Les deux semaines de vacances de mon copain étant terminées, celui-ci devait venir chercher Bingo chez moi dans l’après-midi. Ce matin-là, je me levai vers huit heures. Je préparai les croquettes pour Bingo et Nougat et me préparai une tranche de pain et une tasse de café que je bus devant le téléviseur.
Vers onze heures, je montai dans ma chambre pour prendre une douche et me changer. Je préparai ensuite le dîner et, après avoir mangé, allai promener les deux chiens dans le parc. Je revins vers treize heures, peu avant l’heure à laquelle Jean devait passer pour récupérer Bingo. En attendant l’arrivée de mon copain, je décidai de revoir un épisode de "Friends" enregistré quelques jours auparavant.
Environ quarante minutes plus tard, on sonna à la porte. J’allai ouvrir, Bingo et Nougat sur mes talons. Les deux chiens aboyaient tristement, s’attendant probablement à voir Jean et à devoir se séparer pour un long moment. Lorsque j’ouvris la porte, j’eus la surprise de voir Roger, le père de mon copain, sur le pas de la porte.
« Bonjour, Élodie! Jean a dû aller régler une urgence chez un ami. C’est donc moi qui viens récupérer Bingo. Alors? Ça s’est bien passé avec Bingo? Oh. Et je vois que tu as un deuxième chien.
— Oui, oui. Tout s’est très bien passé. Bingo a été super. Et le deuxième chien s’appelle Nougat. Je l’ai trouvé tout seul dans la rue sans collier donc j’ai décidé de le recueillir.
— Tu as fait attention au moins? Il a peut-être des maladies…
— Oui, ne vous inquiétez pas. Je suis allé voir le vétérinaire et il m’a assuré que Nougat n’avait rien.
— Bon, très bien. Bonnes vacances à toi et profite bien.
— Vous aussi, Monsieur Dupré.
— Appelle-moi Roger. Bon, allez. Viens Bingo. Dis au revoir à Élodie.»
Bingo se dirigea vers la porte mais, au moment où je voulais le prendre dans mes bras pour lui dire au revoir, il approcha son museau de mon entrejambe et se mit à le renifler, ce qui intrigua beaucoup Roger.
« Tiens… Il ne se comporte pas comme ça d’habitude. Il s’est passé quelque chose?
— Non, rien. Ce qu’il vient de faire est sûrement isolé et involontaire.»
Mais Bingo ne sembla pas vouloir m’aider dans mon mensonge. Le chien de mon copain mit sa tête entre mes jambes et me lécha l’intérieur des cuisses. Roger pâlit.
« Élodie… Dis-moi tout. Que s’est-il passé? Bingo ne s’est jamais comporté de la sorte avant. La seule raison que je vois à ce changement de comportement serait… Non. Tu n’aurais tout de même pas…?»
Je commençai à rougir de honte et de peur. Roger avait découvert mon secret et je ne voulais pas que mon écart avec Bingo puisse affecter ma relation de couple avec mon petit ami. En me voyant rougir devant son hypothèse, Roger écarquilla les yeux de surprise. Puis, reprenant ses esprits, il éclata de rire et dit:
« Eh bien, Élodie! Tu me plais! J’ai toujours dit que tu serais la belle-fille idéale. Et pas seulement pour mon fils. Mais pour moi aussi. Si tu savais le nombre de fois où je me suis branlé en pensant à toi…
— Mais enfin, Roger! Je suis la copine de ton fils! Et ta femme dans tout ça?
— La copine de mon fils? Tu l’aimes tellement que tu le trompes à la première occasion et avec son propre chien, en plus, ce qui veut dire que, de toute évidence, il est totalement nul au lit. Quant à ma femme, elle ne peut plus me donner ce que je veux depuis longtemps mais toi, tu peux. Donc, fais-moi entrer et je te promets que tu oublieras très vite tes pulsions zoophiles car tu n’auras même plus de place pour ton chien. De toute manière, tu n’as pas le choix. Soit je te baise comme tu le mérites et tout cela restera entre nous, soit je raconte tout ce que j’ai découvert à ma femme et à mon fils. Alors? Que choisis-tu?»
Ce fut honteuse et excitée à la fois que je laissai entrer Roger et le fis monter jusque dans ma chambre en compagnie des deux chiens.
Il s’allongea ensuite sur mon lit et déboutonna son pantalon.
« À poil!» me lança-t-il.
Sans discuter, je me mis nue devant lui et le rejoignis sur le lit. Je fis glisser la fermeture Éclair de son pantalon et fis tomber le vêtement au sol, ne laissant plus que son boxer comme rempart à sa nudité. À travers le tissu, je pouvais distinguer très nettement les contours du sexe de Roger. Je glissai mes mains entre son ventre et son boxer et fis tomber le sous-vêtement au sol, libérant sa queue toute raide.
Roger retira sa chemise et la jeta au sol. Il me prit ensuite la tête d’une main et dirigea sa bite vers ma bouche de l’autre, m’imprimant un rythme de fellation soutenu. Lorsqu’il eut l’impression que je prenais le rythme, Roger me lâcha la tête et me laissa continuer de le sucer. J’en profitai pour saisir la base de sa queue de ma main gauche tandis que ma main droite caressait ses abdos saillants.
«Hum!!! C’est bon… Oh oui! C’est ça, Élodie! Suce!»
Je poursuivis mes va et vient sur le sexe imposant de Roger en lui massant délicatement les testicules de ma main droite durant quelques dizaines de secondes puis le père de mon copain fit sortir sa bite de ma bouche et se plaça derrière moi.
« Waouh!!! Quel cul! Tu es toujours vierge de ce côté?»
Je secouai la tête en signe de négation. Roger sourit.
« Eh bien, on peut dire que Bingo t’a fait repousser tes limites…»
Sur ces mots, sans que je ne m’y attende, Roger enfonça son énorme bite dans mon anus, me faisant émettre un petit cri de surprise qui se transforma rapidement en un hurlement de plaisir. Roger se pencha sur moi.
« Alors, tu aimes?
— Oh oui, Roger! J’aime sentir ta grosse bite en moi! Vas-y; baise-moi fort!»
Encouragé par mes paroles -qui étaient sincères-, Roger poursuivit ses va et vient dans mon anus, ses couilles frappant mes fesses à chaque rentrée de sa queue dans mon orifice.
Le père de mon copain me saisit les seins et se mit à la malaxer avec frénésie tandis que son sexe me labourait toujours l’anus.
« Oh! Hum… ROGER!!! Oh OUI! VAS-Y! PRENDS LA PLACE DE TON FILS EN MOI!!!»
Je continuai à pousser des cris de plaisir accompagnés de paroles aussi salaces que sincères -eh oui, mon copain ne m’avait jamais donné autant de plaisir que son père à ce moment-là. Mais bon, les circonstances étaient différentes-.
Tout à coup, Roger poussa un râle de plaisir et se figea. Je sentis alors un liquide chaud me remplir le cul.
Roger se retira de moi et essuya son gland sur mes fesses. Il se rhabilla et m’annonça ce qu’il voulait pour la fois suivante.
« Bon, aujourd’hui, je n’ai pas pu te baiser comme je l’aurais souhaité mais demain, j’aurai congé. J’en profiterai donc pour venir t’honorer. Mais avant que je ne parte, j’aimerais que tu me montres comment tu baises avec les chiens.»
Honteuse et excitée à la fois, je descendis de mon lit et allai rejoindre Bingo et Nougat qui étaient demeurés couchés au sol pendant mon ébat avec Roger. Je caressai ensuite les crânes des deux chiens et leur demandai gentiment de se retourner sur le dos. Bingo et Nougat obtempérèrent. Je caressai leurs poitrails afin de les exciter puis, lorsqu’ils furent bien "préparés", je me mis à quatre pattes entre Bingo et Nougat et suçai celui-ci, offrant ma croupe au chien de mon copain.
Sans se faire prier, Bingo se redressa sur ses pattes arrière et enfonça sa verge en moi sous le regard excité de Roger. Bingo tint la cadence durant une bonne dizaine de minutes avant de s’immobiliser et de jouir dans mon anus à l’instar de son maître quelques minutes auparavant dans un gémissement de plaisir.
Bingo se retira de mon orifice et se coucha au sol aux pieds de Roger, épuisé par sa performance. Nougat ne tarda pas à jouir à son tour sous les assauts de mes lèvres et de ma langue sur son sexe canin. Ma bouche remplie du sperme de Nougat, je fis sortir délicatement la bite du chien de ma bouche et avalai la semence. Je me retournai ensuite vers Roger et ouvris la bouche pour lui montrer que j’avais bel et bien avalé le sperme de Nougat.
« Bravo, ma belle. Tu as été géniale! Bon, il faut que j’y aille. À demain.»
Il se pencha vers moi et me donna un sulfureux baiser sur la bouche. Avant de quitter ma chambre en compagnie de Bingo, Roger me chuchota à l’oreille:
« Je viendrai avec Axel demain.»
Le père de mon copain sourit et tourna les talons, content de l’effet que ses paroles avaient eu sur moi. En effet, Axel était le frère cadet de mon petit ami Jean. Il venait tout juste d’avoir seize ans et, apparemment, son père souhaitait l’impliquer dans notre relation, ce à quoi je ne pouvais et n’étais pas sûre de vouloir dire non…
