Les jours passèrent rapidement et le début du week-end fut relativement calme, du moins en apparence. Tatiana nous avait rejoints en toute discrétion dans la cuisine tandis que le père de Marc qui était installé dans le salon regardait le poste de télévision. L?adolescente dégrafa sa jupette et la laissa glisser le long de ses jambes fluettes, puis elle grimpa sur la table. Difficile de me contenir et voilà déjà mon short sur les genoux et ma tige à hauteur de son vagin. Je l?a prit par les hanches et la pénétra. Pendant ce temps, Marc montait la garde.
Je pilonnais sans relâche son petit trou chaud et humide. Sous les va et vient, sa chatte devenait de plus en plus luisante et glissante, elle gémissait de plaisir. Finalement, après plusieurs minutes, je me déversai dans la chatte de la gamine en soupirant d?aise.
Tatiana et moi étions à peine rhabillés que la mère de Marc arriva dans la cuisine, elle nous adressa un bref sourire éloquent avant de rejoindre son mari dans le salon. Par la suite, nous étions allé faire un tour à l?extérieur de la maison afin de se dégourdir un peu les méninges. Le dîner approchant, on ne s?était pas trop attardé dehors. Le repas se passa normalement mais ce fut en reprenant la direction de la chambre que le père de Marc m?interpella. Ce dernier m?emmena à part dans une pièce et referma la porte derrière lui.
-Vous désirez me parler, monsieur ?
-Voyons, appelle-moi Alain, me déclara le père de Marc. Tu m?as l?air fatigué en ce moment mais je te comprends, Elizabeth, Marc et Tatiana doivent-en faire voir de toutes les couleurs.
-Heu? glissai-je, légèrement étourdi.
-N?ai pas peur, je ne te gronderai pas, continua Alain d?un ton rassurant. Elizabeth me parle très souvent de toi. Elle te trouve charmant, tu sais. Tout comme mes enfants.
Entretemps, Alain en avait profité pour passer ses mains gelées sous mon tee-shirt, caressant mon torse, puis les laissant glisser sur mon ventre plat. Je continuais de le fixer dans les yeux, tout comme lui. Sans m?en rendre réellement compte mon tee-shirt était déjà sur le sol. Alain se pencha vers moi et lécha les pointes de mes seins qui durcirent aussitôt. C?était merveilleusement agréable. Il me mordillait le téton, l?attrapa entre les dents et avança la langue plus franchement.
-Alain?
Le père de Marc posa sa main droite sur mon genou et remonta lentement jusqu?à défaire mon pantalon. Je sentais sa main caresser mon sexe à travers ma culote. Alain se faufila alors sous mon vêtement, descendant jusqu?à ma tige tendue et la caressa de haut en bas en me regardant dans les yeux. Il finit par enlever ma culote et contempla fasciné ma verge toute fière sur sa douzaine de centimètre.
Alain s?agrippa à mon sexe et me suça, ses lèvres venant doucement à la rencontre de mon gland et léchant de bas en haut mon érection. Ses mains s?ajoutant à la partie il me branla énergétiquement, sa langue claquant sur mes couilles. Soudain, Marc me retourna et fourra sa langue dans l?anus. Cette sensation me donna des frissons dans tout mon être. L?instant d?après, il introduisit un doigt en moi, ignorant mon cri plaintif. Alain quitta ses propres vêtements et me fit étendre sur le sol, il replia mes cuisses contre ma poitrine. Mes pieds vinrent se poser sur les épaules d?Alain. Son sexe se positionna à mon entrée. Il commença à s?introduire en moi, doucement. Quand à moi, je serrai les dents autant que je le pouvais pour ne pas crier de douleur. Il me pénétra profondément en prenant appui sur mes genoux. Rapidement, la douleur s?estompa et laisse libre court au bonheur. Il allait et venait dans mon petit trou étroit, rythmé par les gémissements de plaisir. Au bout d?un certain temps, Alain se contracta et éjacula dans mes entrailles en de longues et puissantes giclées. Il se retira et souffla un moment pour récupérer. Alors que je croyais tout terminé un gland rosâtre me passa sous le nez.
Je relevai la tête et découvrit Marc qui s?était discrètement faufilé derrière nous lors de nos ébats. Il m?adressait fièrement sa tige que je saisi dans ma bouche. Marc ferma les yeux et expira un long gémissement. Mes lèvres enserrèrent le gland et l?embrassèrent en l?aspirant. Ma langue tournoyait tout autour du membre. Marc prit ma tête entre ses mains et s?enfonça au plus profond de ma gorge. Les halètements et frissons de mon ami m?indiquèrent qu?il n?allait pas tarder à jouir. Il décocha une puissante salve dans ma bouche que j?englouti avec délice avant d?aller l?embrasser. Alain qui venait tout juste de se rhabiller ne manqua pas de nous féliciter et de nous fixer fiévreusement.
-Je vous laisse les garçons, dit-il en passant le seuil de la porte, mais ne vous fatiguez pas trop. Pauline souhaiterait vous avoir en bonne forme pour demain.
-Qui est Pauline ? avais-je dit à l?adresse de Marc.
-Oh, glissa Marc avec un léger gloussement. Tu le sauras bien assez tôt.