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Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme – Chapitre 9




Anne

Maman et moi allons vivre durant toutes ces nombreuses années une merveilleuse vie de couple, rien que nous deux.

Mais toute règle comporte son exception. Une tierce personne va s’immiscer dans notre intimité

Si ma mémoire ne me trahit pas, je crois que c’est en été 1995 que va se produire quelque chose de très inattendu. Maman a donc 58 ans, mais elle en parait 10 de moins. Il faut dire qu’elle pratique pas mal de sports (outre celui en chambre !), elle soigne bien son corps, et ses tenues soit élégantes soit sexy selon le moment, y contribuent. Sans oublier un grand dynamisme, et beaucoup de gaieté et d’humour. Un jour elle me dit :

— Samedi soir, j’ai invité à dîner mon amie et collègue Anne, j’espère que tu seras là, je tiens à te la présenter. Nous sommes amies et confidentes. Elle seule sait pour toi et moi. Elle a 46 ans, mais elle m’a avoué un jour que vers sa vingtième année, elle avait été tentée de coucher avec son cousin germain, mais sans avoir osé franchir le pas. Je me suis sentie beaucoup plus libre pour lui raconter notre histoire. Elle m’affirma que cela ne la choquait nullement, et même que notre amour l’avait touchée. A présent elle est divorcée et vit seule.

L’invitation lancée par Maman me ravit, nous allons pouvoir bavarder librement, sans risquer de commettre des gaffes. Elle ajoute malicieusement :

— Tu verras, elle est sympa et assez délurée, lorsque nous sommes seules au boulot nous parlons souvent de sexe !… Bon, maintenant, ce n’est pas un top-model !…

Après tout, pourquoi pas ? Pouvoir bavarder sans retenue sans craindre d’aborder « le » sujet !

Arrive donc ce samedi soir. Lorsque Maman sort de sa chambre, sa tenue m’étonne grandement. Elle porte un chemisier noir quasiment transparent, dessous je distingue sans peine son soutien-gorge, également noir. Jupe rouge ultra-mini, pratiquement « ras la foune ». Je lui ai offert cette jupe pour son anniversaire, et elle la porte exclusivement pour moi. Et enfin elle s’est juchée sur ses escarpins rouges, aux talons aiguilles de 20 centimètres !… Elle n’est plus sexy, mais fait ouvertement « pute » dans cette tenue excessive. Surtout pour accueillir une simple collègue à elle ! Je n’en vois pas la nécessité. Etrange, étrange. Mais je ne pose aucune question. Vers 19 heures, la fameuse Anne arrive. Brune aux cheveux courts, de taille moyenne, assez jolie de visage. Elle porte une robe d’été à bretelles, bleue, lui dénudant les épaules, assez échancrée, une poitrine assez forte tendant cette robe. Le haut est très sympa, le bas un peu moins. Un bon petit ventre tend la robe, celle-ci, assez courte, dévoile des cuisses bien rondelettes.

Anne n’est pas ce qu’on appelle un « canon », mais il émane de sa personne un certain charme qui m’attire de suite, de manière un peu incompréhensible.

Lorsqu’elle s’assoit dans le canapé, sa robe remonte très haut sur ses plantureuses cuisses. Je sens bien une grande complicité réciproque entre Anne et Maman, mais quelque chose « cloche ». Elles échangent de longs regards, se bisent les joues de temps à autres, et leur conversation comporte souvent des sous-entendus grivois. Une amitié pour le moins trouble.

Le dîner se déroule fort bien, Il n’y a pas qu’au lit où Maman possède de grandes qualités, elle est aussi un vrai cordon bleu en cuisine. La conversation se développe dans des domaines très variés. Mais Maman revient sans arrêt sur la sexualité, ce qui n’embarrasse aucunement Anne qui, bien au contraire, s’esclaffe ouvertement, voire en rajoute une couche. Je ne participe pas tellement, un peu décontenancé par l’attitude des deux femmes.

Autre sujet d’étonnement pour moi, Maman ne boit d’ordinaire que très peu d’alcool, et m’incite à la modération. Là, elle va vider plusieurs verres d’un excellent bourgogne, et remplir le verre d’Anne à peine celle-ci l’a-t-elle vidé. Et cette dernière ne rechigne pas à lever le coude ! Maman n’est-elle pas en train de lui tendre un piège ?

Résultat des courses : sans être ivres, les deux femmes se retrouvent très vite pompettes. A tel point qu’Anne demande :

— Valérie, avec ce que j’ai bu, il est préférable que je ne reprenne pas le volant. Est-ce que je pourrais dormir ici ?

Rayonnante, pour ne pas dire triomphante, Maman lui lance :

— Mais bien sûr mon Annette, tu es ici chez toi.

— Merci infiniment. Je peux utiliser ta salle de bain ?

— Naturellement ! Je vais te passer une serviette, et puis te prêter aussi un vêtement de nuit. Que préfères-tu ? Nuisette ? T-shirt ? Pyjama ?

— Je te remercie, mais je n’ai besoin de rien.

Anne prononce ces mots en regardant Valérie les yeux dans les yeux. A quoi jouent-elles toutes les deux ? Envisageraient-elles de faire des « bêtises » ? Je pourrais en être excité, mais je suis jaloux, horriblement jaloux, Maman est à moi, A MOI !!

— Alors, que penses-tu d’Anne ? Me questionne Maman tandis que je l’aide à débarrasser la table, et que son amie est partie se doucher.

— Elle est sympa.

Trouvant mon commentaire un peu laconique, elle tente de m’émoustiller par un :

— Et t’as vu, elle n’est pas super-belle, mais elle aime le sexe !…

— Oui oui.

Maman n’ajoute rien de plus, visiblement déçue par mon peu d’intérêt manifesté pour sa copine et collègue. L’atmosphère devient pesante.

Anne réapparaît dans le salon, drapée à minima dans une serviette de bain rose bonbon. Mon regard se pose de suite sur ses cuisses dodues.

— Alors ma chérie, ça va ? demande Maman.

— Mieux !… J’ai pris la douche presque froide, ça dégrise. A présent je me sens très en forme.

— Tu m’en vois ravie ! Mais tu n’as pas changé d’avis, tu restes bien dormir ici ? s’inquiète Maman.

— Oui, bien sûr. Les effets de l’alcool ne sont pas encore dissipés.

Toutes deux me donnent le bonsoir, et disparaissent dans la chambre maternelle, tandis que je gagne la mienne. Restant éveillé un long moment, je guette le moindre bruit « suspect ». Je les entends parler, rire, puis, plus rien. Allons, je me suis peut-être trompé. Je finis par sombrer dans le sommeil.

Ma nuit sera parsemée de rêves érotiques dans lesquels, confusément, je nous vois évoluer en trio. Je m’éveille sur le coup des 6 heures du matin. Et immédiatement, me parviennent des gémissements, de petits cris, des onomatopées. Je tends l’oreille. Ce timbre de voix n’étant pas celui de Maman, Il s’agit donc bien d’Anne ! Puis je reconnais sans hésitation la façon dont Maman exprime son plaisir, par de petits cris, et une alternance de mots doux puis osés. Je me lève, et, honteusement, colle mon oreille au mur.

Cette fois distinctement, j’entends :

— Oh oui, continue mon Annette ! Bouffe-moi bien, bois mon jus !

— ça te plait salope, hein ? Attends, tourne-toi, je vais m’occuper de ta rondelle !

Je n’en reviens pas, là, juste derrière ce mur, Maman et Anne s’envoient en l’air ! Maman, une lesbienne ?! Jamais, jamais elle n’a exprimé la moindre attirance pour une femme, elle dit seulement respecter les lesbiennes, tout comme les homosexuels. Et là elle me trompe, sous notre toit, et avec une femme ! Je me sens cocu, me considérant l’égal d’un mari légitime. Trahi ! Et sur l’instant, j’en suis très malheureux. Maman, qui me jure continuellement amour et fidélité, Maman se gouine avec cette salope d’Anne, cette roulure, cette traînée, cette Je ne trouve pas de mots assez grossiers pour qualifier sa collègue. Alors que les cris de jouissance gagnent en intensité dans la chambre voisine, je me bouche les oreilles, puis, de rage, coiffe mon casque pour écouter à fond la caisse de la musique sur ma chaîne.

Lorsque j’ôte mon casque, un silence total règne à côté. Je serai très long à me lever, vers 9 heures seulement. Finalement, je me décide à passer un pyjama, et me rendre dans la cuisine. Cloué de stupeur, j’y découvre Maman et Anne, toutes deux entièrement nues, préparant le petit déjeuner. Comme si de rien n’était, Anne se dirige vers moi, m’embrasse sur les joues, et m’accueille d’un tout à fait banal :

— Bonjour Fabien, tu as bien dormi ?

— Euh bien, oui, merci. Et vous ?

— Tu peux me tutoyer tu sais ! Disons que j’ai dormi par intermittences

Cette réflexion a pour effet de faire rire Maman. Je dois me forcer un peu pour jouer l’indifférence. Nous prenons le petit déjeuner dans la cuisine. Malgré un physique assez moyen, il se détache d’Anne une étrange sensualité. Ses seins tombent un peu mais demeurent appréciables, son ventre n’est pas si rond que cela, ses cuisses charnues, attirantes. Lorsqu’elle va se tourner, je vais constater qu’elle est bien « fessue », un assez gros cul, n’ayant pourtant rien de repoussant. Et par devant, un ravissant petit minou frisotté, Et un visage sympa et avenant. Tout ceci présente quelques conséquences se répercutant dans mon pantalon de pyjama

Maman rompt le silence.

— Annette, je crois que tu as quelque chose à demander à Fabien, n’est ce pas ?

— Ah, Valérie, non ! ça me gène, je ne sais pas si je dois.

— Mais si, lance-toi, je suis à peu près certaine de la réponse que tu obtiendras.

Qu’a-t-elle donc à me demander de si difficile ????

Anne inspire un grand coup, puis se lance.

— Fabien, comme tu le sais, je n’ignore rien de ce que ta mère et toi faites dans votre vie commune. Ta maman t’adore, elle n’a cessé de me le dire cette nuit. Mais elle voulait tenter une expérience saphique, et il n’y a qu’avec moi qu’elle pouvait le faire, nous sommes amies intimes et confidentes depuis plusieurs années. Alors ce matin, nous avons baisé toutes les deux.

— Je sais, je vous ai entendues

— Je vois bien que tu es contrarié. Alors je connais le moyen de tout arranger. Je te propose que nous fassions l’amour tous les trois. Ta maman est d’accord, c’est même moi qui n’osais pas t’en parler, j’ignorais quelle aurait été ta réaction. Tu es plutôt beau garçon, j’ai envie de toi, encore envie de Valérie, et aussi l’envie un peu perverse de voir la mère et le fils se donner du plaisir ensemble. J’ai toujours été bisexuelle. Alors, que dis-tu de ma proposition ?

Pour toute réponse, je me lève, me penche vers Anne et dépose un baiser sur ses lèvres. Qui s’ouvrent de suite, et sans préambule, elle me fourre carrément sa langue dans la bouche ! Ce qui déclenche les applaudissements de Maman.

Direction, la chambre !

________

Triangle d’amour

L’excitation est si grande pour nous trois qu’en définitive, nous passons directement de la cuisine à la chambre de Maman, sans prendre le temps de terminer notre petit-déjeuner. En effet, Anne est une « morte de faim » D’un geste brusque, elle descend mon pantalon de pyjama, et embouche ma bite déjà bien bandée. Tandis qu’elle me gobe, à genoux devant moi, Maman se charge de me retirer pour de bon mon pantalon, puis ma veste de pyjama. Nous voici à poil tous les trois. Anne me fait sursauter, car à plusieurs reprises, elle va mordre mon gland. Pas violemment, mais la sensation est étrange, à la fois plaisante et douloureuse. Maman s’approche, et elles se passent et repassent ma tige durant plusieurs minutes. Leurs langues se retrouvent ensemble sur mon gland, et me délaissent brièvement pour fureter dans la bouche l’une de l’autre.

— Oh comme c’est bon, sucez-moi bien toutes les deux ! Bouffez bien ma bite !

J’ignore alors si je peux être cru ou non. Anne va bien vite me tranquilliser sur ce point.

— Oui, on va bien te la bouffer, comme deux bonnes putes !

Voilà qui me permets de renchérir :

— Après, je vais bien vous baiser comme deux putes !

Maman abandonne mon membre.

— Attends, je vais te préparer notre Anne !

A mon humble avis, vu son état de surexcitation, notre amie n’a nullement besoin que quelqu’un la « prépare » Mais Maman s’atèle néanmoins à cette agréable tâche en lui bouffant la chatte avec gourmandise. Je n’en crois pas mes yeux, Maman dévorant la minette d’une autre femme !! Elle lèche, suce, boit la cramouille d’Anne, frotte son visage dans la petite toison. Puis elle relève la tête, le visage brillant de mouille, et m’ordonne :

— Viens goûter sa petite moule à la crème !

Nous voilà partis sur un registre « fruits de mer », puisque je vais manger au choix sa moule, son coquillage, son huître, qui sent bon la crevette.

— A présent mon chéri, baise-là, baise notre chérie, aussi bien que quand il s’agit de moi !

Je m’empresse d’obéir à cet ordre, et enfile Anne de suite, qui pousse un long soupir de contentement dès l’instant où je me trouve en elle.

Subitement, l’atmosphère se transforme, passant d’une scène digne d’un film porno à d’immenses instants de tendresse, même si le sexe y demeure l’objet de notre action. Plus un mot grossier, plus de plaintes exagérées. Je fais l’amour à Anne, qui me fixe droit dans les yeux. Son regard a subitement changé. Brillant de vice quelques instants auparavant, il est à présent chargé d’affection, de douceur. Je rame sereinement en elle. Tout compte fait, j’adore son corps un peu trop « généreux ». Allongée tout contre Anne, Maman ne cesse de l’embrasser sur la bouche, de caresser ses beaux seins. Anne enlace mon dos de son bras gauche, le droit se promenant sur Maman, sa main lui flatte la poitrine.

Exauçant le vu d’Anne, Je prends ensuite Maman, sur le côté, à la cuillère. Notre compagne d’un jour se caresse et se doigte, en ne perdant pas une miette de notre coït. Elle répète sans cesse :

— Comme vous êtes beaux tous les deux, comme vous êtes beaux !…

En « maîtresse de maison » attentive à son invitée, Maman insiste pour que j’honore à nouveau son amie. Une amie qui comme elle, apprécie aussi la levrette. Je la baise donc dans cette position, à quatre pattes sur le lit, tandis qu’elle lèche avec délectation la moule de Maman, allongée devant elle, jambes écartées au maximum. Je pénètre Anne plus fort, le claquement de ses fesses contre moi me comble d’aise.

Puis, me reposant quelques instants (sauf ma main astiquant vigoureusement ma queue !), je les admire jambes entrecroisées, ondulant frénétiquement, et se frottant chatte contre chatte. Superbe spectacle !

Ensuite, Anne me demande directement si je veux bien l’enculer. Difficile que de dire non ! Je lance un regard en direction de Maman, qui opine d’un hochement de tête, je souhaitais son accord pour tout nouvel acte avec Anne. Je pose la question du lubrifiant, mais cette dernière m’affirme :

— Pas besoin, vas-y à sec, j’ai l’habitude, et puis tu n’es pas trop membré.

De fait, c’est avec la plus extrême facilité que je m’enfonce jusqu’à la garde dans les fesses bien rondes d’Anne. Je l’encule ainsi à grands coups de boutoirs pendant un bon moment. Parvenant à se concentrer sur plusieurs choses à la fois, tout en appréciant ma vigoureuse sodomie, elle continue de lécher Maman, qui finit par jouir sous son action linguale. Je sens pour ma part ma jouissance approcher. Je suis surpris et un peu déçu quand Anne m’interrompt, et je ne comprends pas bien son désir.

— Arrête Fabien, j’aime comment tu me prends, mais on va faire le triangle.

Quelle géométrie évoque-t-elle ? L’explication m’en est vite donnée. Plus correcte qu’au premier abord, Anne interroge Maman :

— Valérie chérie, tu veux bien que ton Fabien se finisse en moi ?

— Bien sûr, approuve Maman. Honneur à notre invitée !

Anne dirige la manuvre.

— Fabien, allonge-toi sur le dos.

— Oui mon capitaine ! Ce qui la fait éclater de rire.

A califourchon, elle vient emmancher son cul sur ma bite. Puis elle commande à Maman de s’accroupir cuisses écartées au-dessus de mon visage. Voilà, j’ai compris de quel triangle elle parle !

Anne s’active sur moi, tandis que je lèche la chatte de Maman, qui me coule sur le visage. Et tout là-haut, les deux chipies se dévorent la bouche ! Nouvelle belle expression à ajouter à notre « dictionnaire » : le triangle d’amour. Pas aussi expérimenté qu’Anne en la matière, je peine à me concentrer sur le léchage du petit abricot maternel bien juteux, alors qu’Anne monte et descend délicieusement sur moi.

Je ne dois malgré tout pas m’y prendre si mal, car Maman orgasme, bientôt rejointe par Anne. Le « bouquet final » m’est réservé, j’inonde les fesses d’Anne de longues rasades de foutre. Quel souvenir !…

Nous allons recommencer notre triolisme deux autres fois au long de cette inoubliable journée. Une journée achevée par mon ultime éjaculation dans la bouche d’Anne, qui, elle, avalera ma semence avec gourmandise, puis toilettera ma bite pour n’en perdre aucune goutte.

Dès lors, Anne pensait que nous remettrions cela souvent. Sa déception sera immense quand Maman, approuvée par moi-même, lui dira :

— Annette, nous avons passé des moments vraiment super tous les trois. Mais je veux que ces instants aient été uniques. Nous ne recommencerons pas, pas plus avec toi qu’avec une autre partenaire. Ce fut une expérience merveilleuse, et je t’en remercie encore. Mais je veux à présent revenir à mon Fabien, mon Fabien et lui seul.

Dès ce moment, les relations se refroidiront quelque peu entre Anne et Valérie, mais elles demeureront amies malgré tout.

Après cet « extra », Maman et moi reprendrons notre habituelle vie de couple. Une vie emplie d’amour, d’activités de toutes sortes, et naturellement de sexe sans modération, mais entre nous deux seulement.

Durant notre dernière année de vie commune, Maman porte superbement ses 62 ans, et demeure toujours aussi gourmande et exigeante au lit !

Ce sera donc le bonheur pour tous les deux, jusqu’à ce printemps de 1999, où je vais commettre l’erreur de ma vie

A suivre

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