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Logement provisoire : Magali – Chapitre 9




Vendredi 1 juin

Quand Magali monte dans la voiture, vous la regardez à peine. Au premier feu rouge, vous lui demandez :

Tu es prête ?

Nouvelle guêpière, ouverte au niveau des seins. Pas de culotte. Bas résille si tu te donnes la peine de regarder.

Ne me dis pas ce que je dois faire.

Où allons-nous ?

Vous ne répondez pas.

Vous arrivez à la maison et vous entrez. Un coup d’il au salon que vous avez préparé la veille. Vous embrassez Magali avec passion et celle-ci mord à l’hameçon. Mais deux minutes plus tard, on sonne à la porte.

Va ouvrir !

Magali exécute et ouvre à vos deux meilleurs amis, Laurent et Virgil, qui vous ont aidés lors du déménagement. Ils saluent Magali puis vous et comme prévu, ils vont s’asseoir au salon. Magali ne comprend pas. Elle revient vers vous et vous l’embrassez à nouveau.

Vous commencez à déboutonner son chemisier et vous sentez que Magali sourit en vous embrassant. Pas besoin de mots. Quand Magali vous suce, vos amis sortent leurs verges tendues et quelques instants plus tard, Magali leur fait apprécier son habileté buccale. Agenouillée entre vous, Magali suce et masturbe, visiblement ravie d’avoir ces trois sexes bien durs à sa disposition.

Elle chevauche ensuite Laurent tout en vous gardant, Virgil et vous, dans sa bouche. Quand vient le tour de Virgil, vous commencez à préparer votre voisine à la sodomie. Vous la prenez quelques instants par le cul avant que vous ne lui proposiez qu’elle revienne sur Virgil. Sourire pervers. La double pénétration se passe si bien qu’elle devient triple lorsque Magali reprend Laurent dans sa bouche.

Vous pourriez poursuivre ainsi, inverser les rôles, mais Magali a été vraiment gentille et vous proposez à Virgil de vous rejoindre dans l’anus de la brune qui accueille la proposition avec un hochement de tête. Quelques minutes plus tard, quand Magali murmure "Allez-y", ce n’est pas pour que vous la pénétriez, mais bien pour que vous commenciez vos va-et-vient.

Vous laissez ensuite votre place à Laurent. Vos deux amis sont plutôt doux, mais Magali les exhorte rapidement à plus de vigueur et de vitesse. Elle prend son plaisir qui semble sans fin. Avant que Laurent et Virgil ne jouissent, vous demandez à Magali :

Trois, ça se tente ?

Elle vous regarde, les yeux exorbités, avant de lever les sourcils.

On peut essayer.

Vous trouvez une position aux côtés de Laurent et tentez d’enfiler votre gland dans le fion complètement ouvert de Magali. Il passe. Vous poussez un peu. Elle gémit. De plaisir. Durant quelques instants, vous parvenez à sodomiser Magali à trois. Une expérience à partager entre amis.

Au terme de cette aventure, Magali vous suce à nouveau et vous avale à tour de rôle. Laurent et Virgil partent rapidement. Vous devez aider Magali à se lever du canapé et l’accompagner à la salle de bains.

C’était incroyable ! Je n’en reviens pas.

Vous non plus, à vrai dire.

De retour à la cuisine, vous lui demandez :

Ça va aller pour le travail ?

Pas envie d’y aller. J’ai envie de rester avec toi ici.

Tu as encore envie ?

Mon vagin est tout prêt.

Vous l’embrassez vulgairement.

Plus aucune erreur.

Tu m’as bien dressée.

Tu mérites que notre histoire se termine bien.

Je ne veux pas qu’elle se termine. Je veux être à toi pour toujours.

Elle se terminera. Dimanche prochain.

Elle baisse les yeux. Vous relevez vivement son menton.

Arrête de pleurnicher, sinon je te vire sans ménagement.

Elle fixe ses yeux dans les vôtres. Ce que vous attendiez. Vous lui dites :

Samedi prochain, tu as rendez-vous ici à 17h30. Pile. Libère-toi jusqu’à dimanche soir. Ce week-end, je te fournirai d’autres informations.

Vous prenez la voiture et la ramenez au travail. Avant de sortir du véhicule, Magali demande :

On se voit cette semaine.

Non. Pas avant samedi. Mais on sera en contact constant.

Dommage…

En vous embrassant, elle caresse votre sexe et vous bandez immédiatement. Elle dit :

Je me réjouis.

Samedi 2 juin

Vous faites nettoyer l’appartement de Sandrine et Olivier. Vous vérifiez méticuleusement chaque pièce. Satisfait, vous fermez la porte d’entrée pour la dernière fois et descendez reprendre votre voiture au garage.

Là, vous croisez Magali, Jipé et leur fille qui rentrent apparemment des courses. Jipé vient chaleureusement vous saluer. Vous lui promettez de les inviter tout bientôt à la maison pour un barbecue. Vous les regardez partir et vous réjouissez de ce regard coquin de Magali.

Le lendemain, vous lui écrivez une lettre dans laquelle vous détaillez ce qu’elle doit prendre. Vous joignez à votre missive une carte de crédit.

Durant la semaine, Magali vous pose des questions, mais vous restez vague. Elle vous appelle, vous sentez de l’inquiétude dans sa voix, mais également une si forte excitation.

Vendredi 8 juin

Alors que vous sirotez une bière sur votre terrasse en toute fin de journée, on sonne à la porte. Vous pensez à un ami qui vient vous rendre visite. Ou vos parents. Mais vous découvrez Magali. Vous restez un instant interdit avant de la faire rentrer.

Je viens directement du travail. J’avais envie de te voir.

Un collègue t’a déposée ?

Non, j’ai pris les transports publics.

Si, en voiture, il faut une grosse vingtaine de minutes pour aller du travail de Magali à votre maison, il faut compter quatre à cinq fois plus de temps en transports publics. Et il faut encore marcher cinq bonnes minutes pour arriver chez vous. Et il fait 30°C. Et Magali est en tailleur. Et vous sentez sa forte odeur corporelle lorsque vous lui faites la bise. Et vous n’avez alors plus du tout envie de la mettre à la porte.

Vous vous agenouillez devant elle et soulevez sa jupe sous laquelle elle ne porte rien. Son sexe parfaitement glabre suinte de sueur et il sent incroyablement fort. Et ce goût. Votre tête tourne tant le sexe de Magali est odorant et tant son goût est intense et épicé. Elle jouit bruyamment. Vous ne vous arrêtez pas. Sa chatte dégouline sur votre menton, dans votre cou. Toujours agenouillé, vous sortez votre bite et vous vous masturbez en dévorant le minou de votre désormais ancienne voisine. Magali gémit de plus en plus bruyamment et jouit à nouveau. Longuement, très longuement. Elle semble alors remarquer que votre chibre est à l’air et s’accroupit alors vivement pour venir s’empaler dessus.

Vous arrachez son chemisier sous lequel elle ne porte rien et pelotez ses seins sans ménagement tandis qu’elle saute avec force sur votre bite. Cela est très rapide. Une grosse minute à tout casser. Vous explosez. Magali s’affale sur vous. Elle rit :

Quel accueil !

Quelques minutes plus tard, elle vous accompagne sur la terrasse et vous lui ouvrez une bière. Elle s’allonge à vos côtés dans la méridienne et dit :

Je suis stressée pour demain, très stressée.

Je n’ai pas envie de te dire ce que j’ai préparé, mais je peux te rassurer. Tu seras traitée comme une reine.

Je sais qu’avec toi, c’est toujours le cas. N’empêche que l’inconnu m’inquiète.

Vous l’embrassez.

Je t’ai dit que ce serait doux. Plus de contraintes.

Elle sourit.

Comprends-moi : d’un côté, tu me demandes de venir habillée "comme une pute" et d’un autre, je dois amener toute ma tenue de mariée. Tu me dis que ce sera fini après-demain et tu m’invites à acheter tout vêtement et sous-vêtement sexy dont j’ai envie.

Tu me fais confiance ?

Plus qu’à n’importe qui.

Alors, allons-y comme ça, non ?

Elle vous embrasse sur la joue et se love contre vous.

Pendant une bonne demi-heure, vous papotez de votre déménagement, de votre avenir, du travail de Magali, de ses projets. Finalement, c’est la première fois que vous parlez vraiment avec elle.

Magali regarde ensuite sa montre.

Je ne vais pas tarder, j’ai un bon bout de transports publics pour rentrer.

Elle se lève. Vous l’accompagnez dans le hall d’entrée. Elle attache ses sandales. Quand elle se redresse, vous vous plaquez contre son dos. Vous bandez méchamment contre ses fesses. Vos mains passent sous ses bras et viennent à sa poitrine.

Si je te ramène, tu as encore un peu de temps ?

Elle sourit.

Un peu de temps pour quoi ?

Pour faire l’amour peut-être.

Je ne veux pas faire l’amour. Je veux baiser.

Vous répondez à sa provocation.

Tu pues toujours.

Je sais. De partout. Mais particulièrement de la chatte. Et tu adores ça.

Alors que vous la pelotez et l’embrassez, vous sentez ses mains ouvrir votre bermuda et sortir votre sexe. Elle remonte sa jupe et vous glissez en elle. Elle est trempée. Les mains contre le mur, les jambes écartées, elle vous jette un regard cochon par-dessus son épaule.

Vous la prenez durant plusieurs minutes, tout en variation. Puis soudain, vous vous retirez pour placer votre sexe contre son anus. Le gémissement de Magali vaut toute validation. Vous poussez et vous introduisez dans son cul. Vous êtes surpris de la facilité déconcertante avec laquelle vous enfilez désormais son anus. Vous la limez ainsi plusieurs minutes avant d’éjaculer. Magali semble ravie. Elle rit.

J’ai bien cru que j’allais partir sans que tu m’encules !

Ça n’aurait pas été la première fois.

Elle passe à la douche, rapidement, puis vous partez. En arrivant à proximité de chez elle, Magali pose sa main sur votre cuisse et remonte jusqu’à votre entrejambe. Vous bandez immédiatement.

C’est fou cette capacité à être encore vigoureux aussi vite.

Elle rit et ajoute :

Si je vivais avec toi, qu’est-ce que j’en profiterais !

Je la cherche un peu :

Ah bon ? Décris-moi un peu une journée de semaine idéale.

Mmmh… Nous ferions l’amour en nous réveillant, en douceur, tranquillement. Nous prendrions un petit-déjeuner avant de nous préparer. Tu me baiserais. Soit pendant qu’on se préparerait, soit juste avant de partir au travail. Un bon coup de bite. Peut-être dans le cul d’ailleurs.

Nous rions.

Ensuite, nous nous verrions à midi pour baiser quelque part en ville, dans un parc, un magasin, que sais-je. En fin de journée, ce serait un rapport fantastique. Nous nous retrouverions ici et notre ébat serait tous les jours merveilleux. Ensuite, dans la soirée, nous aurions un cinquième rapport. Il pourrait faire suite au quatrième, il pourrait prendre la forme d’un coup de reins pendant la préparation du souper, plus doux au dessert, je pourrais aussi me vêtir de lingerie fine, sous la douche… Il y aurait tant de possibilités.

Elle sourit malicieusement.

Enfin, le soir, nous irions nous coucher tôt pour que nous puissions coucher ensemble une dernière fois.

Six rapports quotidiens. Je n’ai jamais fait. Mais j’aimerais bien, je crois.

Magali rougit.

Moi, j’ai déjà fait…

Raconte.

J’avais 19 ans. A l’époque, je vivais en colocation avec deux autres étudiants, Maria, une Allemande et, Olivier, un belge, qui couchait tant avec Maria qu’avec moi. Mais jamais les trois ensemble. A la fin de l’année scolaire, Maria est rentrée en Allemagne tandis qu’Olivier et moi avions trouvé un boulot pour l’été. Olivier a fait venir un ami de Belgique, Frédéric, qui s’est installé dans une quatrième chambre qui était inoccupée. Et nous avons vite couché ensemble. Si bien que durant cet été là, je n’ai jamais eu moins de six rapports par jour. La moyenne était de huit ou neuf. A quatre reprises, c’est même monté jusqu’à quatorze. J’ai adoré cet été-là et j’adorerais revivre ces journées de sexe.

Tu devais être éreintée…

Pas du tout. C’était mon carburant. Plus nous baisions, mieux je me sentais.

L’excitation provoquée par le récit vous fait bander plus durement encore. Et vous n’êtes pas le seul que cela a excité, car Magali vous dit :

Descends au garage, j’ai envie qu’on baise.

Non, Mag. On se voit demain.

Je suis trempée.

J’ai dit non.

Vous vous garez à une centaine de mètres de l’immeuble et enlacez Magali. Elle caresse votre sexe à travers votre bermuda.

J’ai hâte d’être demain.

Tu ne seras pas déçue, pas déçue du tout.

Elle sort. Vous rentrez chez vous.

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