L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a bien longtemps de cela. Je vivais avec ma 1ère femme, Marine, une ravissante blonde de vingt cinq ans à l’époque. Ce soir-là, je ne me souviens plus comment et pourquoi, nous nous trouvions chez Hector, un presque septuagénaire ami de la famille de mon épouse. Il nous avait demandé de rester dîner avec lui prétextant qu’il n’avait pas beaucoup l’occasion d’avoir de la compagnie. Il était sympa malgré ses regards indiscrets entre les jambes ou la croupe de mon épouse. Nous avons finalement accepté.
Les apéritifs puis le vin et enfin les digestifs aidants, la discussion a comme souvent, dérivé vers le sexe. Ça m’amusait beaucoup de le voir dévorer des yeux ma jeune compagne car je me disais qu’un homme de cet âge ne pouvait pas être une grande menace, sexuellement parlant, même si je savais que mon épouse pour sa part, était assez attirée par les hommes bien plus âgés qu’elle. La discussion est devenue de plus en plus hard.
C’est ainsi qu’il nous apprit qu’il avait toujours eu de gros besoins sexuels et que depuis la mort de sa femme, il souffrait beaucoup de ne plus pouvoir satisfaire ses pulsions et les masturbations quotidiennes auxquelles il se livrait, ne pourraient jamais remplacer le plaisir de pénétrer un sexe féminin, lécher une chatte, en sentir l’odeur et surtout, surtout la faire jouir car c’était ce qu’il aimait par-dessus dans le sexe.
Elle ne pouvait pas ignorer qu’elle l’excitait et bizarrement, ça avait l’air de l’exciter elle aussi. Je ne l’avais jamais vue se conduire de la sorte, se penchant ostensiblement pour laisser notre vieil ami plonger son regard dans son décolleté ou ouvrir ses cuisses bien plus qu’elle ne le devrait afin qu’il puisse lorgner sa petite culotte.
Je profitais alors d’une courte absence de notre ami pour réprimander mon épouse en lui disant que ce n’était pas sympa de l’exciter comme ça pour rien. Contre toute attente, elle me fit comprendre qu’elle avait envie de lui faire plaisir et que si j’étais d’accord, elle se sentait d’humeur à éteindre le feu qu’elle avait allumé.
J’avais comme beaucoup d’hommes je pense, le fantasme de voir ma femme se laisser embrocher et jouir sous les assauts d’un autre mâle mais jamais je n’avais pensé à un vieux pour satisfaire ce fantasme. Ne sachant pas trop comment réagir je décidais de prendre ce qu’elle venait de dire pour une plaisanterie de mauvais goût aussi je lui murmurais le plus discrètement possible :
Tu serais bien embêtée si je te prenais au mot !
C’est alors qu’elle me rétorqua, sûre d’elle :
Arranges-toi pour nous laisser seuls. Je m’occupe du reste. Et ne revient pas trop vite !!!
Se pourrait-il que mon vieux fantasme se réalise. En tout cas son aplomb m’avait déstabilisé. Avant que je ne puisse lui répondre, notre hôte était déjà revenu. La tête en pleine ébullition, sans savoir pourquoi, je trouvais un prétexte sans queue ni tête pour aller à la voiture stationnée dans un parking public à plusieurs minutes de là, et les laisser seuls comme me l’avait demandé mon épouse.
Je me levais et sortait de l’appartement rapidement en demandant à notre hôte si je pouvais prendre ses clés afin qu’il n’ait pas à se lever pour m’ouvrir lorsque je reviendrais. Je filais vers la porte en m’assurant qu’il ne me suivait pas, puis, j’ouvrais et la faisais claquer afin de faire croire que j’étais sorti puis je revenais à pas de loup dans le couloir jouxtant le salon pour essayer de voir ou au moins entendre ce qui allait se passer. Mon cur battait la chamade tandis que mon sang quant à lui me semblait en ébullition partout dans mon corps.
J’approchais avec précaution de l’entrée du couloir quand j’entendis mon épouse demander à notre ami s’il la trouvait à son goût et si le petit spectacle qu’elle lui avait offert lui avait plu. Je tendais l’oreille pour entendre Hector lui répondre que non seulement ça lui avait plu mais qu’il aurait bien aimé pouvoir rendre hommage à tous ces trésors qu’elle lui avait si gentiment laissé découvrir. Je vous laisse découvrir alors, la conversation qui s’ensuivit.
— Mon mari ne s’occupe pas beaucoup de moi vous savez. Et moi aussi j’ai de gros besoins et ce que vous avez dit m’a beaucoup intéressée.
— T’as trouvé l’homme qu’il te faut ma chérie. Tiens regarde ce que le vieil Hector a, à te donner.
— Waouhhhhhhhhhh ! Quel morceau. J’en ai jamais vu d’aussi grosse.
— Tu peux toucher, tu sais, ça ne mord pas. Allez, prends-là entre tes doigts.
— Hummmm. Vous bandez ferme Monsieur Hector. Ça me fait mouiller ma petite culotte de toucher une aussi grosse bite.
— Branles-moi. Et soulèves tes jupes pour me montrer ta jolie petite chatte sans poils.
— Comme ça Monsieur Hector. C’est ça que vous voulez ?
— Oui, c’est bien. Enlèves cette jolie petite culotte et installes-toi sur le fauteuil pour mieux me montrer ton chaton.
— Vous m’excitez Monsieur Hector. Vous êtes un vieux cochon. Regardez l’état de ma culotte.
— Allez écartes tes cuisses. Oui poses tes jambes sur les accoudoirs comme ça. Voilà, oui, ouvres-là avec tes doigts. Hummmmmm ! Ça m’a l’air d’être bien appétissant tout ça. Papa Hector va te manger le chaton, tu m’en diras des nouvelles.
— Oh oui. Oh oui. Avec la langue. Ouiiiiiiiiiiii. C’est trop bon.
N’en pouvant plus d’entendre et ne rien voir. J’approchais de l’entrée du salon pour découvrir ma femme installée dans l’un des fauteuils, les jambes largement écartées, crochetées au niveau des genoux sur les accoudoirs avec notre ami, à genoux, la tête enfouie entre ses cuisses. Ma femme était en train de se faire lécher la vulve par un vieil étalon en mal de baise et elle avait l’air d’aimer ce qu’il lui faisait à en juger par les gémissements qu’elle laissait échapper à intervalles réguliers.
— Monsieur Hector, Monsieur Hector, je vais venir. Je vais venir. N’arrêtez pas. N’arrêtez pas.
— Jouis ma chérie. Jouis. T’es trop bonne, je t’adore ma chérie.
— Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ça y est. Ça y est. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Oh que c’est bon. Oui. Ouiiiiiiiiiiii. La langue dans mon chaton, ouiiiii comme ça. Aaaaaaaaaaaaahhhh !!!
Elle était en train de prendre un sacré pied ma salope de moitié. Je n’en revenais pas qu’elle se soit laissée culbutée aussi vite par ce vieux cochon d’Hector. Lui aussi avait l’air d’aimer ça. Il l’a laissée jouir, le nez enfoui entre les lèvres de ma chérie puis, tout s’est emballé. Il s’est relevé, le regard rivé sur l’entrejambe de Marine que je devinais bien ouverte et dégoulinante de mouille mais aussi de sa salive. Il a fait glisser son pantalon pour laisser apparaître un énorme mandrin surmonté d’un gland vraiment impressionnant. Je comprenais tout à coup les exclamations de mon épouse lorsqu’elle avait découvert le chibre du vieil homme.
— Tu me laisses te baiser maintenant, ma chérie ?
— Oh oui, Monsieur Hector. J’ai envie que vous m’enfiliez votre gros truc dans la chatte. Il est énorme, ça m’excite. Regardez comme je mouille pour votre grosse bite Monsieur Hector.
— Hummmm ! T’es une bonne salope ma Marine. Je sens qu’on va bien s’entendre tous les deux. Allez écartes-moi cette jolie minette, ouvres-là. Oui. Oui comme ça. Montres-moi comme t’as envie de la grosse bite de ton vieil Hector.
— Venez Monsieur Hector. Mettez-là moi. J’en peux plus. J’ai trop envie.
Il était déjà juste entre ses cuisses, la bite à la verticale. J’étais étonné à la fois par la grosseur de son sexe mais aussi par sa rigidité. Moi qui pensait que les vieux ne bandaient plus comme il faut, la vue de ce que proposait Hector à ma femme, m’a bien vite fait comprendre à quel point j’étais dans l’erreur. Je ne pouvais malheureusement pas m’approcher plus au risque d’être découvert dans mon rôle de voyeur mais j’étais frustré de ne pas pouvoir assister au moment où la grosse bite allait s’enfoncer entre les chairs intimes de ma chérie.
C’est Hector qui me permit finalement de tout voir lorsqu’il demanda comment j’allais réagir si j’arrivais alors qu’ils étaient en pleine action. Marine lui avoua, que je savais ce qui allait se passer lorsque j’avais prétexté devoir aller jusqu’à la voiture car c’est elle qui me l’avait demandé afin de les laisser seuls.
— Tant mieux car ça m’aurait ennuyé qu’il fasse un scandale.
— Ne vous inquiétez pas Monsieur Hector. Il doit être caché en train de nous regarder si ça se trouve. Il a toujours rêvé de voir sa petite salope de femme se faire mettre par une autre queue que la sienne.
— C’est vrai ? Humm. Moi aussi, j’aurais bien aimé voir ma Germaine se faire mettre par un autre mais elle n’a jamais voulu. Il a en de la chance ton petit mari et moi aussi du coup.
— Allez Monsieur Hector. Baisez-moi maintenant. Fourrez ma petite chatte. Vous devez en avoir sacrément envie non ? Depuis tout ce temps..
— C’est vrai. Ça fait tellement longtemps.
Sur ces mots, je sortais de ma cachette en lançant :
— Et ben Monsieur Hector, je vois que vous ne vous ennuyez pas. En train de sauter ma femme dès que j’ai le dos tourné. C’est pas très gentil ça Monsieur Hector.
Hector leva ses yeux vers moi, ne sachant pas trop comment réagir devant mes propos, sa grosse tige à la main.
— Mettez-là moi Monsieur Hector. Viens mon chéri, regardes comme il en a une grosse.
J’approchais du couple en commençant en libérant de son carcan mon propre sexe à l’étroit depuis déjà un bon moment.
— Waouhhhhh ! Ben ça c’est la 1ère fois que j’en vois une aussi grosse.
Voyant que j’attendais moi aussi qu’il s’enfonce dans la chatte de ma femme laquelle semblait tout à coup encore plus petite devant cette barre de chair. Marine s’était redressée pour mieux voir la bite la pénétrer, les yeux rivés sur son entrejambe, attendant impatiemment d’être perforée elle encourageait de la voix notre vieil ami.
— Oui. Oui. Venez Monsieur Hector, vous allez me faire mourir d’impatience.
Le gland commençait en s’enfoncer en écartant résolument les lèvres intimes, la hampe maintenant suivait. Je levais les yeux vers Marine qui, la bouche grande ouverte, retenait son souffle en sentant son sexe s’écarter à l’extrême pour libérer le passage du mandrin.
— Oh mon amour. Il est énorme dans ma chatte. Il va me défoncer. C’est fou de sentir un gros truc comme ça s’enfoncer en moi. Je crois que je vais jouir mon amour.
En entendant Marine me dire ça, Hector s’enfonça d’un seul coup, d’un puissant coup de reins.
— Tiens ma chérie. Sens ma grosse bite dans ta petite chatte.
Marine poussa un cri sous l’assaut tandis qu’Hector la saisit aux cuisses pour lui asséner rapidement deux ou trois énormes coups de reins ce qui la fit partir aussitôt bruyamment.
— Aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh, je jouis. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis mon amour. Il me fait jouir déjà. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah. C’est trop.
Elle n’arrivait déjà plus à parler. Une de ses mains me saisit un bras en me plantant ses ongles dans la peau sous la puissance de l’orgasme. C’était la 1ère fois que je voyais ma femme jouir avec une autre bite que la mienne figée dans son ventre et surtout, jouir aussi rapidement. Ses yeux avaient basculés en arrière dans ses orbites pour ne plus laisser apparaître que le blanc comme lorsqu’elle jouit très fort.
— Branles-toi mon garçon. Branles-toi ça ne t’excite pas ?
Oh que oui ça m’excitait. Mes doigts se mirent en mouvement mais le moins vite possible pour ne pas jouir prématurément et rester le plus longtemps possible dans cet état euphorique que procure une intense excitation. J’avais chaud partout, mon sang dans ma tête, était en train de bouillonner.
— Elle est belle ta femme. Tu en as de la chance d’avoir une femme aussi douée pour le plaisir.
Marine n’entendait déjà plus rien, emportée par les vagues qui lui parcouraient le corps. Elle semblait avoir carrément perdu connaissance. Hector quant à lui, s’était maintenant allongé sur elle, son gros ventre appuyé sur celui si frêle de ma chérie. Je n’arrivais pas à détacher mon regard de ses fesses en train de s’activer d’avant en arrière dans une rotation du bassin des plus indécentes mais tellement excitantes. Je me déplaçais même pour mieux voir son sexe entrer et sortir de la fente. Les chairs écartelées à leur maximum, livides, semblaient sur le point de se déchirer à chaque assaut. Une folle envie de jouir me prenait aux tripes mais je réussissais néanmoins à ne pas céder pour profiter encore de ce plaisir inouï, incroyable de voir sa femme en train de jouir des uvres d’un autre mâle.
En plus d’avoir été vraiment bien loti par la nature, Hector était aussi très endurant. Il attendait sagement que ma femme reprenne ses esprits en la limant lentement puis, il se retira afin de s’agenouiller entre ses cuisses bien ouvertes. Il plongea son nez dans la fente, entre les lèvres dégoulinantes des traces de sa dernière jouissance tantôt pour la dévorer, tantôt pour sentir toutes ses odeurs de femelle en rut émanant d’elle. On aurait dit un animal affamé, incapable de se maîtriser en face de cette fente grande ouverte, prête à reprendre le mâle.
La scène me semblait tellement irréelle que j’en avais même du mal à réaliser que ce qui se passait en ce moment devant mes yeux était tout ce qu’il y a de plus réel. Non, je ne rêvais pas. Tout cela était bien en train de se passer. Hector ce vieux coquin était bien en train de goûter aux effluves de ma chère Marine. Elle commençait à refaire surface. La bouche et la langue de notre ami faisaient leur effet si bien qu’elle se mit à nouveau à gémir de plaisir, en caressant la tête de celui qui était maintenant son amant.
— Oh oui, Monsieur Hector. Vous me faites du bien. Oui. Comme ça, sucez-le, il est gros le mien aussi. Vous allez me faire venir encore.
Hector était aux anges. Il redoubla d’attention si bien qu’en peu de temps je vis Marine se raidir, tendre son ventre vers la bouche en train de la sucer juste avant d’annoncer :
— Ouiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Ça vient. Ça vient. Aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh.
Et de se laisser emporter pour la 3ème fois par un nouvel orgasme un peu moins fort que les précédents mais bien réel. Tout de suite après avoir joui elle dit à notre ami :
— Venez jouir en moi, Monsieur Hector, vous n’avez pas encore joui. J’ai envie de votre sperme dans mon ventre.
Le vieil homme ne se fit pas prier. Il se redressa puis fit mettre Marine à genoux sur le fauteuil, les reins bien cambrés, ses fesses offertes à la saillie puis, posa son vit dans l’entrée de sa vulve et d’un coup de reins, s’enfonça jusqu’aux couilles en arrachant un cri de douleur mais aussi et sûrement de plaisir d’être prise aussi puissamment.
Je me surpris à me remémorer le nombre d’orgasmes qu’elle avait déjà eus. Trois, trois en vraiment peu de temps. Je n’avais jusqu’à présent, jamais été capable de lui en donner autant. D’ailleurs ma femme ne s’y trompait pas, elle le regardait maintenant avec des yeux de femme comblée, la tête tournée vers lui, prête à se donner, à tout lui donner.
Un petit pincement au cur bien naturel se mit à me titiller tandis qu’elle était en train d’encourager Hector à prendre son plaisir dans son ventre et la remplir de son sperme, donnant des coups de reins pour aller s’empaler sur la colonne de chair. Hector se mit à accélérer encore en laissant échapper des sons rauques qui me firent penser qu’il allait bientôt jouir. Il tenta bien de ralentir et même de s’immobiliser mais Marine, lui supplia de continuer, qu’elle voulait son jus d’homme si bien qu’il finit par abdiquer en la besognant de plus belle, de plus en plus fort, de plus en plus profondément jusqu’à ce que l’orgasme l’emporte. Il s’immobilisa enfin au terme d’une course effrénée, libérant ses jets de semence à l’intérieur de ce ventre gourmand en criant son bonheur. Je regardais Marine, la tête toujours tournée vers son amant et je vis ses yeux basculer encore lorsqu’elle sentit Hector commencer à se déverser en elle. Elle jouissait. Elle jouissait pour la 4ème fois. C’en était trop, l’émotion, l’excitation me fit perdre pieds à mon tour. J’explosais en libérant de puissantes giclées de sperme qui s’étalèrent sur la moquette de ce cher Hector. C’était fini. La frénésie sexuelle à laquelle nous avions tous les trois succombé, était en train de se dissiper lentement. Marine, la poitrine appuyée sur le bord du fauteuil récupérait doucement. Hector couché sur son dos faisant de même et moi, les doigts couverts de sperme, toujours enroulés autour de mon sexe revenu à des dimensions bien plus modestes, je les regardais, partagé entre satisfaction d’avoir pu vivre ce fantasme vieux comme le monde et, cette pointe de jalousie naturelle de voir sa moitié appartenir à un autre homme, fusse-t-il septuagénaire.
Nous sommes épuisés, il est tard aussi, Hector nous propose de rester dormir chez lui dans cette chambre d’amis qui ne sert plus depuis longtemps. Il ne serait pas raisonnable de prendre la route à cette heure et après avoir autant bu aussi, j’accepte sa proposition malgré une petite appréhension quand au déroulement de la nuit à venir.