Il leur fallut presque une demi-heure pour rejoindre le père de Lioubovson. Blandine avait bu double dose de potion avant la douche, puis le Maître avait oint son corps donguent, insistant sur son bas-ventre et jusque dans les orifices douloureux de ladolescente. Pieds nus mais vêtue dune longue robe blanche à volants, elle suivit son amant dans les couloirs du manoir jusquà un salon dans lequel attendait un homme tout de noir vêtu. Blandine le salua respectueusement de la tête sans oser sapprocher, mais tout en lexaminant à la dérobée.

Grand, le visage émacié et noble, il portait fièrement une longue crinière de cheveux gris qui tombait sur ses épaules. Ses yeux noirs se posèrent sur la jeune fille et la détaillèrent longuement ; puis un sourire apparut sur ses lèvres avant de gagner ses yeux qui pétillèrent.

Mon fils, je pense que tu as trouvé celle que tu cherchais. Je te lavais dit quelle existait quelque part sur terre.

Oui, je le pense aussi. Jusqualors toutes celles que jai approché fuyaient une fois quelles comprenaient ce que je suis.

QUI tu es, mon fils. Pas CE QUE tu es. Tu es un être vivant, seulement en partie humain certes, mais tu es fait de chair et de sang, comme moi, comme cette jolie petite. Tu las connue comment ?

Cest une longue histoire. Elle est la fille dun joueur compulsif qui refusait de payer ses dettes. Pour sauver sa peau, il na pas hésité à la jeter en pâture à ses créanciers. Je lai sortie dun bouge infâme et lai dabord donnée à mes hommes. Puis je lai rencontrée. Papa, je te présente Blandine. Blandine, mon père, Sergueï.

Gauchement, la jeune fille embrassa Sergueï sur les deux joues puis recula, les joues rosies par lémotion. Elle aussi sentait que se rencontre avec Liou était un signe du destin ; elle se sentait en sécurité avec lui, choyée et aimée. Machinalement, elle passa une main sur sa poitrine, la trouvant très sensible et gonflée : ses tétons dardaient outrageusement sous le fin tissu. Un effet de la pommade, sans doute. Son ventre aussi devenait lourd et elle serra les cuisses en réprimant un gémissement.

Tu bois quelque chose, après cette longue route ?

La Jag a tourné comme une horloge. Je prendrai comme dhabitude, si cette charmante créature accepte de me servir.

Moi ? sétonna Blandine. Bon, daccord.

Une vodka-Martini. Mélangée au shaker, pas à la cuillère.

Liou montra à la jeune fille où se trouvaient les boissons et les deux hommes discutèrent pendant quelle préparait le cocktail et servait deux nouvelles coupes de champagne. Elle eut un étourdissement quand elle trinqua avec eux, Sergueï la retenant par un coude.

Ça ne va pas ?

Juste un éblouissement ; et mon ventre… Il brûle un peu. Jai chaud…

Blandine ! sécria Liou, affolé. Assieds-toi un instant.

Il la conduisit à un grand fauteuil et la fit asseoir, mais après une minute à peine la jeune fille se cambra et la coupe de champagne lui échappa. Poussant un cri plaintif, elle leva des yeux désolés sur son amant et bredouilla :

Liou, fais quelque chose, je ten supplie. Je brûle…

Mon fils, tu ne lui a quand même pas administré de ma potion en trop grande quantité ?

Euh… Deux cuillères à soupe pleines.

Non ! Elle semble peser dans les cinquante kilos, tu aurais dû tarrêter à une demi cuillère ! Et tant que jy suis, tu nas pas utilisé longuent spécial en même temps, jespère !

…..

Tu es une triple buse ! Son organisme est saturé dhormones du désir, elle a besoin de rapports sexuels immédiats et si possibles nombreux.

Mais je peux…

Nous avons rendez-vous dans une demi-heure chez Julien Cthulhu. Il devrait y avoir Henri Tepes et Gustave Astaroth : il nest pas possible de reporter ! Ensuite, nous serons pris pour un bon moment à la soirée quil organise en notre honneur.

Le géant considéra la situation avec le plus de sang-froid quil pouvait. Blandine se mordait les lèvres et pétrissait sa poitrine inconsciemment, en proie à un émoi grandissant. Il sortit son portable et composa un numéro en raccourci.

Joe, je dois sortir ce soir. Tu réunis tous les hommes disponibles sur les trois équipes. Blandine a un souci, elle est à vous jusquà ce que je revienne, sûrement pas avant minuit. Ne lui faites aucun mal, mais vous pouvez la baiser comme bon vous semble.

Il raccrocha et saccroupit devant Blandine ; les yeux clos, elle tremblait de tous ses membres pour résister au désir qui tenaillait son corps. Il lui souleva le menton et essuya la sueur qui perlait sur son front.

Je suis désolé, mais je dois partir avec mon père. Mes homme essaieront déteindre le feu que jai allumé bien involontairement. Allez, debout… Enlève cette putain de robe… Bon sang ! Tes nichons…

La poitrine de Blandine avait triplé de volume et surtout, ses tétons pointaient agressivement ses bouts roses gros et long comme une phalange. Liou ne put sempêcher de les empoigner et de les faire rouler entre deux doigts, arrachant des gémissements plaintifs à sa victime. Ce fut pire quand il glissa une main entre ses cuisses disjointes ; ses doigts glissèrent dans les replis marécageux et torrides, rencontrèrent le clitoris engorgé largement sorti de son capuchon. Ce fut le moment que choisit Joe pour frapper à la porte. Le géant se recula en grognant et fit entrer son lieutenant.

Joe, je te confie Blandine. Tu men réponds sur ta tête. Elle a absorbé par mégarde un produit qui… Il lui faut de la bite, maintenant, et je dois partir. Baisez-la jusquà mon retour.

Bien, chef. Pas de restriction ?

Non, cest elle qui vous préviendra si elle refuse quelque chose. Ça te va ?

Parfaitement, chef. Je ferai attention à elle, cest une chouette fille.

Téléphonant à ses hommes, il prit doucement la main de Blandine, salua les deux hommes, puis quitta la pièce suivi docilement par la jeune fille. Un orage couvait, il la conduisit donc dans un grand gymnase au sous-sol du bâtiment. Une quinzaine dhommes se déshabillaient quand ils entrèrent dans la grande pièce. Tous les regards se portèrent sur la femme nue et ils comprirent tout de suite quelle nétait pas dans son état normal. Leurs sexes se dressèrent devant cette odalisque habitée par le démon du sexe. Leur mains coururent sur sa poitrine orgueilleuse, ses flancs frémissants, mais elle voulait plus, et tout de suite.

Blandine se cambra avec une impudeur totale et écarta ses petites fesses à deux mains pour offrir ses orifices suintants de désir et de besoin de stupre. Joe montra lexemple en la sodomisant dune poussée violente ; la jeune fille neut même pas un rictus de douleur alors que lépaisse bite lavait pénétrée jusquaux couilles, elle poussa juste un soupir de plaisir.

Les gars, son cul est grand ouvert et bien souple. Le chef est passé par là, je crois quon va devoir y aller à deux ensemble ! Vous entendez, merde ! Remuez-vous !

Du calme, Joe !

On attaque, soulève-la, Joe, et tiens-la contre toi…

Joe se redressa en collant Blandine contre lui. Une fois debout, il laissa la jeune fille sempaler sur son épieu et fit signe à un type musculeux pourvu dune bite particulièrement longue.

Viens, soulève ses cuisses et glisse ta queue à côté de la mienne.

Related posts

Toutes des petites salopes – Chapitre 3

historiesexe

Le petit bois, la petite maison de bois et le petit pont de bois. – Chapitre 2

historiesexe

Que suis-je ? – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .