Pieds nus elle glisse à la cuisine et revient sur le palier. Al la traîne de nouveau sur le canapé du salon.

-Assieds-toi, écarte et déguste.

-Je nentends plus rien pendant quelques minutes. Soudain un cri longuement retenu échappe à Marie. Puis elle se met à chanter sa jouissance en trilles stridentes, en plaintes essoufflées, comme des appels de souffrance étouffés.

-Al, arrête, cest trop fort. Hii. Stop, je nen peux plus. Arrêê^ête. Noooon, Al-

-Quoi, ça ne te plaît pas, cest pas fameux?

-Si mais cest trop fort, cest trop long, ça use les nerfs. Non, arrête de sucer et nappuie pas aussi fort avec ta langue. Tu mirrites le clito. Nooon! Oh , non, oui, doucement. Noooooon!!Arrête.

-Tu ouvriras ta porte lundi?

-Non.

-Ah! Bon. Tiens, gueule si tu veux.

Et la succession de gémissements reprend de plus belle, avec des éclats désespérés, des oui et des non confus. Oui pour quoi, non pour continuer? La succion use la résistance et la plainte lancinante me révolte. Il va la tuer avec sa bouche. Mord-il, mâche-t-il? La caresse doit être brutale au-delà de la jouissance.

-Alors, on remet ça? Tu ouvriras lundi?

-Oui, mais arrête.

Maintenant elle obéit. Elle est retournée, soumise à Al. En intervenant je pourrais la choquer et la voir sappuyer sur le maître actuel de ses sens.

-Tiens regarde par la fenêtre, il ny a personne dans la rue pour te sauver. Ta bière est bien fraîche. Est-ce que tu as soif ? Viens boire à la source..

Ils quittent le salon

-Avant tout, vois le contenu de ma boîte à outils. Ca tu connais déjà, des gods de différentes dimensions, lisses ou avec rainures ou picots. Regarde celui-ci est double, le gros bout entre devant et lautre où tu penses: tu y goûteras, celui-là est articulé et visite toutes les parois. Ce plug est moins épais que cet autre, il permettent un élargissement progressif de la rose. Ce soir je te laisserai le moins large. Si tu ne le portes pas assez le gros te blessera lundi. Ca ce sont des menottes pour les sujets récalcitrants. Ca servira à attacher ton cocu aux barres du pied de lit pour quil assiste au spectacle sans nous gêner. Et le clou de lexposition, deux cages à oiseau pour calibres différent. Toi et moi enfermerons le zizi de Pascal: une fois enfermé, cadenas bouclé, il ne pourra plus te baiser, il ne pourra plus bander faute de place. Ce soir je garderai la clé. Sil veut être délivré lundi, il faudra quil rentre sagement à lheure du boulot. Et si tu nouvres pas la porte, il restera en cage! Par la suite tu lenfermeras aussi souvent et aussi longtemps que tu voudras. Quand il sera dressé il acceptera volontiers tes ordres.

Jentends grincer les ressorts du sommier, cest quil prend possession de mon lit. Marie ne proteste pas

Ce doit être un rite institué. Elle nen a rien dit. Elle a continué à reposer à côté de moi sans vergogne.

Alors la fessée

Dehors on marche dans lallée du jardin. Rapidement je tourne la clé, entrouvre la porte et retourne derrière la porte de mon bureau. Voilà un visiteur qui arrive à point.

-Mais quest-ce que tu attends. Tu as soif, viens me sucer la bite et si tu ty prends bien tu réussiras à me pomper mon jus. Révision de la leçon intitulée la pipe. Mets-toi a quatre pattes, un peu de côté, je pourrai voir pendre tes nichons de bonne nourrice, les pincer si tu ne tappliques pas.

3/10 On sonne. Personne ne répond, cest devenu une habitude. Mais le visiteur pousse la porte et

appelle:

-Il y a quelquun ? Madame, jai une livraison pour vous. Hallo.

Il attend. En haut on bouge.

-Oh! Des fleurs, un instant, je viens.

Elle a pris le temps de se couvrir, descend, remercie. Le livreur sen va. A-t-il remarqué le visage bouleversé par la volupté? Elle referme la porte à clé, lit la carte où je lui déclare ma flamme: elle pourrait tenter de fuir. Elle pourrait traverser la rue et se réfugier chez des voisins. Hélas, elle ne paraît même pas y penser et remonte machinalement .

-Quest-ce que cest? Des fleurs: de qui, de ton cocu? Pose ça à la cuisine, jette ce bouquet dans la poubelle et reviens. Des fleurs, il ferait mieux de te limer correctement.

-Al, arrêtons, tu vois que mon mari maime. Ca suffit, lève-toi et pars.

-Tu te fous de moi? Jai pas frappé assez fort, tu veux que je recommence? Allez vite reprends ta place.

Oui, tu vois quen tendant le bras je peux aussi te tripoter la cramouille. Ben la fessée ta liquéfiée, tu es trempée là dedans! Nom de Dieu, il y a longtemps que jaurais dû y penser. Hum, cest bon roan ..; que tes bonne ça manque de salive, crache un coup sur mon zob. Houa, oui, lèche bien le sac, recommence depuis la racine jusquen haut de la têteoang ue va, encore, embouche la pointe, taquine le nud avec le bout de la langue, enroule tes lèvres autour du nud, vroum, ma salope oh putain, je ne te reconnais plus, tu as travaillé cette semaines, rrrre, félicitations, bveee.. Descends, doucement, fais un anneau avec les lèvres ,breevoua, plus vite maintenant, oui bouge tes mains, plus vite, plus profond.

-Attention tu métouffes.

— Merveilleux, cette fois tu en avales plus, je chatouille le fond de ta gorge, cest comme dans gorges profondes, un film vieux cochon . Ne tétouffe pas quand même, respire une minute et tu reprendras la turlutte, et tu avaleras ton biberon, ma grosse vache damour.

Une claque magistrale la récompense. Le membre turgescent enfoui dans sa bouche étouffe sa protestation une deuxième claque rétablit léquilibre.

-Il faut que jentretienne la chaleur et la couleur de ton cul. Plus ton sang circulera vite, plus tu auras de plaisir. Mais, parole de Al, ton avenir est dans la pipe!

Pendant quils sont occupés, elle à oublier le reste du monde en succions, lui à céder au double plaisir dêtre sucé et dentretenir la flamme, couteau à viande en main droite, fils de fer en main gauche, tubes de colle plein les poches avec un rouleau de scotch large, sur mes chaussettes, à pas de velours je suis parvenu en haut de lescalier, tout près de la porte ouverte de ce qui fut ma chambre. Jai posé les fils de fer rouillés sur la rampe, tassé les petits tubes.

-Dernier round ,vas-y.. Ouiiii, cest bon, essaie à fond, je te pince le nez, enfonce encore, vrille la tête . Ah, jai senti tes lèvre sur mes poils. Crache sur ma bite, ça glissera mieux et quand tu touches le fond, essaie de rester un peu collée à mon pubis le plus longtemps possible, hop, monte et descends progressivement encore, encore.

Je me baisse et risque un il, au plus près, la lune écarlate, fendue en deux de Marie domine le paysage et tressaille au dessus des doigts épais qui pianotent sur sa vulve entrouverte, les fesses rouges montent et descendent au gré des doigts qui remuent, senfoncent, chatouillent ou grattouillent. Quand le ventre sécrase sur la sollicitation manuelle, japerçois le mouvement vertical des cheveux noirs qui accompagne les allers retours de la bouche le long de la tige gonflée de sang. La tête se déplace en biais, elle doit glisser les lèvres à lextérieur le long du bâton gardien des vierges. A genoux, en adoration devant le dispensateur de tous les plaisirs, buccaux, vaginaux et anaux, Marie est infatigable: lélève récite sa leçon, le maître commente, encourage de la voix, grogne. De lui, je naperçois que les sursauts de ses jambes de gorille poilu ou la main qui flatte la vulve ou enfonce ses doigts dans le vagin frémissant.

— Stop, on arrête.

-Mais

Voilà, elle est en pleine action et proteste si on larrête, cest un comble: elle qui nen voulait pas, désormais en réclame.

-Mais quoi, tu crois quand même pas que je vais me laisser aussi vite te partir dans la gueule. Un liquide comme celui-là ça se mérite. Ta chatte est trempée, tu vas venir tenferrer sur ma bite et faire « hue coco » comme une grande. Tu te tournes vers moi, tu te mets à quatre pattes au-dessus de ma hampe, tu baisses ton bassin, pas trop, tu effleures ma pine et je vais monter en toi. Lààà. On recommence, baisse un peu plus. Rrhahahaa â ce que tu es chaude, paillasse, ô putain que tu es bonne, grosse dégueulasse. Je crois que tu feras autant de fric avec ça quavec tes pipes. Tu vas devenir riche salope. Au trot, au trot, au galop, au galop fonce, galope devant, pousse, colle ton ventre contre le mien, roule

3/11 davant en arrière. Te voilà bien emmanchée. Hé! Narrache pas tout, tu es déchaînée. Calme-toi un peu et penche-toi pour membrasser

Le dos se courbe, elle sallonge sur lui, toujours crochetée par le bas en un mouvement ralenti. Lunion des sexes mavait moins ébranlé que ce long baiser bouche à bouche qui les unit maintenant. Elle avait abandonné son corps sollicité par la fessée et le cunnilingus acharné, là elle vide son âme dans la bouche du succube. Ca me paraît être le don total, la trahison absolue. Les bouches restent collées pendant que le dos ondule pour frotter intensément la vulve sur le membre dressé. Elle se redresse enfin, pour accorder la pointe de son sein droit à la bouche gourmande: il tête le lait de la mère, elle ne proteste pas comme si elle oubliait sa fille. De la main gauche Al triture lautre sein et Marie glousse: cest insensé.

Je nai pas besoin de me gêner pour regarder lascension et la chute des fesses rouges de la cavalière ou les ruades de fesses furieuses de la monture. Marie sessouffle, râle, gémit, geint de plus belle. Al cramponne ses hanches et les abat vigoureusement sur sa panse, sa queue sort doucement pour senfoncer violemment dans la fente béante, suintante, qui épouse les mouvements de lhomme en décrivant des demi cercles verticaux. Une couronne laiteuse dessine lentrée de lorifice et se répand en coulées sur le pourtour du tisonnier. Cest une danse de plus en plus folle qui arrache des feulements de plus en plus rauques aux acteurs à la respiration saccadée.

Parfois Marie sécrase longuement sur la queue enfouie en elle. Le manège est interminable. Quand elle sélève je vois lourlet du vagin qui senroule autour de la baguette magique qui commande la manuvre, cette peau intérieure qui se retourne en épousant le bâton qui la travaille puis rentre quand le mouvement va vers le bas. La cavalcade semballe. Oubliés les serments de fidélité, elle brûle, elle vacille et sabat sur lorgasme qui lui dévore les entrailles. Tout son corps tressaille sous les frissons. Satanique, Al rit à gorge déployée.

-Tu vois, petite conne, ce que tu as failli rater. Quest-ce que tu en dis? Cétait pas fameux? Et cest pas fini. Ton Al te manquerait. Maintenant, sans quitter ma quille tu vas effectuer un demi-tour, regarder larmoire et recommencer la chevauchée fantastique; cest ma position préférée avec la femme au-dessus de lhomme. Et tu verras bientôt que je ne suis pas le seul à apprécier. Tu commences bien droite, jempoigne tes nichons. Tu montes et tu descends sur mon manche. Tu es bien ouverte, ça va aller et venir comme une bielle bien huilée. Quand je lâcherai tes tétons tu plieras lentement ton corps, toujours au trot, vers mes pieds jusquà sucer mes orteils et alors, plein gaz, tu lèveras et baisseras ton cul, tu taperas ta quetsche le plus fort et le plus vite possible sur mes couilles. Tu vas voir, cest sensationnel.

Cest un vrai reportage radio. Il annonce, promet, réalise et commente. Jai dû reculer hors du champ de vision de mon épouse affairée, mais je sais tout ce quils font et jentends le bruit humide du vagin qui coulisse au trot en clapotant. Là cest le piston qui sébroue et lance un assaut enragé de coups précipités. En quatre séances ils ont appris à accorder leurs violons, ça fait une musique denfer.

-Baisse, lève, descends, monte. Tes tétons sont durs comme de la pierre et ton lait coule sur mes doigts. Allez va, accélère, je sens les contractions de ton vagin autour de mon pieu; tes bonne, mais quest-ce que tes bonne. Dis, cest bon pour toi ? Réponds.

-Oh! Oui ,cest bon, Al.

— Comment tu dois dire ? Une claque dans le bas du dos agité lui rappelle les règles.

-Oui , Al Chéri.

-Tu ten souviendras. Encore, dis.

— Al mon amour. Ooooh

— Quand tu veux, ça va tout seul. Je te pardonnemaintenant vas-y, lâche les chevaux, mes orteils, lève plus haut, plus vite, claque plus fort. Zut: tu vas me le casser! Allez replace moi dans ton four. Rrran, erg brou, je viens, ça part, tu as senti la giclée oh! tourne -toi et avale.

Au moment où elle se relève je vois le visage de Marie, les yeux clos sur son plaisir. La face ruisselante de sueur, cheveux collés au front, est aussi rouge que ses fesses. Elle se jette sur le sexe dégorgeant des volutes blanchâtres et lavale comme une assoiffée et lautre rugit sa jouissance, les mains en appui sur la tête soumise. Je suis en léger retrait. Al ne peut pas me voir, moi je distingue entre les fesses de ma chère et tendre épouse un filet blanc qui sétire en direction du couvre-lit.

Je suis venu et jai vu. Je suis cocu, je suis cocu: il ny a plus rien à prouver. Jai bu le calice jusquà la lie. Mais je ne comprends pas le revirement si total de Marie. Elle a affirmé que cétait moi son amour et là ,sous mes yeux elle ne lèche pas les bottes de Al, elle lui lèche les orteils, les couilles, la bite et en remontant, le ventre, les tétons et sempare de sa bouche avec fureur, sans doute en guise de remerciements. Lui séclate, sa victoire est totale. Ses deux mains plaquent la tête sur sa bouche. Ils nen finissent plus. Cest diabolique, jen ai pour mon argent, ma curiosité est comblée au-delà de toute espérance. Pourquoi ai-je attendu si longtemps, comment puis-je supporter ce supplice? Et dire que je

bande!

3/12 -Je te lavais dit, une bonne raclée et une bonne baise, rien de meilleur pour remettre les compteurs à zéro et les idées en place. Toi, tu métonneras toujours, tu démarres au quart de tour comme une MERCEDES et quand tu es lancée impossible de tarrêter. Ton régulateur se bloque et tu fonces. Dans ce métier il faudra apprendre à te contrôler si tu veux vivre vieille.

-Mais je ne veux pas faire la pute.

-On verra. Tu perdras tes préjugés si tu goûtes au plaisir et au fric! Mets ta tête sur mon épaule et regarde-moi dans les yeux.

Dans le miroir au-dessus de la commode, japerçois les deux corps tournés lun vers lautre . Je jette un il. Al est de dos, Marie lui caresse la tempe ou essuie sa sueur. Elle passe sa cuisse et sa jambe sur celle dAl, pour se sentir plus proche. Ils se regardent et se taisent, en période de récupération de leur souffle, haleine contre haleine, seins contre poitrine, ventre à ventre, partageant leur chaleur. Ils ont tout partagé, salives, sperme, frissons, sueur et maintenant il apprivoise son regard, fouille son cur au plus profond

-Alors, heureuse?

— Oui, mon amour, heureuse comme jamais.

Véritable camouflet pour moi. Ca mapprendra à être aussi sûr de moi, à manifester trop de pudeur parfois, à vouloir être délicat. Plus Al la bouscule plus elle se dit heureuse et plus elle doit lêtre actuellement.

-Cest bien vrai ça? Tu as aimé. Tu maimes?

-Oui mon amour.

-Dis: je taime, mon amour.

-Je taime mon amour.

-Dis: Je taime, Al, mon amour, plus que ce con de Pascal.

Sans hésitation, elle répète mot à mot, comme une somnambule. Ce nest pas possible, il la hypnotisée.

-Dis : je veux que tu lui casses la gueule quand il va rentrer.

-Euh! Tu crois?

-Ben quoi tu maimes ou tu ne maimes pas? Si tu maimes, dis : je veux que

— Je veux que tu lui casses la gueule quand il va rentrer.

-Al, je naime que toi et je ferai toujours tout ce que tu voudras, mon seul amour.

Et elle débite ces horreurs. Lui entretient léchauffement de lesprit en caressant lentrejambe rougi par lafflux de sang, en embrassant le nez ou en gobant la langue de Marie qui sébroue contre lui comme une chatte en chaleur.

-Dis: je le jure.

Elle jure

-Jessaierai lamour avec deux hommes.

— Jessaierai lamour avec deux hommes.

-Je ne t ennuierai plus avec des histoires de divorce.

La litanie sallonge:

-Je tobéirai toujours, même si on reste à la colle.

-Je tobéirai toujours, même si on reste à la colle.

-Je vais reprendre mon régime,

– Je vais cesser dallaiter. Mon lait est pour toi.

Rien ne létonne, rien ne la scandalise. La profession de foi continue. Al jouit et en rajoute

Dis: Mon cocu sera notre esclave Il ne me baisera plus jamais.

Rien ne la retient et elle jure sans quil lait réclamé:

-Mon cocu sera ton esclave. Il ne me baisera plus jamais, je le jure!

-Tu lattacheras au pied du lit, il nous regardera faire lamour, il mettra ta bite en moi et il me nettoiera le con et le cul, puis il te sucera la queue.

Avant de répéter elle éclate de rire et embrasse la bouche qui vient de lui faire prêter serment. La drôlerie de cette humiliation la fait rire; je ne suis plus rien pour elle, juste un esclave ridicule.

-AL tu lui mettras loiseau en cage pour quil ne puisse plus me baiser.

Le même rire joyeux devance la répétition

-Al je taime, je tappartiens pour toujours, fais de moi ce que tu veux.

-fais de moi ce que tu veux.

-Al je ten supplie reviens lundi

-Al je ten supplie reviens lundi.

Il obtient vraiment tout ce quil veut.

-Al, je ne dirai pas à Pascal que tu es venu.

3/13

Cest grotesque, décousu, mais elle répète et jure.

-Alors, Marie tu vas maider à lattraper et à le lier. Tu ne protesteras pas? Après tu me laisseras seul avec lui pour que je lui apprenne à rester à sa place de cocu? Tu ne seras pas obligée de voir comment je le dresserai. Mais, si tu y tiens, pourquoi pas !

— Je ferai tout ce que tu veux, mon amour.

-Je donnerai du bonheur à tes copains

-Je donnerai du bonheur à tes copains

-Je travaillerai dur pour nous gagner plein dargent

-Tu seras mon seul amour, les autres paieront

-Al je taime, Al baise moi encore , ah! Ohencore!

Il sinterrompt pour appuyer ses caresses basses et lenivrer dun interminable échange de salive dans un âpre duel de langues, jusquau hoquet de létouffement.

-Qui sera le maître dans cette maison? Donc, quand Pascal reviendra du travail, tu lattireras au lit. Tu le recevras nue et tu te coucheras sur lui, comme nous venons de le faire, à cheval sur lui. Tu le feras entrer en toi et tu commenceras à lui faire lamour et tu lembrasseras sur la bouche.

-Tu es sûr; tu veux que je lui fasse lamour? Cest toi qui me le demandes ? Je croyais quil naurait plus le droit de me toucher comme ça? Enfin si tu le veux.

Est-ce que je la dégoûte à ce point déjà. Ca fait une semaine quelle me prouvait le contraire! Depuis huit jours elle était redevenue demandeuse. Était-ce pour endormir ma vigilance? Pour préparer tranquillement cette reddition daujourdhui. Jen crève.

-Ne ten fais pas, ce sera sa dernière fois et il le regrettera. Avec ta tête, ton corps, tu lui cacheras la porte de la chambre, afin quil ne me voie pas arriver. Et pendant quil sera occupé sous toi je lui tomberai dessus. Si à ce moment tu le maintiens sous toi, je naurai pas besoin de lui faire trop mal pour le ligoter. Tu ne veux pas que je lui fasse mal?

-Ben non! Cest quand même mon mari.

– Quand il sonnera, jirai dans la chambre du fond et quand il sera en place dans ta jolie connasse, tu diras tout fort:« Mon Amour »et tu le serreras dans tes bras. Il croira que cest pour lui, mais ce sera le signal qui me fera intervenir. Il nest pas beau mon plan ?

-Formidable, on réussira à le neutraliser sans lui faire mal. Daccord; jai bien compris!

-Tu maimes comme je taime. Redis-le moi.

-Tu es mon amour pour toujours. Je tadore, tu es mon dieu damour.

Encore une fois elle en remet une couche. Pour autant que je me souvienne je nai jamais déclenché un tel enthousiasme. Cest vraiment bizarre. Al en profite pour assurer ses arrières:

-Tu sais que la police ne me permet pas de séjourner ici, à proximité de toi. Est-ce que tu veux que je puisse demeurer dans cette maison, ty aimer librement, élever tes enfants comme si cétait les miens ?

-Tu veux bien, Al? Cest merveilleux, je nosais pas te le demander. Merci, mon amour. Oui tu élèveras mes enfants.

Al est forcé de la maintenir en place, elle était sur le point de remonter à cheval. Donc pendant une semaine elle ma fait un film: maintenant je sais pourquoi elle tenait à des explications avec Al, pourquoi elle lui a laissé la possibilité de forcer la porte. Si chacune des trois premières séances a été aussi intense, jai de la chance dêtre encore vivant et libre. Le coach a suivi un programme progressif, heureusement, mais il touche au but.

-Patience ma petite femme chérie, je vais te donner encore plein de bonheur. Mais si tu veux que ça puisse se faire et que ça dure toute ta vie; il faut que tu maides. Tu le veux?

-Mais je viens de te promettre que je ferai tout ce que tu voudras. Comment puis-je taider?

   Donc, elle est bien éveillée, pleinement consciente de tous les engagements quelle prend, Judas sur le point de livrer son maître. Je revois mon propre plan à la hausse. Quelle prenne un amant, à la limite la chose est si commune de nos jours, mais quelle me livre à lui pour quil me réduise en esclavage, ça mérite une réaction sans pitié. Je veux oublier tout ce que javais retenu en sa faveur entre 14 et 15 heures. Et pire que tout, elle est prête à confier la garde de nos enfants à ce maudit suborneur, à ce maquereau de village qui annonce quil la livrera à la prostitution. Marie tu vas payer.

La similitude de nos projets correspond sans doute au fait que nous devons agir dans un espace restreint et en un temps très court. Mon avantage, cest que je naurai pas à sonner et que jai un moyen de dissuasion qui rétablit léquilibre des forces. Dans la chambre Al continue à instruire Marie: elle sera putain et parjure volontaire.

-Cest tout simple; réfléchis, fais vite, je crois que ma queue commence à relever la tête pour tenvoyer en lair ? Prends la en main, sens comme elle durcit entre tes doigts fiévreux.

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