La vie sorganise au foyer. Eric est toujours aussi prévenant avec Marion, mais elle sait que lui et Julie senvoient en lair quand ils sisolent dans la chambre de la jeune fille. Son mari la invité à les rejoindre mais elle a refusé. De son coté il prend soin de ne pas rentrer trop tôt lors que Loïc a un après-midi libre. Pourtant un jour
Eric rentre de bonne heure. Il se réjouit de faire une surprise à sa Marion. Des gémissements laccueillent dès son entrée. Ah, il avait oublié que Loïc avait une journée libre ! Il sourit, il doit être avec sa mère entrain de senvoyer en lair. Inutile de clamer son arrivée, ils se croiraient obligés dinterrompre la joute et il ne veut pas les priver de leur plaisir. Par contre il aimerait bien savoir comment son fils se débrouille. Il se dirige sans bruit vers la chambre. Par la porte entrouverte il découvre sur le lit Loïc et Marion nus, jouant à la bête à deux dos. Le couple inconscient dêtre épié gémit à qui mieux mieux. Les fesses de son fils attirent lattention dEric. Jusquici il navait jamais eu de pulsions homosexuelles mais là, brusquement, le postérieur qui se démène devant ses yeux éveille un désir impérieux. Il faut quil se le paye ! Loïc lui doit bien ça lui qui ne se gêne pas pour baiser son épouse ! Il savance silencieusement dans la pièce. Dun geste il calme Marion qui laperçoit, lui intimant de ne pas révéler sa présence. La jeune femme le regarde baisser son pantalon et sortir le sexe quelle connait bien. Sa raideur confirme que son mari est en pleine forme. Que sapprête-t-il à faire ? Une double pénétration ? Placée comme elle est sous Loïc cest peu probable. Cest son fils qui va faire les frais du désir de son père ! Effectivement il sapproche derrière le jeune homme et chatouille autour de lanus.
— Oh ! Oui Maman ! sécrie le garçon croyant à une initiative de Marion.
Eric tout en faisant signe à sa femme dempêcher le jeune homme de senfuir, introduit un doigt dans le petit trou et le tourne pour élargir lorifice. Loïc pensant toujours que cest sa mère qui lui procure cette caresse, approuve bruyamment.
— Ouiii ! Continue !
Quand deux doigts pénètrent dans son fondement il prend conscience de la présence de son père et veut se redresser. Marion que la situation amuse len empêche et le serre contre elle. Il reste coincé et la verge fichée dans la chatte de sa mère commence à ramollir.
— Je croyais que cela te plaisait, dit Eric tout en pistonnant dans le cul.
— Quest-ce Aah ! Que tu vas Mmmh ! Me faire Aah !
— Continue chéri, il apprécie ! sécrie Marion qui sent la queue gonfler.
— Je vais te faire découvrir les joies du sandwich fiston, poursuit avec ta mère pendant que je moccupe de tes fesses.
— Oh non ! Tu ne vas pas menculer ?
— Chéri ! Fais quelque chose, il débande ! salarme Marion.
Eric pistonne plus vivement.
— Ah, ça va mieux ! Merci.
— Tai-je fait mal jusquici ? demande le père.
— Euh No-non.
— Fais-moi confiance, tu ne le regretteras pas.
Il prélève de la mouille qui suinte de la chatte encombrée de Marion et en enduit son sexe. Il présente le gland face à lanus.
— Tu es prêt fiston ?
— Euh Oui.
— Ne te contracte pas ! dit-il en poussant un bon coup qui fait entrer la verge jusquà la garde.
— Aïe ! Tu fais mal !
— Cest fini, là, cest fini.
Eric reste quelques secondes immobile, la queue fichée dans le cul de Loïc. Le temps que celui-ci shabitue à la présence insolite dans son intestin.
— Ça va mon fils ?
— Ou-oui.
— Tu vois que ce nétait pas la mer à boire. Recommence à faire lamour à ta mère.
— Oui mon chéri, montre moi que tu nas pas perdu ta vigueur.
Le trio prend ses marques. Après la douleur initiale, la double sollicitation sur sa queue et dans son cul fait trembler Loïc. Jamais avec sa mère ou ses autres partenaires il navait ressenti une telle émotion.
— Nest-ce pas Han ! Que cest Han ! Bon ? interroge Eric.
— Tu es encore Aah ! Meilleur Aah ! Que tout à lheure, renchérit Marion.
Ballotté entre son père et sa mère Loïc ne répond rien luttant contre la montée de la sève pour jouir au maximum des nouvelles sensations éprouvées. A la fin ny tenant plus, il rend les armes.
— Mmmmmmh !
Eric le retire prestement et, pendant que le garçon recherche sa respiration, enfile Marion et, après quelques coups de rein, jouit dans le con encombré de sperme.
— Han ! Han ! Aarrgghh !
Allongés tout les trois sur le lit, ils récupèrent. Loïc ne sest pas rendu compte que son père lavait remplacé.
— Merci Merci Cétait Cétait merveilleux.
— Je suis heureux que cela tait plu, déclare Eric. Sil te plait laisse-nous seul maintenant. Va dans ta chambre thabiller.
Le jeune homme ramasse ses affaires et quitte la pièce en se tenant le derrière.
— Je ne savais pas que tu étais homosexuel, persifle Marion.
— Devant un si joli cul je nai pas pu résister et je pense lui avoir fait plaisir. Tu as vu comment il nous a remerciés. Jaimerais recommencer, et toi ?
Elle reste songeuse. Elle aussi a apprécié cette étreinte où son fils était entre ses deux parents. Jouirait-elle autant si les rôles étaient changés et que son mari soit à la place de Loïc ? Elle sourit devant le sexe flasque dEric.
— Tu devrais prendre une douche si tu veux être en forme quand ta fille arrivera !
— Tu ne veux pas venir avec moi dans sa chambre ?
— Non merci je ne tiens pas à assister à vos saletés.
— Ce ne sont pas des saletés !
— Fiche le camp te laver !
Deux jours après, Eric sapprête à rejoindre Julie rencontrée sur le seuil en revenant du travail. Séchappant de ses bras elle lui avait demandé quelques minutes pour se préparer. Au moment dentrer dans la chambre de sa fille, il a la surprise de rencontrer Loïc quil croyait à la faculté.
— Que fais-tu là ? Tu nes pas avec ta mère ?
— Euh Maman est sortie tout laprès-midi faire des courses.
— Pauvre brimé ! Et tu te disais que vu ce qui sétait passé avant-hier nous pourrions, toi et moi, passer un moment intime ensemble ?
— Euh
— Désolé mais jai à faire. Ta sur mattend.
— Pourquoi faire ?
— Comme si tu ne savais pas ! Je fais avec elle ce que tu fais avec ta mère. Je ne men cache pas.
— Euh Je Euh
— Tu veux me parler ? Fais vite je suis pressé.
— Je Euh Tu Euh
— Laisse-moi deviner. Ta sur qui est devenue une jolie nana, te fait fantasmer.
— Euh Oui.
— Et tu aimerais toi aussi lui faire lamour ?
— Euh
Sur le coup choqué, Eric réfléchi. Vu les relations incestueuses que Marion et lui ont avec leurs enfants, au nom de quoi interdirait-il que le frère et la sur baisent ensemble ? Il décide daider son fils.
— Je peux arranger ça. Vas te déshabiller et reviens nous rejoindre. Je laisserai la porte entrouverte et quand je te ferais signe tu entreras. Tu as compris ? Tu attends que je te fasse signe !
— Oui Papa, jai compris.
Loïc se dépêche daller déposer ses vêtements.
Eric pénètre dans la chambre dont il prend soin de ne pas fermer complètement la porte.
— Que faisais-tu ? Je tattendais, lapostrophe Julie allongé nue sur les couvertures.
— Excuse-moi ma chérie, jai été retardé Tu es de plus en plus belle ! ajoute-t-il en se dévêtant.
Elle se lève à sa rencontre et se love dans ses bras.
— Embrasse-moi ! Oh ! On dirait que je te fais un drôle deffet ! dit-elle en frottant son pubis sur la queue raidie de son père.
Elle le pousse pour quil sassied sur le lit et sagenouille entre ses genoux écartés.
— On dirait quelle était impatiente de me voir cette petite chose, dit-elle en prenant la verge droite à pleine main.
— Petite, petite ! Un peu de respect, mademoiselle !
— Daccord, daccord, elle nest pas si petite que ça. Elle mérite un baiser pour quelle me pardonne !
Julie dépose des bisous sur la hampe puis englobe le gland.
— Mmmh !
— Ça va Papa ? interroge-t-elle avant de reprendre la verge entre ses lèvres.
— Aah ! Tu es merveilleuse !
Par la porte entrouverte il voit Loïc. Le garçon émoustillé par le spectacle de sa sur suçant son père, caresse une queue déjà raide. Eric lui fait signe dattendre. Au bout de quelques instants, ne voulant pas cette fois éjaculer dans la bouche de sa fille, il la redresse.
— Jai envie de toi tout de suite !
Elle veut enfoncer la verge dans sa chatte.
— Non pas comme ça !
Elle le regarde surprise.
-Appuis-toi sur le ventre contre le lit Oui comme ça Ecarte les jambes.
— Oh tu veux menc
— Mais non, je veux te prendre en levrette.
— En quoi ?
— En levrette, cest comme ça que ça sappelle.
Du bout du gland il recherche lentrée du vagin et senfonce dun seul coup.
— Aaaah ! Ouiii ! ajoute-t-elle quand il décapuchonne le clitoris.
Sans cesser ses coups de rein il fait signe à son fils dentrer en silence.
— Ouiii ! Aaaah ! Mmmh ! Papaa ! clame Julie.
— Han Bouge pas, je reviens.
Eric se retire, invite son fils à le remplacer.
— Voilà, je suis là, annonce-t-il pendant que Loïc senfonce dans le con dégoulinant de mouille.
— Aah ! Papa ! Aah ! Cest bon-on Je tai-ai-aimes Oh !
Eric a fait le tour du lit. Julie est toute surprise de le voir prendre sa main alors quelle le croyait dans son dos entrain de la baiser.
— Mais Aah ! Qui ? Aah !
— Ton frère ma chérie, ton frère qui taimes aussi et te le prouve.
— Mais je ne Aah ! Je ne lai Aaah ! laimes pas Mmmh ! Aaaah ! Ouiii ! Ooooh ! Mmmmmmmh !
— Aarrgghh ! éructe Loïc en déversant sa semence
Le frère et la sur reprennent bruyamment leur souffle.
— Vous mavez joué un tour de cochon ! tempête Julie.
— Nest-ce pas quil fait bien lamour ton frangin ?
— Vous devriez avoir honte !
— Ne nie pas quil a su te faire monter aux rideaux.
— Je croyais que cétait toi !
— Cest faux ! Tu as joui même après têtre rendu compte de la substitution.
Julie ronchonne encore un peu puis, se tournant vers son frère, lui caresse le sexe flaccide.
— Tu fais bien lamour va. Je te permets de revenir.
Tout content il lembrasse sur la joue.
— Laisse-nous maintenant, ordonne Eric Cest que je nai pas eu mon content, moi, ajoute-t-il quand Loïc les a quitté.
— A qui la faute !
— Sil te plait.
Elle se laisse embrasser. Il lallonge sur les draps, monte sur le lit et pénètre dun sexe vainqueur la chatte encore pleine du sperme de Loïc
— Tu as eu ce que tu voulais, tu es fier de toi ! reproche Marion lors que le soir dans le lit Eric lui raconte son après-midi.
— Oui, il ne manque plus que tu fasses lamour avec ta fille pour faire le tour des possibilités entre nous quatre.
— Ça va pas non ? Je nai pas refusé à plusieurs copines trop câlines quand jétais adolescente pour succomber à mon âge ! De toute façon qui te dit que Julie serait daccord ?
— Ça ne coûte rien dessayer.
— Il nen est pas question !
— Tant pis, nen parlons plus.
« Pour le moment » pense-t-il, ne désespérant pas de la faire changer davis
— De toute façon on aura plus besoin de se cacher, ajoute-t-il.
— Je ne te suis pas.
— Ben on pourra saimer les uns devant les autres maintenant.
— Parle pour toi ! Ce nest pas par ce que je sais que tu baises avec ta fille et que les enfants senvoient en lair que jai envie de vous voir copuler Et je suis incapable de faire lamour en public, ajoute-t-elle oubliant la séance à trois de lavant-veille. Jai besoin dintimité moi ! De toute façon les enfants et nous ça ne durera pas longtemps. Bientôt ils vont découvrir une âme sur et quitter la maison. Profites-en tant quil est temps !
— Comme si tu nen profitais pas aussi ! grogne-t-il de mauvaise humeur.
Oui il le sait bien que Loïc et Julie trouverons chaussure à leur pied et sen iront Mais ce nest pas demain la veille se rassure-t-il. il a encore le loisir de jouir de ses deux femmes et, à loccasion de son fils Et puis, si nouveaux venus il y a, ils ne seront peut-être pas contre les échanges familiaux Il sendort sur ces pensées réconfortantes
Fin