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Sonia en webcam – Chapitre 2




Sonia Chapitre 2

Non, j’en suis sûr, cette femme que je viens de voir sur mon écran, si sexy, si sensuelle.

C’est ma Sonia !

Sonia est ma cousine, en fait je devrais dire plutôt que nous sommes comme frère et sur. Non, ce n’est pas exactement ça!

Si nous sommes liés par le sang (elle est la fille de la sur de mon père), c’est surtout quelqu’un que j’ai beaucoup aimé dans tous les sens du terme.

Déjà, quand nous étions petits, dans les rares réunions de nos familles, nous étions très proches, car du même âge (il y a seulement deux mois d’écart entre nous). Nous étions complices, nous délaissions toujours nos parents pour aller jouer ensemble.

Puis plus tard, pour écouter de la musique ou discuter dans sa chambre, très sagement s’entend ! Sonia adore parler, elle est intarissable et parfois presque soûlante à écouter.

Mais, un jour, vers l’adolescence, un différend familial nous a séparés. Nous nous sommes perdus de vue, même si nous étions trop jeunes pour être concernés par toutes ces histoires d’adultes.

Vers mes vingt ans, des copains à moi l’ont rencontrée par le plus grand des hasards, et m’ont transmis son bonjour. Sonia connaissait le quartier où j’habitais et avait évoqué mon nom auprès de mes amis. C’est grâce à cela que nous avons repris contact.

Évidement, ce fut rapidement nos retrouvailles, et sans nos parents cette fois. Elle avait changé, ce n’était plus la petite boulotte de mon enfance, mais une fille sublimement belle.

Ses cheveux blonds, coupés courts désormais, ses yeux vert clair, ses lèvres roses, sa bouche si fine Tout en elle est digne d’admiration, encore maintenant d’ailleurs, plus de vingt ans plus tard

Dès lors, nous nous sommes vus plus fréquemment, surtout que son école était à deux pas d’où j’habitais. J’ai mis un petit moment à comprendre qu’elle me faisait des avances, ou plutôt, je n’osais y croire ou l’espérer. Je l’aimais secrètement, mais ça ne se fait pas entre cousins m’avait-on appris.

C’est un jour, en se faisant la bise que nos lèvres sont entrées en contact et, comprenant que ce n’était pas fortuit, ni pour l’un, ni pour l’autre un baiser s’en est suivi.

Puis, naturellement, dès que ce fut possible, nous avons fait l’amour.

Je me souviens encore de l’odeur de sa vulve, parfum caractéristique d’une vraie blonde, de sa complicité et de son imagination lors de nos ébats amoureux. C’était génial !

Ensuite, nous sommes un peu perdus de vue quand tous deux avons déménagé pour notre travail. Chacun de notre coté, nous avons eu chacun notre vie, notre conjoint, notre maison et tout le reste. Nous sommes quand même restés secrètement amoureux l’un de l’autre.

On s’appelle de temps en temps au téléphone, mais il est exceptionnellement rare que nous soyons réunis. Une fois quand même, il y a quelques années, nous avons passé un long week-end de vacances non loin de chez elle et ce fut l’occasion de nous revoir plus longtemps

Sonia et moi avons trouvé le moyen de faire l’amour, trop vite fait, debout dans sa cuisine alors que ma femme s’était endormie au soleil sur la terrasse.

Si je prétends être fidèle à Fabienne, avec Sonia c’est différent, elle fait partie de ma chair, de mon âme, de mon sang. Nous sommes comme un prolongement l’un de l’autre.

Je repense souvent à elle, avec énormément de nostalgie !

Sonia est divorcée depuis un bon nombre d’années. J’ai appris bien plus tard que son mari était violent avec elle, alors qu’il paraissait être de bonne éducation.

Après une longue réflexion, c’est décidé, je retourne sur le site de webcam. Après tout, je me connecte avec un pseudonyme et, en désactivant le micro et la caméra pour n’utiliser que le clavier, elle ne pourra me voir, donc me reconnaître.

Je constate qu’elle est occupée en salon privé, dommage !

Encore troublé par cette découverte, j’attends longtemps, qu’elle soit à nouveau disponible et m’empresse de griller la priorité à un type qui hésitait à passer en privé avec elle.

Je me fais passer pour un novice et elle se révèle compréhensive me disant qu’il en est de même pour elle. Nous faisons connaissance et me dit qu’elle s’appelle Sofia. Je comprends aisément qu’elle ne souhaite pas donner son vrai prénom à des inconnus. C’est de bonne guerre !

D’un ton doux, elle me demande mes préférences et je propose qu’elle donne libre court à sa présentation. Pour une débutante, elle s’en sort plus que bien. Elle n’hésite pas à se masturber et faire des gros plans sur sa chatte ornée de son superbe triangle blond, à m’exposer ses fesses ou ses seins. Je bande comme un âne et me branle à tout va.

On se quitte gentiment et je reste impressionné par la quantité de sperme que je viens d’éjaculer.

Le lendemain, à ma demande, elle utilise un gode, qu’elle suce de façon suggestive, me demandant, de temps à autre, si j’aime la fellation qu’elle me fait à distance.

Elle a fait de sacrés progrès à ce que je constate, en enfonçant l’objet profondément dans sa gorge. Elle n’aimait pas trop ça, jadis.

Suivant mes désirs, elle introduit le gode dans sa chatte et se masturbe avec.

Quand je lui demande :

— Peux-tu le mettre dans ton derrière ?

— Je peux faire mieux que ça, si tu veux, chéri

Sonia prend un deuxième gode, qu’elle suçote avant de forcer son anus. Elle peine un peu et se tortille pour accomplir cette double pénétration.

Pris de folie et d’inconscience, je prends mon téléphone pour la féliciter en direct, mais je tombe sur sa messagerie. Je laisse juste un message pour la saluer, sans préciser la véritable raison de mon appel.

Ce qui me surprend le plus, c’est que, jadis, ma cousine n’aimait pas trop la sodomie. Ça lui faisait trop mal, disait-elle.

Le lendemain, Sonia m’appelle :

— Coucou Michette !

(Étant petit, mes parents m’appelaient "bichette" et Sonia s’était empressée de me donner un autre surnom pour me taquiner)

— Salut Soniette. Comme je lui répondais du tac au tac. C’était pratiquement un code entre nous.

— Tu m’as appelé fort tard, hier soir, rien de grave ?

— Non, non, je voulais juste prendre de tes nouvelles

— Après minuit ? Tu ne dors pas à cette heure tardive ?

À partir de cet instant, je me dégonfle et n’ose pas lui avouer la véritable raison de mon appel. Je prétends qu’il s’agit d’un désir soudain, d’une pulsion et ne lui avoue pas que j’ai éclaboussé mon clavier et mon écran d’un jet de semence trop puissant, en la regardant se goder devant sa caméra.

Nous parlons de choses et d’autres. Elle me dit qu’elle est contente de me parler, que ça faisait longtemps

Je comprends que ma cousine peine à s’en sortir financièrement et fait des petits boulots, car son ex mari a un retard fréquent, parfois de plusieurs mois, pour verser la pension.

Elle ajoute que c’est la guerre avec ce dernier pour lui faire lâcher son fric et qu’elle doit quand même faire bouillir la marmite.

Insidieusement, elle me propose de nous rencontrer, mais hélas des centaines de kilomètres nous séparent.

Puis, au moment de nous quitter, je lui dis :

— Gros bisous Soniette

— Gros câlins Je t’aime mon cousin chéri.

Comme j’aime entendre sa voix, même au téléphone !

Quelques jours plus tard, mon épouse Fabienne part en séminaire professionnel pour plusieurs jours. Aussi, étant seul à la maison, j’en profite pour poser les quelques congés qui me restent et prends plus de liberté dans mes activités virtuelles, y compris le jour, cette fois.

Le soir venu, dès que Sonia est disponible, je la retrouve en show privé.

Emporté par l’euphorie de la retrouver, je commets la grave erreur de l’appeler Soniette au lieu de « Sofia », le prénom qu’elle prétend avoir.

— C’est toi, Michette ? S’étrangle-t-elle après quelques secondes d’hésitation.

Je me rends compte de ma bêtise trop tard et ne sais quoi répondre.

Elle interrompt brusquement la connexion et mon téléphone sonne presque immédiatement. C’est Sonia, bien sûr !

Elle m’houspille :

— Alors espèce de salaud ! Tu joues les voyeurs! Ça te plait de me mater et de me faire faire des cochonneries !

— Avoue que tu n’as pas à t’en plaindre pécuniairement, je suis plutôt généreux avec toi

J’ai préféré rester anonyme pour ne pas te mettre dans l’embarras. Tu aurais pu me bannir peut-être ?

Son ton s’adoucit et la conversation devient plus sérieuse, mais aussi plus intime. Elle a toujours eu beaucoup de franchise et n’y va pas par quatre chemins pour s’exprimer, quelque soit le sujet de conversation.

Elle me confie qu’elle aime le sexe, qu’elle a plusieurs amants, mais pas d’homme attitré. Elle aime également les femmes, qui lui donnent un plaisir différent.

Ma cousine précise qu’elle a besoin d’argent pour rembourser l’emprunt de la maison, et qu’exercer cette nouvelle activité ne la dérange pas outre mesure.

Elle a souvent affaire à des lourdauds, mais elle rencontre aussi des types sympas, comme moi, ajoute-t-elle avec douceur.

Elle finit par me proposer une séance très privée et gratuite pour le lendemain. Pour ce soir, elle me fait promettre de ne pas la rejoindre sur le site et de la laisser travailler en paix.

Ce que je fais

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