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Maman vire de bord – Chapitre 2




Les séances se succédèrent. À chaque fois nous étions présentes aux mêmes créneaux. Elle avait le même rythme de séances que moi.

Mais jétais un peu déçue, car elle mignorait désormais. Cette belle femme mintriguait. Petit à petit, ce fut moi qui narrêtais pas de la regarder. Elle vit très bien ce nouvel intérêt pour sa personne.

Elle était réellement séduisante, bien plus jeune que moi, plus jeune de quinze ans. Très fine et élancée, tellement mieux foutue que moi. Jen étais un peu jalouse. Une belle blonde aux yeux bleus, le port altier, une silhouette avenante, une belle poitrine moulée par le justaucorps. Elle me troublait vraiment, je dus admettre que javais vraiment envie delle.

Il marrivait même de me toucher en pensant à elle. Je nous imaginais toutes deux nues dans les bras lune de lautre. Je voyais nos corps fougueusement enlacés, nos sexes collés, mes seins sécrasant contre les siens. Je prenais un réel plaisir à cette évocation.

À lissue de nos séances, la plupart de mes coreligionnaires prenaient une douche sur place et se changeaient dans les vestiaires du club. Pour ma part, je rentrais directement à la maison, située à deux pas. Ma trop grande pudeur me retenait de les imiter. Jétais bien trop complexée.

Pourtant une fois lors de lété dernier, jétais seule à la salle de gym. Il faisait une chaleur étouffante. Jétais folle de faire du sport par ce temps là! Au bout de vingt minutes, mon tee-shirt et mon flottant étaient trempés. Javais dhorribles auréoles sous les bras, sous les seins, dans le bas du dos. Il me paraissait difficile de rentrer dans cet état. Comme le vestiaire était pratiquement désert, je pris mon courage à deux mains et décidais, pour une fois de me changer sur place après une douche rapide.

Je me mis nue et me dirigeais vers le local idoine. Je découvris avec horreur, mais un peu tard que les douches étaient communes. Tant pis, jétais seule, je nallais tout de même pas renoncer à une si agréable douche. Jétais en train de régler la température de leau lorsque la belle blonde de mes fantasmes est arrivée. Nos regards se sont croisés, elle ma souri gentiment. Dans ma tête, ce fut une panique absolue! Cette superbe femme était en toute simplicité en train de se dévêtir à quelques mètres de moi tout en me regardant un petit sourire au coin des lèvres. En quelques secondes elle fut nue, totalement nue face à moi! Un corps parfait! Elle évoluait sous mes yeux écarquillés sans aucun complexe. Tout aussi naturellement, elle me rejoignit sous la pomme de douche voisine de la mienne, presque à me toucher. La proximité de ce corps parfait maffolait terriblement. Elle vit mon trouble. Son clair regard planté dans le mien elle me dit dune voix très douce et harmonieuse:

— Vous navez pas à être gênée, vous savez, nous sommes entre femmes.

Je ne sus quoi dire complètement paralysée, un sourire stupide aux lèvres, comme une petite pucelle. Jai envie de fuir, mais mon instinct me dicte une tout autre conduite. Je nose pas trop bouger, paniquée quelle ne remarque les disgrâces de mon corps. Mes seins trop lourds, mes fesses que personnellement je trouve trop molles, sans parler de mes cuisses un peu marquées ça et là de cette horrible cellulite. Pourtant, elle ne semble nullement dégoûtée.

— Vous êtes mignonne, dit-elle avec un réel accent de sincérité.

Même mon mari, aussi loin que je me souvienne navait jamais porté regard aussi expressif sur moi. Elle me détaille sans aucune retenue. Je ne sais plus trop bien où jen suis, je me savonne les seins sans y prendre garde, bien plus que nécessaire, lesprit à la dérive.

Nous sommes toutes deux, nues, ruisselantes, très proches, si proches.

Je me décide moi aussi à la regarder plus en détail, à la sauvette. Nous sommes sensiblement de la même taille, mais je dois sans aucun doute avoir quelques kilos de plus quelle. Elle a porté une de ses mains sur ses beaux seins en poire, les savonnant elle aussi doucement. Ils sont vraiment parfaits, fermes et de belle tenue. Distraitement, en toute simplicité, elle masse les jolies pointes roses érigées au milieu de toutes petites aréoles, à peine plus larges quune pièce dun euro. Quelle différence avec les miennes, trop larges, trop sombres, trop irrégulières. Ma trop forte poitrine ne supporte décidément pas la comparaison. Je me console un peu en pensant à notre différence dâge. Peut-être aussi na-t-elle pas encore eu denfants.

Son ventre absolument plat sans aucune surcharge est souligné plus bas entre ses cuisses par une toute petite bande de poils très clairs, à peine visibles, comme un point dexclamation pileux. Son nombril parfaitement dessiné est orné dun petit bijou, tout mignon. Contrairement à moi, elle est dotée de jambes absolument parfaites.

Je me souviens soudain que je ne me suis pas épilée depuis trop longtemps. Comme je suis très brune, ma chatte est couverte dun buisson noir fort mal entretenu. Jen ai comme une nouvelle petite bouffée de honte.

Mais ma voisine de douche ne semble pas en faire cas. Sans se départir de son petit sourire gracieux, elle me détaille elle aussi. Je suis de plus en plus mal à laise, dautant quelle ne parle toujours pas. Elle en est maintenant à se pincer les pointes des seins, je nen crois pas mes yeux! Quelle dévergondée! Toutes les images cochonnes dInternet me reviennent à lesprit. Une douce chaleur menvahit qui ne doit rien à celle de la douche. Mes pulsions un temps annihilées par ma honte remontent lentement.

Elle quitte sa pomme de douche, sapproche de moi, tout près, à me frôler. Sa main continue de caresser ses seins aux pointes tendues. Elle me sourit, ses beaux yeux bleus me fascinent.

— Je peux?

— Pardon?

— Excusez mon audace madame, jai très envie de vous savonner la poitrine

— Euh

— Je peux?

— oui répondis-je dune toute petite voix pratiquement inaudible à cause du bruit de la douche.

— Merci.

Sans la moindre hésitation, cette femme pratiquement inconnue porte sa main couverte de savon sur mes seins qui nen peuvent plus de lattendre. Cest la première fois quune main de femme me touche la poitrine. Je sens mes jambes faiblir Vont-elles se dérober? Jaspire une grande goulée dair chaud et humide. La douce main effleure mes seins, insiste coquinement sur mes tétons. Ils nont sans doute jamais été aussi tendus je la laisse me caresser. Elle semble y prendre du plaisir. De mon côté, jadore que cette gamine me tripote. Je suis un peu gênée, mais cest si agréable.

— Ils sont si gros De vrais seins de femme! Les miens sont ridicules en comparaison!

— Non, non, je les trouve très mignons. Bien plus que les miens.

— Vous avez des enfants?

— Oui, quatre.

— Vous les allaitez?

— Je les ai allaités tous les quatre, mais maintenant ils sont trop grands.

— Cest magnifique!

— Vous trouvez?

— Oui. Avoir allaité quatre bébés et conserver une aussi belle poitrine, si naturelle, je trouve cela très beau.

— Moi je ne les trouve moches, en plus ils sont trop lourds.

— Ne dites pas de bêtise. Cest très émouvant. Je ne vous aurais jamais imaginé avec des enfants adolescents. Vous ne faites pas votre âge!

— Merci.

— Ne me remerciez pas madame. Ce devrait être moi. Je vous trouve si belle, si comment dire Si excitante!

Je suis totalement subjuguée par ce quelle me dit, paralysée par ses caresses sur mes seins qui nont pas cessé. Elle passe sa main dessous, les soulève tour à tour puis les laisse doucement retomber sous leur propre poids.

Je la laisse faire, je ne demande que ça.

— Comment vous appelez-vous?

— Cécile, et vous?

— Geneviève.

— Vous êtes très belle Geneviève, si jeune semble-t-il. Je vous avais déjà repérée, vous savez!

— Je sais.

— Quel âge avez-vous?

— Vingt-quatre ans.

— Cest lâge de ma fille aînée!!!

— Et vous?

— Quarante-six.

— Cest incroyable. Vous êtes absolument adorable.

— Je ne suis pas parfaite physiquement.

— Bien au contraire, je vous trouve très belle. Vous avez lâge quaurait eu ma mère sans ce stupide accident. Cà me trouble profondément.

De peur de rompre le charme, je me garde bien de lui demander des détails sur cette mort accidentelle. Elle presse soudain plus fermement mon sein droit et à ma grande surprise demande:

— Je peux le embrasser?

Je suis totalement estomaquée par sa demande, je parviens cependant à bredouiller:

— Euh Je ne sais pas si cest convenable, quelquun pourrait venir!

— Tant pis madame. Jen ai trop envie, jarrêterai si nous sommes dérangées.

Sans attendre ma réponse, elle porte mon sein à sa bouche, pose ses fines lèvres sur mon téton. Ses dents mordillent, elle aspire la pointe raide de bonheur, marrachant une petite plainte à peine audible. Cest absolument divin, mortel de plaisir. Je vais mévanouir de bonheur sur le dallage mouillé.

Je suis de plus en plus humide. Rapidement, sans demander la permission cette fois, ses mains glissent sur mon ventre, sa bouche cherche la mienne, sans la trouver. Je me dérobe un peu, mais sans réelle énergie. Ses doigts descendent encore, fourragent ma toison, glissent le long de ma fente ruisselante deau et de plaisir. Ils forcent sans aucune peine mon intimité, écartent mes chairs, sensation divine dune exquise douceur! Son majeur inquisiteur me fouille maintenant sans aucune retenue. Je lui facilite le passage, ouverte à la visite. Je vis sous cette pluie chaude des moments dune intensité inoubliable. Mon esprit chavire. Je suis à sa merci. Sans vraiment en prendre conscience, elle a gagné la partie. Elle pourrait me faire subir les pires humiliations. Je ne réagis plus, je me laisse explorer, vaincue et heureuse, je lui appartiens.

à suivre

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