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Du lycée aux études – Chapitre 1




Bonjour à tous, ceci est ma première histoire, je vous demanderai donc d’être indulgents et n’hésitez pas à me dire dans les commentaires si vous appréciez ou si au contraire vous n’aimez pas, dans ce cas je vous demanderai de mettre des critiques constructives.

Bonne lecture à tous

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Partie 1 : La prof d’allemand

Chapitre 1 : Le commencement

Tout a commencé lors de ma terminale. Je m’appelle Gabriel Lecompte, j’avais 18 ans, roux aux yeux bleu-clair, un mètre soixante-quinze, pas particulièrement musclé mais le plus important c’est de se sentir bien dans sa peau et j’étais dans un collège-lycée catholique dans le val d’Oise. Depuis trois ans j’avais déjà la même professeure d’allemand : Mme Schmied une belle femme blonde qui devait tout juste atteindre la quarantaine, elle faisait 1 mètre 70 avec des yeux verts émeraude et une certaine poitrine assez développée comme chez une bonne partie des Allemandes.

Revenons-en à l’histoire, ça faisait trois ans que j’avais cette prof, avec qui je parlais très souvent après les cours voire qui me ramenait chez moi certains soirs étant donné que j’habitais sur sa route. Depuis un an, je la regardais autrement, plus avec le regard d’un enfant mais celui d’un homme regardant la magnifique femme mature qu’elle était. Et ce soir-là quelque chose avait changé, je la vis monter dans sa voiture avec des yeux rouges alors que j’étais déjà assis sur son fauteuil en cuir.

— Quest-ce qui ne va pas Renate ? (Oui je l’appelle par son prénom en dehors de la sphère scolaire) Tu as l’air triste ce soir.

— C’est à cause de mon mari me dit-elle en sanglotant, il revenait de voyage d’affaires et il a eu un accident de voiture, il est à l’hôpital de Grenoble et je ne peux pas le rejoindre pour le moment et de toute façon ça ne servirait à rien

— Si je peux t’aider d’une manière ou d’une autre n’hésite surtout pas lui répondais-je alors

Elle fit alors quelque chose qui me surprit, elle me serra dans ses bras comme à un ours en peluche sauf que l’ours en peluche c’était moi dans le cas présent. Nous étions corps contre corps et nous étions trempés après la pluie qui n’avait pas cessé de tomber tout au long de la journée. Je sentais sa chaleur contre moi et elle devait sentir celle qui traversait mon corps. À ce moment-là elle lâchait son étreinte et se rassit à sa place pour conduire. Il était temps je commençais à me sentir à l’étroit dans mon caleçon moi. Elle me déposa chez moi et après une bise appuyée sur ma joue suivie d’un petit câlin, elle repartit à Asnières dans son appartement.

Le lendemain après-midi je retrouvais Renate dans un café pour qu’elle m’aide en allemand car je n’avais pas compris la leçon du jour. Nous parlions du subjonctif 2 pour ceux qui connaissent. Après une bonne heure d’exercices et d’explications d’erreurs nous reprîmes un coca chacun mais je le lui offrais pour m’avoir aidé aujourd’hui. Nous nous mîmes à parler de nos vies respectives comme nous le faisions souvent, à passer l’après-midi et le début de soirée en refaisant le monde. Ce jour-là elle était habillée d’une robe bleu ciel avec un col en V qui laissait un joli décolleté laissant apercevoir la naissance de sa poitrine. Son cou était orné d’une jolie chaîne dorée et elle portait des créoles qui faisaient ressortir ses yeux verts émeraude. Autant dire qu’elle ne me laissait pas indifférent.

La soirée allait être chaude après une si belle journée ensoleillée de juin. Mes parents me téléphonèrent et m’annoncèrent que les routes jusque chez nous étaient fermées à cause de la chaleur. J’en parlais à Renate qui me dit que nous allions donc devoir passer la soirée ensemble étant donné que nos routes étaient les mêmes. Vous devinez ce que cela signifiait pour moi : une soirée avec une femme que j’admire et mate depuis deux ans.

Nous décidâmes d’aller manger au restaurant pour fêter mon anniversaire qui avait eu lieu quelques jours auparavant. Je la remerciais de son invitation que j’acceptais avec plaisir. Nous mangeâmes dans une crêperie assez luxueuse dans la jolie ville de Pontoise, notre table étant au bord de l’Oise nous avons profité de la légère fraicheur apportée par la rivière qui coulait lentement. Nous nous baladâmes après notre dîner au bord de l’Oise avant de trouver un hôtel où nous passâmes la nuit chacun dans notre chambre. (Eh oui l’action ce n’est pas pour tout de suite bande de pervers !)

Nous nous étions donné rendez-vous à huit heures pour le petit déjeuner puisqu’aujourd’hui c’est samedi et nous comptions bien en profiter tous les deux. Après un copieux petit-déjeuner et un rapide tour sur nos téléphones pour consulter l’état des routes et le temps qu’il faudrait avant que les bouchons de notre chère région parisienne se débloquent. Il nous restait quatre heures à tuer avant que notre autoroute soit de nouveau utilisable et encore deux pour ne plus être dans les bouchons, nous faisions donc notre shopping ensemble ce qui n’était pas désagréable du tout.

Nous avons tous les deux commencé par aller acheter de nouvelles chaussures, elle hésita entre une paire de mocassins rose clair vernis et une paire de baskets blanches pour remplacer sa paire précédente (malheureusement les baskets blanches s’abiment vite). Pour ma part j’achetais une paire Gazelle bleu-marine de la célèbre marque aux trois feuilles qui étaient en promo et surtout à ma taille (je fais du 45 et on ne trouve pas ça tout le temps par chez nous). Après ça nous sommes entrés dans un magasin de prêt-à-porter assez chic où Renate essaya un joli tailleur gris clair qui mettait en valeur sa belle poitrine, à cela elle ajouta une paire de chaussures à talons noire qui allongeaient ses jambes et ses cuisses. Après ses achats qui coutèrent « que » 300 nous sommes allés dans une chaîne de boutique connue pour son symbole constitué d’une étoile rouge, j’achetais un sweat-shirt à capuche rouge, un t-shirt rouge pâle, un jean bleu clair et un deuxième pantalon noir cette fois-ci, ma chère professeure voulut m’offrir tout ça mais je refusais poliment car elle n’était pas ma mère après tout et ça me gênais vis-à-vis d’elle.

Nous sommes repartis de Pontoise, elle me déposa chez moi et après une bise suivie d’un câlin elle repartit chez elle.

La suite dans le prochain épisode si vous aimez

Merci d’avoir lu ce premier chapitre.

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