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Jeux entre frères – Chapitre 12




Après notre baiser d’adieu et une demande d’échange de numéro de portable infructueuse, car Aurélie l’avait gentiment déclinée ; nos amis d’un soir nous quittèrent et redescendirent dans la vallée. J’espérais pouvoir rester en relation avec elle parce que j’avais craqué pour cette jolie jeune femme mais son refus m’attrista.

Et bien voilà, les vacances se terminent ; ma mère ne va pas tarder à arriver : il va falloir vous rhabiller, à moins que vous vouliez redescendre à poil ? nous dit Elsa.

Dans la maison, la VHF grésilla :

Ici, maman à bergères, à vous !

Griiiiii ! répondit la VHF

Ici, maman à bergères, à vous !

Lyli se précipita sur la radio et saisit le micro.

Ici, bergères, bonjour Maman ; qu’y a-t-il ? À vous.

Coucou les filles, j’arrive ! À vous.

Dans combien de temps ? À vous.

Dans une heure, préparez tout car je suis en retard ; alors soyez prêtes ainsi que les garçons.

Tous sera prêt, bonne route Maman ! Terminé.

Bon, les garçons il faut se bouger les fesses ; fini les parties de cul E.T. retour maison ! informa Elsa.

On pourra se faire un dernier câlin avant de partir ? demandai-je.

Si tu veux que ta tante te tombe dessus le cul et la bite en train de me baiser, libre à toi ; mais pour moi c’est non.

Mais, tu m’avais dit que vous et vos parents, vous

Tu crois tout ce qu’on te raconte, toi ! T’es trop mignon. Franchement, tu nous vois en train de nous faire sauter par ton oncle ?

Tu es dégueulasse de m’avoir fait croire ça !

Mais franchementréfléchis ! C’est comme si je te demandais si tu baisais ta mère ! Tu es clair dans ta tête, toi ?

Bah ! Et nous alors, pendant toute cette semaine nous n’avons fait que ça et c’est pas bien ; alors pourquoi l’avez- vous fait ?

Ok ! Quand vous êtes arrivés, nous avons craqué. Alors nous avons décidé de nous amuser, et ici on ne risque rien, et puis merde un peu de cul ça fait du bien ! Non ? Et puis ne me dis pas que tu n’as pas aimé ça ! Ici il ne se passe pas grand-chose et même rien, alors pour une fois qu’on pouvait se croquer deux minets et puceaux en plus ; tu n’aurais pas sauté sur l’occase, toi ? Et puis cousin ou pas cousin, on s’en bât les couilles. En tout cas, nous vous remercions, car vous avez assuré grave, et nous avons passés de supers bons moments ; pas vous ? Allez au boulot !

 !

Effectivement, il fallait se bouger les fesses afin de tout préparer, les fromages que nous avions fabriqués, nos sacs et nous habiller. Ce fut la chose la plus difficile à faire, car après avoir passé deux semaines, vingt quatre heures sur vingt quatre, à poil : remettre des vêtements fut assez compliqué. Même si nous ne remettions qu’un short et un teeshirt, le contact du tissu sur la peau n’était pas agréable ; rester nu était beaucoup plus sympa.

Nous commencions à entendre de plus en plus l’écho du rugissement du 4×4 de la tante Lucienne.

Allez, venez vite les garçons pour un petit câlin avant de partir ! annonça Lyli.

Elle se jeta littéralement sur moi, fit descendre mon short, pris ma biroute à pleine main, me malaxa les couilles et me masturba tout en me roulant une galoche d’enfer. Elle m’avait bloqué la tête avec sa main, par l’échancrure de sa robe je lui caressais le dos et les fesses. Le bruit du 4×4 se faisait de plus en plus fort et elle ne me lâchait toujours pas. Le stress monta, d’un coup et je regardais dans tous les sens pour vérifier qu’il n’y avait pas de danger. Si elle continuait ainsi, j’allais me retrouver le cul et la bite à l’air devant sa mère. Puis au bout d’un moment qui me paru une éternité elle me libéra la tête et me dit :

Allez dépêche-toi d’arriver si tu ne veux pas que ma mère te voit à moitié à poil !

Je pouvais apercevoir le véhicule approcher, et une grosse dose d’adrénaline monta d’un coup ; j’avais la trouille mais une terrible excitation me fit éjaculer d’un coup. J’arrosais copieusement l’herbe du pré.

Et bien les garçons, voilà, la fête est finie. Nous nous sommes bien amusés et nous allons vous regretter, vous avez été de vrais champions. Bon remontez votre froc avant que ma mère voit votre cul.

Dites les filles, on pourrait revenir un de ces jours ? demandai-je.

Si vous voulez, vous n’aurez qu’à en parler à Maman sur la route, me répondit Lyli.

Mon frère et moi avions eu juste le temps de remonter notre futal que le 4×4 se garait déjà devant la maisonnette. Notre tante en descendit :

Bonjours la jeunesse ! Vous allez bien ?

Un « Oui ! » collectif accueillit la question, et la tante Lucienne continua.

Bien ! Il faut se presser car je dois livrer toute la production en ville, et c’est donc moi qui vous déposerai à la gare routière. Dépêchons-nous de charger. Tenez les garçons ! Prenez-ça : ce sont les affaires que vous aviez laissées chez moi ; regardez si je n’ai rien oublié.

Nous avons récupéré nos affaires, fait l’inventaire ; tout y était. Puis nous avons aidé à charger la caisse frigo du 4×4, et vint le moment des adieux. Pour ma part, ils furent assez émouvants, j’avais le cur gros de les quitter, car je serais bien resté encore une semaine ou deux. Nous nous sommes fait la bise et embarqués dans le monstre gris dont le V8 ronronnait tranquillement, et se préparait au combat contre les chemins montagneux. Tante Lucienne nous rejoignit après avoir donné ses dernières recommandations et embrassé ses filles. Elle démarra et nous prîmes le chemin du retour avec sa pente abrupte qui fallait cette fois-ci descendre.

Dès lors que la route bitumée avait remplacé les chemins chaotiques de la montagne, ma tante nous questionna :

Alors ! Ces vacances au grand air de la montagne ; ça vous a plu ? Vous avez bronzé un peu on dirait ! Et avec les filles ça c’est bien passé ? Ben, racontez-moi ça un peu.

Mon frère ne dit rien et devant toutes ces questions, je ne savais pas par quoi commencer ; je lui répondis par un :

Oui, ça a été ; c’était bien.

Allez ne soyez pas timides, je connais bien mes filles ; elles ne sont pas farouche pour un sous, et je les connais cavaleuses, hein ? Elles sont comme moi quand j’avis leur âge, je sautais sur tout ce qui bougeait ; et comme on ne fait pas des chiens avec des chats D’ailleurs si vous n’étiez pas mes neveux, je vous aurais bien croqués. Alors ?

BahEt bien tante Lucienneon c’est fait bronzé tout nu, c’est tout.

Taratata, à d’autres ; mes filles avec deux minets comme vous ! Ne me faites pas croire que de vous vous êtes regardé dans le blanc des yeuxPfft !

Oui, on s’est un peu caressé mais pas plus, je te jure.

Oh, Grand Dieu, ne jure pas ; ne jure jamais quand tu dis un mensonge, ça porte malheur. Tu mens, je le sais ; je le sens à l’instant même où tu le dis !

Dis, Lucienne ; on pourrait revenir l’année prochaine ? dis-je, histoire de changer de conversation.

Avec plaisir, mais cette fois ce sera avec moi et votre oncle, car les filles rentrent à l’école d’agriculture pour obtenir un diplôme et prendre notre suite.

Ah ? à leur âge !

Et oui, même à vingt an, et de toute façon comme maintenant il faut des diplômes pour tout.

Son sourire en coin et son clin d’il me firent comprendre qu’elle ne croyait pas un traitre mot de ce que je venais de lui dire. Heureusement pour nous, nous arrivions au bourg de Castellane, et sur la place où le car attendait les derniers voyageurs ; après avoir remercié notre tante, nous sommes montés à bord.

Dans le car, mon frère et moi, nous assoyons côte à côte, et je rallumais mon téléphone pour envoyer un SMS à Maman afin de la prévenir que nous étions partis. Nous l’avions prévu au départ, c’était afin de lui laisser le temps de se préparer, et de venir nous chercher à la gare. Une fois allumé, il se mit à sonner et il m’afficha une quantité impressionnante de SMS dont ceux de Maman. Ils disaient ceci :

Texto 1 : Comment ça va ?

Texto 2 : Bon vous ne répondez pas !

Texto 3 : Je suis inquiète, que ce passe-t-il ?

Texto 4 : Bon sans nouvelle, j’appelle Lucienne !

Texto 5 :Bon ça ne marche pas !

Et pour finir

J’ai eu Lucienne et elle m’a dit que vous n’aviez pas vos téléphones avec vous ! Bon j’attends de vos nouvelles pour le retour. Bisous et bonnes vacances mes chatons.

Alors je lui répondis :

T’inquiètes Maman, je t’aime.

Bisous mes chéris, je suis contente de vous avoir ; j’irai vous chercher à la gare et j’ai plein de surprises. Bisous-bisous, mes chatons.

Du car, nous sommes passâmes dans le train et j’envoyais un nouveau message à Maman pour la prévenir de l’heure de notre arrivée. Avec mon frère, nous parlions de notre magnifique séjour puis je lui posai une question délicate :

Dis-moi Julien, qu’est-ce qu’on va raconter à Maman à propos du séjour ?

Je ne sais pas, mais il va falloir faire attention de ne pas faire de gaffes ; alors tiens ta langue, car je sais que tu es le roi pour dire des conneries. Nous aurons qu’à dire qu’on c’est baladés et qu’on c’est fait bronzés et que nous avons aussi beaucoup bossé, et voilà.

Ok, j’espère que ni les filles, ni la tante Lucienne n’en parleront pas.

T’inquiètes, elles ne sont pas folles !

Rassuré je me replongeais dans les souvenirs de ces deux semaines de parties de cul intenses. Mais l’image de Maman revint rapidement, et les surprises prédit dans son texto m’interpellaient. Je pensais qu’elle avait trouvé un amant ce qui me fit un coup au cur. J’en étais presque jaloux, alors j’essayais d’ôter cette idée de ma tête en pensant à l’image de Maman nue au bord de la piscine. Je me callais au fond de mon siège, je fermais les yeux et je pensais à elle très fort. Petit à son image devenait de plus en plus précise et doucement je me mis à bander, j’étais comme sur un nuage ; c’était bon. Je bandais de plus en plus fort, discrètement j’ouvris un il, mon frère en face de moi dormait, alors je mis ma main dans ma poche. Tout en surveillant les alentours j’attrapais ma queue dure comme un bâton et l’envie de me caresser monta en moi.

Il y avait déjà longtemps, j’avais réussi à faire un trou au fond de ma poche. Régulièrement je ne portais pas de caleçon et quand je voyais une nana avec un beau cul ; je m’amusais à attraper la bite pour me caresser.

Cette fois en position assise, je réussis à faire passer mon gland par le trou. Je le sentais palpiter sous mes doigts, et j’essayais d’y enfiler mon petit doigt, c’était excitant

Je m’évadais dans ce rêve où un mélange de visions érotiques de Maman et des cousines m’excitaient de plus en plus. Perdu dans mes pensées, je caressais mon gland dans le creux de ma main, puis je le titillais du bout du doigt et il vibra à chaque passage. Cette situation était devenue très excitante, car je réalisais que je me masturbais en public ! Mon frère dormait toujours et une dame vint s’installer de l’autre côté de l’allée, elle me fixa un moment.

Je fus envahi par une bouffée de chaleur. J’arrêtais tout mouvement dans ma poche par peur de me faire piquer, puis elle me fit un sourire courtois, sortit une revue et s’y plongea. Mon envie de me caresser redoubla et dans ma tête je commençais à calculer comment faire si j’éjaculais, car j’avais envie d’y arriver. Je surveillais la dame, et au premier mouvement de tête ; je stoppais tout. Ce jeu me plaisait beaucoup, et l’envie de sortir ma bitte et de me masturber devenait de plus en plus forte. J’avais décidé de continuer à me titiller le bout, pour voir si je pouvais éjaculer et en combien de temps ; mon zob bavais, j’utilisais ma cyprine du bout d’un doigt pour frotter doucement mon gland et mon frein. Mes couilles se mirent à me picoter, je voulu tout arrêter mais l’envie était devenue trop forte pour abandonner. J’arrivais au point de non retour où j’étais obligé de continuer ; courir vers les toilettes aurait été une belle idée pour me faire repérer ! Alors, tant pis je suis resté assis, et je continuais à caresser mon gland et surtout mon frein si sensible aux caresses. Ma respiration changea de rythme, je me crispais et me retenais, je me tendais au maximum jusqu’au moment où mon sperme sortit par saccade dans le creux de ma mains ; je me mordais les lèvres pour ne pas crier, tellement mon plaisir était grand. J’avais chaud, mon sang battait mes tempes, dans ma poche mes doigts collaient ; mais alors : quel pied ! Un coup d’il à mon short sur lequel une tache humide apparaissait et grandissait petit à petit. Que faire alors ?

[À suivre]

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