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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans – Chapitre 31




Les esclaves dans l’Entreprise du Marquis dEvans – 7 ème partie Histoire dO-de au Château –

Le sulky approchait maintenant du perron de l’immense bâtisse qui peu à peu était apparue au bout du chemin… Le Château était la demeure seigneuriale de La Famille Du Marquis. Un vaste domaine appartenant aux d’Evans depuis plusieurs siècles, chaque génération s’appliquant avec passion à l’entretenir, l’embellir et préserver la longue et profonde tradition Des Marquis qui depuis des temps immémoriaux avaient fait de Ces Terres, un univers d’exception, où certaines réalités pouvaient s’exprimer au grand jour… Telle l’utilisation de ces deux esclaves mâles, attelés au sulky conduit par le Marquis qui taquinait leurs croupes nues du bout de son fouet. Sur le perron, surplombant une courte volée de marches, une vaste terrasse aux dalles de pierres occupait tout l’arrière de La Demeure. Deux fauteuils y étaient installés, de part et d’autre d’une table basse sur laquelle était posé un seau à champagne et deux coupes…

Un seul siège était occupé, par un homme à la soixantaine élégante qui observait avec de petites jumelles de théâtre l’arrivée du sulky. Son fauteuil était flanqué, de chaque côté, d’une femme se tenant debout. A sa gauche, une jeune brune ne portant qu’un corset serre-taille en satin bleu saphir, agrémenté de volutes en velours d’un bleu plus sombre qui laissait la poitrine totalement nue, seuls deux petits grelots pendant à chaque téton, maintenus par une pince… le bas du corps était nu également, offrant une vue sans obstacle sur le pubis parfaitement lisse et sur les chairs roses de la vulve… L’esclave était cependant perchée sur les très hauts talons d’une paire d’escarpins parfaitement assortis au corset. A la droite de L’Homme assis, une jeune femme d’un blond vénitien, portant exactement la même tenue et les mêmes accessoires que son pendant, mais le rouge de Cinabre et le grenat remplaçant les nuances de bleu. Toutes deux se tenaient parfaitement immobiles, un très doux zéphyr ne parvenant même pas à faire tinter les grelots qui pendaient des tétons des deux femmes esclaves. L’homme observait dans ses jumelles la progression du sulky et n’avait rien raté de la progression de l’engin… Il leva le bras, faisant signe Au Marquis qui lui rendit son lointain salut. …

Enfin, le sulky s’immobilisait aux pieds de l’escalier. L’homme s’était levé et venait à la rencontre Du Marquis qui, abandonnant son fouet et son équipage, allait à sa rencontre. Les deux Hommes échangèrent une chaleureuse accolade…

— "Monsieur le Marquis, quel bonheur de Vous retrouver !"

— "Sir Stephen, mon cher ami, je me réjouis de Votre retour parmi nous !"

Tous deux gravirent les quelques marches afin de s’installer dans les deux fauteuils et sur un simple geste Du Marquis, l’esclave "bleue" qui se révélait être émeline, se mit en mouvement avec promptitude et élégance, prenant cependant bien garde à ne pas faire tinter les grelots pendant à ses seins, se penchant afin de se saisir de la bouteille de champagne qui avait été laissée dans le seau empli de glace. Elle présenta la bouteille Au Marquis, qui sourit et lui fit signe de faire de même envers Sir Stephen. La lecture de l’étiquette illumina le visage de Celui-Ci

— "Une cuvée Brut Divin ! Quelle fine attention cher Marquis ! Rien de mieux qu’un champagne "Marquis de Sade" pour apprécier pleinement la si délicieuse ambiance de Votre Château !"

— "Je n’aurai pu en choisir d’autre pour commencer cette journée, Sir Stephen (et se tournant vers émeline) sers nous !" Tandis que l’esclave remplissait les coupes, la conversation déviait sur l’attelage que venait d’inaugurer le Marquis…

— "Belle maîtrise cher ami, il n’est pas évident de mener si prestement un équipage manquant d’expérience"

— "Je les ai choisis pour leur profonde servilité, voyez vous… je sais leur dévouement, le fouet et le dressage finiront de les façonner. Et bientôt, ils seront parfaitement adaptés à cet usage"

— "Je n’en disconviens point" commenta sobrement Sir Stephen en dégustant une gorgée de champagne… "Mmhh ! Chardonnay et Pinot noir ! Un élégant assemblage, délicat et puissant !"

— "Oui Certes, le cépage de ce succulent champagne ancestral a été offert à mon Noble Aïeul par le Marquis de Sade lui-même dans les années précédent la Révolution Vous nêtes pas sans savoir quils étaient très amis et que mon Ancêtre a beaucoup aidé de Sade lors de sa sortie de la Prison de Vincennes " (NDLA : Voir les Origines de la Saga)

Tandis que les Deux Hommes devisaient, deux laquais en livrée avaient rejoint le sulky et désharnachaient les deux esclaves qui avaient eu quelques minutes pour reprendre leur souffle. Un autre posait deux gamelles sur le sol et les remplissait d’eau à l’aide d’un seau. Une fois libérés de leurs lanières de cuir, cyril et philippe se mirent à quatre pattes et, sur un geste bref Du Marquis, purent enfin laper l’eau avec avidité…

— "Parfaitement dressés. Je vois avec bonheur que Vous n’avez rien perdu de Vos talents cher Marquis"

— "Je Vous remercie… Je n’ai certes jamais cessé d’oeuvrer afin de me montrer digne de Mes Ancêtres, qui ne pouvaient souffrir le moindre écart de leurs esclaves. Je ne conserve dans mon cheptel que les plus dociles, les plus compétents, les plus efficaces… Tant pour leur fonction première d’esclaves, que pour les tâches liées à L’Entreprise, où ils occupent tous des postes stratégiques. Des places où la plus absolue fidélité et le dévouement le plus aveugle sont des qualités indispensables. Mais vous même, Sir, je vois que Vous êtes venu accompagné…"

Sir Stephen se tourna vers l’esclave "vêtue" de rouge

— "Voici O’de, ma nouvelle esclave. Vous avez connu O et son destin, toute une Histoire… Celle-ci n’est autre que sa soeur et je dois dire que j’en suis fort satisfait ! Il est vrai que, comme je l’ai toujours dit des femmes, il faudrait sans cesse les nourrir, sans cesse les laver et les farder, sans cesse les corriger ! Elles ont simplement besoin d’Un Bon Maître… Et qui se défie de Sa Bonté !"

— "Je connais Vos principes Stephen. Cela peut s’appliquer tout autant à bien des mâles, dès lors qu’ils ont compris où est leur place. Comme ceux-là" répond Le Marquis en désignant les deux esclaves.

Ceux-ci ayant fini leur gamelle d’eau attendent prosternés, dans l’indifférence générale tandis que les laquais ont emmené le sulky… Tout en savourant Son champagne, Le Marquis saisit la cuisse d’émeline et l’attire à Lui. Docilement, la jeune secrétaire-esclave s’approche tandis que La Main de son Maître se fait plus inquisitrice, un doigt se glissant dans son intimité, la fouillant comme pour juger de l’humidité de sa grotte des plaisirs. Imperceptiblement, elle écarte ses cuisses afin de faciliter cette humiliante inspection, pour La Plus grande Satisfaction Du Marquis qui peu à peu, la fait évoluer afin de la placer face à Lui.

— "A genoux !" ordonne-t-il, immédiatement obéi par l’esclave qui, largement ouverte, pose ses mains sur ses genoux et ouvre la bouche avec un parfait naturel. Son Maître lui présentant Ses doigts pour qu’elle les lèche afin de les nettoyer de sa mouille…

— "Délicieuse créature" commente Sir Stephen en contemplant la scène, négligeant totalement sa propre esclave qui demeure immobile, ses petits seins ronds et blancs parfaitement rehaussés par le corset, de fines zébrures rouges marquant ses fesses fermes et rondes, comme deux beaux fruits tandis qu’aux lèvres de son sexe sont fixés deux anneaux d’argent…

— "Et Votre O-de ?" s’enquière Le Marquis qui dégage Son Sexe de sa braguette afin de le présenter devant les lèvres humides d’émeline "que lui préparez Vous ?"

— "Oh ! La petite garce est la plus docile des putains… J’ai usé et abusé de ses orifices bien des fois. Et je ne me lasse pas du plaisir de flageller sa croupe, tant j’aime assortir les marques du fouet à la couleur de ce corset qu’elle porte aujourd’hui. Jamais je ne laisse intacte sa croupe… mais je pense qu’elle doit franchir un nouveau cap et je m’apprête à la mener à Roissy. Il est temps qu’elle découvre certaines réalités, car je la trouve un peu trop "fleur bleue". Elle a besoin de comprendre ce que signifie M’appartenir. Elle n’est qu’un objet, un bel objet décoratif, un jouet dont j’use à Mon Gré et rien de plus. Un séjour au Château lui fera le plus grand bien !"

— "Oui, sans aucun doute…" dit Le Marquis qui profite pleinement de la bouche humide et docile d’émeline qui s’applique à le sucer avec dévotion, sa bouche enserrant Son Sexe comme l’écrin d’un inestimable joyau… "émeline est aussi une excellente petite chienne, voyez comme elle est appliquée, dévouée… consciente de ce qu’elle est, à chaque instant, une belle réussite, je le concède"

Et ce disant, Le Marquis jouit dans la bouche de Son esclave qui prend garde de bien tout garder de l’abondant flot de semence qui jaillit dans sa gorge et emplit sa bouche… Le Marquis se lève imité par Sir Stephen. Abandonnant les deux femelles désormais immobiles, l’une debout, l’autre agenouillée, Ils descendent les escaliers vers les deux esclaves mâles qui demeurent prosternés côte à côte. Immédiatement, deux laquais s’empressent, portant seaux d’eau et divers instruments… Sous Le Regard des Deux Maîtres, ils entreprennent de bouchonner les deux esclaves, les brossant vigoureusement et sans égards. Rapidement, la peau des deux mâles rougit, trempée par l’eau savonneuse. Ils supportent le sévère traitement en silence, mais parfois grimacent suscitant l’amusement des laquais et des Deux Maîtres. Puis, un rosebud est enfoncé dans leurs culs, ornés à l’extrémité extérieure par une imitation de queue de cheval.

— "Qu’on les mène à l’écurie et qu’ils soient placés dans leurs stales !" ordonne Le Marquis "nous en aurons plus tard l’usage… Peut-être"

Et tandis que les deux esclaves se dirigent à quatre pattes vers les écuries, Le Marquis et Sir Stephen regagnent la terrasse où les deux jeunes femmes n’ont pas bougé, dans l’attente Des Volontés de leurs Seigneurs et Maîtres. S’approchant de O-de, Le Marquis passe Sa Main sur la croupe marquée de la soumise qui demeure impassible…

— "Mmhh , il est vrai que ces marques sont du plus bel effet sur cette peau d’albâtre"

— "N’est-ce pas, j’exige d’elle qu’elle se protège absolument du soleil, je la veux diaphane, aussi pure que le plus blanc des marbres. Et j’aime parfois à la contempler, telle une statue, immobile, en simple décoration. Le moindre mouvement lui valant bien sur châtiment."

— "Délicieux", apprécie Le Marquis, "Vous nêtes sans savoir que du temps de mon Illustre Ancêtre, sous Louis le Quatorzième, les peaux les plus blanches étaient les plus appréciées. Il nétait pas question daller faire bronzette "

Faisant aller et venir Ses Mains curieuse sur le corps de l’esclave, jouant avec les pinces qui retiennent aux tétons maquillés les paires de grelots… Augmentant lentement la pression sur les tétons gonflés, Le Marquis finit par obtenir une expression douloureuse sur le visage de la belle qui entrouvre ses lèvres d’un rouge vif. Ecartant ses lèvres, Le Marquis juge sa dentition parfaite, comme il le ferait d’une pouliche à la foire agricole…

— "Jolie bouche… experte je suis sûr" lance-t-il

— "Tout à fait et rompue à tous Mes Caprices ! Qui sont… nombreux !"

Le Marquis regagne son fauteuil, ainsi que Sir Stephen. Ils se resservent du somptueux champagne… Bref silence, pensif…

— "Il fait si beau !" dit Le Marquis, "que diriez Vous d’un petit spectacle improvisé ?"

— "Avec plaisir, mon ami"

— "Bien… que ces deux chiennes fassent donc connaissance !" s’amuse Le Marquis "comme le feraient deux chiennes, naturellement. Vous mavez bien compris vous deux, les chiennes !"

Il claque dans ses mains et émeline se recule à quatre pattes, à deux mètres de la table. Sur un geste de Sir Stephen O-de se met à son tour à quatre pattes et s’approche d’émeline. Les deux esclaves se rapprochent, se tournent autour, comme deux femelles qui se découvrent, un peu hésitantes encore… émeline place son visage sur le croupe d’O-de, frotte son visage contre les fesses zébrées, puis c’est O-de qui vient faire de même, faisant doucement glisser sa langue dans la raie de la secrétaire… avant qu’émeline ne lui rende la pareille… Puis, face à face, elles échangent un long baiser humide. Se mettant sur le dos, émeline se glisse sous O-de et, têtes bêches, les deux filles se lèchent, pour le plus grand Plaisir des Deux Maîtres qui savourent leur champagne… Oubliant peu à peu toute retenue, les deux filles se découvrent plus avant… les mains s’ajoutent aux bouches pour des explorations de plus en plus intimes, des caresses profondes… Les deux corps se livrent totalement, s’exhibent pleinement sous Les Regards Des deux Maîtres… Retenant avec difficulté les gémissements qui voudraient s’échapper de leurs lèvres, les deux jeunes femmes recherchent avidement les points sensibles, s’attardent sur les seins, les sexes dégoulinants de désir, leurs langues sont gorgées de plaisir, leurs seins gonflés, les grelots tintent au rythme saccadé de leurs attouchements impudiques. Deux chiennes en chaleur affamées de jouissance mêlent leurs membres et leurs saveurs. Le goût du plaisir emplit leurs bouches, leurs doigts tremblent, leurs cuisses s’ouvrent pour une langue, une main, les positions les plus acrobatiques leur permettant d’offrir à Leurs Maîtres une vision sans obstacle… Jusqu’à ce que, soudain, un flot glacé les submerge ! Sir Stephen éclate de rire, de voir le coup d’arrêt qu’il vient de signifier en les éclaboussant de l’eau glacée du seau à champagne…

— "Il suffit !" ordonne-t-il …

Les deux femelles trempées aussi bien par leau froide que dans leur chatte et, docilement s’agenouillent sans un mot face à Leurs Maîtres, inclinent la tête et se tiennent prosternées, dans l’attente… On peut deviner leur déception de navoir pu finaliser une prometteuse montée dexcitation en orgasme puissant. Mais leur obéissance totale leur a vite rappelé daccepter sans rechigner larrêt de tout plaisir et ce, à nimporte lequel des instants précédent une jouissance

(à suivre…)

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