Suite :
Pour loccasion, Jasmine revêtait son superbe et si connu ensemble bleu. Avec son pantalon et son haut de soie légèrement transparent qui révélait son ventre, elle était à la fois royale et sexy. Le Génie se tenait à côté delle et faisait semblant dêtre vigilant aux potentiels agresseurs.
Durant toute laprès-midi, Jasmine se promena ainsi dans les rues dAgrabah, saluant les marchands, discutant avec les passants, heureux de la voir après une absence si longue et se faisant faire des câlins par des gamins courant à sa rencontre. Oui, Jasmine était encore populaire. Mais le Génie perçut également certains regards et chuchotement à propos des rumeurs qui circulaient à son sujet.
Le génie arrêta Jasmine dans une ruelle discrète.
— Regarde, esclave, il y a un mendiant là-bas Tu vas aller lui parler, lui donner une pièce et lui exposer ta beauté.
— Mais il va me reconnaitre
— Cest le but, idiote ! Tu dois devenir une trainée et cette idée doit cheminer dans Agrabah avant que Jafar ne tépouse. Cest lun des objectifs de ton dressage.
— Jafar veut que le peuple ne me respecte plus, pense que je suis une chienne Cest un monstre !
— Oui, esclave. Sen est un Mais cest aussi ton maître à qui tu dois obéissance, nous nallons pas revenir sur ce sujet !
— Non, maitre Allons embellir la journée de ce pauvre bougre !
Jasmine savança donc dans la ruelle, échangea quelques mots avec le mendiant et lui donna une pièce de bronze. Puis elle lui demanda ce qui pourrait lui faire plaisir.
— Oh merci vot majesté mais avec la petite pièce que vous mavez donné, je vais pouvoir manger et boire aujourdhui ! Cest tout ce quil me faut !
— Allons, mon brave, ny a-t-il aucun autre plaisir que je puisse vous faire ? lui demanda-t-elle en se penchant à son niveau.
Puis, en tirant légèrement sur son haut pour augmenter le décolleté que le vieux avait sous le nez, elle rajouta :
— Vous ne voyez rien, vraiment, que votre princesse ne puisse vous offrir ou vous montrer ?
— Et bien maintenant que vous le dites, vot majesté cela fait tellement longtemps que je nai pas eu la chance de voir une belle femme de si près Et. Si j’osais
— Osez, mon brave, osez
Le mendiant tendit alors timidement les bras vers le délicat haut bleu de Jasmine et le tira vers le bas. Lentement et devant ses yeux écarquillés, la poitrine de sa princesse se découvrait. Ses gros seins finirent par se libérer du tissu et ballotèrent sous le nez répugnant du mendiant.
Jasmine était donc penchée en avant avec les seins qui pendaient sous le nez du bougre. Le Génie, à côté delle, en profita pour lui caresser les fesses et commença à effleurer son sexe. Jasmine tendit encore un peu plus les fesses et écarta légèrement les jambes pour laisser tout le loisir au Génie de la caresser davantage.
Le mendiant, pendant ce temps, sétait permis, sans que la princesse ne dise rien, de toucher et même malaxer la généreuse poitrine qui soffrait à lui. Il joua également avec ses tétons qui durcirent rapidement sous ses doigts crasseux.
— Voulez-vous les téter, mon brave ? demanda Jasmine, excitée par la situation.
— Oh, vot majesté, vous me comblez !
Le clochard ouvrit alors une bouche presque dépourvue de dent et goba les mamelons de Jasmine. Dans sa bouche, il titillait ses tétons avec sa langue et les mordillait parfois avec ses gencives inoffensives.
Soudain, et alors que le Génie avait passé sa main dans le pantalon de la princesse et que celle-ci passait manifestement un bon moment, il entendit des voix derrière eux qui indiquaient que des gens approchaient. Estimant quil était encore tôt pour exposer de la sorte Jasmine, il la fit se relever et se rhabiller, privant ainsi le mendiant de ses tétines.
— Nous devons y aller, princesse.
— Hum Oui A bientôt mon brave.
— A bientôt, vot majesté. Et encore merci. Dieu vous garde.
Alors quils sortirent de la ruelle et continuèrent leur chemin, ils parlèrent à voix basse :
— Cela ta plu, on dirait, trainée Mon doigt est trempé.
— Oui, maitre, ces mains dégoutantes auraient dû me dégouter Mais cela ma excité !
— Parfait ! Allons trouver un autre mendiant Et cette fois, tu iras plus loin !
— Plus loin ?
— Tu devras faire plus que simplement te faire toucher les nibards, trainée.
Après quelques discutions mielleuses avec des passants, le Génie repéra un autre mendiant, situé dans un coin dune rue passante. Ce devait être un voleur pris la main dans le sac car, à présent il avait justement les deux mains coupées. Un moignon était équipé dun crochet et lautre dune pince qui sactionnait grâce à une ficelle reliée à son avant-bras. Après lui avoir donné une pièce et avoir discuté avec lui, Jasmine demanda, comme la première fois, si rien dautre ne lui ferai plaisir.
Le regard du mendiant pétilla immédiatement et, manifestement, celui-ci avait entendu les rumeurs concernant la princesse.
— Hélas, votre majesté, depuis que lon ma coupé les mains, je suis incapable de me soulager. Vous voyez ? Et la douleur est aujourdhui telle que je songe à en finir ! Si vous pouviez maider
— Pauvre homme, dit alors Jasmine en palpant les bourses du manant. Il est vrai quelles ont lair prêtes à exploser. Venez par là
Jasmine attira lhomme dans un recoin pendant que le Génie cachait légèrement la scène du reste des passants. Elle baissa la pièce de tissus qui servait de pantalon et découvrant un sexe déjà très dur, imposant, mais totalement répugnant. Il puait horriblement, était en partie couvert de croutes et de diverses choses indiquant un manque total dhygiène Jasmine en eut lestomac retourné et manqua de vomir sur le mendiant.
— Non ça je ne pourrais pas, dit-elle alors au mendiant, désolée.
Le Génie se retourna alors et lui dit fermement :
— Faites-le, majesté.
— Non. Je
— Faites-le ou je vous encule ici même et vous oblige à le sucer !
— Mais cest horrible.
— Et ce sera également horrible de le sucer pendant que je vous déchire le cul devant tout Agrabah ! Choisissez !
Jasmine ferma alors les yeux et posa sa main sur le sexe du mendiant qui était apparemment amusé de la petite conversation quil venait dentendre. La princesse obéissait au garde du garde ? Parfait, il allait en profiter !
— Je vous en prie, votre majesté, allez-y Je ny tiens plus !!
Sentant le sexe du Génie faire pression entre ses fesses, Jasmine se décida à entamer un mouvement de va et vient sur le sexe de clochard. Quand elle baissait sa main, elle révélait un gland violet picté de points rouges et dautres taches répugnantes.
— Cest excellent, Princesse. Mais mes testicules, si douloureuses, réclament également votre attention !
De sa main gauche, elle caressa les grosses bourses du mendiant. Elles étaient poisseuses de sueur et de crasse. Mais bizarrement, Jasmine se plut à jouer avec et à faire rouler ses grosses boules entre ses doigts.
Un peu habituée à lodeur mais toujours pas à laspect de la queue, elle décida de saccroupir pour la branler efficacement et faire durer le moins longtemps possible ce moment fort peu agréable. Elle cracha dans sa main et enduit le sexe de base, autant pour le nettoyer que pour le lubrifier et accéléra son mouvement.
Sans sen rendre compte, elle avait lâché les couilles du clodo et se caressait le sexe avec sa main gauche, au travers de son pantalon. Le Génie, tourné dos à la scène pour surveiller la rue, la regardait faire de temps en temps et ne pouvait dissimuler une énorme érection. Jasmine, elle non plus ne pouvait dissimuler son excitation. Elle se masturbait littéralement au travers de la fine étoffe de soie pendant quelle sactivait sur la queue de ce répugnant personnage.
Sous leffet de lexcitation, elle délaissa son propre sexe pour faufiler sa main entre les jambes du Génie qui lui tournait le dos et alla lui masser le sexe. Elle le caressa au travers du pantalon puis commença à le branler de bas en haut. Soudain, elle lâcha le sexe du mendiant, pris le Génie par les hanche et le retourna. Sans lui baisser le pantalon, elle fouilla à lintérieur et en sortit son énorme membre quelle branla aussitôt de la main gauche tandis quelle reprenait son mouvement sur le vieux de la main droite.
Pour la première fois de sa vie, Jasmine soccupait de deux hommes à la fois. Elle branlait deux queues en même temps et cela lexcitait énormément. Dailleurs, elle fut frustrée de ne pas pouvoir se caresser ou se faire caresser. Le génie comprit sa détresse et saccroupit à son tour à ses coté, glissa sa main dans son pantalon de soie bleue et lui stimula furieusement le clito en la faisant gémir de plaisir. Puis il se redressa et réclama la poursuite de la branlette entamée par la princesse.
Comme pour le remercier, Jasmine commença également à le sucer, dabord timidement puis à grosse bouchée. Le mendiant regardant cela avec envie cette pipe qui durait depuis quelques instants, le Génie dit :
— Princesse, je crois que notre ami a également envie de profiter de votre royale bouche Lui ferez-vous cet honneur ?
Jasmine, qui branlait toujours cette affreuse queue, la regarda, lair un peu dégoutée, puis regarda le mendiant, hideux, puis enfin le Génie dun air désemparé.
— Maitre je ne crois pas que.
— Maitre ? sétonna le mendiant. Cest la première fois que jentends une princesse appeler son garde du corps « maitre » !
— Cest son grade, répondit, gênée, Jasmine Il est maitre darme.
— Ha, je comprends répondit le mendiant, avec un sourire. Maitre darme, pouvez-vous demander à la princesse de me sucer ?
— Majesté ? Vous avez entendu ?
— Oui maître Je
Jasmine ferma les yeux en signe dacceptation et se détourna de la queue du Génie pour regarder celle du clochard.
— Prenez votre temps, majesté, dis le Génie, conscient du défi que cela représentait. Je moccupe de vous.
Il saccroupit à son tour à coté de Jasmine, glissa sa main dans son pantalon de soie et caressa son clito, encore gonflé de désir. Alors que la princesse masturbait la queue crouteuse et narrivait pas encore à la sucer, le Génie la caressait de plus en plus vite, lui doigtait la chatte et le cul. Elle mouillait abondement, se trémoussait, tendait le cul vers le Génie qui en profitait pour lui enfoncer deux doigts dans son anus serré mais offert.
Sous le coup de lexcitation, Jasmine donna enfin un premier baiser puis un premier coup de langue sur le gland dégoutant du mendiant. Elle fit une grimace et sarrêta, se contentant de simples caresses. Mais le mendiant, commençant à trouver le temps long et au bord de lorgasme depuis un moment, comptait bien profiter de la bouche de la princesse avant de jouir.
Il posa des deux « mains » mécaniques sur la tête de Jasmine et la força à sapprocher de son sexe quil frotta contre ses lèvres. Elle résista dabord et resta bouche fermée. Mais le Génie la branlait divinement bien, la faisant monter très proche de lorgasme puis, pour la maintenir en état dexcitation, ralentissait pour la faire redescendre un peu Folle de désir et de frustration, elle ouvrit la bouche et avala le sexe du mendiant.
A suivre…