Merci de l’intérêt témoigné pour le premier chapitre de ce récit. Voici la suite…
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Les heures défilent et la nuit commence progressivement à s’installer. Mon petit appartement, particulièrement silencieux ce soir, est soudainement traversé par la faible lumière orangée émanant des réverbères automatiques installés dans la rue. Je ne m’étais apparemment même pas aperçue que mon logement était, jusqu’à maintenant, plongé dans l’obscurité.
En effet, malgré une longue douche chaude et méritée, je ne parviens malheureusement pas à retrouver pleinement mes esprits. Cette longue journée s’est avérée riche en émotions et je ne suis pas encore en mesure de rationaliser tout ce qui s’est précédemment produit. Cette première aventure, aussi humiliante soit-elle, m’a procuré des sensations jusqu’alors inconnues.
La nuit porte conseil. Ce proverbe si réputé me semble tout à fait approprié à la situation. Après m’être glissée (nue) dans mon lit, je tente vainement d’y voir un peu plus clair. Je me remémore chacun des mots prononcés par André et tous les petits détails accumulés m’ayant finalement conduite à me comporter comme une véritable chienne avec lui. Pourtant si discrète et innocente au quotidien, quels éléments peuvent être responsables d’un changement de comportement si drastique. Je rêvais sincèrement d’enlacer un beau garçon sur la plage et je me suis finalement retrouvée à devoir embrasser les grosses fesses ignobles de ce vieil homme. Comment ma langue si douce a-t-elle pu se retrouver plaquée contre ses vieilles couilles poilues et négligées. Et pourquoi étais-je si excitée d’offrir ma petite fente à quatre pattes à ce personnage odieux.
Ces interrogations se succèdent dans mon esprit sans que je parvienne à y mettre de l’ordre. Je ne me reconnais pas du tout. Je me suis sciemment offerte à ce vieux pervers dégoûtant et la honte m’envahit en réalisant qu’avoir été humiliée par ce cochon m’a terriblement excitée. Son odeur corporelle, pourtant si désagréable, me revient finalement à l’esprit. Le simple fait d’y repenser me donne l’impression que ma chambre est brusquement imprégnée de son parfum. Je me surprends même à grimacer dans mon lit en me souvenant du goût de son gland quand celui-ci s’est enfoncé entre mes jeunes lèvres pulpeuses.
Comment suis-je censée réagir à tout ça. Il m’est impossible de prendre une quelconque décision rationnelle. Ma honte se mélange systématiquement à cette pointe d’excitation si particulière. Peut-être qu’il serait plus judicieux d’oublier cette histoire et de rester discrète jusqu’à mon retour à Paris. Cette aventure s’est déroulée dans cette petite localité du sud de la France et il serait peut-être préférable qu’elle n’en sorte jamais.
Tout en développant ces réflexions, je me tourne légèrement dans mon lit afin de trouver une position plus adaptée pour trouver le sommeil. Toutefois, en me déplaçant vers le bord du lit, je repère immédiatement ma petite culotte blanche posée innocemment sur le sol. Celle-ci est encore maculée du sperme d’André et ma naïveté de jeune fille s’écroule en une fraction de seconde. Le simple fait d’observer ma petite culotte encore tachée du foutre séché de ce porc me rappelle que cette histoire ne peut pas être effacée si aisément.
Presque vexée par cette prise de conscience, je me retourne rapidement dans mon lit et je ferme les yeux dans l’espoir de m’endormir le plus vite possible. Cependant, la vision de ma petite culotte blanche toute sale ne m’a malheureusement pas laissée indifférente. Ma main glisse doucement entre mes cuisses et je constate que mes lèvres intimes deviennent légèrement humides. Je garde les yeux fermés et je me souviens, dans les moindres détails, de la sensation intense du sperme chaud d’André envahissant ma chatte. J’entends encore le gémissement atroce de ce vieux vicieux résonnant dans son appartement lorsqu’il profitait de mon impuissance pour me remplir inopinément de son jus si singulier.
Malgré la fatigue, je me caresse naturellement dans mon lit en stimulant mon clitoris du bout des doigts. Mes propres gémissements brisent enfin le silence qui régnait chez moi jusqu’à maintenant. Mon corps ondule dans mon lit et, après une intense jouissance, je m’endors finalement d’épuisement avec l’esprit tourmenté et pervers.
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Le soleil se lève et une nouvelle journée commence enfin. Mes yeux s’ouvrent légèrement et je constate qu’il est déjà pratiquement 13h00. Je suis évidemment surprise de m’être endormie si longtemps mais ravie de m’être suffisamment reposée. La nuit s’est avérée réparatrice et je me lève souriante et apaisée en découvrant le temps idéal à la fenêtre.
Après une nuit de sommeil et un copieux petit déjeuner, mes idées s’éclaircissent enfin. En effet, la journée précédente ne peut pas être oubliée et ma masturbation de la veille témoigne indéniablement de ma propre excitation. Malgré la honte, il est important que j’accepte d’avoir été délibérément utilisée et humiliée par ce vieux voisin. Je refuse de me cacher ou de gâcher volontairement le reste de mon séjour.
Par conséquent, mes petites habitudes quotidiennes resteront inchangées et je continuerai également à profiter de mon jardin privatif. Si ce vieux retraité continue d’observer mon corps de jeune fille pour se branler et satisfaire ses pulsions, qu’il en soit ainsi. Il n’a évidemment pas besoin de savoir que je n’y suis pas insensible et encore moins que je me suis touchée en me remémorant toute cette aventure. Enfin, je réfléchirai à l’éventualité de le rencontrer à nouveau pour discuter calmement de cette histoire farfelue afin d’en tourner définitivement la page.
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Après une petite heure de préparation, me voilà enfin prête à débuter cette nouvelle journée. La matinée est d’ores et déjà perdue mais je compte bien profiter du reste de l’après-midi pour m’adonner à l’un de mes loisirs favoris : le shopping.
Mes cheveux bruns sont parfaitement lisses et mon maquillage plutôt discret, malgré un rouge à lèvres légèrement plus prononcé. Celui-ci n’est absolument pas provocateur mais sert clairement à mettre mes jeunes lèvres pulpeuses en valeur. J’aime prendre soin de mon apparence mais ça, vous le savez déjà! Enfin, je porte une petite robe légère parfaitement adaptée à la saison. Celle-ci est toute noire avec des motifs de fleurs particulièrement à la mode cette année. Une petite ficelle reliée au tissu permet de serrer délicatement la robe autour de la taille pour accentuer ma fine silhouette.
La journée est radieuse et je déambule dans tous les magasins du centre de la ville située à quelques kilomètres de mon village. Mon budget ne me permet évidemment pas de faire trop de folies mais j’apprécie de pouvoir essayer les dernières nouveautés. Je me dirige finalement dans un magasin spécialisé dans la lingerie. Je suis entourée de tenues incroyables et une jeune vendeuse, remarquant mon intérêt, se dirige vers moi. Elle me partage quelques conseils et je sélectionne une tenue particulièrement coquine grâce à elle.
La vendeuse m’autorise à essayer la lingerie à condition de garder ma culotte pour des questions d’hygiène. Je la remercie et me dirige vers la cabine d’essayage la plus proche. Quelques instants plus tard, me voilà vêtue de bas noirs, de porte-jarretelles assortis et d’un soutien-gorge dont l’unique utilité consiste à faire ressortir davantage ma jeune poitrine. Je m’observe dans le miroir et, malgré quelques complexes, je suis forcée d’admettre que je me trouve particulièrement sexy. La jeune vendeuse, probablement nouvelle, m’interpelle afin de savoir si tout se passe bien. Je la remercie et lui demande timidement s’il est possible d’obtenir son avis sur ma tenue. Le fait qu’elle ait approximativement mon âge me décomplexe certainement un peu. Elle accepte gentiment et tire légèrement le rideau me cachant des autres clientes. Elle m’observe quelques secondes et, souriante, valide complètement la tenue sélectionnée par nos soins.
— Vous êtes magnifique Madame! Cette lingerie vous met parfaitement en valeur!
— Oh merci beaucoup! Je vais certainement acheter cet ensemble!
— Excellent choix. Votre copain est un sacré veinard et il sera probablement subjugué en vous voyant dans cette tenue!
La vendeuse s’éloigne finalement des cabines et ses compliments me font doucement rougir.
Si seulement elle savait que je suis actuellement toute seule…
Si seulement elle se doutait que la seule personne à avoir récemment profité de mon corps est un vieux porc absolument abject…
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L’après-midi touche à sa fin et je me déplace donc vers l’arrêt de bus le plus proche. Ces quelques heures passées en ville étaient agréables et je rentre enfin avec un petit sac à la main. Inutile de vous en décrire le contenu…
La journée s’est quand même avérée assez éprouvante pour mes petites jambes et je suis contente d’arriver vers mon immeuble. En traversant les parties communes, j’y croise même l’un de mes voisins. Ce dernier était présent durant la fête et je suis contente d’échanger quelques mots avec lui. Nous nous séparons ensuite et j’en profite pour relever mon courrier. Je constate qu’une nouvelle enveloppe manuscrite a été déposée dans ma boîte aux lettres mais l’écriture semble radicalement différente.
Après m’être installée au salon, j’ouvre directement l’enveloppe et j’y découvre un petit papier sur lequel est simplement inscrit les mots suivants :
"J’exige que tu te présentes à mon appartement, ce soir, à exactement 21h. André"
Ces quelques mots suffisent à me mettre initialement en colère. Je n’accepte pas qu’il me parle de cette manière comme si j’étais sa chose. Toutefois, après quelques secondes de réflexion, je prends conscience que c’est l’opportunité idéale pour mettre les choses au clair avec lui. Je pose le papier sur ma table et je file dans la salle de bain pour prendre une bonne douche rafraichissante.
Désormais toute propre, je me maquille très légèrement pour être présentable et je m’habille pour partir chez André. J’enfile rapidement un petit string violet, un legging noir assez discret et un simple débardeur blanc. Je ne porte effectivement pas de soutien-gorge mais ma tenue est loin d’être provocante pour autant.
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21h. Comme mentionné dans sa lettre, je me déplace chez mon vieux voisin si particulier. Je frappe à sa porte et je patiente quelques secondes. Le fait de me retrouver à nouveau devant cette entrée me fait un drôle d’effet. Je ne peux pas m’empêcher de me remémorer tout ce qui s’était produit en franchissant cette porte la dernière fois. Celle-ci s’ouvre devant moi et mon pouls s’accélère.
André est fidèle à lui-même. Il porte un short mal repassé et un t-shirt immonde dont les manches semblent avoir été découpées avec une paire de ciseaux à hauteur des épaules. Quel manque cruel de goût. Des poils dépassent de ses aisselles et de son torse. Avant même d’être entrée, l’odeur si particulière de son appartement envahit déjà mes narines.
— Tu bouges ton cul ou quoi?
André me sort de mes pensées et je pénètre finalement chez lui. Je ne suis pas très à l’aise avec la situation et je ne sais pas vraiment comment entamer la discussion.
— C’est quoi cette tenue? T’aurais pu faire un effort salope!
Il se dirige ensuite dans son salon où une bière déjà entamée semble l’attendre. Il s’installe et m’observe comme un vulgaire bout de viande. Ce vieux pervers est terriblement repoussant et son odeur n’a pas changé. Sa manière de me regarder sans gêne me dégoûte et m’excite à la fois. Je le rejoins au salon et je m’installe timidement sur son canapé. Je suis partagée entre la colère, l’anxiété et l’excitation.
Profitant d’une légère prise de conscience, je tente de prendre un peu d’assurance et d’engager la conversation dans mon sens.
— Je vous remercie pour l’invitation André. J’envisageais justement de vous inviter pour discuter calmement de l’accident d’hier pour qu’on puisse oublier toute cette histoire.
Le regard d’André est fermé et il ne semble absolument pas concerné par ma demande.
— Tu parles de quoi salope? Je ne t’ai pas invité chez moi pour qu’on discute! Ta bouche de pute aura bien d’autres préoccupations!
— Mais André…
— Quoi encore?! Tu m’as vidé les couilles hier en découvrant la chienne qui sommeille en toi. Ton dressage ne va pas s’arrêter là!
Ce vieux pervers me parle avec tellement d’assurance. Il est vraiment dégoûtant mais le manque de confiance ne semble clairement pas être l’un de ses défauts. Les mots extrêmement durs qu’il emploie ouvertement me font à nouveau perdre mes moyens. J’ai l’impression de me retrouver dans la même situation que la veille. Ce cochon de 62 ans me répugne mais je suis quand même submergée par l’excitation. Je tente de le cacher pour éviter de lui offrir ce qu’il recherche.
André pose sa bière et retire son short et son slip sous mes yeux. Sa vieille queue se libère devant moi et ses poils désordonnés ne font qu’accentuer mon écurement. Il reprend sa bière d’une main et s’avachit dans le canapé. L’odeur de sa bite remonte jusqu’à moi. Mon regard n’arrive pas à décrocher de son entrejambe.
— T’attends quoi gamine? Tu viens me lécher la bite ou quoi?! Je n’ai pas toute la nuit!
Une partie de moi voudrait se lever et quitter cet appartement en courant. Le choix le plus logique serait d’ailleurs de m’en aller. Toutefois, quelque chose m’attire irrémédiablement dans cette situation. Je reste immobile et je passe ma langue entre mes lèvres sans vraiment m’en rendre compte.
— Et si t’arrêtais de te lécher les babines et que tu venais faire ton boulot?
André passe sa main dans mes cheveux lisses et tire doucement dessus pour m’inciter à me mettre à genoux devant lui. Il semble légèrement perdre patience tout en restant avachit dans son canapé. Mon visage est désormais à quelques centimètres de cette vieille queue ayant hanté mes pensées durant la nuit.
La situation m’échappe et je décide de lâcher grossièrement prise. Mes jeunes lèvres se posent délicatement sur son vieux sexe épais et je l’embrasse comme une princesse embrasserait son époux. Je prends doucement confiance et je sors finalement ma langue pour lécher sa queue sur toute sa longueur. Je peux sentir sa bite durcir davantage à chaque passage de ma langue si douce. André se laisse faire et grogne dans son coin.
Prise dans mon élan, je glisse légèrement mon visage plus bas et j’en profite pour lécher ses couilles de vieux retraité. J’alterne entre des coups de langue furtifs et des mouvements plus appuyés. Je prends parfois même ses couilles en bouche, bien que je ne parvienne décidément pas à m’habituer à ce goût si prononcé. Je ne peux pas éviter de grimacer mais je tiens quand même à m’appliquer.
Les autres filles de 18 ans sortent entre copines et vont au cinéma. Et moi, pour une raison obscure, je lèche les couilles poilues d’un vieillard buvant sa bière. Je ressens forcément de la honte mais je commence à accepter progressivement cette situation. C’est une expérience peu banale mais qui commence à me faire perdre la tête. La honte ne fait qu’augmenter mon excitation. Je rentrerai simplement à Paris avec quelques secrets supplémentaires.
La main libre d’André se positionne sur ma tête et il accompagne mes mouvements pendant cette fellation de plus en plus libérée. Sa queue est désormais fièrement dressée et ses couilles bien humides grâce à ma langue. Il se remet à appuyer très doucement sur ma tête.
— Non André! Je ne suis pas sûre de vouloir lécher vos fesses à nouveau! Je trouve ça dégradant!
— Et alors?! Je t’ai demandé ton avis petite trainée? Tu vas me bouffer le cul et en silence!
Légèrement offusquée, j’obtempère et passe ma langue innocente le long de sa raie si intime. Je pose mes petites mains sur ses grosses fesses pour les écarter très délicatement et faciliter l’accès de ma langue. Il pousse des gémissements et semble surpris de mon léger regain d’assurance. Je lève les yeux pour l’observer et je remarque fièrement qu’il prend son pied.
Après quelques instants, il m’ordonne de me lever et ce vicieux en profite pour déchirer l’arrière de mon legging. Ce geste permet de dévoiler mes petites fesses rebondies qui sont maintenant uniquement cachées par la petite ficelle de mon string.
— Non mais ça ne va pas ou quoi?!
Je m’énerve au moment où il se permet de déchirer mes vêtements mais une immense fessée me calme instantanément.
— Ta gueule!
Il me tire fermement contre lui. En une fraction de seconde, je me retrouve assise sur lui et son regard se plonge dans le mien. Mon corps est plaqué contre son ventre bedonnant. Ses mains se posent dans mon dos et il semble vouloir m’attirer contre lui pour que je l’embrasse. Je grimace à l’idée qu’une fille de mon âge puisse embrasser un vieux pervers dans son genre. Il semble s’en apercevoir et me claque le cul assez violemment. Un gémissement trahit mon plaisir quand il claque mes fesses à moitié dénudées.
Mes jeunes lèvres pulpeuses se retrouvent facilement posées sur les siennes. Je tente d’effectuer des mouvements avec la tête pour lui donner l’illusion d’un baiser passionnel. Néanmoins, je sens rapidement que sa langue tente de s’immiscer entre mes lèvres fermées. Ce petit jeu dure quelques secondes et André en profite pour passer ses mains sur mes fesses. Il malaxe fermement mon cul comme un boucher jouerait avec de la viande. Mes lèvres finissent par s’ouvrir légèrement et sa langue vient finalement se mélanger à la mienne. Un léger arrière-goût de cigarette et de bière ne fait qu’accentuer mon dégoût.
Ce baiser dure heureusement que quelques secondes. Il me relève et se lève à son tour. Il me retourne et me force à me pencher en avant devant lui. Il me claque le cul et semble s’amuser de mes gémissements incontrôlés. Il joue avec la ficelle de mon string qui ne cache absolument plus rien.
Son gros pouce mal entretenu glisse dans mon string et vient frotter les lèvres de ma chatte. Ma mouille trahit définitivement mon excitation.
— Mmmh. Je vois que tu aimes ça petite chienne!
— Oui Monsieur…
Son doigt commence à être recouvert de ma propre mouille et il en profite pour s’aventurer un peu plus haut. Son pouce glisse le long de mes petites fesses et vient s’appuyer inexorablement contre mon petit trou. Par réflexe, je tente de retirer mes fesses pour éviter cette intrusion mais une grosse fessée me remet tout de suite à l’ordre. Je souffle un peu et je reste donc immobile. Son pouce naturellement lubrifié fait de légers cercles autour de mon anus pour le détendre au maximum. Je ferme les yeux et j’essaie de me familiariser avec ce doigt s’enfonçant progressivement dans mon petit cul.
— Tu es tellement serrée ma petite salope! Ça ira mieux après le passage de ma queue!
— Non André, pas dans les fesses! S’il vous plait!
Étrangement, le simple fait de m’entendre dire moi-même cette phrase me procure une vague de chaleur à travers le corps. Mes principes me font évidemment réagir mais je me mens à moi-même en lui demandant d’arrêter.
— Oh que si gamine! Je vais être le premier à défoncer ton petit cul et je compte bien en profiter!
— Mais ça risque de me faire mal…
— Bah tu serres les dents la première fois! Tu veux pas arrêter de te plaindre petite pute?! Tu finiras même par me supplier de te démonter le cul!
Son pouce tourne à l’intérieur de mes fesses pour détendre mon petit trou au maximum. Il ressort finalement son doigt et l’enfonce dans ma bouche déjà ouverte et prête à l’accueillir.
— Je vois que tu retiens quand même un peu tes leçons, coquine!
Sa phrase m’arrache même un sourire et je m’en amuse. Ma bouche se referme sur son doigt et je le suce curieusement volontiers. Le goût de son pouce est définitivement mélangé à celui de ma chatte et de mon cul. Je commence décidément à me plaire dans cette humiliation constante.
André commence à accélérer ses mouvements en baragouinant des mots inaudibles. Son excitation semble se décupler et ses intentions ne font plus aucun doute. Il pose un simple coussin par terre et m’ordonne de me mettre à quatre pattes sur le sol. Je m’exécute et je pose mes genoux sur le coussin pour éviter de me blesser. Je me cambre légèrement et l’inquiétude me guette. Ce pervers semble bien trop occupé pour s’en rendre compte et il pose ses mains sur mon legging troué et mon string. Il baisse sèchement mes vêtements jusqu’à hauteur de mes genoux pliés au sol. Mes petites fesses se retrouvent complètement nues et à la merci de ce porc.
Ses grosses mains tripotent mon cul et cette sensation intensifie mon sentiment d’être sa pute. Au risque de me répéter, je comprends qu’il me considère simplement comme sa poupée gonflable et que mon petit trou vierge sera parfait pour lui vider les couilles. Il grogne et écarte fermement mes fesses pour dévoiler mon anus de jeune fille.
— André, je ne suis vraiment pas sûre…
— Tu ne veux pas la fermer deux secondes? Tu commences à me gonfler à force de faire ta petite princesse!
— Mais je suis juste un peu inquiète. Et si je crie? Les voisins risquent de nous entendre…
André exprime son impatience en poussant un énorme soupire de mécontentement. Quelques secondes plus tard, ce vieux dégueulasse ramasse son slip taché sur le sol et l’enfile dans ma bouche pour que je me taise. Ce simple tissu suffit à submerger ma bouche du goût négligé de sa vieille bite.
— Satisfaite salope? Tu peux mordre mon slip si c’est trop douloureux!
Ce cochon rigole bêtement et se place derrière moi pour tâter mon cul comme un vulgaire bout de graisse. Je sens son gland humide se frotter contre mes petites fesses avant de venir se poser à l’entrée de mon cul. Je me cambre un peu plus pour ouvrir légèrement mes fesses et je retiens ma respiration. L’anxiété est énorme mais je rêve secrètement de sentir son vieux sexe me remplir le cul pour la première fois. Il tente de s’introduire en moi mais mon petit trou semble résister à son gland épais. Il se met à pester dans sa barbe comme un enfant contrarié qui n’obtient pas ce qu’il veut.
— Putain, je n’ai jamais vu un cul aussi serré de toute ma vie! Je vais être obligé de forcer petite pute, accroches-toi bien!
Des frissons parcourent mon corps en entendant cette phrase. Je prends véritablement conscience des enjeux et je suis presque prise de panique. André pose ses mains puissantes sur mes hanches et s’agrippe fermement à moi. Je ne suis plus qu’une chienne sous son emprise. Son gland chaud se positionne parfaitement à l’entrée de mon cul et il n’y a plus aucun doute qu’il va forcer l’entrée.
En l’espace d’une seconde, ce vieux vicieux s’accroche à moi et enfonce sa queue sèchement au fond de mon cul. Son gland m’a violemment forcé l’anus et mes cris sont étouffés par son vieux slip remplissant ma bouche. Il reste collé à moi et commence à me pénétrer le cul avec toute la longueur de sa bite. La douleur intense se mélange progressivement à des sensations uniques. Je serai incapable de décrire précisément la sensation de son sexe forçant mon anus étroit. La sensation physique de cette sodomie fusionne avec l’excitation extrême d’être traitée comme une vulgaire chienne.
Pour être honnête, ces quelques instants représentent le summum de l’humiliation dans mon esprit. Je suis à quatre pattes sur le sol de son salon, les fesses relevées et offertes pour que ce vieux porc puisse me démonter et satisfaire ses fantasmes. Il grogne et gémit comme un vieux pervers en claquant mes fesses bien fermes et arrondies.
— Alors petite pute! Tu aimes la prendre dans le cul?
— Mmmh…
— Je vais te retirer le slip de ta bouche mais t’as pas intérêt à me casser les couilles!
André retire effectivement ce vieux slip taché de ma jeune bouche et je retrouve enfin la liberté de m’exprimer. Je sers quand même les dents pour éviter de crier et je tente de lui répondre sans lui communiquer mon plaisir d’être traitée comme une salope.
— Je commence à apprécier de prendre votre sexe dans les fesses Monsieur!
— Je m’en doutais! J’avais immédiatement remarqué tes prédispositions à te faire démonter! Ton cul est fait pour être démoli!
Ses propos salaces me font systématiquement le même effet. Je parviens de plus en plus difficilement à retenir mes gémissements. Je me mords les lèvres pour éviter de couiner dans son salon mais je commence dangereusement à perdre mes moyens. Il continue de me défoncer par derrière comme si mon cul lui appartient. Je craque.
— Oh putain André… je n’en peux plus… défoncez-moi le cul!
— Voilà, on y arrive! Tu commences enfin à piger que t’es qu’une pute!
Je pousse des gémissements de plus en plus forts. Je ne me préoccupe même plus des éventuels voisins. Je m’abandonne à mon propre plaisir et j’entends distinctement le bruit des couilles d’André claquant mes fesses innocentes à chacun de ses coups de reins.
— Tu as envie que je te gicle dans le cul salope?
— Oh oui André, remplissez-moi les fesses de foutre chaud! Pitié!
Je ne me reconnais absolument plus. La jeune Cécile réservée s’est décidément transformée en une petite chienne en chaleur.
André semble perdre doucement le contrôle et ses coups de reins deviennent de plus en plus irréguliers. Il me claque encore le cul pour intensifier son emprise sur moi et profère des mots de plus en plus obscènes. Ses phrases deviennent incompréhensibles et je comprends très vite qu’il s’apprête à éjaculer au fond de moi. Une simple phrase de ma part devrait suffire à le faire gicler.
— Je suis votre petite pute! Lâchez tout dans mon cul!
Un gémissement odieux sort immédiatement de la bouche de ce porc. Il reste agrippé à moi et je sens d’importances giclées de sperme me remplir le cul. Le jus chaud de ce vieil homme prend possession de mes fesses. Il marque littéralement son territoire.
André se retire assez vite de mon cul et je sens tout de suite son foutre sortir progressivement de mon anus souillé. Je remonte rapidement mon string et je remets mon legging déchiré en place. Nos regards se croisent et, malgré la honte, je sens une certaine complicité malsaine entre nous. Je ramasse mes affaires sous ses yeux.
— Qu’est-ce que tu fais?
— Bah je retourne chez moi! Vous avez obtenu ce que vous vouliez, non?
— Évidemment mais tu n’envisages quand même pas de laisser ma bite dans cet état? Elle est encore recouverte de sperme…
Un sentiment très particulier prend possession de moi. Un mélange de dégoût ultime et l’envie de me dépasser jusqu’au bout.
— Mais vous venez de m’enculer?! Je ne vais quand même pas vous sucer?
— Et à quel moment as-tu imaginé que c’était une question? Dépêche-toi!
Plus ou moins résignée, je me remets à genoux devant lui et je lèche quelques secondes sa vieille queue déjà ramollie. Je la prends en bouche pour la nettoyer et avaler le sperme récolté sur ma langue. Je me relève enfin et je m’essuie les lèvres comme le ferait une véritable pute après s’être fait remplir la bouche de sperme.
André me regarde satisfait et conscient d’avoir transformé une jeune fille de 18 ans en un jouet sexuel. La situation est maintenant claire. Je suis devenue la chienne docile de ce pervers et j’y prends clairement du plaisir. Cette histoire ne devra jamais sortir d’ici. Mes copines ne devront jamais entendre parler de ce qui s’est produit ici.
Enfin, je quitte son appartement pour rentrer chez moi… souillée mais satisfaite.
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J’espère que ce second chapitre saura satisfaire la majorité des lecteurs. Merci pour vos retours.
Sylas