Mon compagnon finit par mettre fin à notre baiser et lâcha mon sexe, puis rapidement il s’allongea sur le dos à coté de moi et m’attira sur son ventre, sans me faire prier j’y pris place, il attira alors mon visage vers le sien et nos lèvres sunirent à nouveau pour que nos langues recommencent à s’entremêler avec passion et doucement l’une de ses mains entreprit de saisir mon sexe, pour lui faciliter la tache je me mis à quatre pattes sur son ventre et il recommença immédiatement à me masturber, sans tarder je me mis moi aussi à lui prodiguer la même caresse sur son sexe.
Soudain je sentis des mains saisir mes fesses et quelque chose de chaud et humide entra en contact avec mon anus, surpris et effrayé je mis fin à notre baiser et tournais la tête pour découvrir qu’un autre gorille s’était approché de nous sans que je m’en rende compte et qu’il avait entrepris de lécher mon anus, avec un certain savoir faire je dois l’avouer, bien vite sa langue me pénétras et m’offrit encore plus de plaisir que le doigt de mon premier amant, comblé par cette langue si habile je décidais de le laisser faire et de retrouver les lèvres de mon premier compagnon qui ne semblait pas le moins du monde dérangé par la présence de cet importun. Comblé par cette langue et par la caresse appliquée à mon sexe, ma jouissance ne tarda pas à venir et alors que je me laissais posséder par le plaisir mon premier amant ce mis à jouir lui aussi et nos spermes inondèrent son torse que je n’hésita pas une seconde à nettoyer de ma langue que j’enfournais ensuite dans sa bouche pour un nouveau baiser passionné.
Épuisé par mes trois jouissances successives je n’étais pourtant pas satisfais, je voulais plus, ce doigt puis cette langue n’avaient fais quexacerber mon envie d’être pénétré par les sexes de mes deux amants, aussi j’entrepris de descendre du ventre de mon premier amant et de me placer de telle sorte que mes fesses se retrouvent plaquées contre son sexe qui, à ma plus grande joie, retrouva rapidement toute sa vigueur, mon amant se redressa sur ses genoux et le deuxième gorille jusque la inactif vint saisir le sexe de son congénère et le suça avec application, me confortant dans l’idée qu’ils n’en étaient pas à leur coup dessai, excité par ce spectacle je ne pus résister à l’envie de masturber mon sexe de nouveau en érection, après quelques minutes mes deux amants sintéressèrent de nouveau à moi, cessant sa fellation le nouveau venu vint vers moi et me fit me mettre de nouveau à quatre pattes tandis que le premier s’était rapproché de moi son sexe à la main, et pour l’inciter à passer à l’acte j’écartais mes fesses afin qu’il puisse avoir une vue parfaite sur mon petit trou, s’approchant au plus prés il plaça son gland contre mon anus et commença à me pénétrer lentement et avec douceur, je sentais son sexe entrer en moi centimètre après centimètre jusqu’à ce qu’il soit entièrement en moi et qu’il me possède totalement c’est à ce moment qu’il entreprit de faire aller et venir son sexe en allant de plus en plus vite, et c’est à ce moment la que la douleur se manifesta d’abord légère, elle augmenta au fur et à mesure que mon amant intensifiait sa pénétration pour être rapidement éclipsée par le plaisir que je sentais naître en moi et que jaccueillais avec joie.
Mais accaparé par cette sodomie tant désirée et qui ce produisait enfin, j’en avais oublié mon deuxième amant qui vint se rappeler à moi en positionnant son sexe en érection devant mon visage me permettant de découvrir qu’il était bien plus gros et plus long que celui que j’avais déjà pris dans ma bouche et qui était à présent dans mon anus, mais nullement effrayé par cet engin je le pris en bouche et lui appliqua la meilleure fellation dont j’étais capable. Pris par ces deux mâles je ne pouvais que me laisser aller au plaisir qu’ils m’offraient et bien que très excités ils n’en demeuraient pas moins doux et me faisais l’amour avec force mais sans violence et jamais de ma vie je n’avais éprouvé autant de plaisir qu’en cet instant et je priais pour que cela ne sarrête jamais.
Mais soudain l’amant dont je me délectais à sucer le sexe se retira de ma bouche non sans qu’un cri de frustration s’échappe de mes lèvres et mon premier amant se mit à accélérer la cadence, ses va et vient devinrent plus rapides et son sexe allait plus profondément en moi, mon plaisir ne cessait de croître et celui de mon amant également à en juger par les cris qu’il laissait échapper, mon second amant lui se masturbait lentement en nous regardant et je compris que bientôt je pourrais accueillir son sexe en moi, cette pensée ajoutée à la délicieuse sodomie que je subissais suffit à me faire jouir encore une fois sans que je neus besoin de me toucher ou de me caresser et les contractions de mon anus lors de mon éjaculation suffirent à achever mon amant qui en encrant profondément son sexe en moi jouis abondamment et remplit mon anus de son sperme sans qu’une seule goutte ne s’en échappe, mais malgré le plaisir éprouvé une pointe de regret naquit en moi, je dois avouer que j’aurais préféré avaler son sperme, mais ce regret fut cependant rapidement éclipsé car mon amant se retira pour laisser la place à son compagnon qui savançait déjà, étrangement pas une seule goutte de sperme ne s’échappa de mon anus, mais mon second amant ne me laissa pas le temps de mappesantir sur ce fait car il présenta son sexe à l’entrée de mon petit trou et me pénétra d’un seul coup, déjà bien élargit par la première pénétration mon anus subit la seconde sans difficultés mais la douleur renaquit tout de même en moi, bien plus forte que la première fois du fait de la longueur et de la grosseur de ce sexe et je ne pus retenir mes cris de douleur lorsqu’il se mit à aller et venir en moi, son sexe sortait presque entièrement de mon anus pour y replonger avec encore plus de force augmentant la douleur mais aussi le plaisir que je ressentais à nouveau du fait de me faire pénétrer avec autant de fougue, à ce moment précis je n’étais plus qu’une femelle et je dois avouer que j’adorais ça.
Pourtant ce plaisir cessa rapidement car après seulement une dizaine de va et vient mon amant enfonçât profondément son sexe en moi et se figea, je sentis bientôt son sperme jaillir en moi, il éjaculait une telle quantité que je sentais mon ventre grossir et ça n’avais rien de désagréable, au contraire, puis sans prévenir sa jouissance pris fin mais il ne se retira pas pour autant, ce fut même tout le contraire puisqu’il reprit ses va et vient mais plus lentement et avec plus de douceur, je n’en revenais pas, après avoir pris son pied une première fois il avait l’intention de recommencer, et pourquoi pas me suis je dit après tout je prenais au moins autant de plaisir que lui.
Et quel plaisir …