— "Je suis hyper sexy", dis je en me regardant dans la glace, "mon patron va s’imaginer que je cherche à l’exciter !"

— "Tu vas le faire bander, c’est sûr, j’adore", dit David

— "Et si il me drague ?"

— "C’est normal si il te drague, tu es attirante"

— "Oui mais en couple tout de même !"

— "ça ne me dérange pas que tu flirt un peu avec ton patron…"

— "Ah bon ? ", je fais l’étonnée surprise, mais je m’en doutais un peu que cela lexcite, je demande à David avec un petit air coquin mis plaisanterie "je peux aller jusqu’où ?"

— "A toi de voir !" me répond David sur le même ton, "un strip-tease, te faire peloter, une pipe ! ", il ajoute " ça s’est le minimum pour une bonne collaborative !"

— "Ok, j’ai ton accord !"

Nous éclatons de rire

C’est avec un cur un peu battant que j’entre dans les locaux des bureaux, je fais comme d’habitude. Mes collègues passent me voir un peu plus souvent que d’habitude…

M Lacoste me fait venir plusieurs fois dans son bureau, à chaque fois masseoir devant lui est une petite épreuve, je dois être rouge de honte.

Qu’est qui m’a pris de mettre cette jupe ? je suis certaine qu’il se rince lil sur ma culotte à chaque fois.

Dans la journée, alors que je passe dans le bureau d’un collègue déposer un dossier, comme il s’est absenté je le dépose sur sa table. Sa messagerie est ouverte et un mail attire mon attention.

L’objet est "Petite culotte Elodie". Je lit rapidement le mail et comprends que mes collègues jouent à un petit jeu, le premier qui trouve la couleur de ma culotte !

Apparemment aujourd’hui c’est M Lacoste qui a gagné, mais les autres disent que ça ne compte pas, car c’est trop facile, aujourd’hui, comme la jupe est très courte.

S’en suit des plaisanteries sur mes mini jupes et une consensus général pour souhaiter que mes jupes continuent de raccourcir…

Je retourne dans mon bureau un peu chamboulée par ma découverte.

J’appelle David qui éclate de rire. Mon copain m’explique que c’est normal, qu’il n’y a vraiment pas de quoi s’offusquer.

La réaction et les jeux de mes collègues sont tout ce qu’il y a de plus normal et que je dois en être flattée.

-"Tu vois que j’avais raison" me dit David, "tu peux mettre des jupes plus courtes, c’est apprécié !’

La conversation avec David me rassure, je me remets au travail comme si rien n’était.

Le pot est dans la salle de réunion à 18h. M Lacoste a fait les choses bien, champagne et petit fours. Le champagne est excellent et c’est un bon moment.

Nous plaisantons beaucoup. On me dit que mon travail est très bien, et mes tenues aussi.

Ils finissent par m’avouer leur petit jeu sur la couleur de ma culotte à deviner tous les matin, la troisième coupe de champagne aidant, j’en rigole avec eux.

Plusieurs collègues prennent des photos avec leur téléphones portables.

Je leur dit que je savais, que j’avais vu sur un mail. Mon patron intervient à ce moment là.

— "C’est pas bien Elodie de lire les mails de ses collègues, vous êtes une petite coquine !"

Mon patron est tout sourire, je vois bien qu’il plaisante

— "M Lacoste, je suis désolée, je ne le ferais plus !"

Le collègue à qui appartient l’ordinateur sur lequel j’ai lu le mail et qui semble avoir un peu bu dit en rigolant,

— "Oui Elodie, tu es une petite coquine, si tu étais ma fille tu aurais une fessée !"

Tout le monde éclate de rire, mon patron ajoute "c’est une bonne idée, puis je m’en occuper et vous donner une fessée Elodie ?"

Je prends un petit air coquin pour entrer dans leur jeu,

— "D’accord mais pas trop fort…"

Monsieur Lacoste s’approche de moi, pose la main droite sur ma taille, sa main descend sur ma jupe, passe sur les fesses, et me donne deux petites fessées.

Il se place à côté de moi, sa main reste entre ma taille et mes fesses.

— "Il en a de la chance le patron de te mettre la main aux fesses !" dit un de mes collègues

— "ça ne me dérange pas" dis-je avec un grand sourire.

Le temps passe vite, il est 22h lorsque mes collaborateurs rentrent chez eux. J’aide monsieur Lacoste à ranger la salle, nous sommes plus que tous les deux.

J’en profite pour le remercier, le pot m’a fait très plaisir. J’ai la tête qui tourne un peu avec le champagne.

Mon patron me drague…

— "Mademoiselle, c’est un plaisir de travailler avec vous, vous êtes très mignonne !"

— "Merci monsieur Lacoste !"

— "J’adore vous voir en mini jupe, j’espère que vous allez continuer à vous vêtir très court !"

— "Heu…oui bien sur M Lacoste, si cela vous plaît…"

— "Beaucoup, je vous trouve très sexy, je vous trouve très excitante, vous êtes très belle …"

— "Merci, oh la la, vous êtes trop gentil…"

— "Vous êtes diablement sexy ma petite Elodie ! Vous me mettez dans un état ! Si vous avez envie de supplément avec votre patron…"

— "Je… non non !"

— "vous me vexez Elodie, vous avez répondu bien vite !"

— "Heu… désolée, je ne…heu.. vous me troublez…"

— "Vous avez les fesses bien ferment et rebondies j’adore ! Votre décolleté m’attire aussi…"

Je sens que ça va dégénérer, j’essaye de m’en sortir, "Pour mon décolleté, on verra une autre fois, si vous voulez bien !"

M Lacoste éclate de rire, "J’espère très vite alors !"

— "Je vais rentrer M Lacoste, je suis très fatiguée …"

— "vous avez raison, il est tard, rentrez bien et continuez à mettre des tenues sexy au bureau !"

Rentrée chez moi, je raconte toute la journée à David, en lui cachant rien. David est très excité par l’effet que je fais à mon patron.

Il me fait l’amour comme jamais, il me prends dans toutes les positions que nous pratiquons. Je jouis deux fois.

Tous les deux affalés sur le lit, il me reparle de mon patron.

— "Cela ne me dérange pas que ton patron te touche un peu…’

— "Ah tant mieux, car à mon avis, il va recommencer !"

— "Tu peux même aller un peu plus loin si tu veux…"

— "Quoi ? Tu veux qu’il me baise ?

— "Peut être pas, mais tu peux lui faire une pipe si tu veux…"

— "Çà ne fait pas parti de mon travail quand même !"

— "Non, mais je pense que serait bien vu…"

— "Oui sûrement !"

Le lendemain, je décide de changer de style avec une mini jupe plissée grise et un petit top blanc moulant avec un joli décollette en V.

J’ose mes talons 12 cm et pour un look total lolita, je me fais une queue de cheval.

Lorsque je passe dans les bureaux, un collègue me prend par la taille quand je lui fais la bise. Voyant que je ne dis rien, les autres font la même chose.

M Lacoste me met une main sur les fesses…

La journée est dense en boulot. j’ai droit à des compliments. L’association talons, mini jupe plissée, top et queue de cheval plais beaucoup.

J’ai même droits à des mots gentils de clients.

Mon collègue Thierry passe dans mon bureau en fin de journée et me fait rire.

— "C’est très mignon ta jupe plissée mais nous n’avons rien vu aujourd’hui…c’est qu’elle couleur ?"

— "Tant pis tu ne saura pas !"

— "Allez, tu me dois bien ça ?"

— "Pour le mail ? J’ai donné, j’ai eu une fessée !"

— "Allez, soit sympa…"

C’est vrai que Thierry est particulièrement gentil, je ne s’est pas ce qui me prend, je lui fait un cadeau

— "Soulève ma jupe pour voir si tu veux…"

Thierry ne se fait pas prier, il soulève le devant de ma jupe, me frôlant une cuisse au passage.

— "Blanche !"

Mon patron choisit ce moment pour faire irruption.

— "Moi aussi je veux voir !"

Sans attendre mon avis, M Lacoste soulève aussi ma jupe "Très joli !"

Il me glisse dans l’oreille, "un peu humide aussi…"

Cette situation m’excite, d’être l’objet de désire de tous ses hommes me fait mouiller, je rougie.

Monsieur Lacoste me ramène dans les réalités, "Dans mon bureau, je voudrais qu’on vérifie une facturation !"

J’accompagne mon patron jusque devant son bureau, il me fait entrer dans son bureau en me poussant une main sur les fesses.

La facturation pointée, mon patron me remercie,

— "Je vous trouve très attirante, c’est très agréable pour tous de vous voir en tenue sexy".

— "Cela me plais beaucoup aussi vous savez."

— "Vous me faites un effet Elodie, et c’est peu dire !"

— "Merci, je.je veux bien faire quelques entras… si cela ne devient pas une habitude…"

— "En faite là je suis au bord d’exploser Mademoiselle !"

Je prends un petit air coquin, puis je baisse les yeux en rougissant, j’en ai envie aussi…

— "Si vous souhaitez, je peux vous faire une fellation monsieur Lacoste…"

— "ça ne se refuse pas Elodie, et j’ai besoin d’être soulagé !"

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