Personnages :
Éric, 19 ans, fils dIsabelle.
Isabelle, 43 ans, femme d’Antonio et mère d’Éric.
Antonio, 46 ans, mari d’Isabelle, père d’Éric.
Laurent, 19 ans, copain dÉric.
Un matin, dans un village se trouvant au bord d’une ville. On est au mois de mars, il fait soleil mais la température est encore assez basse.
« Éric…, Éric, dépêche-toi mon chéri, tu vas rater ton bus… Allez !! »
« Oui, t’inquiète, c’est bon, jai presque fini de me brosser les dents ! »
Éric est devant sa glace, il se dépêche, une fois de plus, il a traîné au lit et le voilà en retard, une fois de plus. Jeune homme de 19 ans, brun, une peau mate vu les origines italiennes de ses parents. Éric tient de son père physiquement. Ni trop mince ni trop gros, ce qu’il faut pour son âge.
« Ding dong ! »
« Oh merde, ça doit être Laurent… ! »
« Éric… ! Laurent est là…, allez, dépêche-toi, mon cur… ! »
Éric se dépêche de finir de se préparer, il attrape son cartable au passage, il descend les escaliers à vive allure.
« Ah ben, te voilà enfin…, tu es pire qu’une gonzesse… ! »
« Ah, ah, très marrant…, allez on se grouille, on va rater le car ! »
« Au revoir mon cur, tu me fais un bisou… ? »
« Maman…, arrête, pas devant tout le monde, merde ! »
« Oooh mon poussin, faut pas avoir honte de ça… ! »
Éric souffle, se retourne et fait un rapide bisou à sa mère et part en courant avec Laurent à l’arrêt de bus. Isabelle le regarde partir en souriant, le bisou rapide ne la déçoit pas, c’est de son âge, il veut jouer à l’homme dur devant son copain voilà tout. Elle ferme la porte et commence le ménage du vendredi matin. Christine est secrétaire dans les bureaux d’une usine de la ville d’à-côté, une place très importante dans cette société. Elle ne travaille pas le vendredi, ce qui lui fait un long week-end. Isabelle en profite surtout pour faire son ménage le matin et l’après-midi, pour faire les courses du week-end et de la semaine.
Elle s’est mariée avec Antonio, ils se sont rencontrés en Italie. Leurs deux familles vivent en France, mais étant tous les deux d’origine italienne, le hasard fit que leurs maisons de vacances, dans leur pays natal, étaient voisines. Cest comme ça qu’Isabelle et Antonio se sont rencontrés. Antonio a tout de suite été séduit. Ses beaux cheveux bruns souples et ses yeux amandes lui ont tout de suite tapé dans l’il.
Leur union na pas tardé. Il était dit que vu la situation familiale des deux familles, ils n’allaient pas galérer dans leur ménage. Effectivement le père d’Antonio avait été patron d’une usine de fabrication de voitures qui marchait et marche toujours aussi fort. Antonio a repris les rennes bien évidemment. Il s’occupe des affaires de l’entreprise à l’étranger ce qui le fait partir souvent loin de la maison pendant des semaines entières.
Isabelle avec ses études très réussies a préféré trouver un poste de son côté, malgré les demandes de son mari à venir travailler dans sa boîte. Celle-ci ne voulait pas avoir à parler boulot à la maison et Antonio l’accepta.
À 24 ans, 3 ans après leur mariage, Isabelle tomba enceinte d’Éric. Le fils fut gâté, même sil grandit sans voir souvent son père qui partait sans arrêt à l’étranger, ils gardèrent une bonne relation.
Aujourd’hui, Isabelle a 43 ans, avec les années son corps de jeune femme est devenu mûr. Sa poitrine a énormément pris de volume, du 100 c. Elle grossit un peu, d’où le gain dun large bassin, mais qui resta ferme et sexy. En tout et pour tout, Isabelle avait le corps d’une quadragénaire aux formes très généreuses.
À cause de ses voyages en permanence, Antonio et Isabelle firent de moins en moins l’amour et malheureusement, c’est devenu une coutume…, mais, ni l’un ni l’autre, ne s’en plaignaient. La vie continuait.
Elle avait la chance de voir grandir son fils et c’était à pressent son plus grand bonheur.
Éric est maintenant en BTS de vente, il réussit ses études. Laurent, son copain d’enfance et lui sont toujours restés dans le même collège et lycée.
« Éric…, tu fais quoi samedi soir ? »
« Ben, Euuuh, rien, pourquoi ? »
« On avait prévu de sortir en boîte avec mes potes de classe…, t’es chaud pour venir ? »
« Ben ouais, pourquoi pas, tu me diras vers quelle heure ! »
« OK ! »
Le bus arrive à destination, les deux amis se disent « à ce soir ». La journée passe et Éric, comme chaque soir, reprend le bus accompagné de Laurent. Pendant la route, Laurent sort son portable et visionne une vidéo.
« Tu regardes quoi… ? »
Laurent lui sourit, remet la vidéo au début et lui montre. La vidéo montrait les jambes d’une personne sous un bureau. Vu la tenue, c’était les jambes d’une femme en jupe avec des bottes en cui,r croisant les jambes, il ne se passer rien.
« Elle est pourrie ta vidéo !! »
« Attends, attends ! »
Éric regarda la suite du film et au bout d’un moment, les jambes dans la vidéo se décroisèrent pour montrer un string en dentelle vert, puis la vidéo s’arrêta.
« Ta chopé ça, où ? », demanda Éric en rigolant.
« Tu vas rire, c’est moi qui l’ai fait ! »
« Hein ? Mais, où ça…, en cours ??? »
« Ouais, ce sont les jambes de ma prof de maths ! »
« Mais t’es malade…, si tu te fais choper, tu es mort ! »
« Chuuuut, parle moins fort, t’es con ! »
« Mais tu as trouvé l’idée, où ? »
« Sur internet…, c’est connu…, ils appellent ça de l’upskirt ! »
« Upskirt ??? Connais pas ! »
« Ben en fait, je suis tombé dessus par hasard, je trouvais ma prof de maths trop belle avec ses jupes et ses superbes jambes…, j’ai voulu regarder sur le net et je suis tombé sur des photos et vidéos de types qui regardent sous les jupes des filles assises ou en marchant…, trop bon…, et j’ai voulus faire pareil ! »
« Ah putain, j’irai voir ce soir, sur mon PC ! »
Les deux jeunes hommes continuèrent de discuter de tout et de rien. À l’arrêt du bus, ils prirent le chemin de leurs maisons. Devant chez lui, Éric dit au revoir à Laurent est rentra.
« Bonsoir maman ! »
« Ah c’est toi, mon chéri…, ton père est là ! »
Éric sourit et entra dans la salle à manger où était son père qui regardait la télé avec la cravate à moitié dénouée.
« Salut papa, ça va ? »
« Salut mon fils…, comment vas-tu ? »
Les hommes discutèrent de leur semaine pendant qu’Isabelle préparait le dîner. Le repas fini, Éric dit bonsoir à ses parents et partit en direction de sa chambre, prétextant de finir ses devoirs. Il ferma sa porte à clef et éclaira son PC. Il n’avait pas oublié ce que lui avait raconté Laurent dans le bus. Sa curiosité le força à aller voir ces fameuses vidéos de voyeurs. Il tapa upskirt et il tomba sur des sites entièrement consacrés à ça.
« Ouaaaa, trop bon… ! »
Il y avait de tout, des vidéos sous le bureau de la secrétaire, en plein escalator. Mais l’attention d’Éric était surtout retenue sur les femmes habillées de bas. Il passa sa soirée à regarder ces vidéos tout en se branlant dans son pantalon. La séance prit fin lorsqu’il jouit dans un essuie tout et fila se coucher avec toutes ces pensées.
Le lendemain matin Isabelle frappa à la porte.
« Chéri…, il est 10h00, tu te lèves ? »
« Oui, oui…, j’arrive ! »
Éric descendit à la cuisine pour déjeuner, comme d’habitude, Isabelle l’attendait. Éric cherche du regard son père.
« Et papa, il est où ? »
« Il est parti à l’étranger, on la appelé hier soir, il est parti à 8h00 ce matin, il n’a pas voulu te réveiller pour te dire au revoir ! »
Éric s’installa et déjeuna. Isabelle, comme d’habitude, avait déjà déjeuné et finit de débarrasser. Éric repensa à toutes ces vidéos qu’il avait vues sur internet…, à ces femmes en jupe avec des bas.
« Oups !!! »
Isabelle fit tomber une cuillère en faisant la vaisselle. Surpris dans son rêve érotique par le son de la cuillère au contact du sol, Éric sursauta et regarda en direction du bruit. En même temps Isabelle se retourna et s’accroupit sans prendre le soin de serrer les jambes. Ce matin Isabelle avait opté pour une jupe rouge qui lui serrait ses fesses et lui arrivait au-dessus des genoux. Elle portait un sweat jaune qui lui écrasait la poitrine. En faisant ce geste, Éric fit de gros yeux et resta bloqué par sa vision. Isabelle, inconsciemment, lui montrait toute son entrejambe. Éric pouvait maintenant voir les jambes de sa mère habillées de bas dim up noir et une culotte blanche transparente. À travers cette culotte, il pouvait distinguer la naissance des lèvres vaginales parmi un tas de poils pubiens écrasés par le tissu. La culotte, assez petite, ne remontait pas assez pour cacher tous les poils.
Éric, bouche ouverte, fixait la scène sans rien dire, le renvoyant à hier soir devant son pc. Sans faire attention à Éric, Isabelle récupéra la cuillère, se releva et continua la vaisselle.
« Chéri, que vas-tu faire aujourd’hui ? »
Éric ne répondait pas, regardant le cul de sa mère se balancer sous les gestes de celle-ci pour nettoyer les plats.
« Éric ? Tu m’entends… ? »
Éric revint à lui et se pencha sur son bol, l’air de rien.
« Euuuuuh…, beuuuu, je, je…, ben… ! »
Isabelle se retourna, le regardant, surprise.
« Eh ben mon cur, qu’est-ce qu’il t’arrive ? »
« Non rien…, j’ai mal dormi, c’est tout…, et pour te répondre, je passe ma journée en ville avec Laurent ! »
« Tu fais attention, hein? Prends ton portable sur toi…, sil y a un problème, OK ? »
« Mais oui ! »
Éric sortit de table et partit dans sa chambre pour se changer. Habillé, il s’assit sur son lit. Il pense à ce qu’il a vu dans la cuisine. « Hier, lolo me parle d’upskirt et voilà que ma mère m’en montre un exemple ! » Éric se rend compte de ce qu’il vient de dire et se met une claque dans les cheveux. « Non mais…, je suis con moi, c’est ma mère ! » Peu de temps après, Laurent vint le chercher en voiture et ils partirent en ville. Pendant la route, Laurent est impatient de savoir si "son pote de toujours" est allé sur le site.
« Alors… ? Dis-moi, tu as regardé ? »
Éric ne savait pas quoi répondre, bien-sûr qu’il y était allé, mais comment peut-il raconter quil a vu, sans le vouloir, l’entrejambe offert de sa mère.
« Euuuuh…, ouais, rapidement…, mais bon, rien de terrible ! »
« Ah ouais…, ça ta pas plu alors…, bon chacun ses goûts ! »
Ils ne reparlèrent plus de ça et passèrent la journée ensemble avec des potes et des copines. Éric appela sa mère pour lui dire qu’il passerait la nuit chez Laurent et qu’il rentrerait le lendemain après-midi. Isabelle s’inquiète toujours de ses sorties, elle lui fait confiance, mais aujourd’hui les virées en boîtes ne sont pas sans danger. Le lendemain après-midi, vers 17h00, Éric revint à la maison. Il a complètement oublié ses mauvaises pensées. Avec ses collègues, ils avaient rigolé, bu et dansé pendant toute la soirée.
« Salut m’man, c’est moi ! »
« Bonjour mon chéri…, je suis au téléphone avec ton père ! »
« OK, ben, passe-lui le bonjour ! »
Éric monta au premier étage pour se laver et se changer. Puis descendit dans la salle à manger pour regarder la télé. Pendant ce temps-là, sa mère préparait le repas du soir.
« Chéri, il est 20h00, on mange ? »
« OK ! »
Ils passèrent à table, en même temps, ils pouvaient regarder les infos à la télé. Concentré sur un reportage, Éric ne fit pas attention à sa serviette sur ses genoux et elle tomba à terre. Il poussa la chaise en arrière pour la récupérer. Mais lorsqu’il passa la tête sous la table, son attention fut attirée ailleurs que sur la serviette. Étant face à sa mère, à table, il se retrouva donc face à ses jambes. La télé se trouvait sur la gauche un peu en arrière dIsabelle, celle-ci s’était retournée pour pouvoir mieux voir ce reportage si intéressant. De ce fait, elle avait écarté la jambe gauche sur le côté pour pouvoir mieux se retourner. Portant, ce soir-là, une courte jupe en jeans blanc, le tissu était remonté largement vers le haut. Éric redevenait dans le même état qu’hier matin. Fixant les jambes de sa mère portant des bas dim up couleur chair, il pouvait aussi voir son string en dentelle rouge. Éric revenu à lui, ayant peur d’être surpris par sa mère, se rajusta convenablement à table. Isabelle, toujours tournée vers la télé, se retourna vers son fils.
« Tas vu… ? Cest fou ça ! »
Isabelle voulait parler du reportage de la télé, croyant que son fils y était aussi intéressé.
« Ouais, je…, je vois ça… ! »
Sa mère se retourna pour continuer à regarder. Éric ne savait pas quoi dire, il ne regardait même plus la télé, très gêné. Puis son pied heurta quelque chose de léger, il baissa la tête et s’aperçut que dans l’action il en avait oublié sa serviette. Ses mains tremblaient, il repoussa sa chaise lentement et se baissa pour récupérer son bien.
Comme forcé à le faire, il tourna, sans pouvoir sen empêcher, la tête vers les jambes de sa mère. Il ne bougeait plus. Isabelle avait les jambes encore plus écartées, sans doute quand elle s’est retournée pour parler à son fils et revenir à la télé. Cétait fou, la jupe était remontée presque au-dessus du large bassin. Le string en dentelle rouge disparaissait entre les lèvres vaginales maternelles qui se voyaient dans toutes leurs splendeurs. Les poils pubiens dépassaient sur le côté. Éric commença à bander, la gorge sèche. Les jambes de sa mère bougeaient légèrement. Puis, d’un coup, Éric se remémora la vidéo faite par Laurent sur sa prof de maths.
« Et si je filmais avec mon portable ? », se disait-il.
Il leva la tête à la surface pour regarder si sa mère était toujours concentrée sur la télé. Cétait le cas ! À partir de là, Éric commença à trembler, son cur battait à 100 à l’heure. Il savait que ce nétait pas bien ce qu’il faisait.
Il prit son portable dans la poche, l’ouvrit et filma la scène. Tremblant comme une feuille à cause de la peur, la vidéo n’allait sans doute pas être bonne. Il enregistra et remonta à la surface se rasseyant comme si rien ne s’était passé. À la fin du reportage, Isabelle, au courant de rien, se retourna face à son fils. Ils finirent de manger. Éric tremblait et avait très chaud à la fois !
« Alors cette soirée, c’était comment ? »
« Euuuuh…, non rien ! »
Éric n’était pas concentré par les questions de sa mère. Il fixait son plat, repensant à cette scène interdite. Isabelle le regardait, surprise de le voir comme ça.
« Ça ne va pas, mon chéri…? Tu es tout bizarre, ce soir ! »
« Euuuh…, non, non, ça va…, je vais bien…, pourquoi ? »
« Ben, je sais pas…, tu es tout rouge et tu trembles aussi, tu n’as pas chopé une grippe au moins, c’est la période en ce moment ? »
Sur ces dernières paroles Isabelle se leva en même temps. Quand elle se leva, Éric, par réflexe, regarda au niveau de sa jupe. La jupe qui était remontée se remit légèrement en place, mais le bas du string qui se perdait au milieu des lèvres et des bas de couleur chair, se voyait encore. Il fallut un geste de sa mère, habituée à porter les jupes, pour que le tissu reprenne une place convenable. Mais Isabelle ne s’aperçut pas du regard pervers de son propre fils sur elle. Elle fit le tour de la table, ses pas ne s’entendaient pas au sol, vu qu’elle portait des pantoufles aux pieds. Éric la regardait s’approcher, son cur battait de nouveau à la limite d’exploser. Cétait, maintenant, les seins de sa mère qu’il fixait, cette énorme poitrine tendue dans un léger pull prêt à craquer sous la pression. Isabelle prit la tête de son fils dans ses bras et passa sa main sur son front pour pouvoir s’informer de sa température. À cause de l’abondance de ses seins, le visage d’Éric caressait la poitrine imposante de sa mère. Il ne bougeait plus, ne sachant pas quoi faire, les yeux rivés sur cette paire de seins qui se frottait contre son visage, il bandait comme un taureau. Isabelle ne faisait pas attention.
« Non, pourtant, tu nes pas chaud ! »
Éric paniqua et se retourna pour se mettre dos à sa mère, ayant peur qu’elle s’aperçoive de son érection.
« Éric, mais qu’est-ce qui te prend ? Laisse-moi voir si tu es malade ! »
« Mais maman, j’ai rien…, t’inquiète ! »
Il se leva et partit droit dans sa chambre, sans se retourner. Isabelle, surprise de sa réaction, le regarda partir. Éric se jeta sur son lit, bandant comme un malade, en fixant le plafond.
« Putain…., mais je suis taré… ! Cest ma mère, bordel ! »
Puis, il revint à cette vidéo interdite, faite par lui-même. Il prit son portable dans un geste énervé et effaça cette vidéo sans même prendre le soin de visionner son acte. « Ça suffit, faut que j’arrête mes conneries, putain ! », se dit-il. Il faisait noir dans sa chambre, il bandait encore. Sa tête était pleine de mauvaises pensées, inconsciemment, sa main se posa sur son membre, il ferma les yeux, pensant à l’entrejambe de sa mère à ses bas, à son string.
« Oh non…, non…, maman… ! »
Son geste était devenu régulier et sans le vouloir Éric se branlait en pensant à sa mère. Toutes les images delle se balançaient dans sa tête, son sourire, son corps, sa poitrine son cul accéléraient son geste.
« Ohhhhh…, ohhh, maman, non…, oh, je vais jouir ! »
Éric a mis sa main devant la bouche comme pour se taire dans l’instant propice. Il a eu le temps de prendre un papier essuie-tout. Il jouit comme jamais, en faisant un minimum de bruit. Calmé, Eric regardait à travers la fenêtre le peu d’étoiles qui se voyaient.
« Ohhh mon dieu…, maman ! »
Bientôt la suite.
Historikito