Je ne sais si tu as reçu mon précédent message ! Je suis pour l’instant aux Etats-Unis et dans ma (vaste) chambre d’hotel, n’ayant rien d’autre de particulier à faire cette soirée, je me suis dit, mais pourquoi ne pas préparer pour ch67 un petit mémo érotique et vécu d’une de mes dernières aventures qu’elle recevra sur son mail dés mon retour ?

Tu me demandais dans ton dernier message ce que faisait ma compagne (depuis 10 ans) pour m’exciter et comment, finalement, elle avait pû en arriver à être bi-sexuelle ?

Je t’ai répondu qu’en fait la plupart des femmes avaient une tendance bi-sexuelle (au contraire de la plupart des hommes) ; ma femme ne déroge pas à la régle et une fois, qu’avec moi, elle eût passé le cap (il y a quelques années déjà), elle n’a eu de cesse que de multiplier certaines expériences, bien sûr en ma présence !

Ainsi, un jour, il y a de cela environ trois semaines, de retour d’un vol exténuant, je la surpris à la maison en fort galante compagnie.

Il n’y avait pas de mal puisqu’elle m’avait prévenu que des amis seraient vraisemblablement là lorsque je rentrerais.

Dans le salon les tentures étaient tirées et sur un des divans, Geneviève se faisait copieusement lêcher par une ravissante blonde d’une trentaine d’années.

Elle était encore habillée et avait simplement relevé sa courte jupe autour de sa taille pour s’installer à califourchon, sans string, sur la bouche de la demoiselle en question (Angèle).

Angèle agissait de même, jupe relevée et allongée sur le dos, elle se faisait lêcher par une deuxième jeune-femme, brune de cheveux qui avait retiré son chemisier et se caressait fermement la poitrine qu’elle avait forte et opulente sous son soutien-gorge.

Sur l’autre divan un homme que je ne connaissais (mais dont j’appris par la suite qu’il était le compagnon d’Angèle) se masturbait en les regardant toutes les trois, le sexe dressé (et de belle dimension), sorti de son pantalon.

Mon sang ne fit qu’un tour (mais dans le bon sens) et je ressenti immédiatement une énorme excitation s’emparer de ma bitte (qui est trés longue et trés grosse – ce qui a toujours surpris les femmes pour quelqu’un de petite taille comme moi !).

Ma femme me demanda entre deux soupirs de me mettre à l’aise et de les rejoindre, ce que je fis sans me faire prier, après m’être servi un verre.

Après m’être dévêtu, la bitte dressée et douloureuse, je m’installais dans un des fauteuils pour jouir du spectacle.

Je fis trés attention de ne pas me masturber trop vigoureusement afin de conserver le plaisir pour d’encore plus chaudes caresses.

Geneviève et Angèle changèrent de position et s’installèrent confortablement en 69, ma femme au-dessus de sa compagne comme à son habitude.

La jeune-femme brune (Martine) se plaça derrière ma femme et s’entreprit de lui caresser la raie des fesses et le trou du cul avec l’un de ses seins dont le têton était fortement durci par l’excitation !

Le jeune-homme du divan (le compagnon d’Angèle qui se prénommait Olivier), laissa tomber pantalon et chemise et se placa derrière Martine pour l’enfiler de belle façon.

Martine eu l’air un peu surprise lorsque cette bitte non attendue lui pénètra le vagin mais réagit avec moultes soupirs, releva les cuisses et les fesses et se laissa prendre tout au fond de sa chatte humide.

Elle n’en continuait pas moins de se frotter les seins qu’elle prenait à pleines mains sur les fesses de ma femme.

C’est Olivier qui jouit le premier ; après quelques mouvement rapides dans la chatte de Martine, il se retira et se masturba la bitte jusqu’à l’orgasme entre les fesses de la demoiselle en question qui soupirait de plus belle !

Angèle jouit pratiquement simultanément dans la bouche de ma femme et sous l’excitation elle lui prit la taille entre ses mains et l’attira plus fort encore contre ses lèvres ouvertes.

Geneviève ne jouit pas sur le moment, contrôlant elle aussi son plaisir !

Quant à moi, j’étais au bord de l’explosion mais me retint en feignant boire une gorgée de mon scotch dont le glaçon avait pratiquement (lui aussi) fondu entièrement !

Après ce premier ’tour de piste’ et s’être quelque-peu désaltérées, ces dames entreprirent mutuellement de s’enlever les dernières pièces de vêtements qu’elles portaient encore.

Angèle enleva le chemisier et le soutien-gorge de ma femme qui elle pendant ce temps caressait fermement les seins et les fesses de Martine.

Martine avait encore le sperme d’Olivier sur les fesses ce qui eut le don d’exciter Geneviève au plus haut point.

Elle étendit la liqueur entre les fesses de sa comapgne avec les doigts prenant bien soin de ne rien en perdre ; elle se laissa ensuite tomber à genoux et se mit à lêcher les fesses et la raie du cul de Martine.

Olivier qui avait repris quekques couleurs se faisait à cet instant vigoureusement suçer la bitte par Angèle qui à présent était nue, hormis son soutien-gorge, mais les seins à l’air, les têtons dressés !

Geneviève et Martine,debout, se tripotaient gentiment les seins, les chattes, les fesses ; des doigts pénétraient tous les trous rencontrés et les langues jouaient de belle façon dans les bouches et sur les lèvres !

Elles étaient toutes les deux cuisses écartées et gémissaient de plus belle !

Angèle était à genoux devant Olivier qui lui avait retrouvé une raideur exemplaire.

Je m’approchais d’Angèle et elle commenca à me branler de la main gauche, la droite étant occupée par la bitte d’Olivier.

Cette ravissante jeune-femme (qui avoua par la suite que c’était sa première expérience de ce type) nous suça alternativement Olivier et moi-même, arrivant même a pratiquement prendre nos deux bittes ensemble dans sa bouche grande ouverte !

Je lui demandai de se mettre à genoux tout en continuant à suçer Olivier ce qu’elle fit sans se faire prier.

En levrette je me mis rapidement à lui bourrer la chatte qu’elle avait mouillée de façon incroyable ; son clitoris présentait une véritable érection et pointait entre les lèvres de son sexe, à tel point qu’à chaque mouvement je le sentais me frotter le gland !

Je dus faire un gros effort pour ne pas exploser à cet instant.

La vision de cette femme se faisant baiser pendant qu’elle suçait une autre bitte avait en effet de quoi dérider le plus coriace des pasteurs anglican !

D’autant que Geneviève et Martine s’étaient à ce moment allongées sur le sol et poursuivaient leurs caresses les plus intimes devant nous.

Je quittais la chaude chatte d’Angèle pour m’approcher des deux femmes ; Geneviève s’empara de ma bitte, la suça quelques instants et me demanda de baiser Martine devant elle.

Martine, à son tour, se mit à genoux et j’entrepris de lui prendre la chatte en levrette en faisant toutefois fort attention (une fois de plus) à ne pas jouir immédiatement.

Geneviève s’allongea sur le dos, la tête entre les cuisses de son amie qu’elle lêcha de plus belle pendant que je la défonçais.

Martine ne tarda pas à pousser un (quasi) hurlement de plaisir et jouit (pratiquement une éjaculation) dans la bouche de ma femme qui pendant toute ’l’opération’ se masturbait le clitoris de la main droite.

Je me retirais de la chatte de Martine la queue en feu et toujours douloureusement dressée.

Geneviève s’approcha alors d’Angèle et d’Olivier qui poursuivaient leur fellation.

Elle s’empara de la queue d’Olivier et se mit à la suçer de concert avec son amie.

Je crus que le jeune-homme allait défaillir, mais il se retint !

Geneviève se plaça ensuite sur la bitte d’Olivier, à califourchon, cuisses largement écartées, tête rejetée en arrière.

Je voyais cette queue pénétrer ma femme, lui labourer la chatte et glisser entre ses fesses.

Ce fut un grand moment d’excitation.

Quant Olivier fut sur le point de jouir pour la deuxième fois, Angèle qui était à genoux derrière eux s’empara de sa bitte et en deux ou trois mouvements de la main le libéra de sa liqueur sur les fesses de Geneviève et sur sa propre bouche.

Elle lêcha consencieusement la raie du cul de Genviève pour ne rien laisser de ce liquide qu’elle devait trouver sublime.

Ma femme toujours à califourchon sur les jambes d’Olivier était au bord de l’orgasme.

Elle lacha tout au moment où Angèle lui enfonca deux (ou trois) doigts dans la chatte en prenant bien soin de lui introduire le pouce dans le trou du cul !

C’est Geneviève qui entreprit de me libérer à la main.

Elle me demanda de me mettre debout, jambes écartées au-dessus d’Angèle qui s’était allongée sur le sol. Elle me branla doucement de longues seondes et ne pouvant plus me retenir, j’éjaculais au-dessus d’Angèle qui prit quelques bonnes giclées de sperme chaud sur le visage et les seins.

La pauvre Angèle, à ma connaissance n’avait pas encore jouit.

Geneviève lui demanda de se faire venir devant nous en se masturbant.

Ce qu’elle fit sans se faire prier plus avant.

Ecartant les cuisses, assise dans un des fauteuils, ses doigts s’agitèrent agilement sur (et dans) sa chatte (qu’elle avait pratiquement rasée).

Geneviève lui suçait le sein droit et Martine (remise de sa première émotion) le têton gauche.

Elle vint dans un grand soupir d’extase la fente ouverte et toute humide.Il ne devait y avoir qu’une toute petite heure à peine que j’étais rentré et nous avions déjà tous les cinq atteints des sommets insoupconnés de jouissance.

Les filles s’égaillèrent dans la salle de bains nous laissant, Olivier et moi même, essouflés, en contemplation devant nos verres à moitié vides.

Je ne tardais d’ailleurs pas à les remplir et engageais la conversation avec Olivier qui s’avéra être, métier rare s’il en est, pilote de Canadair dans le sud de la France (ces avions citernes utilisés dans la lutte contre les feux de forêt).

Nous entendions les cris joyeux des filles dans la salle d’eau ce qui eut, comme il se doit, le don de nous émoustiller à nouveau.

Ces dames ayant apparemment terminé leurs ablutions aquatiques et ayant, à ce qu’il me sembla, gagné la grande chambre, je suggérais à Olivier d’aller à notre tour nous rafraîchir quelque-peu.

Ce que nous fîmes l’un et l’autre dans un bel et touchant ensemble, unis à présent par la même complicité à l’égard des choses de la vie.

Lorsque nous sortîmes de la salle de bains, des soupirs à fendre l’âme (et le reste) d’une vierge de la Sainte-Famille nous attirèrent irrémédiablement vers la porte de la grande chambre qui était demeurée grande ouverte, lumières (tamisées) allumées.

Geneviève était assise au bord du lit, une bitte en caoutchouc de belle dimension attachée par une ceinture autour de la taille.

C’était là un de ses ’jouets sexuels’ favoris.

Martine lui tournait le dos et s’empalait sur l’engin dans un lent mouvement de va et vient, Geneviève lui tenant fermement les hanches, les yeux mi-clos et la bouche grande ouverte par l’excitation.

Martine, légèrement penchée en avant s’appuyait sur Angèle, debout devant en elle, tout en lui pétrissant la poitrine des deux mains.

Les filles changèrent subitement de position.

Angèle se mit à quatre pattes sur le lit et ma femme lui fit cambrer les reins au maximum tandis qu’elle lui enfoncait la bitte en caoutchouc dans la chatte avec un rapide mouvement de va et vient.

Le dildo étant de couleur noire, je pouvais le voir briller de la liqueur blanche sortant de la chatte d’Angèle à chaque mouvement.

Angèle gémissait doucement tandis que Geneviève, les yeux écarquillés s’excitait à regarder le trou largement ouvert de son amie prendre le plaisir qu’elle lui donnait.

Martine elle aussi regardait, une main se caressant un sein, l’autre se masturbant la chatte.

Martine se placa, tête entre les jambes d’Angèle et se mit à lui lêcher son intimité tandis que Geneviève continuait à la baiser.

Dans cette position Martine avait les cuisses grandes ouvertes et son bassin était atteint de mouvements rotatifs donnant le parfait sentiment qu’elle était en train de se faire défoncer la chatte.

Ses doigts montaient et descendaient sur sa vulve, pressaint le clitoris, pénétraient le vagin ; à un certain moment, elle s’introduisit alternativement un doigt dans le vagin et un autre dans son petit trou du cul tout serré qui apparemment ne demandait que cela !

Olivier décida de la calmer quelque peu avec son sexe raidi et la pénétra donc pour la libérer d’un orgasme qu’elle attendait déjà depuis un moment.. Quand Martine eut joui, ma femme et Angèle interrompirent leur jeu et nous demandèrent de les baiser par tous les trous pour qu’elles aussi puissent atteindre leur plaisir.

Olivier et moi ne nous fîmes pas prier.

Les deux femmes s’installèrent à genoux sur le lit, serrée l’une contre l’autre, les fesses cambrées au maximum, cuisses écartées, leurs trous bien ouverts.

Elles s’embrassaint dans la bouche et se pétrissaient mutuellement les seins d’une main.

Olivier s’installa derrière ma femme et fit glisser sa bitte entre les lèvres de sa vulve, tout à l’entrée du vagin avant de la lui enfoncer profondément !

Je fis de même avec Angèle qui était toute chaude et? trempée comme si elle sortait de son bain !.

Olivier glissa ensuite sa bitte à l’entrée du petit trou de Geneviève avec la nette intention de la sodomiser.

Je lui demandai d’attendre un petit peu car même si Geneviève appréciait particulièrement de jouir de cette façon, elle appréciait encore plus une bitte la bourrant sans douleur aucune.

Je m’emparais donc du petit pot de crême spéciale prévu à cet effet (et acheté par correspondance chez Pabo) et demandais à Olivier d’en étendre un petit peu à l’entrée du trou de cul de ma femme ; ce qu’il fit avec un réel plaisir.

J’en fis de même pour Angèle qui rien qu’à ce contact fut sur le point de jouir.

Olivier recommenca son approche, délicatement et enfonca progressivement sa bitte de plus en plus profondément dans la porte étroite de Geneviève.

Ma femme tourna la tête en arrière et je vis qu’elle avait les yeux révulsés de plaisir, donnant l’impression d’être pratiquement au bord de l’évanouissement.

Elle avait la bouche grande ouverte et respirait bruyamment ; elle se tenait fermement aux épaules d’Angèle avec laquelle, personnellement j’avais repris ma pénétration vaginale.

Me retirant de la chatte d’Angèle, je lui demandais de s’installer à califourchon sur le dos de Geneviève pour que leur deux culs soient en quelque sorte superposés et bien ouverts et prêts à subir alternativement les assauts d’Olivier.

Les deux femmes ne se firent pas prier et s’installèrent dans cette position, présentant, ma foi, un bien charmant tableau des plus érotiques.

Olivier, lui non plus ne se fit pas prier et bourra alternativement les deux chattes et les deux culs.

Chacune y prit plus que son plaisir.

Quand Angèle jouit,la bitte d’Olivier dans le cul, elle serra fermement les seins de ma femme (85C) entre ses doigts en poussant un long soupir de soulagement.

Elle resta en position tandis qu’Olivier se chargeait de Geneviève.

Personnellement je ne trouve rien de plus excitant que de voir la femme qu’on aime se donner du plaisir avec un autre homme et en jouir.

Je demandais à Martine qui récupérait doucement de bien vouloir me branler pendant que je les regardais faire.

Nous nous mîmes donc dans une position qui permettait à Geneviève de nous regarder et bien sûr de me voir éjaculer entre les doigts de Martine.

Je pense que tous les trois nous avons pratiquement joui au même moment.

Moi dans la main et sur les seins de Martine, Geneviève sous les assauts de la bitte d’Olivier et Olivier, se retirant au dernier moment, entre les fesses écartées de ma femme.

Martine, qui demeurait quelque peu en reste, entreprit de nous lêcher les bittes ainsi que les fesses de ses deux amies.

Geneviève décida alors de la faire jouir avec ses doigts, rapidement pour la libérer de cette tension qui montait à nouveau en elle.

Assises sur le lit, dans les bras l’une de l’autre, elles se fouillèrent mutuellement les chattes en s’embrassant à pleine bouche.

Geneviève jouit une nouvelle fois, au moment où Martine coula sur ses doigts.

Ce fut une superbe et chaude soirée (par une froide soirée de printemps) !

Rien que le fait de me remémorer tout cela, je dois bien t’avouer que ma queue est toute raide et sur le point d’exploser.

Je ne tarderai pas d’ailleurs à me faire venir au souvenir de ces étreintes.

Qu’en penses-tu toi ?

Aimerais-tu venir participer avec nous, un jour ?

Seule ou avec ton mari ?

Dans un premier temps, il va de soi que tu pourrais simplement te masturber devant nous ou te faire baiser par ton ’homme’.

Toutes les combinaisons sont possibles ; à toi de nous le faire savoir !

Je te remercie de me faire part de tes impressions sur ce qui précède.

As-tu été excitée comme je le suis à présent ?

Auras-tu été jusqu’à te carresser suite à de pareilles évocations ?

Ta chatte s’est-elle trempée et ton clitoris a-t-il durci ?

T’es-tu prise les seins à pleines mains ?

As-tu fait l’amour en y pensant ?

Dis nous vite ce que tu as ressenti.

Cela aussi nous exciterait beaucoup !!

Bisous mouillés partout !!!!!.

Jean Pierre Nice

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