Histoires gays Histoires porno Histoires tabous

Comment le golf peut mener au plaisir – Chapitre 1




En ce matin du mois d’août, comme souvent lorsqu’il fait aussi chaud, je me lève aux aurores et me prépare rapidement pour aller jouer au golf avant que la température ne devienne excessive.

Arrivé sur le parcours à 6h15, je débute ma partie tout en profitant de la beauté du paysage éclairé par les premiers rayons du soleil. Il fait frais et j’aime cette ambiance calme et silencieuse, où les rares mouvements sont ceux des lapins courants dans l’herbe fraîchement tondue et couverte de rosée.

Arrivé au trou numéro trois, un dogleg qui tourne fort à droite juste avant le green, qu’on ne voit pas du départ, je drive un premier coup et ma balle est idéalement placée au milieu du virage après avoir roulé un peu. Je m’approche pour mon deuxième coup. Apercevant le drapeau, je vois deux personnes au loin, debout sur le green : un homme, appareil photo en main, et une femme, qui retire son tee-shirt et découvre ses seins devant l’objectif.

Plutôt étonné mais aussi attiré par ce manège, je laisse mon chariot à côté de ma balle et m’approche en silence. Lorsque je suis à une dizaine de mètres d’eux, la jeune femme tourne la tête et m’aperçoit. Elle panique un peu, recouvrant ses beaux seins, assez gros et bien ronds, de ses deux mains. A son tour, son photographe se tourne vers moi.

— Pas de panique, vous êtes juste seins nus et Monsieur a bien raison de vouloir les prendre en photos, ils sont très beaux. Dis-je.

— Désolée, on pensait être seuls si tôt le matin…, tandis qu’elle ramasse son t-shirt

— Allez viens on s’en va. Dit l’homme

— Non restez, imploré-je, s’il vous plaît, je ne vous dérangerai pas, et puis je les ai déjà vus vos seins maintenant…

— Non, on y va. Insista-t-il.

— Remarque maintenant qu’on s’est levé si tôt… dit-elle

— Oui on s’est levé tôt, mais on ne va pas pouvoir faire nos photos avec quelqu’un à côté !

— Et pourquoi pas ? Demandé-je. Je me mets dans le coin et vous regarde, ou mieux j’en fais quelques-unes, je me débrouille un peu en photo moi aussi.

— Ce n’est pas pire que sur le blog s’il ne fait que regarder. Dit-elle avec malice.

J’apprends ainsi qu’ils tiennent un blog où ils publient leurs photos, Madame aimant s’exhiber en intérieur mais aussi dans la nature. L’idée de venir sur le golf leur était venue à force de passer devant. Pour les rassurer et tenter de les convaincre de continuer, je leur avoue à mon tour aimer ce genre de blog et m’être moi-même parfois exhibé sur la toile.

Cela détend l’atmosphère et le jeune homme est en train de céder à Madame, qui a vraiment envie de continuer. Je la devine excitée par ma présence.

Pour les aider à se décider, je leur propose quelques accessoires : balles et clubs de golf et leur indique que le trou 17 serait moins risqué car on voit les gens arriver de loin.

Ils cèdent finalement après les suppliques de la jolie demoiselle et me suivent alors que je récupère mon chariot et ma balle. En chemin, j’apprends qu’ils s’appellent Sophie et Marc. Nous discutons et faisons un peu connaissance, eux m’avouant qu’ils aiment particulièrement se montrer en photo ou vidéo mais qu’ils ne veulent pas aller plus loin et moi leur indiquant ma passion pour la photo, et notamment pour les jolies photos de nus.

Arrivé sur le green prévu, je reste comme convenu à l’écart tandis que Sophie, après un regard furtif dans ma direction, retire à nouveau son T-shirt, révélant cette belle poitrine qui ballote un peu quand elle bouge. Elle a quelques kilos en trop, un visage assez rond et joli, les cheveux mi-courts bruns et de jolis yeux rieurs de couleur noisette. Ces seins sont ronds, en forme de pamplemousses, ses aréoles pas trop larges pour de si gros seins et bien brunes, tranchant sur sa peau claire. Ses tétons bien sont charnus et en cette fraîcheur matinale, ils pointent fièrement en direction de l’objectif de l’appareil photo de Marc.

Elle s’approche du drapeau et le tient tandis que Marc l’immortalise. Puis elle se tourne et remonte sa courte jupe en jeans, révélant qu’elle ne porte rien dessous. Ses fesses sont superbes, rondes, en forme de cur inversé et la voir ainsi retroussée commence à sérieusement me troubler…

Elle les caresse, les écarte un peu, joue avec sa jupe, se penche en avant ou se cambre tandis que l’appareil photo la mitraille sous toutes les coutures.

Elle s’assied alors à même le gazon face au trou et penchée en arrière, ouvre ses jambes, dévoilant son sexe bien imberbe. Je me demande si les reflets humides que j’y aperçois viennent de la rosée ou de son excitation. La mienne à ce stade ne peut plus être dissimulée tant la bosse qui déforme mon short me fait mal.

Marc s’allonge sur le sol pour faire quelques clichés et je lui suggère de mettre une balle en premier plan, idée qu’il trouve bonne. J’approche alors avec et la pose au niveau des mollets de Sophie, en profitant pour l’admirer de plus près. Mes yeux sont rivés sur son sexe aux lèvres charnues et luisantes, et au clitoris qui pointe à leur sommet. Considérant leur ouverture et leur humidité, Sophie est sans nul doute très excitée et la voir ainsi me fait bander comme jamais. Alors que je me redresse, elle remarque mon état :

S : Eh bien, je te fais de l’effet à ce que je vois !

P: Tu es très jolie et cette situation est on ne peut plus excitante

S: Moi je suis nue et vous en profitez, et si moi je voulais voir aussi ! Allez messieurs, à poil vous aussi !

Marc refuse alors promptement, indiquant que compte tenu de ma présence, il craint ma réaction et il indique qu’il ne veut pas partager Sophie.

Malgré cette réponse, je baisse rapidement et sans trop réfléchir mes vêtements, faisant jaillir mon sexe tendu. Je recule toutefois, pour marquer que je respecterai son souhait de rester à l’écart et précise :

— Si elle se montre, c’est vrai que c’est injuste, mais je te promets Marc que si tu ne veux pas que je la touche je ne la toucherai pas.

Et elle d’insister :

— Allez mon chéri, tu le fais d’habitude et tu sais comme j’aime te voir aussi, s’il te plaît.

Il se plie à la volonté de son amie, et je le pense désabusé quand je découvre quil est en fait aussi excité que moi…

— Ahhhh quand même ! J’aime vous voir bander pour moi, s’exclame Sophie alors qu’elle lisse ses petites lèvres de son index. Ça m’excite et me donne envie…

Je propose alors de remplacer Marc derrière l’appareil photo, pour qu’il puisse simuler de putter la balle en direction du sexe de Sophie qu’elle se caresse maintenant sans aucune retenue, mais très lentement et très sensuellement.

Il accepte et je note que ça le rassure : si je fais des photos, je serai moins tenté de profiter de sa chère et tendre. Tandis que nous, nous nous déplaçons nos deux sexes tendus tanguent et je note que Sophie n’en perd pas une miette. J’aime son sourire coquin quand elle croise mon regard.

A mon tour, je fais quelques belles photos, accroupi, puis m’allongeant sur le sol et visant le club que tient Marc, la balle et ce sexe qui m’attire et que Sophie ouvre de ses doigts.

Je vois alors le club bouger au travers de l’objectif et lui demande de le réaligner. Quand je lève les yeux, je constate que Sophie a attrapé son homme par la queue et qu’elle le décalotte lentement. Il en gémit de plaisir et me lançant un regard espiègle, elle l’attire vers elle.

Elle fait quelques allers-retours de ses doigts, puis pose ses lèvres sur son gland qu’elle vient de découvrir à nouveau pour y déposer un léger baiser. Sa langue prend alors le relais et lèche le méat, puis la couronne, s’attarde sur le frein et descend lentement jusqu’aux bourses.

J’ai envie de me toucher à mon tour, mais je reste consciencieux et fais quelques photos alors qu’elle remonte jusqu’au gland pour le glisser entre ses lèvres, lentement mais profondément. J’imagine la chaleur et la moiteur de cette bouche et mon sexe est douloureux tellement je suis dur.

Sophie commence de lents va-et-vient avec sa bouche et Marc gémit, tandis qu’elle le maintient vers elle, ayant pris ses fesses à pleines mains pour mieux guider cette queue dans sa bouche.

Alors qu’il gémit de plus en plus au rythme qui s’accélère de cette fellation que je devine délicieuse, elle l’abandonne, et lui dit :

— Ca suffit pour le moment.

— D’accord mais mets-toi à quatre pattes, j’ai une idée pour des photos.

Sophie s’exécute et Marc la fait se pencher, tête contre ses mains posées au sol, le cul tendu en l’air.

Marc me demande alors un Tee neuf et l’insère lentement dans l’anus de Sophie qui s’étonne. Il lui demande de ne pas bouger en posant alors une balle sur le tee qui tient dans le cul de sa chérie et m’invite à faire quelques photos, rappelant à Sophie de rester immobile pour ne pas faire tomber la balle.

Après quelques clichés, Marc attrape le putter et commence à caresser le sexe de sa belle avec le manche, l’enduisant de la mouille dorénavant très abondante de Sophie. Il l’enfonce maintenant en elle, de plus en plus loin, puis commence à la besogner avec. Elle gémit et se trémousse, le Tee toujours planté dans son cul, mais la balle ayant roulé par terre depuis longtemps…

Je fais plusieurs photos, et Sophie sollicite Marc :

— A ton tour de me lécher un peu, allonge-toi.

Il se couche dans l’herbe encore un peu humide de rosée. Sophie, après avoir retiré le putter et le tee de ces orifices, se positionne au-dessus de lui et vient s’assoir sur la bouche. La langue de Marc écarte les lèvres de la vulve qui s’offre à lui, les contournant lentement sur tout leur pourtour, et je photographie quelques plans larges, puis de plus en plus serrés pour finir par une photo où le clitoris turgescent de Sophie est léché par toute la longueur de la langue de Marc.

Je vois qu’il prend son temps, la lèche en douceur puis de façon plus appuyée, aspire son bouton et elle gémit, rythmant de ses hanches son plaisir, pendant que Marc a empoigné ses seins à pleine main.

Elle bouge son bassin sur cette langue qui la fouille, gémissant de plus en plus vite. Plaquant son sexe sur la bouche de son homme de plus en plus fort, elle convulse finalement en se pinçant les lèvres pour contenir ses cris de jouissance.

J’ai évidemment tenté de faire quelques photos, mais elles deviennent de plus en plus rares, ne pouvant me retenir de toucher et caresser mon sexe pour calmer mon excitation.

A peine remise, elle descend vers le sexe de Marc qui pointe vers le ciel et vient s’empaler dessus. Il n’a aucun mal à la prendre tellement elle est ouverte et lubrifiée et il s’insère en elle jusqu’à la garde d’un ferme et puissant coup de hanches,. Elle en gémit de surprise et d’envie alors que lui pousse un léger râle de bonheur.

Commence alors leur danse qui s’accélère assez vite, lui donnant des coups de reins et elle bougeant ses hanches pour mieux sentir ce membre qui la remplit de plus en plus intensément.

Il maintient ses hanches de ses mains, pour mieux la plaquer contre lui et entrer en elle. J’entends leur peau claquer à chaque coup de bassin, la queue de Marc disparaissant entre les reins de Sophie. Je passe derrière pour mieux la voir entrer et sortir, les couilles de Marc venant claquer contre le cul de sa chérie à chaque coup de boutoir qu’il lui met désormais.

J’ai abandonné l’appareil photo et me branle d’une main tellement la vision qui m’est offerte est excitante. Me voyant ainsi, Sophie me demande alors de venir vers elle, voulant avoir deux hommes pour elle.

Marc la bascule alors sur le côté et lui dit :

— Pas question de te partager, tu n’es rien qu’à moi.

Je recule, dépité et très frustré mais continue à me caresser. Sophie n’a pas l’envie ni l’occasion de protester : Marc lui demande de s’agenouiller et il la pénètre en levrette de plus en plus sauvagement. Ils ne tardent pas à jouir ainsi, tous les deux, devant mes yeux. Entendre Sophie à nouveau exprimer son plaisir alors que Marc se crispe contre son joli cul et se vide en elle me fait moi aussi me répandre sur le green.

Après quelques instants où nous reprenons nos esprits, nous ramassons nos affaires. Je leur rends leur appareil photo et nous quittons le parcours. Sophie s’excuse un peu de ce plaisir non partagé, mais je lui réponds que j’en ai eu énormément aussi. Il me paraît qu’elle semble regretter de n’avoir pas pu profiter de moi, mais je me fais sûrement des idées…

Arrivés aux voitures, je leur laisse mes coordonnées, espérant les revoir et leur proposant de rejouer les photographes, mais Marc ne veut pas me donner les leurs. Ils m’indiquent toutefois l’adresse de leur blog, que je m’empresse de consulter à peine rentré, pour me faire jouir une nouvelle fois en regardant les photos coquines de ce joli couple qui vient de se donner devant moi et m’a procuré tant de plaisir !

Related posts

Le plombier de mademoiselle – Chapitre 2

historiesexe

Je me commets – Chapitre 1

historiesexe

Etudiante, j'ai tout appris – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .