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rencontre égyptienne – Chapitre 2




Une salle de bain bien étrange. 

Je me dirige alors dans la salle de bain. Les grands miroirs me renvoient mon image et je ne peux m’empêcher de contempler ma silhouette nue. Je me trouve très jolie. Je sursaute d’un coup à l’impression qu’une ombre m’observe au travers de la glace. Avec effroi, j’imagine une glace sans teint au travers de laquelle les personnels de l’hôtel observent les femmes seules. Effroi qui se transforme assez vite en une légère excitation. Après tout si l’on m’observe autant leur en donner pour leur argent. Je m’exhibe alors sans honte devant les miroirs et m’amuse même à jouer les allumeuses.

Mais à la réflexion, quelle idée saugrenue !!! aucun grand hôtel ne ferait ce genre de choses !! 

Allez K. ranges tes fantasmes au placard et reprends tes esprits. Je m’approche des miroirs et colle mon regard dessus pour vérifier que l’on n’aperçoive pas quelque chose. Tu es folle ma pauvre. Rien du tout. C’est toutefois un peu déçue que j’entre dans la cabine de douche.

Un Cheikh qui n’est pas resté de bois.

Après une bonne douche, je descends à la réception puis me dirige au restaurant pour dîner. J’ai enfilé une petite robe noire, moulante, courte. Une paire de spartiates à talons hauts gainant mes jambes nue. Mes cheveux tirés en une queue de cheval et mes créoles me donnent des allures d’amazone. Tous les regards se tournent vers moi lorsque j’entre dans le restaurant. Les hommes assis au bar, européens et égyptiens se retournent sur mon passage. Qu’il est bon de se sentir désirée ainsi. Le serveur m’installe à une table et me donne la carte. Par dessus le menu, je remarque encore le regard des hommes dans ma direction. Certains s’offusquant certainement de ma tenue, trop inadaptée à ce pays, d’autres me trouvant terriblement sexy. Le serveur m’interrompt alors dans ma consultation, me disant qu’un des hommes au bar désire m’offrir un verre et dépose une coupe de champagne sur ma table. Je lève les yeux à l’insigne de cet homme. Je suis surprise lorsque je découvre un égyptien, la petite quarantaine, bel homme, habillé d’un taoub et d’un keffieh.

Il me sourit gentiment en levant son verre. Je lui rend alors son geste et son sourire. Je ne sais trop que faire et replonge dans mon menu après avoir trempé mes lèvres dans la coupe. Le serveur revient et je passe commande. J’en profite pour lui demander d’inviter l’homme à venir me présenter ses hommages. Il n’en faut pas plus à l’homme pour se précipiter sur la chaise vide en face de moi.

     – Thank you for inviting me at your table miss.

     – Thank you for this glass of champagne. Sorry for my english but i’m french.

     – Oh vous êtes française. Je me disais aussi que vous aviez un charme très français.

     – Vous parlez très bien français dîtes moi !

    – Oui, j’ai vécu à Paris pendant pas mal d’années pour mes études. J’adore la France et les françaises. Vous êtes les plus belles femmes du monde.

     – N’exagérez pas non plus, mais merci du compliment.

     – Mais si, je vous assure, et vous en êtes un exemple éclatant mademoiselle.

     – Je vais rougir, arrêtez.

S’engage alors une discussion au cours de laquelle il me demande ce qu’une aussi jolie femme fait seule en Égypte. Je lui explique alors le jeu, les excursions prévues.

Le serveur m’apporte mon dîner et je me trouve quelque peu gênée qu’il ne m’accompagne pas. Mais le serveur revient avec un plat et c’est en tête à tête que je dîne avec cet inconnu. Ses sourires, son discours, ses manières et attitudes ont vite raison de moi et je commence à succomber à son charme. Sa main douce caresse la mienne et une fois le café pris, il me propose de nous rendre au salon pour y prendre un verre. Je ne me fais pas prier et nous nous dirigeons dans le salon. Cela fait quelque jours que je n’ai pas fait l’amour et mes jeux solitaires de l’après midi m’ont donné envie qu’un homme pose ses mains sur mon corps. Et l’heureux élu se trouve actuellement devant moi. Il faut donc que je l’attire dans ma toile telle une mante religieuse… mais il ne risque pas de mourir et la seule chose que je veux manger de lui se trouve entre ses cuisses. La prédatrice se réveille alors et la séduction opère très vite. À coup de jambes qui se croisent et se décroisent, de sourire et de rires coquins, de mains qui se posent sur sa cuisse, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, le voici qui m’embrasse fougueusement dans l’ascenseur alors que nous montons à ma chambre.

À peine la porte de ma suite fermée, il fait glisser la fermeture éclair de ma robe et je me retrouve nue devant lui. Il ne me reste plus que mes talons et mes créoles. Il se recule doucement et d’un sourire satisfait me contemple comme un propriétaire contemplerait la pouliche qu’il vient d’acquérir. D’un signe du doigt il m’ordonne de tourner sur moi même. Je ne m’offusque pas de cette attitude et m’exécute. Après tout je l’ai bien cherché. C’est moi qui l’ai attiré ici dans un but bien précis, je ne vais pas jouer les prudes effarouchée de son attitude machiste. J’avoue même que cela m’excite. Il se rapproche de moi et, posant sa main gauche derrière ma nuque me force à l’embrasser pendant que sa main droite se plaque sur mon intimité. Je le vois sourire alors qu’il constate l’humidité de mes lèvres. Triomphalement, il insinue son doigt en moi. Sa vanité masculine l’empêche de se rendre compte qu’il est exactement là où je veux qu’il soit. Se croit il à ce point irrésistible ? Il n’a, j’en suis certaine, pas conscience que J’AI décidé qu’il aurait l’honneur de me prendre et qu’à aucun moment il n’a eu les cartes maîtresses en main.

Mais qu’il est bon de laisser cette illusion à un homme ! Qu’ils sont attendrissants quand ils ont cette impression de nous dominer. Me dominer… c’est d’ailleurs ce que je vais l’autoriser à faire pour les quelques heures qu’il aura l’honneur de passer dans mon lit. Je le laisse donc prendre ma bouche aussi brutalement qu’il le désire, tout comme je laisse ses doigts profaner sans tendresse mon intimité déjà lubrifiée de mouille. Je dois bien avouer que la sensation de ses doigts écartant ma chair matricielle m’électrise au point d’en trembler. Croit-il qu’il en est la seule cause ? Il n’est pour moi qu’un instrument de plaisir, un sextoy en chair et en os. Moi même je me transforme en jouet pour lui. Et c’est ce que j’aime. Ainsi imbriqués nous nous dirigeons vers le lit où, sans douceur, il me couche.

Repliant mes jambes sur le bord du lit, il s’offre une vue imprenable sur mon hymen ouvert. Il y plonge alors son visage et c’est maintenant sa langue qui goûte pour la première fois le produit de mon excitation. Une vague de plaisir m’envahit alors que cette langue entre en contact avec mon clito déjà gonflé. Je me cambre pour lui signifier qu’il est sur le chemin. Il ne lui en faut pas plus pour plaquer deux doigts sur mes lèvres et les enfoncer à toute vitesse à l’intérieur de moi. Quel plaisir de les sentir caresser la chair intime, masser la paroi intérieure. Très vite, alors que sa langue se déchaîne sur mon clitoris, ses doigts vont et viennent au fond de moi. Alors qu’il s’occupe ainsi de moi, mes mains caressent tendrement mes seins déjà tendus de désir. J’éprouve avec délectation la dureté de mes tétons et la chair de poule qui s’en est emparée. Mon ventre me brûle de l’intérieur tellement mon excitation monte. Mes mains descendent alors sur sa tête encore recouverte du keffieh.

Je le saisie et le jette sur le lit. Je repose mes mains sur sa tête et lui laboure le cuir chevelu de plaisir. Il est si doué de sa langue et de ses doigts que je m’abandonne à ses prodigues. Très vite j’inonde son visage de cyprine dont il se délecte visiblement. N’y tenant plus il se relève avec précipitation et dans un mouvement félin se retrouve au dessus de moi. Il s’agenouille en soulevant son taoub. Au dessus de ma tête, il extrait son sexe déjà bandé de son slip : ’’Suces-moi maintenant’’.

Je ne me fais pas prier et ouvre grand ma bouche. Il s’y engouffre perversement et bute au fond de ma gorge alors que j’ai à peine refermé mes lèvres. Il donne de grands coups de reins et j’aspire en salivant de gourmandise. Alors qu’il besogne ma bouche, sa main se pose à nouveau sur mon intimité et me pénètre de trois doigts. Il synchronise les deux pénétrations. Je me sens si dominée que très vite un second orgasme m’envahit. Il sait alors le comportement qu’il peut adopter avec la petite chienne que je suis devenue. Il se retire de ma bouche et sans autre forme de procès attrape mes hanches et me retourne sur le lit en levrette. J’ai tellement envie de son sexe au fond de ma chatte que je lui tends ma croupe d’envie. Ses mains se posent sur mes fesses, il les caresse et je m’électrise de la douceur de ses paumes. Il joue avec, les écarte, les claque gentiment pour en éprouver la fermeté. ’’Tu as un sacré cul, tu sais’’. Je souris sans le regarder. Fière de l’état dans lequel j’ai réussi à le mettre… et celui dans lequel il m’a mise d’ailleurs.

Il se plaque contre moi et je sens son gland frotter mes lèvres béantes d’envie. J’ai tellement hâte que son poignard s’enchâsse dans mon fourreau que je n’en peux plus. Mais visiblement il n’a pas envie d’entrer si vite et son sexe dur glisse le long de mes lèvres. C’est une douce torture qu’il m’inflige. Alors qu’il s’adonne à ce jeu, les mains agrippées à mes fesses, je sens ses pouces s’approcher de mon petit illet pour le caresser doucement. Par de petits mouvement circulaires, il tente de le détendre doucement. Je suis si excitée que je le laisse faire et lentement mon petit trou s’ouvre, inexorablement. Au bout de quelques instants, je sens ces deux pouces ancrés profondément dans mon cratère. J’ai tellement envie qu’il me défonce !!! tout à coup, son sexe quitte la gouttière de mes lèvres et à peine ai je le temps de réagir que sa salive pénètre mon orifice anal, très vite suivi de son sexe. Dans un cri de suffocation, je tente de me soustraire à la sodomie mais ses mains véloces me retiennent par les hanches.

’’Ah non, tu l’as voulu, maintenant tu assumes ma grande’’. Il se penche au dessus de moi, profondément fiché dans mon conduit anal, saisit le keffieh et le pose sur ma tête. S’en suit une sodomie profonde et sauvage du meilleur effet. Je hurle de douleur et de plaisir, le carré de tissus frotte sur ma peau si sensible que le glissement du tissu en décuple le plaisir. Les yeux mi-clos ma tête se lève et redescend au rythme du plaisir qu’il m’offre. La stupeur me prend lorsque j’aperçois dans la salle de bain la silhouette d’un homme dans l’obscurité. Mais à peine ai je le temps de réagir qu’elle a déjà disparu. Mon assaillant ne relâchant pas son étreinte, je ne sais comment vérifier la présence de cet homme. Peut être ai je rêvé et qu’il n’y a personne. Les coups de butoir de mon amant d’un soir sont si puissants que je m’abandonne à nouveau à ses faveurs. Je reste toutefois intriguée par ma vision et scrute de temps en temps la salle de bain à la recherche de cette apparition. Durant toute la saillie, je ne descelle aucun mouvement suspect dans la salle de bain et j’oublie très vite pour me consacrer à l’orgasme qui nous submerge quasi simultanément.

Ses doigts profondément enfouis dans ma chatte reçoivent mon orgasme alors qu’il se vide dans mes intestins. Nous nous affalons sur le lit et nous nous endormons lovés l’un contre l’autre, moi nue, recouverte du taoub qu’il a gardé. Dans mon sommeil, je sens ses mains me caresser et l’image de cette silhouette vue dans la salle de bain hante mes rêves. Ce sont d’ailleurs les caresses de mon amant qui m’extirpent de mes songes. Quelle n’est pas ma surprise lorsque, ouvrant les yeux, je constate qu’il a disparu. Je ne retrouve qu’un petit mot sur la table de nuit où il me remercie, accompagné d’un billet de 100 dollars. Mais qui me caressait pour me réveiller ? Ai je rêvé ? Je me dis qu’il s’agissait tout simplement de mes propres mains.

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