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Alice, une belle salope – Chapitre 1




Un jour, sur Meetic je reçois un message me disant que suite à mes mails, elle acceptait de me rencontrer sur Aix .

Surpris je recherchais l’historique des mails envoyés ou reçus et là, constatation faite, un seul mail je lui avais envoyé ventant son physique mais comme il n’y avait aucune photo ?

Elle disait avoir 57 ans être mince, rousse, 1.65, 52 Kg, bof pourquoi pas donc je répondis à son mail, lui transmis mes coordonnés et l’espérant sans trop attendre .

Et donc me voilà vers mi septembre sur Aix, rendez vous donné par Elle, Alice, dans un bar Le Darius, situé à proximité des nouvelles galeries marchandes au dessus du parking .

Apéritifs pris Alice avenante légèrement vêtue d’une fine robe d’été à pois, à la fois moulante , vaporeuse, bien décolleté, j’avais une jolie vue sur deux beaux petits globes de bonne tenue .

Le repas passé, nous marchâmes la main dans la main échangeant quelques baisers dans des coins de portes, et bien qu’il soit près de minuit, il y avait peu de circulation piétonne .

Faut dire que les étudiants n’étaient pas encore en fac dans ce moment et la population d’Aix, alors en cet fin d’été fortement réduite .

Nous en étions à bavarder de nous, envisageant de nous revoir, dans l’encoignure de la porte d’un garage privé, serrés l’un contre l’autre , elle le ventre en avant, me faisant maintenir une belle érection, et tout en parlant je lui demandais à caresser un sein, en même temps je joignais le geste à la parole et ma main droite saisie pleinement son sein gauche .

Aussitôt elle se pâma, se mit à glousser, et commença à perdre le sens de la réalité .

Je jouais avec sa pointe durement érigée par mes petits pincement, elle se tortillait, donnait des a coups avec son bassin, il lui fallut peu de temps pour saisir à travers mon jeans, ma queue et la presser entre ses doigts .

Tout étonné j’avais là une belle femme toute réactive au sexe .

Pensez bien que j’en profitais pour aller plus en avant, enfin plus en bas, plutôt . Elle dans le coin de la porte moi devant il faisait assez sombre, et le peu de passants circulaient assez loin à une dizaines et plus de mètres, donc nous n’accrochions pas l’attention !

Donc elle me masturbant à travers mon jeans je glissais ma main sous sa légère robe d’été, et accédais à son entrejambes, je sentis la douceur de son string, déjà bien humide, le renflement des ses lèvres déjà entrouvertes lorsque mon index passant sous l’élastique atteignit, l’entrée de sa chatte . Sans attendre j’enfonçais mon doigts qui glissa sans retenue en elle .

Oh le soupir qu’elle poussa, et en même temps la crispation de plaisir la faisant s’accrocher à moi vivement .

Je lui susurrais à l’oreille que je voulais la prendre là, maintenant debout en pleine rue, elle balbutiait que non,que non il ne fallait pas, mais tout en positionnant une de ses jambes autour d’une des miennes, alors lui dis je je vais te faire jouir quand même, ici, oui disait elle, ouiiiiiiii, gargouillait elle, les larmes aux yeux, la salive en coin de lèvre .

J’entrepris de la masturber vaginale ment sans précaution et avec une certaine vivacité, mais un peu gêné par son sous vêtement je le fis glisser sur ses cuisses, et elle d’un mouvement rapide réussit elle à le faire descendre à ses pieds et subrepticement à le récupérer et le mettre dans son sac accroché à son épaule, puis d’elle même aussi surprenant que ça pu l’être remonta le devant de sa robe, et replaça sa jambe derrière la mienne, j’eus dès ce moment le champs libre pour la pénétrer de mes doigts, index et majeur, ma main en conque, la paume de celle ci, lui frappant à chaque allers retours sur le clito, elle ne tarda pas a être trempée et à perdre le contrôle d’elle même . Sa tête roulant de droite à gauche, émettant des borborygmes de plaisir . J’avoue que entre la malaxage de son sein, et ma masturbation, perdre la raison dans le plaisir, rien d’étonnant non plus, qu’elle ait la main crispée sur ma queue .

Elle joui longuement tout en se raidissant, les yeux chavirés, exhalant de longs jets lui arrosant les cuisses et mon jeans, bien entendu . Il fallut que je la soutienne, ses jambes ne la soutenant plus , une main dans chatte, de l’autre sous un bras je l’ais maintenue ainsi quelques minutes jusques au moment ou retrouva ses esprit .

J’ai pris du plaisir à lui en donner et à lui voir prendre le sien avec autant de démonstration, je retirais alors ma main de son sexe, caressant une cuisse trempée, pour ensuite la porter à nos bouches ou chacun de nous suça mes doigts, goûtant son doux écoulement de cyprine .

Elle remis un peu d’ordre en laissant retomber sa jupe, me sourie en me disant, Salop, tu m’as sacrément faite jouir . Je souris à cet aveu, mais voilà que la lumière de sécurité s’allume et la porte se met en mouvement, nous laissâmes la place à celle ci pour s’ouvrir, une voiture sorti et avant que la porte ne se referme nous voilà à pénétrer dans ce garage .

une fois la porte refermée, contre une voiture, je l’entrepris de nouveau , je lui baissais les bretelles de sa robe ainsi que celles du soutien gorge, et deux beaux petits globes m’apparurent , effectivement son 85 B était de bonne tenue, elle minaudait, non,non disait elle mais je lui malaxais les seins avec plaisir, triturant ses pointes, et bien sur toutes velléités disparurent, elle se dandinait, si je tirais vers le haut ses bouts de seins elle se mettait sur la pointe des pieds, je lui demandais de remonter sa robe sur ses hanches , ce qu’elle fit avec empressement , je lui demandais aussi de tourner sur elle même, de manière à admirer ses jambes, ses fesses et elle sexécuta sans réserve, aucune .

Plusieurs fois elle répéta le mouvement même lorsque je lui demandais de se pencher pour avoir une vue sur son cul et sa chatte elle le fit avec plaisir écartant ses jambes d’elle même, passant sa main entre ses jambes pour écarter ses lèvres de sa chatte et me demandant si je lui plaisait ainsi , affirmativement je lui répondis, que j’étais aux anges . Elle se releva, me fis face entrepris de défaire mon ceinturon maladroitement, je l’aidais aussi à défaire les boutons de mon 501, elle baissa mon jeans à mi cuisse, je la laissais faire, elle mis sa main dans mon boxer, en sortie ma queue raidie et dure, minaudant elle murmura qu’elle lui plaisait, la caressant, gentiment de ses deux mains, de ses doigts tout en douceur palpant le gland, caressant celle ci à pleine main, les yeux rivés dessus, puis elle s’accroupie sur ses talons et toujours en minaudant entrepris de jouer avec elle avec sa bouche ou se relevant légèrement la passant sur ces seins pour revenir la prendre en bouche la suçant avec délectation, à la voir elle vivait cette queue dans sa bouche, puis me tenant par une cuisse elle l’avala jusqu’à la garde, donnant des à coups de tête, pour l’avoir plus en elle et la gardant ainsi dans sa gorge un moment pour se retirer lentement et répéter le mouvement plusieurs fois, alors je me sentis concerner de l’aider en maintenant sa tête contre mon bassin , pour ensuite lui empoignant les cheveux , je lui impulsais les mouvements de plus en plus rapides, pour l’aider à faire cette pipe dont elle avait tellement envie de me faire .

Bien entendu, je ne durai pas longtemps à ce régime là et je m’éclatais éjaculant en longs jets pleinement dans sa bouche, elle en eu la bouche pleine, mais elle aspira le gland avec force me vidant complètement la queue, le foutre coulait de la commissure de ses lèvres, elle avala en plusieurs gorgées tout en me tripotant doucement les couilles elle continuait à sucer avec application , j’en avais les jambes tremblantes de cette fellation, et j’avais encore ma queue bien raide, malgré qu’ayant déchargé, je lui dis alors , " arrête de sucer, Alice, lève toi je vais te baiser", elle me regarda en souriant se remis debout se déplaça de contre la voiture pour se positionner sur le dos sur le capot de cette 206, garée là, dès qu’elle fut sur le dos, elle releva et écarta ses jambes je la tirais un peu à moi et m’enfonçais alors en elle sans difficulté, trempée qu’elle était encore une fois et je me mis à la besogner sans ménagement .

Putain qu’elle était chaude sa chatte était un velours, je la tenais par les hanches elle ses jambes sur mes épaules ses mains accrochées à mes poignets et elle accentuait les coups de boutoir que je lui assénais et la voilà à nouveau à jouir comme une fontaine un long jet que je reçu sur ma toison, sur mes couilles .

Elle feulait, couinait, transpirante les cheveux collés sur son visage la sueur en gouttes entre ses seins, ah oui quelle bonne baiseuse et moi qui n’arrivais pas encore à jouir, bien qu’ essoufflés, je continuais à la pilonner ramonant sauvagement son con, et elle délirais de plaisir … Ah oui encore, plus fort, Aaarhhh en flots mêlés, incontrôlés, des mots s’échappaient de sa bouche, ses ongles dans la chair de mes poignets témoignés de son abandon, de sa crispation dans la jouissance, finalement je jouis une fois de plus, en une sauvage et profonde pénétration qui la fit crier, de douleur où et de plaisir je ne sais , et le m’abattis sur elle le souffle court, étourdie, les chandelles devant les yeux .

Pour un premier rendez vous, Bonjour, le bonheur assuré !!!

Je débandais tranquillement, le foutre et sa cyprine s’écouler de sa chatte, coulant sur le capot de la 206, je descendis ses jambes de mes épaules, elle roula de coté, toujours dans état second, j’ai encore la vison de ses poils de sa chatte, de son périnée trempé,avec la liqueur blanchâtre s’écoulant en rythme avec sa respiration courte , finalement elle se laissa glisser du capot, sur l’avant de la voiture se tenant affalée sur le capot , le visage défait, sa tenue débraillée, puis lentement se remit debout complètement défaite, un temps pour reprendre ses esprits, et remit sa robe relativement en place, puis elle fit le tour ramassa son sac parterre, sortie ses clefs, actionna le bip ouvrit la portière et s’assit sur le siège, elle était épuisée de luxure et de jouissance, elle me dit, je vais rentrer, tu m’as tuée, tu m’as mis la chatte en feu, je rentre il le faut .

je restais à la regarder, je remontais mon jeans, elle actionna l’ouverture de la porte du garage, je me boutonnais et remis mon ceinturon, demain je t’appelle me dit elle en mettant le contact et démarrant sans plus attendre, me plantant là .

Je repartis les jambes flageolantes reprendre ma moto à quelques mètres de là, j’avoue bien content de poser mon cul sur la selle ! je fumais une clope, et repris la route pour Marseille .

Je la revis plus tard, quelques jours après .

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