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Business Meeting – Chapitre 3




Sexuellement, Gladys était une prof géniale. Elle était ouverte à quasiment n’importe quelle expérience. Elle m’avait avoué un jour qu’elle ne refusait qu’une chose, ce qui lui faisait mal. Il était donc exclu pour moi d’approcher, même de loin, l’univers sombre et secret du « SM ». Cela étant, à cette époque, je n’en avais pas envie. Souffrir ou faire souffrir pour avoir ou donner du plaisir ne faisait pas partie de ma naïve conception du sexe. Je ne savais pas encore que je changerais avec les années.

Par contre, Gladys ouvrit mon appétit pour des expériences et des fantasmes que je n’aurais jamais osé rêver réaliser quelques mois plus tôt. Bien sûr, les films et les magazines X que je consommais encore régulièrement avaient éveillé ma curiosité. Mais c’est elle qui a cultivé mes envies de découvrir de nouvelles sensations.

Comme ce 25 décembre. Nous avions fêté le réveillon en famille, chacun de son côté. Gladys ne voulait toujours pas d’une relation stable et officielle, même si le nombre de ses amants avait considérablement baissé ces derniers temps. Je ne m’en plaignais pas. Le rythme de nos entrevues n’en était que plus régulier encore. Gladys avait prévu de revenir dans son studio dès le réveillon terminé, soit le jour de Noël. Les fêtes étaient des moments clés pour les étudiants, les examens commençant dès la première semaine de janvier. Elle avait donc argumenté auprès de sa mère le fait qu’elle devait reprendre son étude. La raison officieuse était nettement moins avouable, nous avions tout simplement décidé de passer la soirée de Noël ensemble, au restaurant.

— Merci pour l’invitation, me dit-elle.

— C’est toujours avec plaisir, lui dis-je en souriant. On prend un apéro ?

— OK, mais pas trop d’alcool. Sérieusement, je dois bosser demain, je suis en retard partout.

— On se limite à l’apéro si tu veux.

— Non, un verre en mangeant c’est bien, mais pas trop, OK ?

— Tu deviens raisonnable, maintenant ?

— C’est pas ça, c’est juste que mes parents me mettent une grosse pression pour réussir ma session. Et je n’ai pas envie de me louper déjà en janvier. Sinon, je peux déjà te dire que le studio et tout ce qui va avec, c’est terminé. Si tu vois ce que je veux dire, me dit-elle en me faisant un clin d’il.

— Oui, je comprends alors. Bon, tu prends quoi alors ?

— Batida, sur glace.

— Tu sais déjà ce que tu vas prendre pour manger ?

— Dis, t’as un train à prendre ou quoi ?

— Non, je suis juste pressé de te raccompagner chez toi, lui dis-je en caressant sa main et en lui souriant.

Elle me rendit mon sourire et se pencha au-dessus de la table pour poser un baiser sur mes lèvres. Je sentis le bout de sa langue caresser doucement mes lèvres. Elle savait très bien ce qu’elle faisait, et elle savait aussi l’effet que faisaient ses baisers un peu plus bas, dans mon pantalon.

— Ah au fait, me dit-elle en se reculant subitement, j’ai un cadeau pour toi.

Elle sortit un petit paquet de son sac et me le tendit.

— Ah, moi aussi j’ai un cadeau pour toi, lui dis-je en sortant à mon tour un paquet de la poche de mon manteau.

Je déballai doucement le paquet et découvris une petite boîte en carton, sans aucune inscription. Je la regardai en souriant et me demandant ce qu’elle avait encore bien pu aller chercher dans son imagination débordante. J’ouvris la boîte et découvris un tube, visiblement un tube de gel. En lisant plus attentivement, je me rendis compte qu’il s’agissait en réalité d’un gel calmant, censé retarder l’orgasme en l’appliquant sur les zones les plus sensibles du corps. Je cachai difficilement ma déception. J’eus l’impression qu’il s’agissait de reproches ou de critiques déguisées quant à mes performances au lit. Gladys comprit immédiatement mes pensées.

— Tu as l’air déçu, dit-elle en souriant.

— Non non, c’est juste que je ne sais pas très bien quel est le message, lui dis-je un peu perdu.

— C’est un gel pour se masser, et tu ne comprends pas le message ?

— Un gel de massage pour les mecs qui ne tiennent pas sur la longueur, apparemment.

— C’est pas ce que j’ai lu sur le tube, moi. Tu sais quoi, on essayera tout à l’heure.

— Tu penses vraiment que je jouis trop vite ?

— Non, ce n’est pas du tout ce que je pense. Et si je t’offre un gel, c’est pour qu’on s’en serve, donc on va s’en servir. T’as pas envie d’essayer ou quoi ?

— Si si, bien sûr.

Nous commandâmes finalement notre repas et attendîmes d’être servis. La soirée fut calme, le restaurant n’était pas rempli et de longs moments de silence s’installaient dans notre conversation. Je ne parvenais pas à sortir de mon esprit qu’elle ne m’ait jamais dit que je jouissais trop vite. Nous avions pourtant l’habitude de tout nous dire, sans tabous, après nos séances de sexe. Je me sentais frustré, une forme de culpabilité s’installait doucement en moi. Étais-je donc incapable de faire jouir une femme ? Étais-je en réalité un « mauvais coup » ?

Le service fut rapide. L’entrée à peine finie, le plat principal était déjà servi. Tant mieux finalement, j’étais pressé d’en arriver au dessert et de rentrer chez moi. Ce gel apaisant avait plombé ma soirée de Noël. Une fois l’addition payée, nous sortîmes du restaurant. Le vent sifflait dans nos oreilles, glacial, j’avais l’impression qu’il me coupait en deux. Le temps était humide, la neige n’allait plus tarder à faire son grand retour hivernal.

— Tu me raccompagnes ? demanda-t-elle.

— Si tu veux, lui dis-je d’un ton neutre.

— Dis, tu as râlé tout le repas, tu ne me parles presque plus depuis que tu as ouvert ton cadeau. Tu ne trouves pas que tu en fais un peu trop, là ? demanda-t-elle, soudainement fâchée.

— Je te l’ai dit, j’ai juste l’impression de ne pas être à la hauteur de ce que tu veux réellement. Je croyais que tu avais du plaisir, je me suis trompé, c’est tout. Mais c’est frustrant.

— Parce que je donne vraiment l’impression de ne rien ressentir quand on baise ? hurle-t-elle dans la rue. Tu penses que je gémis souvent comme ça chez moi, sans raison ? T’as pas remarqué que j’étais trempée à chaque fois ?

— Oui, OK. Ça va. On peut éviter de parler de ça en pleine rue, non ?

— Alors tu viens. On en parle chez moi.

Nous parcourûmes en silence les quelques centaines de mètres qui séparaient le restaurant de son appartement. La tête vissée dans mon col, mes mains au fond de mes poches, nous marchâmes côte à côte, penchés pour lutter contre les bourrasques. Son comportement était étrange, elle était à la fois nerveuse et guillerette. Elle venait de me hurler dessus, elle voyait bien que j’étais déçu, mais elle se retournait pourtant régulièrement sur moi en arborant un grand sourire. Elle pouvait parfois être désarçonnante, mais là, elle se surpassait.

Nous arrivâmes au pied de son immeuble, je lui emboîtai le pas dans l’escalier qui montait au 2e étage, où se trouvait son appartement. Le bâtiment me semblait froid et vide, peu d’étudiants étaient déjà de retour. Je pense même qu’elle m’avait dit être la seule. Du coup, la cage d’escalier et les parties communes n’étaient pas chauffées. Elle déverrouilla la porte d’entrée et me précéda dans son studio.

Je ne m’attendais pas à ce que je découvris. Des dizaines de bougies allumées étaient disséminées un peu partout. La couleur jaune orangée des flammes dansantes donnait à la pièce des allures de brasier. Il y avait des bougies de toutes sortes, petites, grosses, certaines étaient certainement parfumées tant l’air était saturé d’une odeur capiteuse enivrante. Fleurs, fruits, bois, impossible de distinguer exactement toutes les essences.

Alors que mon regard ébahi terminait le tour de la pièce, je remarquai que nous n’étions pas seuls chez elle. Une fille était assise sur le canapé. Mes yeux commencèrent à s’adapter à la faible luminosité ambiante et je distinguai peu à peu qu’elle est en réalité complètement nue. Très mince, de fins cheveux bruns qui descendaient jusqu’au bas de son dos, elle me sourit puis décrocha un regard entendu avec Gladys. Elle était assise, les jambes croisées, naturellement, exactement comme n’importe qui le serait en temps normal, ses vêtements en moins. Je continuai à regarder ce corps immobile et remarquai que ses seins étaient petits. Ses tétons étaient tendus, plus gros et plus proéminents que ce que je n’ai jamais vu.

— Je te présente Perla, me dit Gladys en déposant son manteau sur le dossier d’une chaise. C’est une copine d’auditoire depuis le début d’année. Elle est à la fac pour quelques mois puis elle retourne chez elle, à Naples.

— Bonjour, me dit Perla, je te rencontre enfin. Gladys m’a beaucoup parlé de toi et de vous deux, me dit-elle avec un accent italien à couper au couteau.

— Euh, bonjour, dis-je complètement décontenancé. Impossible de nier que tu viens d’Italie, toi, tu as le même accent que Monica Belluci, je trouve.

Mais quel crétin ! Quelle lamentable manière d’entamer la discussion. Cela étant, je remarquai que ma remarque l’avait fait rire.

Nous commençâmes à discuter de son programme d’échange, de son opinion sur la ville, sur les gens. Si l’ambiance était amicale, le moment était pour le moins bizarre. J’étais toujours debout juste devant la porte d’entrée que je venais de refermer, en train de converser avec une fille que je ne connaissais pas, et qui était nue devant moi. Après avoir échangé quelques lieux communs, je me retournai sur Gladys pour la découvrir elle aussi entièrement nue devant moi. Je n’avais même pas remarqué qu’elle se déshabillait pendant que je discutais avec sa copine.

— Tu comptes rester debout toute la soirée ? Viens, me dit-elle en m’invitant à m’asseoir sur le divan.

— Oui, on peut aussi discuter en étant assis, surenchérit Perla avec ce délicieux accent napolitain.

Je m’exécutai.

— Un diable entre deux anges, dit Gladys tout haut. Ceci dit, il n’y a rien qui te choque ?

— Qui me choque ? dis-je. Je ne sais plus très bien dans quel monde je suis depuis quelques minutes mais sinon tout va bien.

— Tu as froid ? me demanda Perla.

— Euh non, dis-je en me rendant subitement compte que le studio était aussi suffocant qu’un sauna.

— Alors, si tu te mettais un peu plus à l’aise, me dit tendrement Gladys dans un sourire.

Et de joindre les actes à la parole, Gladys déboucla ma ceinture et me débarrassa rapidement de mon pantalon. Pendant ce temps, Perla approcha son visage de mon cou. Je sentais ses fins cheveux me chatouiller l’oreille. Sa bouche était chaude, presque fiévreuse, quand elle la passa juste sous mon oreille.

Gladys m’invita à ôter mon pull pour mieux s’occuper des boutons de ma chemise. Je sentis la bouche de Perla me pincer, ses dents vinrent délicatement racler ma peau, comme si elle voulait me dévorer.

Tout juste habillé d’un boxer, je n’arrivais toujours pas à réaliser ce qu’il se passait. Gladys à ma gauche, Perla à ma droite. Mon corps non plus ne comprenait toujours pas, je restai immobile, comme figé par la situation. Gladys passa sa main sur mon slip.

— Oh, il dort encore ? me dit-elle, faussement triste. Regarde Perla, il faudrait peut-être le réveiller. C’est Noël pour tout le monde, hein.

— Che cosa ? dit-elle en sortant la tête de mon cou. Ah si, il n’est pas encore l’heure de se coucher, sourit-elle en posant à son tour une main sur mon slip, à l’endroit exact où mon sexe encore inactif formait une petite bosse derrière le tissu.

Gladys glissa la première sa main sous mon caleçon et caressa doucement ma verge molle. Je tressaillis, mon corps se réveillait, l’envie monta très rapidement. En quelques secondes, mon sexe se gonfla sous les gestes précis de Gladys. Perla commence aussi à me masser, mais à travers le tissu. Je soulevai mon bassin et retirai le dernier vêtement qu’il me restait. Gladys saisit mon pénis à la base, il était désormais droit comme un "i". D’un geste de la tête, elle invita Perla à prendre le relais. L’Italienne caressa mon torse et mon ventre tandis qu’elle se penchait sur moi. Sa bouche était toujours aussi torride quand elle avala mon sexe d’un coup. Mon souffle se coupa. Gladys m’embrassa à pleine bouche, je sentis sa langue danser avec la mienne tandis qu’une autre bouche m’aspirait avec gourmandise. J’entendais les petits bruits de succion que Perla faisait en avalant mon membre. J’avais l’impression d’abandonner tout mon corps tout entier au plaisir. Je n’étais plus maître de quoi que ce soit, à la merci de deux femmes.

Au bout de quelques instants, Gladys prit le relais de Perla et engloutit à son tour mon sexe luisant de salive. Je recouvrais petit à petit mon esprit, mes mains retrouvèrent leur mobilité. La gauche caressa les fesses de Gladys tandis que la droite effleura la poitrine de Perla. Ses tétons étaient toujours aussi grands, aussi pointus. Mes doigts jouaient avec eux, les pinçaient, les titillaient. Rapidement, Perla gémit de plaisir, son souffle s’accéléra, elle poussait des râles tout en fermant les yeux. Ses cris emplirent rapidement le studio de Gladys.

Je me glissai pour me coucher sur le divan. Gladys prit place entre mes jambes et continua de sucer avidement mon sexe. J’invitai Perla à s’asseoir sur ma bouche. Sa vulve était assez petite et entièrement rasée. Elle n’avait pas la même odeur que celle de Gladys, elle sentait le chaud, comme une odeur de désert ou de soleil. Son clitoris était par contre énorme, il ressortait nettement entre ses grandes lèvres entrouvertes. Ma langue vint se planter dans sa fente, qu’elle écarta délicatement, et je sentis instantanément son liquide intime dans ma bouche. Elle était littéralement trempée, je la sentais couler tel du miel dans ma gorge. Son clitoris était agréable à lécher, comme un gros bouton très dur, je pressai mes lèvres autour et l’aspirai. Perla gémit de plus belle. Elle criait désormais comme si elle allait jouir à tout moment. Ses cris devinrent des hurlements au fur et à mesure que ma langue passait de son clitoris à l’entrée de son vagin, et vice versa. Je la caressais en même temps, enfonçant un doigt en elle, écartant ses lèvres gluantes pour mieux encore profiter de son intimité.

J’entendis Gladys gémir elle aussi. Pendant qu’elle s’occupait de moi avec sa bouche, elle s’était mise à caresser son entrejambe. J’avais envie de la pénétrer, maintenant. Je l’invitai à venir s’asseoir sur mon membre, elle s’exécuta rapidement. Elle se cambra et permit à mon sexe turgescent de la pénétrer au plus profond d’elle… Elle caressait mon ventre de ses mains. J’étais au fond d’elle, je lui faisais l’amour alors que je dégustais un autre sexe en même temps. Je réalisais.

Après quelques minutes, Gladys se retira et tira doucement sur l’épaule gauche de Perla. Sans parler, l’Italienne comprit immédiatement où voulait en venir son amie. Son petit sexe quitta ma bouche et ma langue, les laissant inondées. À son tour, Perla vint se planter sur mon pénis tendu vers le ciel. Comme pour me guider, Gladys se saisit de mon membre pour le planter dans le vagin de Perla. Son sexe était beaucoup plus serré que celui de Gladys. J’étais excité comme jamais, mon gland gonflé se frayait un chemin à l’intérieur de Perla, écartant les parois de sa vulve. Même s’il glissait facilement, je sentais que mon membre était de plus en plus à l’étroit au fur et à mesure que j’avançais en elle. C’est une sensation terriblement excitante, je n’allais pas pouvoir me retenir très longtemps. D’autant que Perla hurlait de plus en plus fort, au rythme des centimètres de verge qui rentraient en elle. Je ralentis ma pénétration. D’abord parce que je ne voulais pas lui faire de mal, ensuite parce que j’étais déjà à la limite de ma résistance.

Gladys remarqua mes efforts pour me retenir. Elle demande doucement à Perla de se retirer un moment. Elle se pencha vers la table du salon et ouvrit le tube qu’elle m’avait offert en cadeau au restaurant.

— Tu commences à comprendre à quoi sert le gel, maintenant ? me demanda-t-elle en me faisant un clin d’il.

— Oui, je commence à saisir, dis-je le souffle court.

— On va voir si ça marche, mais je vais aller doucement parce que j’ai l’impression que tu n’es pas loin d’être au bout.

— Très proche, même.

— Tu aimes la chatte de Perla ? me demanda Gladys en faisant couler le gel froid sur mon gland.

— J’aime la tienne, lui dis-je un peu gêné

— C’est pas ce que je te demande, sourit-elle. Tu aimes sa chatte ?

— Elle est brûlante et très serrée, dis-je.

— Et toi, ta queue est très grosse, intervint Perla. Je sens qu’elle me remplit dedans.

— Tu sens que le gel fait de l’effet ? me demande Gladys.

— Je ne sais pas, difficile à dire.

— Alors, on va voir, dit Gladys en invitant Perla à reprendre où elle avait arrêté.

Oui, le gel fit son action. C’est indéniable. Je sentais toujours que le vagin de Perla était bouillant, il était toujours aussi étroit, mais je devais faire moins d’efforts pour retenir mon explosion. Malgré le fait que tout cela restait très excitant. Perla aimait visiblement sentir ma verge en elle, elle accéléra la cadence. Pendant ce temps, Gladys m’embrassa à pleine bouche, puis vint sucer mes tétons pour remonter dans mon cou. Mon corps ne m’appartenait plus. Perla s’enfonçait de plus en plus loin sur mon sexe. Je me sentais cogner au fond de son vagin. Elle hurlait maintenant à pleins poumons, ses cris décuplaient mon excitation. Elle s’enfonça une dernière fois et s’immobilisa une fois mon sexe entièrement avalé par son corps. Elle s’arrêta, immobile, mon membre gonflé à bloc au plus profond de son sexe. Elle se retira, j’aperçus sa fente totalement ouverte, béante et reluisante de son liquide.

Gladys me proposa de me mettre debout. Elle se mit à quatre pattes sur le divan et invita Perla à en faire de même. Je me retrouvai debout, face à deux paires de fesses ouvertes, face à deux vagins qui s’offraient à moi. Mon sexe glissa sans aucun problème dans celui de Gladys. J’eus moins de mal à me retenir en elle. Du coup, je commençai à la pilonner de plus en plus rapidement. Ses cris ne se firent pas attendre. À son tour, elle gémit, puis cria, puis hurla. Le gel me permit d’accélérer encore et d’aller encore plus loin en elle. Mon corps dégoulinait de sueur, ma peau ruisselait à la lueur dansante des bougies. Gladys jouit dans un long râle. Son orgasme m’avait excité, je ressentis à nouveau le besoin de lutter contre ma propre explosion.

Les fesses de Perla étaient juste à côté. Je quittai le sexe de Gladys pour pénétrer à nouveau celui de Perla. Cette sensation de brûlure à l’intérieur était encore plus intense que tout à l’heure, comme si sa jouissance avait encore augmenté sa température interne. Il était toujours aussi serré. Cette fois, je la pénétrai jusqu’au bout en un coup de reins, mon excitation grimpait en flèche. Le gel ne faisait plus d’effet, j’avais l’impression que le fait d’avoir retardé mon orgasme doublait, triplait, quadruplait mes sensations. Je n’allais plus pouvoir tenir très longtemps. À mon tour, je criai, impossible de me retenir.

Je me retirai rapidement de la fente de Perla. Gladys comprit que j’allais jouir. Elle prit le bras de Perla et l’invita à s’asseoir à ses côtés, juste devant moi. Je tenais fermement mon membre prêt à déverser son contenu. Gladys retire ma main et s’en saisit. Elle le poussa directement dans sa bouche. Je criai, je sentais mon sperme brûlant remonter à l’intérieur, remonter mon pénis jusqu’à la petite ouverture au bout de mon gland. Gladys le retira de sa bouche au moment où le premier jet sortit, il était puissant. Le deuxième suivit directement, tout aussi puissant et visqueux. Mon sperme coula sur ses joues. Elle dirigea ensuite mon membre vers le visage de Perla. Troisième jet, à peine moins puissant. Mon orgasme était interminable, mon liquide continuait de se déverser en flots réguliers. Je criais à chaque décharge, traversé par des spasmes.

J’étais vidé, littéralement. Je m’effondrai sur le canapé, bientôt rejoint par Gladys et Perla, leurs visages dégoulinant de mon plaisir. À la lueur des bougies, mon sperme prenait des allures de lave. Elles me sourirent, les joues en feu.

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