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Les Contes de Perpornault – Chapitre 2




Il était une fois, dans une très lointaine contrée, un bûcheron qui avait épousé une bergère. Ils eurent pour enfant une fille qui avait une tache de vin toute ronde et d’un rouge si vif juste au-dessus de la raie qu’on l’appela très vite dans la contrée, la petite chatte au rond rouge.

Quand elle eut atteint dix-huit ans, les gars du village venaient, à la nuit tombée, épier par la fenêtre son coucher et le moment béni où elle se déshabillait. L’un d’eux avait pris soin de piquer les persiennes et comme il n’y avait pas de rideaux, on se rinçait l’il gratis.

Ce n’était d’ailleurs pas que la fascinante tache rouge au beau milieu de la magnifique toison blonde qui attirait les gars. La fille avait aussi un cul magnifique, elle était svelte et arborait une magnifique paire de nibards, très ronds, très gros et très fermes auxquels on ne résistait pas. Elle avait déjà provoqué bien des érections dans le pays.

Fatiguée d’avoir à laver les traînées de foutres qui recouvraient les carreaux tous les matins, la mère avait proposé au père de prendre sa fille dans la chambre avec lui tandis qu’elle dormirait à la place de leur enfant. Cela découragerait les vicieux, disait-elle, et elle n’aurait plus besoin de faire les carreaux tous les matins.

De fait, dès le lendemain, elle avait fait remarquer au père qu’il n’y avait plus une trace de sperme sur les vitres. Elle avait juste oublié de préciser que, étant elle-même encore bien roulée, n’ayant que 36 ans, elle avait ouvert la fenêtre et pompé les bites des voyeurs qui revinrent du coup chaque soir en plus grand nombre.

Un jour, elle dit à sa fille :

Tiens, feignasse ! Va porter ce petit pot de beurre chez ta mère-grand.

C’est du beurre ça ? Il est bizarre. Pourquoi t’y vas pas toi-même ?

Discute pas ! Vas-y ! J’attends l’électricien.

Mais je ne suis pas prête !

M’en fous ! Grouille.

Mais ça va me prendre toute la journée.

J’t’ai mis un casse-croûte dans le panier. Allez, dégage.

La petite chatte au rond rouge partit donc rapidement, assez court vêtue d’une petite jupe au ras de la joie de vivre et, comme dans sa précipitation, elle avait oublié sa culotte, le vent mettait à l’air fréquemment cet objet du désir. Chaque mâle qu’elle croisait se détournait sur son passage et en était réduit à une bonne branlette.

Peu après être entrée dans la forêt, elle croisa le loup. Un loup jeune et gigantesque qui eut tout de suite l’envie de la mettre à son tableau de chasse. Il n’en eut cependant pas le loisir, entendant les bûcherons tout proches. Mais il put quand même lui demander où elle se rendait.

Chez ma mère-grand.

Où habite-t-elle ?

Et il détala aussitôt le renseignement pris, car les bûcherons arrivaient.

C’était justement son père accompagné de ses deux collègues, les frères Dugland.

Tiens ma chérie ! que fais-tu là ?

J’vais chez mère-grand, lui porter un petit pot de beurre.

Elle saura quoi en faire ! ricanèrent les deux frères.

Elle pouvait pas y aller ta mère ?

Non, elle attend l’électricien.

L’électricien ? Qu’est-ce que c’est que cette connerie. On n’ a pas encore inventé cette industrie ! Bon les gars, j’vous laisse, j’crois que ma femme me fait pousser des cornes !

Et il disparut. Etre cocu, il avait l’habitude. Mais il avait horreur que ce fût sans lui. Il retrouva, comme il le craignait, sa femme entourée de quatre garçons du village qui en avaient marre de se faire uniquement sucer le soir devant la fenêtre et qui voulait la monter. Comme c’étaient de jeunes puceaux, l’arrivée du mari tomba à propos pour qu’il leur montre comment faire, et il la partouzèrent toute la matinée, mais cela est une autre histoire.

Lui faire pousser des cornes ? s’interrogea la petite chatte au rond rouge quand il fut parti.

Oui. Tu ne sais pas ce que ça veut dire ? demanda Onsan Dugland, l’aîné des deux frères bûcherons.

Non.

Eh bien, ta maman doit être en train de jouer avec un pénis qui n’appartient pas à ton papa.

Ah ? C’est quoi un pénis ?

Tu ne sais pas ce que c’est qu’un pénis ?

Non.

Regarde ! dit Jo-Lee Dugland, le cadet, en baissant son froc, exhibant ainsi son gros paquet poilu.

Ah ! C’est une bite en plus petite !

Donc tu sais ce que c’est ?

Oui. Papa me laisse jouer avec la sienne depuis que je dors avec lui. Mais elle est beaucoup plus grosse et plus dure, enfin au départ. Après, elle est comme ça. Petite et molle.

Tu veux jouer avec la nôtre aussi.

C’est vrai, je peux ?

Et comment !

Je pourrais boire aussi le jus des couilles ? Papa dit que c’est bon pour le teint et la santé.

Bien sûr.

Et elle commença à pomper les deux bites qui sentaient la pisse et la transpiration.

Ton papa, il te laisse jouer seulement avec la bouche ?

Non, il me la met aussi entre les seins et dans la chatte.

Pas dans le cul ?

Non…

Ah ! c’est curieux. Il devrait.

Pourquoi ? Il dit que ça l’emmerde.

C’est excellent pour lutter contre les hémorroïdes.

J’en ai pas.

En préventif ! J’vais t’appliquer le traitement.

Ah bon.

Et ils la culbutèrent sauvagement, la prenant en double par les deux trous. Ils lui bouffèrent la vulve, les nichons, le cul, tout…

Putain, elle suce bien !

Et sa chatte, comme elle est étroite. Le pied ! T’aimes la queue toi, hein salope ?

Tiens, ça me fait penser… papa, il me dit souvent cela, salope. Mais il m’a jamais dit ce que ça signifie.

Ça veut dire que t’aimes bien qu’on te foute la bite, que tu caches pas ton plaisir et que tu nous en donnes beaucoup.

Ah, ce n’est donc pas une insulte ?

Ça dépend du contexte, mais en l’occurrence, c’est plutôt un compliment. Ça veut dire qu’on est vachement content et que tu es notre nouvelle meilleure amie.

Les mecs tournaient dans le con et dans la bouche, mais il était temps de lui faire sauter le pucelage du cul.

Quand l’aîné la sodomisa, elle poussa un cri qui s’entendit dans toute la forêt. Le mec y était allé d’un coup, après avoir prélevé une bonne dose de "beurre" dans le pot pour lui préparer la rondelle. Malgré cette précaution, la douleur fut intenable. A un moment, lui répondit même un écho lointain qui les surprit, mais ils n’en continuèrent pas moins de la baiser, lui promettant que bientôt, elle éprouverait plus de bien que de mal. Mais comme elle continuait de pleurer et d’appeler sa mère, pour mieux faire passer la sodomie, ils décidèrent de la prendre en double, pensant que le plaisir du vagin la détendrait. Le calcul fut exact. Bientôt, elle mouilla et répondit avec ferveur aux assauts conjugués des deux bites.

Quand elle fut suffisamment à l’aise, ils la mirent en levrette, le plus vieux lui limant toujours le fion pendant que l’autre se laissait aller aux délices de la pipe. Puis ils l’allongèrent, le plus jeune enfilant sa bite dans la chatte en position du coquillage, permettant son frère, à genoux au-dessus de la plantureuse poitrine, de bénéficier d’une branlette espagnole mémorable. Il en profitait aussi pour se faire de temps en temps lécher les couilles et la queue, puis se remettait entre les seins.

Elle est bonne, putain, bonne…

Clair, mieux que sa mère…

Ah Vous connaichez moman ?

Parle pas la bouche pleine ma jolie;… et oui, on connaît ta mère, hein frérot ?

Pour sûr… La sieste de ton père n’est pas perdue pour tout le monde…

Et les deux gars se congratulèrent de leur bonne fortune. Cependant, Jo-lee s’excitait de plus en plus et il demanda à son frère de dégager pour pouvoir se mettre en missionnaire, prélude à l’éjaculation dont il voulait jouir tout à son aise. Son frère et lui ne s’étaient pas vidangés, les burnes depuis l’avant veille, quand ils avaient rencontré quatre bonnes surs bien coquines qui revenaient d’un pèlerinage, aussi prévoyait-il un gros jet de foutre.

La fille avait déjà appris à repérer sur son père les prémices de l’extase ultime et que le gars allait jouir. Elle-même d’ailleurs, se préparait à un troisième orgasme, car les gars l’avaient déjà bien comblée.

Non, non, pas dans ce trou-là, dit-elle ! Papa dit qu’il faut pas. Ici, ça fait grossir.

Te bile pas poupée. Mon frère a déjà dosé plus d’une garce sans jamais en faire grossir aucune… le veinard ! Il a du jus de couilles à revendre pourtant… mais c’est toujours régime minceur. Ça a fini par se savoir et les gonzesses le recherchent, car c’est sans risques avec lui…

Vous êtes sûr ?

De toute façon, il était trop tard. Le mec expulsait sa jute en râlant de plaisir. Puis il sortit et s’essuya le bout du zob, nappé comme un dessert sur le rond rouge au milieu du pubis.

Depuis le temps que j’avais envie de le voir de près.

C’est sûr que c’est mieux que de l’regarder derrière les carreaux en se pignolant… Allez, viens prendre ta dose de protéines… ouvre grand la bouche… tire la langue… Ouiiiiiii, c’est bon, je viens, je viens raaahhh ! Ooooooh… Je jouiiiis…

Et il expulsa un gigantesque jet de sperme, suivi par beaucoup d’autres. La bouche en fut remplie, mais il en eut sur tout le visage.

La fille se rhabilla après s’être débarbouillée.

Tu préfères ma bite ou celle de ton père ?

Je sais pas… faudrait comparer.

Reviens nous voir. On lui demandera. Vu qu’on connaît votre petit secret, il pourra pas nous refuser, dit l’aîné en ricanant.

En tout cas, c’est plus rigolo à deux.

Elle les quitta en promettant de venir souvent les réconforter sur leur lieu de travail. En la regardant s’éloigner et dandiner son petit cul, les deux frérots se promirent de la revoir.

Putain, qu’elle est chaude !

Quelle suceuse, bordel, quelle suceuse ! Une bouche… une ventouse… un aspirateur à jus…

Quel gros porc son paternel ! Baiser sa fille !

Si j’avais une fille comme ça, je la baiserais aussi… d’autant qu’elle aime ça.

Oui… et maintenant qu’on le sait, il pourra pas refuser qu’on y aille.

Et on n’aura même plus besoin de se cacher pour sauter sa femme…

Elle était déjà loin qu’ils faisaient encore des plans sur la quéquette… Quant à elle, levée déjà depuis un long moment, elle eut faim. Bouffer de la teub lui avait ouvert l’appétit et le sperme, qui avait laissé un voile gluant dans sa bouche, lui avait donné soif.

Elle s’arrêta donc et sortit, ce que sa maman lui avait préparé. C’était une belle tranche de pain avec une énorme saucisse grillée, froide, graisseuse et toute dure, accompagnée d’un pichet d’eau.

Elle allait la dévorer quand elle s’aperçut que ce serait sec. Elle se souvint que son père lui disait souvent : "Attends, je me la trempe dans ta chatte, elle serait moins sèche dans ta bouche" ! Et c’était vrai.

Elle s’enfila donc la saucisse dans le con, et y trouva un véritable plaisir. Elle l’en sortit et vit que le bûcheron y avait laissé une belle quantité de foutre. La charcutaille en était couverte. C’était vraiment délicieux.

Elle se fit donc longtemps jouir avec son repas avant d’avaler ce nouvel amant bien docile et se promit d’agrémenter le prochain voyage avec un concombre.

Mais à force de se faire baiser par les bûcherons et de se goder avec de la charcuterie, elle avait pris beaucoup de retard. Le soir tombait. Elle hâta le pas.

Comme elle s’approchait d’un calvaire, elle y rencontra deux moines sexagénaires. Sexagénaires, pas si sûr, sauf pour la première syllabe.

Les deux compères s’en revenaient d’une inspection dans un prieuré et retournaient à l’abbaye. Comme ils s’étaient disputés sur le trajet à propos d’un quart de fromage mal partagé pour leur repas, ils avaient entrepris une démarche de pardon, qui les avait conduits à un 69 fort peu évangélique, mais très fraternel. Comme ils se mangeaient la bite réciproquement en oubliant ainsi leurs griefs, ils avaient entendu notre héroïne qui s’approchait en chantant à tue-tête une chanson légère que son père lui avait apprise sur un dénommé Dudule.

Les moines se rajustèrent en vitesse, ce qui ne fut pas compliqué. Ils n’avaient qu’à se relever pour laisser retomber sur leur nudité leurs bures et subséquemment, leurs burnes.

Ils étaient très contrariés, mais la vue de la fille bien roulée, leur fit entrevoir le pardon.

Comme elle passait devant eux, ils la hélèrent.

Holà ! Où allez vous la fille.

Chez ma mère-grand !

Et on ne s’arrête pas pour prier à ce calvaire ?

C’est que la nuit va bientôt tomber.

Tututut ! Cinq minutes ! A genoux !

La fille, impressionnée, obéit aux hommes d’Eglise et s’agenouilla. Ils avaient bien remarqué le peu de longueurs de sa jupe et escompté qu’en se mettant en oraison, elle dévoilerait un peu ses charmes.

Quand ils virent qu’elle n’avait pas de culotte et qu’elle dévoilait ainsi la quasi-totalité de son cul, ils se félicitèrent de leur sagacité et s’approchèrent. Leur érection reprit un coup de fouet. Trop habitués aux fesses poilues et aux roustons de leurs confrères, ils ne dédaignaient point parfois, une belle bougresse qui les changeait de l’ordinaire.

Ils s’approchèrent le plus près qu’ils purent.

Dis donc la fille, dit le plus fûté des deux, on dirait que tu as la moule bien graissée !

De fait, la vulve accusait encore les stigmates des coups de bites et de saucisse qu’elle avait reçus.

La fille, craignant qu’on lui reprochât d’avoir eu de la sympathie pour son pique-nique, préféra taire cet épisode.

C’est un fait mon frère. J’ai croisé deux bûcherons qui, s’ennuyant ferme, m’ont demandé de joindre ma joie à la leur afin de les distraire. J’ai cru faire une bonne uvre en leur apportant soutien et réconfort.

Et tu as bien fait ma fille ! Les as-tu bien sucés ?

Quant à cela, jusqu’au jus des couilles !

Et t’ont-ils bien foutue ?

Dans les deux trous, mon père !

Allons, je vois que tu es une bonne fille et la charité dont tu as fait preuve envers ces pauvres hommes, tu ne la refuseras pas à deux saints moines.

Euh… certes non… Mais il faudra faire vite, car je voudrais arriver chez mère-grand avant la nuit. On dit que les routes ne sont pas sûres et je n’aimerais pas faire de mauvaises rencontres.

N’aie crainte. Reste agenouillée en dévotion. On va te prendre par-derrière sans déranger ton recueillement.

La fille se remit donc en prière pendant que le premier moine la pénétra dans la chatte. Il abattit ses grosses pattes poilues sur les seins et la féconda en moins de deux minutes. Son confrère prit aussitôt le relais pendant qu’elle récurait la bite du premier, avec un soin scrupuleux, passant la langue délicatement dans tous les recoins, y compris entre gland et prépuce.

Il fut plus long et éjacula en coinçant sa queue dans le sillon inter-fessier. Il ramassa le sperme du bout de ses doigts et le donna en récompense à la jeune fille. Puis ils la quittèrent.

Elle repartit sur-le-champ, mais le soir gagnait, aussi arriva-t-elle chez mère-grand entre chien et loup. Tout était calme. Elle frappa.

A suivre.

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