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des emploiyés modeles – Chapitre 1




Annie et moi possédons une petite propriété en périphérie de Bordeaux, une grande maison avec un parc qui demande beaucoup dentretien. Cest pourquoi nous avons embauché un couple, parce quAnnie, qui a aussi son travail, a besoin daide.

Ils sont frère et sur. Jean a trente-cinq ans, un mètre quatre-vingt, le crâne rasé, la mâchoire volontaire, il ne lui manque que la dent dacier… Je plaisante, mais il est le mâle dans toute sa splendeur. Il plaît donc beaucoup à ma femmeen tant quemployé, mais peut-être pas pour cette seule raison. Très adroit de ses mains, il est lhomme à tout faire et il sert aussi de chauffeur.

Léa est une belle brune. Un mètre soixante-dix, bien en chair, mais pas grosse, avec une belle poitrine. Une fille bien faite, quoi ! Elle aide bien Annie et elle lui tient compagnie.

Nous les logeons dans une dépendance bien aménagée, où ils vivent ensemble.

Je ne savais rien de leur vie privée, jusquau soir où, pour tracer le travail du lendemain, je vais frapper à leur porte. Comme je nobtiens pas de réponse et que je sais à cause de la lumière quils sont là, jouvre la porte, quils navaient pas fermée à clé.

Des sons me parviennent de la cuisine. Je mavance jusquà la porte et là, je suis frappé de stupeur.

Léa est allongée sur la table, la robe remontée sur le dos, le slip aux chevilles, tandis que son frère la tient par les hanches pour la besogner vaillamment. Et quand je dis quil la besogne, je devrais plutôt dire quil lencule.

Ils mont enfin entendu. Jean se recule et cest ainsi que je constate que lanus de Léa est encore ouvert. Jean a mis la main devant son zob, mais jai le temps de voir son sexe, pas très long mais très large.

Nous nous sommes regardés un moment, sans pouvoir parler, jusquà ce que je lève les mains, en disant avec confusion :

— Excusez-moi. La porte était ouverte… Vous pouvez compter sur mon entière discrétion. Je suis très satisfait de votre travail. Le reste ne me regarde pas.

— Nous ne savons quoi dire, monsieur… Ma sur et moi, cela fait longtemps

— Je ne veux pas en savoir davantage. Votre vie privée ne me concerne pas.

— Alors, vous nous gardez ?

— Mais bien sûr, voyons ! Même si Annie ne serait pas contente, si elle savait… Mais je garde pour moi ce que jai vu.

En disant cela, je savais que je leur mettais la pression et que cela pouvait me servir.

Quelques semaines plus tard, je me suis trouvé seul dans la maison avec Léa, qui passait un chiffon sur les meubles. Je me suis avancé derrière elle et jai posé mes mains sur ses épaules. Elle a sursauté, mais elle na pas bougé. Enhardi, jai descendu mes mains sur ses seins, dont jai apprécié la fermeté. Elle est restée de dos et elle sest laissé peloter, sans dire un mot. Jai défait quelques boutons pour prendre à pleines paumes ses seins, dont les tétons étaient gros et bandés, si bien que jai compris quelle appréciait la caresse. Elle a fini par me dire à voix basse :

— Monsieur, ce nest pas bien…

— Laisse-toi faire. Ce sera un secret entre nous.

Je lui fais aussitôt effectuer un demi-tour. Pendant que je relève sa robe, je cherche à lembrasser et je la pousse doucement vers la table du salon. Quand ses fesses touchent le coin de la table, je fais asseoir la jeune femme et je glisse une main entre ses cuisses pour toucher sa chatte au travers de sa culotte. Je découvre ainsi la chaleur de sa chatte. Sitôt que jai écarté le tissu, jy enfonce deux doigts, tandis quelle sagrippe à mon cou. Elle se laisse complaisamment peloter et elle écarte même les cuisses pour me faciliter la tâche.

Je sors ma bite et jinvite Léa à la prendre dans sa main. Elle hésite à peine, elle me la serre et elle me branle. Je lui souffle :

— Jaimerais que tu me suces…

Elle descend de la table pour sagenouiller devant moi et elle avale bientôt la moitié de ma queue. Je saisis sa tête entre mes paumes et je lui imprime un lent va-et-vient pour la baiser littéralement par la bouche. Après un moment, je lui dis :

— Maintenant, tourne-toi. Jai envie de ta chatte.

Léa prend spontanément la même position que lorsque je lai surprise avec son frère, mais je lui fais comprendre que ce nest pas son cul que je veux, mais sa chatte.

Les seins contre la table, la tête entre ses bras pliés, elle est enfin offerte. Jécarte sa petite culotte et je cherche lentrée de son vagin. Elle mouille, de sorte que je la pénètre facilement. Elle ne pousse un cri de surprise que lorsque mes couilles butent sur ses fesses, mais elle apprécie parce que cest elle qui pousse, pour se faire pénétrer plus profondément.

— Oh oui ! Cest bon ! Plus fort ! Oui ! Allez-y !

Rien que de savoir que cette petite salope apprécie de se laisser enfiler fait rapidement monter ma pression et jenvoie mon foutre au fond de son ventre. Léa jouit lorsquelle sent le sperme percuter son utérus. Je la laisse récupérer un peu et je me retire, la queue gluante de nos sécrétions mêlées.

Depuis ce jour-là, dès loccasion se présente, Léa ne fait aucune difficulté pour se laisser trousser, et il arrive même quelle me provoque.

Un samedi matin, jobserve depuis la fenêtre Jean, qui lave la voiture. Je remarque ainsi quil essuie depuis cinq minutes le même coin du pare-brise pendant quil caresse négligemment sa braguette. Je comprends quil regarde dans une direction précise. Je suis si intrigué que je fais le tour de la maison. Je mapproche sans quil ne me voie et je découvre ce quil voit.

Je n en crois pas mes yeux. Jean regarde tout simplement Annie, qui lui tourne le dos. Elle jardine dans un massif, les jambes droites, bien penchée en avant. Comme elle nest vêtue que dun grand tee-shirt et quelle est sans slip, Jean peut voir ses fesses et sa chatte, légèrement ouverte par la position.

Le pauvre ! Je le comprends. On se branlerait à moins. Le plus fort cest quAnnie sait quil est derrière elle, parce quelle le regarde par dessous un bras.

Je me demande soudain sils couchent ensemble. Je me pose sérieusement la question, mais comme je ne suis pas clair, je décide de faire comme si je n avais rien vu.

Un soir, pourtant… Nous venons de faire lamour, Annie est encore dans mes bras. Je lui dis dune voix mielleuse :

— Chérie, si tu me trompais un jour, j aimerais que ce ne soit pas dans notre lit

— Bien sûr que non !

Elle réalise aussitôt lénormité de sa réponse et elle reprend :

— Tu sais bien que je ne te tromperais pas chéri, à moins que toi .. »

— Bien sûr que non, chérie !

— Dans ce cas, bonne nuit, chéri.

Mais Annie demande de plus en plus souvent à Jean de lemmener en ville, ce quelle justifie en me disant :

— Je naime pas conduire en centre ville.

Leurs déplacements sont de plus en plus longs et, un jour, je trouve dans la voiture un string raidi par sperme séché. Cette fois, je suis certain quil baise ma femme.

Un peu après, jannonce à Annie :

— Chérie, ce week-end j’ai invité mes potes. Nous allons à la maison du grand père pour la chasse, comme tous les ans. Et ce jour-là, les femmes sont exclues…

Comme nous avons, en plein milieu des landes, une maison gardée par un couple de retraités, Annie ny voit pas de malice et elle répond :

— Pas de problèmes, mais je ne veux pas rester toute seule. Je vais téléphoner à nos amis dAgen et Jean m y emmènera

— Bien, mais je prends Léa avec moi pour faire la cuisine, parce que les gardiens ne seront pas là. Ils mont annoncé quils iraient chez leurs enfants.

Le samedi matin, Léa et moi partons de bonne heure. Pendant le trajet, elle me demande :

— Combien serez-vous ?

— Avec moi, cela fera cinq.

— Oh ! Cela fait beaucoup Je veux dire, pour la cuisine

— Ne ten fais pas. Tout se passera bien. Ils sont très gentils.

— Quand même Cinq

— Au fait, jai préparé ta tenue. Elle est dans la pochette. Tu peux regarder.

Léa défait la pochette et elle y trouve une paire de Dim up, un string et un tablier blanc de soubrette.

— Euh Et cest tout ?

— Oui, mais ne tinquiète pas. Nous serons seuls en pleine nature. Et tu verras, je te lai déjà dit, que mes copains sont extras.

Léa ne dit plus rien. Je la caresse un peu pendant que je conduis. Elle ne proteste pas.

Quand nous sommes arrivés à destination, elle prépare le déjeuner et elle se change avant larrivée de mes potes. Lorsque ceux-ci arrivent, elle reste cloîtrée dans une chambre.

Un peu plus tard, je lappelle et je lui dis :

— Léa, veux-tu bien nous servir lapéritif dehors ?

— Euh, oui, monsieur.

— Il n y a pas de monsieur ici. Tu mappelles Georges. Daccord ?

— Oui Georges.

Pendant ce temps je téléphone à Annie :

— Allo, ma chérie ? Es-tu bien arrivée ?

— Euh… Non… Nous sommes sur une aire dautoroute, Jean vérifie les niveaux

— Ah ? Jespère quil a fait le plein…

— Oui, ne tinquiète pas pour cela

La salope ! Je suis sûr quelle vient de se faire baiser sur laire dautoroute.

— Et avec Léa, cela se passe bien ?

— Oui. Tout va bien. Elle prend les choses en mains comme une grande.

— Bon. Eh bien, à dimanche soir, chéri.

Jentends les copains qui crient :

— Dépêche-toi, Georges, tu vas rater lapéro…

Quand je les rejoins, je découvre que les salauds ont couché Léa en travers de la table. Elle a les pieds sur le banc, la tête de lautre côté dans le vide, pendant quelle se fait toucher la chatte par un copain, que deux autres lui tètent les seins et que le quatrième lui fait jouer les avaleuses de sabre. Elle a son nez sous les couilles du mec.

Eh bien, elle se lâche, ma soubrette ! Celui qui se fait sucer me dit :

— Viens, Georges ! Il y a de la place pour deux.

Tous mes potes sont à poil, y compris Léa, qui na plus que ses bas et ses chaussures. Je me dessape rapidement et je viens poser ma bitte sur le visage de mon employée. Elle lâche le chibre quelle a en bouche pour prendre le mien. Je lui ramone aussitôt les amygdales. Celui qui lui masturbait la moule y a ajouté sa langue, si bien quil a le nez collé dans les poils drus. Ma belle a remonté les genoux sur ses épaules. Sa bouche est obstruée et elle émet des sons étouffés, mais ce ne sont pas des plaintes de souffrance.

— Assez joué pour le moment ! Prenons lapéro. Nous avons bien le temps !

Tous les garçons prennent place autour de la table. Le verre à la main, nous discutons, mais lun deux appelle Léa et il lui parle a loreille. En soubrette obéissante, celle-ci disparaît sous la table… Diable ! Elle est déchainée !

Les uns après les autres, ces salauds se font sucer, de sorte que quand elle arrive à moi, je la repousse gentiment. Mon dieu ! Elle réapparaît, maculée de foutre. Elle en a dans les cheveux, sur les paupières, sur le menton, sur les seins…

Elle va se passer un linge sur la figure et elle nous rejoint. Elle sassied entre deux mecs, dont les mains sont plus souvent sous la table que dessus.

Nous déjeunons, tant bien que mal parce que ce sont les hommes qui passent sous la table maintenant. Ils en reviennent le menton luisant de mouille et la bite au garde à vous.

Vous avez sûrement compris que la chasse nest quun prétexte pour nous réunir et Léa en fournit le gibier, et un gibier de choix !

Tous ont envie de la baiser, mais cest dabord vers moi quelle vient pour se faire prendre. Elle se glisse à califourchon sur mes genoux, elle attrape mon manche et, collée contre moi, elle se le glisse habilement dans la chatte. Elle fait tout le travail !

Son vagin est très ouvert, gluant et chaud. Son jus de femme coule sur mes poils. Elle est très agréable à baiser, si bonne que je ne résiste pas. Je lui injecte ma semence de mâle au fond du ventre. Elle se crispe sur moi et elle se laisse aller à une jouissance méritée…

Mais la pauvre nest pas au bout de son calvaire…

Dès quelle se retire de moi, en laissant dégouliner son jus sur mes cuisses, déjà un copain sallonge sur la table et lui demande de venir sétendre sur lui. Crucifiée encore une fois et les fesses en lair, elle soffre à un autre, qui vient lui lécher lanus, quil ouvre rudement avec ses doigts parce que son petit cul qui doit être prêt à de fréquentes visites. Et voilà Léa prise en sandwich, tandis quun autre copain présente à sa bouche son épée de chair…

Rien ne sera épargné à cette brave fille, mais je ne pense pas quil faille la forcer, parce quelle a tout simplement une énorme envie de sexes

Il nest pas facile de contenir son plaisir quand une queue se frotte sur la vôtre. Je le sais par expérience. Cest aussi ce que vient de comprendre celui qui la sodomisait parce quil se retire pour jouir entre ses reins, en poussant un hurlement de loup. Cest une aubaine pour le dernier qui attendait une place libre. Dune seule poussée des reins, il sempresse dinvestir le boyau ouvert…

Elle se démène, Léa ! Elle déploie tant dénergie pour leur vider les couilles que cela me fait à nouveau bander, mais je ne suis pas pressé. Je veux lenfiler en levrette. Je veux voir mon chibre coulisser dans sa chatte pleine de foutre et de mouille. De toute façon, je lui ai interdit de se laver le berlingot parce que je veux, ce soir, que ces salauds de mecs goûtent à tous leurs spermes mélangés.

Une heure plus tard, allongée sur la pelouse, Léa récupère. Elle me dit :

— Tu viens, Georges ? J ai envie de ta queue…

Elle me tutoie désormais. Bah, je ne lui en veux pas.

— Jarrive, ma belle.

Me voilà bientôt allongé entre ses cuisses. Je pose mes lèvres sur ses poils collés par le sperme. Ses lèvres sont exsangues et enflées. Elle sent la femelle qui vient de se faire baiser par un régiment, mais je la lèche, tandis quelle presse ma tête sur son abricot.

— Oh oui ! Tu me fais du bien. Enfonce ta langue !

Tu parles ! Jai de la purée jusquaux yeux. Sa chatte est devenue tellement sensible après une pareille séance, que Léa narrête pas de jouir. Son clitoris est en feu et il réagit au moindre frottement. Je me hisse à sa hauteur et, sans que je doive le guider, jenfonce en elle mon sexe, qui nage presque entre ses muqueuses à vif.

— Jai envie de toi en levrette, Léa.

Elle se dégage docilement pour satisfaire ma demande. Sa corole est boursouflée, les lèvres sont disjointes et lintérieur de son vagin est rouge écarlate.

« Prends mes deux trous Georges. Fais-moi hurler…

Deviendrait-elle maso ?

Si tu veux, je vais te défoncer la chatte et le cul…

Oh oui ! Vas-y !

Je lai agrippée par les hanches et jai mon enfoncé braquemart dans sa chatte velue comme si je le plongeais dans du beurre tiède.

Après quelques va-et-vient vigoureux, j ai changé de trou. Cest à peine plus serré. Léa se lance à ma rencontre pour mieux séclater le cul. Cest agréable. De lair et un liquide visqueux en sortent, si bien que cela rend gluante ma verge.

Tout cela se fait dans un hurlement à faire peur. Les copains qui somnolaient sur lherbe se sont redressés pour assister à la séance de baise, quils regardent en se masturbant.

Léa seffondre soudain sous moi. Elle est à moitié dans les pommes quand je retire très lentement mon sexe de son anus, sans avoir joui.

Je lai laissée récupérer. Elle a dormi pendant le restant de la soirée, jusquà ce que nous lemmenions au restaurant. Je nai pas eu le culot de lui demander de préparer le diner.

Après le resto, elle a tenu à nous remercier tous par une nouvelle partie de baise.

Le lendemain, repos ! Nous avions tous des valises sous les yeux, à tel point que jai pris peur quAnnie ne se doute de quelque chose.

Quand nous sommes de retour, je maperçois heureusement que Jean et elle nont rien à nous envier… Mais quont-ils bien pu faire tous les deux ?

Quelque temps plus tard, la copine dAgen a vendu la mèche. Jai alors compris quils ont couché dans la même chambre, mais peut-être pas ensemble… Depuis, je me plais à ne penser quà cela.

Tout récemment, Léa ma confié que ma femme et elle avaient fait lamour ensemble et quelles y avaient pris beaucoup de plaisir, mais ma soubrette a aussitôt ajouté :

— Ma chatte est toujours disponible pour toi.

Jean sest douté de quelque chose parce que sa sur ne veut plus baiser avec lui. Cest pourquoi il a démissionné et il nous a quittés.

Maintenant, Annie, Léa et moi baisons ensemble. En effet, tout sest éclairci et nous avons négocié. Ah ! Le personnel de maison nest plus ce quil était !

Lannée suivante, Annie a tenu à nous accompagner à la partie de chasse, pour le plus grand bonheur des copains Quand elle a réalisé ce qui lattendait, elle a assumé, mais elle sest exclamée le lendemain :

— Ce nest pas vrai ! Vous avez fait tout cela la dernière fois ! Ma pauvre Léa

— Mais oui… Tout cela ! Pourquoi ?

— Tes copains sont des salauds, mais qu’est-ce qu’ils baisent bien !

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