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mon neveu est monté comme un poney et ma femme adore – Chapitre 1




Mon neveu est monté comme un poney et ma fois, ça n’a pas l’air d’effrayer ma femme.

Nous sommes en plein été, ce mois d’août est caniculaire.

Je me présente, je m’appelle Christophe, je suis le benjamin d’une famille de 5 enfants. Je suis marié à Martine, nous avons tous les deux 27 ans et sommes assez libres de murs.

Nous venons d’allez chercher le fils de mon frère aîné à l’hôpital, Ses parents étant absents ils nous ont demandé de l’accueillir jusqu’à leur retour.

Il vient d’avoir un accident de moto et s’est cassé les deux poignets et une cheville, on a du lui plâtrer les deux avant-bras jusqu’aux doigts et une jambe jusqu’au genou.

Il essaie de se débrouiller comme il peut mais a souvent besoin d’aide.

Comme il peut difficilement se déplacer, il passe le plus clair de son temps dans sa chambre ou sur le divan en petite tenue, nous l’aidons au mieux et Martine est au petit soin pour lui, il a beau avoir 18 ans, elle le couve comme un bébé, l’aidant à s’habiller et faire sa toilette.

Récit de Martine.

Xavier a essayé de faire sa toilette mais a vite réalisé qu’il ne pourrait le faire seul et il n’a plus d’aides soignantes pour s’en charger.

La première fois que je l’aide à prendre une douche, nous sommes un peu gênés tous les deux. Il ne porte qu’un slip et je le savonne des pieds à la tête avant de le rincer sous la douche après avoir protégé ses plâtres de l’eau.

Je remarque qu’il est devenu un beau jeune homme bien proportionné.

Sous les jets de la douche, le slip dévoile ses trésors cachés et je découvre admirative qu’il est bien doté par la nature.

Ne voulant pas le mettre mal a l’aise, je fais semblant de ne pas m’en apercevoir.

Je le sèche avec une serviette et me mettant derrière lui, je lui retire son slip mouillé avant de l’aider à passer un short.

Quelques jours plus tard, je me dirige vers la chambre de Xavier pour voir s’il n’a pas besoin de moi.

Je frappe à la porte et chuchote.

-Xavier, tu es là ? Je peux entrer ?

Il ne répond pas, je décide d’entrer quand même.

Je ne le vois pas, soudain je l’entends me dire.

— Je suis aux toilettes, excuse-moi.

-Je croyais que tu dormais encore Ca va ?

— Euh oui. Merci, C’est juste un peu plus difficile avec mes plâtres.

— Tu en as encore pour longtemps ?

— Non, non, je me débrouille.

— Ah ok ? Tu as besoin d’aide ?

-Non, non, c’est bon mais tu peux sortir un moment de la chambre ?

— Tu veux que je m’en aille ?

— Non, mais je suis à poil, c’était plus facile pour moi.

Je quitte la pièce à sa demande attendant qu’il me demande de revenir.

N’entendant plus rien, il se décide à regagner sa chambre.

En sortant, il se précipite vers son lit mais se prend les pieds dans le tapis et s’étale avec grand fracas par terre.

 Entendant le bruit je rentre affolée dans la pièce, il se retourne vivement sur le ventre affolé, en me montrant ses fesses tout honteux.

Je me précipite pour l’aider à se relever mais Xavier, pudique, ne veut pas que je l’aide.

Je me colle à lui pour essayer de le soulever, appuie ma poitrine sur son dos et essaie de passer mes bras sous lui pour le redresser mais il ne m’aide pas. Il a un beau bleu en haut de la cuisse à la base de ses fesses bien musclées.

Pendant un moment je m’égare et ma main caresse ses reins et finissent sur son petit cul.

-Allez, ne fais pas l’enfant, retourne-toi et aide-moi à te relever !

Il se retourne enfin et là je suis complètement scotchée, ce que je vois est encore plus impressionnant que ce que j’avais estimé, dissimulé par le tissu de son slip.

Xavier, le petit neveu est devenu un vrai homme doté d’attributs virils conséquents.

Même comme ça au repos, sa verge est plus imposante que celle de mon mari en érection. Je n’ai jamais vu ça !

Il passe ses bras autour de mes épaules et se colle contre ma poitrine, enlacés, nous devons nous y reprendre trois fois avant que je n’arrive à le soulever pour le déposer sur le lit. Les deux premières fois, il m’entraine par son poids de nouveau au sol et je m’étale sur son corps dénudé.

Quand nous nous désaccouplons, je remarque effarée que je lui ai fait de l’effet, son tuyau flasque de tout à l’heure a pris de l’ampleur, il pulse au milieu de son ventre et n’arrête plus de grandir.

Ses yeux affolés se sont fixés dans les miens. Mon esprit disjoncte, je ne pense plus qu’a cette excroissance qui barre son ventre à quelques centimètres de moi.

Je devrais me retourner et sortir de sa chambre, mais devant la vision de ce membre hors du commun je ne suis plus qu’une femelle attirée par un beau reproducteur.

Comme un automate, ma main s’avance, non pas que j’aie envie de sexe, rien à voir, c’est autre chose, c’est bête mais la curiosité l’emporte.

Mes doigts s’enroulent autour de la hampe lourde, la soupèse et commence à la caresser.

Quelle vision étrange, ma main saisissant ce long membre disproportionné, cette verge se gorgeant de sang sous mes caresses qui gonfle et s’allonge encore, se dressant lentement mais fièrement.

Je rêve ! Son sexe semble avoir doublé de taille, mes doigts sont repoussés et ne peuvent plus en faire le tour. Le plus impressionnant, c’est ce gland énorme à peine découvert, on dirait le chapeau d’un gros champignon qui coiffe un pied du même acabit.

Je retire ma main, effrayée par mon audace.

Son érection est telle maintenant que son gland émerge du prépuce et vient cacher son nombril, il rampe sur son corps atteignant une taille et une épaisseur impressionnantes.

Une vraie matraque !

Xavier terrorisé essaie désespérément de cacher cette érection phénoménale de ses deux mains mais il ne dissimule pas grand-chose vu la taille de ce pal, au minimum 25 cm !

— Tu as un sacré engin…il est énorme!!!

Xavier ne sait plus ou se mettre. D’énormes veines pulsent en cadence du sang sur toute la longueur de sa verge. Je ne peux quitter des yeux la grosse tête bulbeuse de cette queue massive qui se tient devant mes yeux.

— Mon dieu! Elle est d’une épaisseur incroyable. Tu as une queue magnifique!

Au diable les préjugés ! Je prends ses mains et les retirent doucement se son mat érigé, me mets à genoux et m’installe pour admirer de près ce colosse sagement couché sur son ventre.

Je ne peux retenir ma main, qui tel un serpent guettant sa proie, s’approche de sa virilité brandie et j’entoure de mes doigts cette monstrueuse colonne de chair.

Il laisse échapper un gémissement au contact de mes doigts entourant sa majestueuse trique. Je fais courir ma main sur toute la longueur de cet incroyable chibre.

Je suis tellement obnubilée par cette vision que je ne sais plus ce que je raconte.

-Tu veux que je te soulage mon petit poney, tu dois souffrir de ne rien pouvoir faire avec tes plâtres ?

Sans le vouloir, ma main animée d’une vie propre, est en train de le branler, sentant ses veines palpiter à travers mes doigts.

Mon autre main c’est saisit de ses couilles, elles sont du même calibre que sa queue, énormes et gonflées d’une laitance prometteuse.

Il me regarde complètement paniqué mais aucun son ne sort de sa bouche.

Qui ne dit rien consent, je continue donc à le branler doucement, il gémit sous la caresse.

Soudain un semblant de moral refait surface et je retire mes mains, réalisant que c’est le neveu de mon mari que je branle !

— Continue ma tante… C’est trop bon!

Complètement subjuguée par la taille de son manche dans ma main. Je me lance et lui murmure d’une voix douce.

-Tu es drôlement bien membré. Je ne savais pas qu’il y avait sous mon toit un tel étalon… Tu veux que je continue?

-Oh oui je t’en supplie, ne t’arrêtes pas.

Je fais glisser son long prépuce avec deux doigts libérant totalement un gland turgescent qui brille d’un beau rouge carmin. Ma main paraît minuscule sur un tel gourdin.

Je branle son beau pénis pendant près de dix minutes. Il est d’une dureté ferrugineuse.

Je lui explique.

-Je n’utilise que mes mains, tu risquerais de me défoncer la mâchoire avec ton truc.

Mais je ne peux résister longtemps à ce beau sucre d’orge.

Je lèche son membre interminable, comme pour le nettoyer sur toute la longueur en partant de ses couilles velues.

-Ta verge a bon goût, légèrement salée, je vais quand même tenter de goûter ton champignon. Tu permets ?

Il ne dit toujours rien, mais ses yeux parlent pour lui.

Je l’engloutis difficilement dans ma bouche essayant d’en absorber un maximum, pleine de bonne volonté, et le suce doucement, montant et descendant le long de son mât.

Arrivée au gland, je replonge le plus loin possible sur cette queue de ouf, je dois m’y reprendre plusieurs fois et j’arrive à avaler au moins vingt centimètres dans ma bouche, mais là, il est au fond de ma gorge et il y a encore un bon bout en dehors.

Il ne peut se retenir sous ma « gorge profonde », et en quelques instants il se vide au fond de ma bouche en râlant.

J’avale au fur et à mesure, sans broncher et après quelques giclées, retire son membre de mes lèvres le regardant en souriant. Mais je me suis retirée trop vite, il continue à cracher et je reçois ses derniers jets en plein visage.

-Eh bien dis donc toi, tu es un sacré phénomène, comment la si grosse queue de mon petit poney peut-elle arriver à expulser autant de sauce ?

-Si tu veux, se sera un petit secret entre nous et j’ai une idée, écoute bien ce que je te dis et je veux que tu m’obéisses, tu vas .

La suite au prochain épisode.

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