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Les dérives urbaines de Monsieur L – Chapitre 1




En boîte je ne danse pas beaucoup, je suis nul pour danser. Alors je m’installe au bar et j’observe les gens qui s’amusent en buvant un peu plus que de raison et en écoutant leur musique de merde et je m’amuse à jeter des oeillades aux jeunes femmes alentour, c’est toujours amusant de voir leurs réactions aux regard concupiscents et insistants.

    Parfois elles détournent ostensiblement le regard en prenant un air outré, je les catalogue immédiatement dans la catégorie ’connasses’ ; parfois elles sourient avec un air salace, éventuellement en promenant leur langue sur les lèvres : catégorie grosse salope, voire pute.

    Enfin le plus souvent elles sont embarrassées, rougissent , esquissent un sourire, ne savent pas où se mettre. D?habitude, je me concentre sur la deuxième catégorie pour être sûr de bien ’finir la nuit’ mais ce soir là je décidai de me consacrer à une fille ’normale’ toute mignonne dans sa robe rouge moulante : je résiste rarement aux robes rouges moulantes, comme quoi on tombe toujours dans les clichés.

    Je continue de regarder la jeune femme qui, visiblement, se prend au jeu et reste assise à la table basse qu’elle partage avec sa bande de copains, j’ai compté deux garçons et quatre filles, jeunes, heureux de vivre, ils ont dans les 25 ans, je les envie.

    Après deux scotches généreux, je me décide à dépasser ma timidité et à approcher la jeune femme. Elle ne s’y attend pas, visiblement, car elle me regarde avec l’air très intrigué. Je cherche une phrase ’cliché’ pour amorcer le contact.

    Je lui dis ’Bonsoir mademoiselle, ça vous intéresserait qu’on s’ennuie ensemble ? Vous n’avez pas l’air de vous amuser follement’. Elle est très gênée, n’était pas préparée à subir un tel ’assaut’. Elle se retrouve une contenance et répond ’C’est vrai mes collègues de bureau m’ont entraîné ici alors que je prévoyais une soirée-télé tranquille’

    La réaction me plait : je ne suis pas rejeté a priori . Donc je m’installe à la table et discute de tout et de rien avec la jeune femme. Elle s’appelle Sandrine, travaille comme secrétaire, a un petit ami qui est en stage à l’étranger… Et la pluie, et le beau temps… Puis arrive l’une de ses copines-collègues. Une fille très vive, dynamique, par contraste avec Sandrine qui est plus douce, plus réservée.

    La dernière arrivée s’appelle Nadia, elle est jeune cadre commerciale (je l’aurais parié !). Nadia semble trouver tout à fait normale ma présence incongrue à leur table. Je leur offre un verre et je reprends un scotch pour me donner de la confiance. Là j’ai un problème : je sens bien que j’ai mes chances aussi bien avec Sandrine qu’avec Nadia. En plus elles me plaisent bien toutes les deux alors je n’arrive pas à me résoudre à faire un ’choix’ cependant, je dois me décider si je tiens à ’faire quelque chose’ de ma nuit.

    Il est une heure du matin alors je tente une diversion pour différer la décision, ce qui m’aide beaucoup, c’est que les deux filles semblent en avoir marre de l’ambiance de la boîte de nuit. Je leur propose d’aller manger un morceau dans un snack ouvert 24/24, elles acceptent.

    Elles disent au revoir à leurs copains restants et me suivent. Nous nous retrouvons dans une ambiance moins bruyante à quelques centaines de mètres de là. Nous commandons quelques trucs à grignoter et continuons à bavarder. Dans ma tête ça se bouscule d’autant plus que j’ai bu ’un peu beaucoup’.

    Alors je me lance : je sors cette incroyable incongruité : ’Les filles ça vous dirait de finir la soirée chez moi ?’. Je regrette tout de suite cette bêtise que je vais devoir assumer toute ma vie…

    Nadia répond gentiment ’t’es un dingue toi’. ’Je sais, lui réponds-je, mais faut bien être dingue de temps en temps ?. Et moi de leur vanter les bienfaits du libertinage, des expériences nouvelles, ’il faut profiter de la jeunesse…’ , bref encore des clichés gros comme une montagne. Mais je réussis tout de même à les convaincre au moins à me suivre chez moi, ’boire le dernier verre’.

    Nous débarquons donc dans mon salon à s’efforcer d’avaler nos n-ièmes verres de whisky ou de Martini.

    A l’aide de fines allusions, je fais comprendre aux filles que j’ai envie de sexe. je m’installe entre elles deux sur le canapé, et je commence à laisser mes mains se balader un peu, sans exagérer. Petit à petit je convaincs les deux de venir dans la chambre à coucher. Je vaincs les dernières réticences en disant qu’au point où on était on avait rien de mieux à faire que ’s’amuser un peu’

    Sandrine et Nadia demandent à transiter par la salle de bains, ce qui est tout à fait compréhensible. Pour ma part je suis déjà fort excité par ce qui va se passer. Je ne résiste pas à mon impatience et je fais une intrusion dans la salle de bains.

    Les réactions féminines m’amusent parfois énormément : voilà deux filles qui sont plus ou moins prêtes à une grande séance de baise mais elles sont effarouchées par le fait que j’assiste à leurs ablutions.

    Sandrine est sous la douche, peu soucieuse de son brushing impeccable et Nadia est assise sur le bidet. je dis : ’Vous êtes très mignonnes toutes les deux. J’entreprends de me déshabiller pour les mettre encore plus mal à l’aise. A la vue de mon sexe en érection, Sandrine pouffe nerveusement de rire en disant ’j’y crois pas à ce qui est en train d’arriver’. Je me contente de rigoler et de la rejoindre sous la douche.

    Je me colle à elle, mon sexe appuyé à la raie de ses fesses et j’entreprends de la savonner, passant mes mains en douceur sur ses jolis petits seins. Sandrine me dit ’Tu es vraiment fou’ dans un soupir tandis que Nadia, rougit tout en ne pouvant pas s’empêcher de regarder.

    Sandrine et moi sortons rapidement de la douche, elle halète doucement avec un sourire au coin des lèvres. Je les prends par la taille et les entraîne dans la chambre. Il se passe un moment creux après que nous nous soyons étendus sur le lit tous les trois. De chacune de mes mains je caresse deux cuisses très contrastées : bombées et musclées chez Sandrine qui est visiblement une sportive, plus fine et moelleuses chez Sandra.

    Je demande ’Tout va bien ?’, Nadia se contente de rigoler tandis que Sandrine répond ’génial’ d’une voix déjà un peu rauque. Je dis ’Nadia, tu ne veux pas faire une gâterie à ma petite queue ?’. Elle sourit et dit ’pas si petite’ puis elle vient s’agenouiller entre mes jambes et commence à lécher la colonne, le gland, puis dans un gémissement elle engouffre la bite durcie dans sa bouche.

    Sandrine la regarde d’un air fasciné, oubliant semble-t-il ma main qui s’est posée sur son sexe déjà un peu moite.

    La tête de Nadia va et vient langoureusement, semblant absorber encore plus profondément la bite à chaque coup. Je suis complètement excité et j’ondule des reins pour accompagner le mouvement. En même temps je caresse encore plus vigoureusement le pubis de Sandrine en appuyant sur son clito. Sandrine commence à pousser des ’aaahhh ! aaahhh!’

    Sandrine vient poser un baiser violent, passionné sur ma bouche. ’Oh, chéri’ dit-elle entre deux soupirs. ’Tu pourrais aider un peu ta copine, lui dis-je’. Sandrine sourit et va rejoindre Nadia qui s’affaire avec beaucoup de talent sur mon pénis.

    Sandrine se met à me lécher les couilles tandis que Nadia mordille mon gland, prêt à exploser. Nadia doit sentir que je suis près de l’orgasme alors elle retire ses douces lèvres et me masturbe avec sa main en disant ’tu vas jouir mon chéri, hein, que tu vas jouir !!’

    Sandrine rigole doucement en me regardant gémir de plaisir. Une généreuse giclée de sperme s’échappe de ma queue, quelques gouttelettes viennent s’égarer dans les cheveux de Sandrine. A ce moment là je ne sais plus où je me trouve, j’ai mis la main sur les deux filles plus gentilles et adorables de la ville, sans aucun doute.

    J’attire Nadia de façon à ce que sa chatte se présente à ma bouche et je lui fais un cunnilingus de bon ton. De son côté Sandrine s’est remise à me sucer et réussit rapidement à me faire rebander.

    Ma langue s’attaque violemment au clitoris de Nadia qui commence à pousser des cris de louve tandis que Sandrine s’est empalée sur moi, après m’avoir enfilé un préservatif. Ma bite glisse en toute facilité dans sa chatte trempée. Sandrine imprime des mouvements amples pour faire aller et venir mon pénis dans sa grotte enflammée. Je me dis que je suis au paradis. avec deux belles filles complètement déchainées sur moi.

    Je caresse le clito de Sandrine qui ne tarde pas à avoir son premier orgasme de la soirée : ’Aaaaaahhhh, salaud, je jouis’ Elle se retire et retombe étendue sur le dos en disant ’Ah que c’est génial’.

    Je mets Nadia à quatre pattes et je la prends en levrette. ’Oh ! Ah !’ fait elle à chacun de mes coups de reins. Sandrine profite du spectacle et dit dans un sourire ’Hmmm vous êtes beaux tous les deux’.

    J’aimerai avoir deux queues pour pouvoir les pénétrer toutes les deux. Je dois me contenter d’enfoncer un puis deux doigts dans la chatte de Sandrine qui commence à se tortiller de plaisir. Un peu plus tard alors que les petits cris de Nadia se sont peu à peu mués en feulements, Sandrine se met à me lécher les couilles provoquant un orgasme simultané entre Nadia et moi. Un feu d’artifice.

    Epuisés, nous nous endormons dans les bras les uns des autres.

    Le jour est bien vite arrivé. Sandrine s?est réveillée la première. Dans ma demi-inconscience je l?entends vaguement se rhabiller. Je lutte vainement contre la vague de sommeil qui vient sur moi. Je suis tout de même réveillé par la bouche de Sandrine qui vient délicatement se poser sur la mienne. Je vais pour lui dire quelques mots mais elle me fait signe, un doigt sur mes lèvres que ce n?est pas nécessaire. ? Je dois partir, mon cheval m?attend. ? chuchote-t-elle, et elle ajoute ? J?ai passé la plus belle nuit de ma vie. ? Ce qui évidemment flatte énormément mon ego de mâle. Comme pour me remercier, Sandrine embouche mon pénis qu?elle suçote jusqu?à le rendre dur et dressé tel une fusée prête au décollage. Satisfaite, elle se redresse et quitte la pièce avec un geste de la main que j?interprèterait comme ? Ciao ! ?.

    Nadia, pendant tout ce temps n?a pas bronché dans son sommeil profond, étendue sur le flanc, une main posée sur mon épaule, une moue enfantine à la bouche. Je prends le temps de l?observer en détail. J?aime sa silhouette fine avec laquelle contraste une paire de seins massifs, en poire, avec des tétons arrogants. J?aime aussi son visage gracieux un peu osseux. Je caresse doucement sa joue, ce qui la réveille. Elle me regarde, un peu hébétée, puis me sourit. ? Quelle heure est-il ? ? demande-t-elle.

    – Neuf heures du matin. Bien dormi ?

    – Super bien, répond-elle, Sandrine est partie ?

    – Oui, mais elle t?a laissé un cadeau empoisonné en partant, réponds-je en portant sa main sur mon sexe en érection.

    – Ben dis-donc, tu es insatiable toi, rigole-t-elle.

    Je le lui confirme en m?étendant sur elle, l?embrassant goulûment, l?enlaçant, la caressant. J?appuie ostensiblement ma verge contre son pubis. Elle continue de rire, d?un rire sensuel et encourageant. Elle me repousse, pour me faire étendre sur le dos et d?un geste sûr, sensuel m?enfile un préservatif. C?est un geste qui m?a toujours excité chez une femme, ce rituel de l?habillage. Bien que la présence de l?accessoire protecteur me diminue considérablement le plaisir…

    Nadia me branle quelques secondes puis s?installe à califourchon sur moi, le dos tourné. Elle imprime de langoureux mouvements de rotation du bassin en pressant doucement mes testicules dans ses mains comme pour en faire sortir le jus. Elle obtient rapidement gain de cause car nous explosons tous les deux en même temps, cette fois encore.

    Elle dépose un baiser sur ma bouche et se lève. Je me retrouve tout seul dans l?appartement, à me demander si tout cela s?est réellement passé. Les seules preuves l?attestant sont trois verres mal vidés et une paire de préservatifs usagés qui ont recueilli de belles doses de spermes.

    Je n?ai plus revu Sandrine et Nadia.

Méphisto Fêlé

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