ça toute nue.

— Mais je…

— Tais-toi avant de dire des conneries.

— Je téléphone à une amie pour qu’elle passe et on va jouer avec toi, ce soir. Tu seras notre jouet.

Je ferme la porte derrière moi avec mes vêtements dans mes mains. Je repense pourquoi je suis venue le voir, c’était pour la vidéo, mais en fait en voilà une de plus. Et puis tant pis, si elles tombent dans les mains de Fabien, je m’en fais une raison.

Une robe légère avec de fines bretelles, des bas, des hauts talons et naturellement pas de sous-vêtements me voilà de nouveau chez Djibril. En attendant son amie, mon amant à continuer de dilater mon anus avec sa queue. Au moment où la sonnette retentit, je suis en train de le sucer. Il m’ordonne de l’attendre, à genoux, mes fesses sur mes talons, les mains derrière le dos et ma langue sortie avec ma bouche ouverte. Ma salive coule entre mes seins.

Il ouvre la porte.

Il embrasse une femme sur la bouche à plusieurs reprises et ils avancent vers moi. Djibril semble avoir une main sur les fesses de cette femme. Je ne réagis pas, je ne veux pas montrer ma jalousie.

— Delphine, je te présente ma petite chienne Eva.

— Eh bien, elle a l’air d’être jeune, donc facile à éduquer, intéressant.

— Oui elle a 21 ans.

Je fais face à une femme d’une quarantaine d’années, à peu près comme mon amant, très grande et visiblement avec un peu de rondeur. Elle est habillée avec un grand manteau, de très hauts talons et un maquillage très prononcé. Elle vient vers moi, me tire les cheveux en arrière et me dit

— On va sortir ce soir, puisque ton cocu de mec n’est pas là. Mais avant je vais te préparer à ma façon

Au même moment, elle dépose un sac devant moi.

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