Hier, mardi, je m’ennuyais seule chez moi alors que mes sens me poussaient à prendre du plaisir ; je décidai donc, au bout de quelques temps, de faire des folies de mon corps et d’aller m’offrir dans un cinéma porno marseillais.
J’aime bien ce cinéma, que je fréquente de temps à autres et où, apparemment, je commence à être connue et appréciée. Il est un peu glauque et l’on y trouve beaucoup d’hommes de toutes origines sociales et ethniques.
Pour y aller, j’avais bien évidemment conservé mes hauts talons, sans bas, enfilé un string sous une mini jupe en jean et un blouson de cuir sur mon soutien-gorge. Un sac en bandoulière – dans lequel j’avais glissé des préservatifs (salope mais pas inconsciente) – complétait mon habillement.
J’avais garé ma voiture à proximité du cinéma ne sachant pas très bien dans quel état je ressortirai de celui-ci. Je réglais les quelques de frais d’entrée (Marseille est la seule ville où un ciné de ce genre fait payer les femmes) et me dirigeait vers la salle.
Pour l’atteindre, il faut monter un très, très long escalier et c’est en le montant que j’ai l’habitude de retirer mon string, que j’enfile alors comme un bracelet autour de mon poignet.
Le cur battant, comme une jeune fille à son premier rendez-vous (tu parles !) j’entrai dans cette salle où il faisait particulièrement sombre et à tâtons, je remontai le couloir sur quelques mètres pour aller m’installer, debout, près d’un siège déjà occupé.
Quelques minutes plus tard je sentais une main s’enrouler et caresser ma cheville et remonter doucement vers mes fesses nues. J’aime ce moment où je suis à la fois pressée que la main atteigne mes fesses et où je souhaite que l’utilisateur de mon corps me fasse languir.
Un autre utilisateur s’était approché de moi et lui m’avait carrément mis la main aux fesses, frustrant ainsi le 1° qui pensait sûrement que j’étais sa chose. Mais je suis la chose de tout le monde dans ce genre d’endroit.
Quelques temps plus tard, ils étaient 3: le 1° jouait avec mon clito et ce qui pend en dessous, le 2° m’ouvrait avec un ou deux doigts et me forçait à me pencher en avant pour sucer la queue d’un 3°.
Assez rapidement, ce 3° se répandit dans ma bouche et je pris un malin plaisir à déguster sa semence et à l’avaler. Un 4° le remplaça assez rapidement pendant que les 2 autres continuaient leurs "caresses".
A un moment, le 4° me prit par la main et m’emmena pour qu’il puisse s’asseoir. Comme il s’était confortablement installé dans son fauteuil, le pantalon baissé sur ses jambes bien écartées, je m’agenouillai devant lui, la jupe bien relevée au-dessus de mes fesses nues, et repris mon devoir de suceuse, au vu et au su de toute la salle et surtout de tous ceux qui s’étaient approchés, comme la bonne salope vicieuse que je suis, aime à le faire.
Je sentis peu après son membre se tendre et des gros bouillons de liqueur d’homme envahirent ma bouche; pendant qu’il reprenait ses esprits, je lui montrais ma bouche pleine de son bon jus et finis par l’avaler. Après quoi je le remerciais de m’avoir ainsi désaltérée.
Je retournais un peu plus haut et retrouvaient les deux premiers qui reprirent leurs attouchements. Celui qui était assis me prit alors en bouche. Toujours au même endroit, un 5° prit place, debout, près de nous et comme quelqu’un m’avait mis sa queue dans ma main, je le masturbais. Pendant ce temps, le 2° cherchait ostensiblement à me distendre l’anus, l’humectait, me fouillait, tant qu’il pouvait.
Le 5° homme était près de tout lâcher; j’activais le mouvement et approchais ma seconde main pour récupérer son jus de couilles. Quand il eut tout donné, il sortit un kleenex pour que je puisse me nettoyer la main: mais je refusais et lui montrais en la léchant et en la nettoyant de ma langue comment j’aimais me nourrir. Je ne manquais pas de le remercier lui aussi.
J’en étais donc à ma 4° dégustation et j’aime remercier les hommes et les femmes des traitements qu’ils me font subir et d’aussi bien m’utiliser !
J’émigrais plus haut dans la salle et quelques temps passèrent ainsi. Je guettais et souhaitais une nouvelle vague d’assauts. Je décidais d’aller me mettre à l’arrière de la salle. Là, un grand espace libre occupe l’arrière des rangées de fauteuils. Personnellement, n’étant pas bien grande, je ne vois plus le film mais je considère alors que je suis le film pour ceux à qui je plais …
Quelqu’un (le 6°) se colla contre moi frottant son membre contre mes fesses, me serrant fort contre lui à m’étouffer, afin de me montrer qu’il allait prendre possession de moi. Je sentais sa queue vouloir forcer mes reins, mais je me dérobais en vérifiant qu’il était "habillé". Que nenni ! Je me dépêchais de sortir un préservatif de mon sac (prévoyante la salope …) et le lui mis – ce qui me permit de constater la TRES bonne taille du monsieur. Après quoi je levais les bras sur les dossiers devant moi et lui offrit mes reins: il se présenta et m’enfila doucement mais complètement ; puis il se mit à aller et venir afin de bien me saillir comme une bonne jument offerte à l’étalon.
Il s’épancha en moi en grognant de plaisir, mais je ne réussis pas à récupérer le préservatif qu’il emporta avec lui. Pour en faire quoi ? Mystère ! Rien peut-être … Quel gâchis !
Qu’importe! Un nouveau se présenta immédiatement (n°7) – habillé – et prit la place toute chaude. Il me besogna longuement pendant que des inconnus venaient me peloter. 2 ou 3 se mirent même à me "faire les seins" et je leur tendais mon absence de poitrine pour qu’ils l’empoignent malgré tout et me tirent et vrillent les tétons. Avec beaucoup de gentillesse, ils me disaient des mots très doux qui m’informaient que j’étais une bonne salope, que j’étais faite pour le sexe et je leur répondais que j’étais effectivement une bonne chienne, un sac à foutre, une poubelle à jus, …. d’ailleurs une fois que mon baiseur en cours se soit vidé en moi, je récupérais prestement la capote et la levant à l’envers au-dessus de ma bouche grande ouverte afin de récupérer le précieux nectar pour une dégustation bienvenue. CQFD !
J’avais besoin d’un peu de repos; j’allais donc m’asseoir, les fesses nues, directement sur l’accoudoir d’un siège, la jupe totalement relevée, ce qui permit à certains de venir jouer avec mon clito et ce qui va avec.
Puis j’allais explorer une petite salle à l’arrière et qui avait du, un jour, être les toilettes. Plusieurs types s’y masturbaient, ondinistes patentés ou exhibitionnistes invétérés. Je les rejoignis et les imitais puis leur expliquais que je souhaitais qu’ils éjaculent sur ma poitrine. Je mis donc à genoux devant l’un d’entre eux (n° 8) un type avec un énorme bide mais qui assez rapidement se répandit sur mes seins, mon blouson étant grand ouvert; immédiatement, son voisin (n°9) me gratifia de la même sauce. Je me caressais en même temps, et très excitée, j’ai failli leur demander de m’arroser autrement; mais je décidais que ce serait pour une autre fois. D’ailleurs, j’étais près de la jouissance, je me relevais et en hurlant des tas d’insultes à mon égard, je me répandis à mon tour.
En sortant, la poitrine et le string enroulé à mon poignet couverts de sperme, je regardai ma montre: tout cela avait duré près de 3 heures.
Je rentrais chez moi et un peu plus tard dans la soirée je ressentis le besoin d’accrocher mes poids (voir galeries 16 & 17) et de me faire jouir à nouveau. Éreintée, je me couchais et m’endormis.