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Dépucelé par la grande et plantureuse Marianne – Chapitre 1




Synopsis: Marc, Fred et moi, 3 amis denfance, sommes partis en vacance à locéan pour lété de nos 18 ans. Fred, le don juan du groupe, a réussi à avoir un rendez vous avec une fille qui a pour notre plus grand bonheur, deux très bonnes copines. Lune delle est Marianne, une magnifique et immense métisse à la poitrine très opulente. Cette belle plante va me faire découvrir lamour et le sexe, à moi Eric, petit puceau gringalet.

    A peine remis dun voyage épuisant depuis Paris, Fred, Marc et moi nous retrouvons sur une magnifique plage de locéan atlantique. Nous sommes trois amis denfance qui avons bien lintention de profiter au maximum de ces trois semaines de plaisir. Nous venons juste davoir dix huit ans et une seule chose occupe nos pensées : Les filles ! Assis en maillot de bain sur la plage, nous essayons détablir une stratégie pour en rencontrer au plus vite. Fred prend la parole.

— Le plus simple, cest que lon se sépare pour linstant. Chacun essaie de faire des contacts, et dès que lon a une touche, on essaie de voir si la belle na pas des amies célibataires ? Ok ?

  Marc et moi acquiesçons. Fred est un beau gosse. Il naura pas de problème à séduire. Pour nous, ça risque dêtre plus compliqué. Marc est assez grand, mais est très maladroit et dune timidité maladive. Quant à moi, jai 18 ans mais en parais 16 ! Je nai pas une pique de barbe et mon corps est imberbe. Je suis très mince et pas très grand. Avec mes 1m60 pour 49 kg, j ai lair de navoir que la peau sur les os. Je suis vierge, je nai même jamais embrassé de femme. Je compte donc logiquement sur le charme de Fred pour maider à trouver une partenaire.

— Le premier qui trouve appelle les autres. Ok ?

  Nous sous séparons. Je marche lentement sur la plage. La plupart des filles que je croisent sont déjà en couple ou me paraissent inaccessibles. Je massoie dans le sable dépité par mon incapacité à séduire. Je sens alors mon sac vibrer. Cest un sms de Fred:

— Jai trouvé la perle rare ! Retrouvez nous sur la plage pas très loin doù nous sommes partis.

  Jadore mes amis ! Jamais ils ne mont laissé tombé. Je reviens donc à mon point de départ et quand jarrive à une cinquantaine de mètre de mes amis, je vois que Marc est déjà là, quil y a trois filles et que lune delle paraît immense ! Elle dépasse Fred de prêt dune tête alors quil doit bien faire 1m80 ! Non contente dêtre grande, sa carrure est aussi exceptionnellement large. Plus je mapproche et plus cette silhouette me fascine. Cette belle plante porte une jupe légère qui arrive au milieux de ses cuisses musclées. Ses mollets sont tout aussi impressionnants. Elle porte un débardeur moulant qui met en valeur une poitrine très opulente, avec de fières tétons qui se dessinent sous le tissus. Son ventre plat est apparent et on devine des abdominaux puissants sous sa peau. Je nai jamais vu, même chez un homme, dépaules aussi larges et bien charpentées. Les muscles de ses bras massifs se dessinent à chacun de ses mouvements. Je suis fasciné et à ma grande surprises très excité par la vision de la jeune amazone. Je ne suis plus quà quelques mètres et je vois quelle a une belle peau mate, dorée par le soleil. Son visage est le plus beau que je nai jamais vu ! Une peau lisse, des yeux sombres qui dégagent énormément de douceur, un sourire éclatant à la dentition parfaite. Cette fille est une harmonie de puissance et de féminité.

  Arrivé au milieux du groupe, Fred me présente alors:

— Voici Eric, le dernier larron.

Désignant poliment limmense beauté métisse avec sa main, il me présente la belle.

— Je te présente Marianne. Elle fait des études de littérature et cest une lanceuse de marteaux émérite. Jimagine que tu dois te poser la question : Elle mesure 1m98. Elle est adorable, je suis sûr que vous allez bien vous entendre.

Je me tiens face à Marianne. Mes yeux tombe pile en face de sa lourde poitrine sur laquelle jessaie autant que possible de ne pas me focaliser. La belle pose alors sa large palme sur ma frêle épaule et se penche pour me faire la bise. Machinalement, je me mets sur la pointe des pieds. Le contact de ses lèvres sur mes joues mélectrise. Son parfum me fait tourner la tête et je ne peux mempêcher de laisser traîner mes yeux dans son profond sillon mammaire qui vient de se dessiner. Elle se redresse et se tourne vers Fred qui doit lever la tête pour regarder lamazone dans les yeux.

— En effet, il est tout petit mais je le trouve super mignon. Ne tinquiète pas, je vais bien moccuper de lui.

Me dévorant de son beau regard coquin, elle me propose alors de la suivre.

— Je vais temmener dans un coin où lon pourra faire connaissance tranquillement. Suis moi.

Le belle se met à marcher et je lui emboîte le pas sans traîner. Ses pas sont deux fois plus longs que les mien et je dois trotter derrière elle pour arriver à la suivre. Les muscles de ses mollets se gonflent et se dégonflent à chacun de ses pas. Ses fesses sont bien galbées et paraissent dune fermeté à toutes épreuves. Elle se dirige vers le parking deux roues et se fixe devant une moto de grosse cylindrée.

— Tu nas pas peur en moto ? Accroche toi bien à moi et tout se passera bien.

Elle me tend alors un casque quelle maide à ajuster sur ma petite tête. Je sens alors ses deux mains sous mes aisselles et avant même que je ne réalise ce qui se passe, elle me soulève comme une plume pour me poser à califourchon sur le siège. Mais quelle force ! Son visage na pas esquissé le moindre signe deffort. Surprise elle même de la facilité avec laquelle elle ma positionné sur lengin, elle me demande:

— Combien pèses tu ? Tu es si léger ! Cest à peine si jai senti ton poids !

— Je fais seulement 49 kg.

— En effet ! Tu nes vraiment pas lourd. Ce nest rien à comparé de mes 120 kg !

120 kg ! La belle est plus de deux fois plus lourde que moi et est tout en muscle. Elle me fait me sentir si faible ! Mais ce sentiment de faiblesse mexcite tellement…

  Mes petites jambes pendent de part et dautre de lengin. Elle sassoie sur la moto dont les amortisseurs accusent la charge. Je me retrouve collé à son dos et mes yeux arrivent à peine au niveau de la naissance de son cou. Je tente denserrer la large taille de la belle et mes bras sont juste assez longs pour en faire le tour. Son ventre est si ferme que je sens ses muscles bouger sous mes mains. La base de ses seins lourds et fermes touchent parfois mes minces avant bras. Il nen faut pas plus pour déclencher lérection de mon petit sexe. Pourvu quelle ne perçoive pas le durcissement de mon entrejambe contre sa croupe! Je serais si gêné.

  Marianne démarre la moto et accélère doucement pour ne pas me faire perdre léquilibre. La moto vrombit et les secousses poussent parfois sa lourde poitrine à sécraser un peu plus sur mes bras. Mon sexe est si tendu quil me fait presque mal. Jamais une femme ne ma autant excité !

  Après quelques minutes de trajet, mon amazone prend un chemin de terre qui mène jusquà une petite crique isolée. Cest un vrai paradis ! Nous y sommes seuls et elle est si enclavée que personne ne peut nous y voir. Dimmenses pins créent une large zone dombre sur le sable blanc. Marianne arrête la moto puis la stabilise de ses puissantes jambes. Un fois, le moteur coupé, seule le bruit des vagues et du vent se fait entendre. Tout est si calme ! En effet, on va être bien tranquille pour…apprendre à se connaître.

  Mon amazone descend alors de la moto et tire la béquille. Elle enlève son casque et son regard se porte immédiatement sur mon entrejambe. Ce nest pas facile de cacher une érection quand on est en slip de bain ! Elle sourit et me dit alors:

— Il me semblait bien que javais senti quelque chose de petit et dur contre mon dos.

Mon sexe, même sil nest pas énorme, tend la toile de mon maillot et mon gland est visible à la verticale de mon nombril. La belle maide à enlever mon casque et toujours avec grande facilité, elle me soulève sous les bras pour me poser les pieds dans le sable. Je me retrouve alors face à son immense silhouette, le nez entre ses énormes seins. Je me sens si petit et vulnérable, vêtu uniquement dun slip de bain dont mon sexe veux séchapper. Me toisant de toute sa hauteur, elle passe ses mains sous mon maillot et saisit chacune de mes fesses nues dans ses mains pour me plaquer contre elle. Je lève alors les yeux vers son doux visage et admire sa beauté à travers la vallée que forme ses énormes mamelles. Elle sadresse à moi dune voie douce et sensuelle.

— Tu sais que tu me plais vraiment beaucoup. Tu es tellement mignon ! Jai toujours aimé les garçons dans ton style, petit, mince, sans poil. ça doit me rappeler lépoque où je jouais encore à la poupée. Jai envie de croquer tes petites miches de bébé, elles sont si tendres.

  Ses doigts puissants pétrissent mes petites fesses douces et imberbes. Elle reprend son discours.

— Je parie que tu es vierge ? ça se voit, ça se sent même. Ne tinquiète pas, je vais faire de toi un homme mon mignon.

  Elle retire alors une de ses mains de mon maillot et sen sert pour plaquer mon visage contre sa poitrine. Je suis aux anges ! Depuis le temps que javais envie de sentir le contact de ces deux énormes masses. Ils sont comme je limaginais, doux et fermes à la fois, denses et moelleux. Aidé par mon sexe qui nen finit pas de se tendre, elle force mon maillot à tomber à mes pieds. Je me retrouve nu comme un ver face à limmense beauté qui veut me dépuceler. Mon pénis tente de se frayer un chemin au milieux de ses jambes mais ses cuisses sont si musclées quil finit juste par se dresser vers le ciel. Jai tellement envie de jouer avec ce corps ferme et voluptueux que je laisse définitivement ma pudeur de coté pour poser mes petites mains sur son fessier de géante. Jai limpression de toucher du béton recouvert dune douce couche de velours. Marianne frémit de surprise et de plaisir.

— Oh oui ! Vas y mon petit ! caresse mes fesses de tes petites mains. Nhésite pas à aller plus loin, jadore ça.

  Je me met donc à la caresser sous sa culotte, mapprochant de son entrejambe humide. Je la sens vibrer de désir sous mes doigts. Relâchant son étreinte, Marianne recule dun pas et me lance dun ton taquin:

— Laisse moi te regarder maintenant que tu es totalement nu.

    Son regard vif parcourt mon corps chétif des pieds à la tête. Comme un élève sage qui attend le verdict de sa maîtresse, je croise mes bras dans le dos. Tendant sa main droite, elle caresse mon pénis dressé du bout de ses gros doigts qui remontent ensuite en passant par mon nombril, dévient jusquà un de mes tétons et finissent sous mon menton sur lequel ils exercent une légère pression pour me forcer à lever la tête. Je crois que, oui ! Elle va membrasser ! Son visage se penche sur moi jusquà ce que sa bouche recouvre la mienne. Mon coeur bat à tout rompre et je ne sais quoi faire. Sa langue entre doucement dans ma bouche et vient caresser la mienne. Jimite son mouvement et mes mains viennent se poser sur ses larges hanches. Marianne se redresse et sourit tendrement.

– Tu embrasses bien mon petit chéri, et puis tu as bon goût. ça mérite bien une récompense.

  Croisant ses bras devant elle, Marianne saisit les bordures de son débardeur pour lenlever. Ses seins massifs sont tout dabord contraints de suivre le mouvement imposé par la pression du tissus, puis ils retombent lourdement contre son buste quand ils se retrouvent finalement libérés de leur carcan. Ils sont absolument superbes ! Ils pointent fièrement vers moi comme si la gravité navait pas deffet sur eux. Ils sont encore plus gros que je limaginais. Même ma tête est plus petite. Ils sont dune belle couleur ambrée, parcourus de veines bleutées. Les vastes aréoles sont dun brun léger. Je suis hypnotisé par ces deux énormes joyaux qui gigotent à quelques centimètres de mon visage. Marianne susurre alors :

— Tu as lair d’apprécier le spectacle. Tu nas pas envie de jouer avec ? Quattends tu ?

  Doucement, comme si je voulais caresser un animale sauvage, japproche mes mains de la poitrine majestueuse. Je commence à la soupeser, à la presser. Elle est si lourde, si dense ! Jai tellement envie de goutter à cette merveille que japproche mes lèvres du téton droit qui se trouve juste en face de ma bouche. Jetant un coup doeil au visage de mon immense princesse, je perçois dans son regard son accord à ce que je satisfasse ma gourmandise. Jengloutis la friandise dans ma bouche, je la suce, je la lèche. Marianne vibre de plaisir.

— Oui, vas y. Jadore que lon me lèche les seins,surtout quand cest une langue de puceau fine et douce comme la tienne. Vas y plus fort !

  Passant sa main sur larrière de mon crane, elle me force à appuyer plus fortement sur son sein qui sétale sur mon visage. Son autre main vient jouer avec mon sexe quelle stimule entre son pouce et son index. Jai tellement envie delle que je décide de lui enlever sa robe. Mes mains passent sous sa jupe au niveau de la ceinture et la tire vers le bas. Un fois la barrière de ses larges hanches passée, le morceau de tissus tombe au sol en même temps que sa culotte. Ma belle est entièrement nue devant moi et je caresse alors son sexe, doucement, comme une fleur fragile. Ses lèvres sont humides et chaudes. Elles frémissent sous mes doigts. Marianne répond à mes initiatives par un ronronnement de plaisir, telle une lionne en chaleur quun petit chat de gouttière cherche à posséder. Elle relâche létreinte de sa main sur mon crâne et me regarde dun air sévère, alors que je suis encore entrain de téter son sein.

— Tu es prêt, on va passer aux choses sérieuses.

A suivre….

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