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Les étapes de ma soumission. – Chapitre 2




Je me réveille le lendemain, nous sommes lundi : il faut retourner en cours. Comme d’habitude, je m’habille avec un t shirt bien plongeant et une jupe et je me prépare à partir au lycée. J’ai très peu dormi, encore abasourdie par le comportement de Julien la veille. Je ne sais pas comment il va se comporter avec moi aujourd’hui et c’est la boule au ventre que je pars au lycée.

Je n’ai pas eu le temps de le voir puisqu’à peine arrivée, je fonça dans les vestiaires comme le premier cours était celui de sport. J’avais mis mon short moulant habituel pour le cours de sport, ce qui m’a toujours valu des regards assez baladeurs de la part des mecs de la classe et même souvent du prof. Encore une chose que Julien m’a conseillé de porter. Il n’aimait pas les filles en jogging, il trouvait que ça faisait trop « mec ».

Julien ne m’a pas adressé le moindre coup dil pendant le cours, ce n’est que à la fin du cours, alors que je mapprêtais à me changer que je reçu un message de sa part : « Rejoins moi dans le vestiaire, faut qu’on parle. Tinquiète les autres sont partis y’aura que toi et moi ». Sans hésiter une seconde, je partis en direction du vestiaire des mecs. Quand j’ouvris la porte, je retrouva tout les mecs dans le vestiaires. Certains étaient torse nus, d’autres en boxer. J’entendis Julien crier à ses potes « J’vous avez dis qu’elle viendrait, elle croit tout cette fille ». ; J’entendais tous les rires et les yeux étaient tous braqués sur moi, sur mes jambes. Il me fit signe de m’approcher de lui et me chuchota à l’oreille « Fais ce que je te dis si tu veux pas qu’ils voient tes exploits d’hier ».

Je lui demanda :

-« pourquoi tu m’as demandé de venir ? »

-« J’ai fais tombé mon t shirt. Tu peux le ramasser, je me suis fait mal au dos pendant le cours !  »

Je lança un coup dil au sol ou je vis qu’en effet, le t shirt était par terre. Je me doutais bien que son dos allait très bien mais je me baissa quand même pour aller le chercher. Jétais accroupie devant lui et les rires des autres mecs me firent comprendre que cette situation les faisait penser à quelque chose de très diffèrent… Julien leur lança :

« Vous avez vraiment l’esprit mal placé les gars ! Merci bébé ». Il m’embrassa avant que je parte. J’adorais quand il m’embrassait, ses lèvres chaudes contre les miennes… Un pur bonheur. A peine rerentrée dans mon vestiaire que je reçu un autre message de lui : « Prépare toi à faire face, à ce genre d’allusions tous les jours ! Mais tinquiète, si tu fais ce que je veux, je ne leur diraient rien. On se voit à la cafet. Je t’aime. » Je n’y comprenais vraiment plus rien, ce mélange de domination et de tendresse et d’amour me dépassait complètement. Tout ce que je savais c’est que je l’aimais et que si il suffisait de faire ce genre de choses pour que lui aussi m’aime, jétais d accord.

Le midi, j’ai mangé avec lui et ses potes. Je n’aimais pas trop les filles de ma classe et je sentais bien qu’elles étaient trop jalouses de moi à cause de mon couple avec Julien. J’aurais volontiers mangé avec mes anciennes amies mais j’ai vite compris que si je le faisais, j’allai de nouveau avoir cette réputation de pauvre fille. Les conversations étaient plutôt tournée vers le foot et les filles. Si habituellement, Julien se contentait découter ses potes donner leur avis sur les petites secondes, ce jour la, il neut aucune gène à commenter avec eux avec des phrases comme « Oh elle est bonne elle ! ».. C’est à ce moment la que j’eus une idée : si Julien avait envie de jouer, jouons. Mais pourquoi attendre que ce soit lui qui décide quand jouer. Il voulait une salope, il allait être servi.

Julien était en face de moi. J’ai enlevé ma chaussure et j’ai commencé à caresser sa jambe. Il me lança un regard de surprise mais, comme il ne voulait pas se faire cramer, il continuait sa conversation en faisant comme si de rien nétait. J’ai alors décide d’aller plus loin et ce n’est pas sa jambe mais son entre jambe dans la quelle mon pied s’est glissé. Je pensais qu’il allait être géné mais, il ouvrit bien son entre jambe pour laisser de la place à mon pied et me lança un sourire discret.

Encouragée par ce beau sourire, ce n’est pas des caresses mais des petites pressions que je commençais à exercer sur sa partie. J’ai tout de suite compris qu’il adorait ça puisqu’il narrêtait pas de bouger et je sentais une bosse se former. J’ai décidé d’en jouer et de lui lancer des regards de bonne salope pendant que mon pied se baladé entre ses jambes. Je ne m’etais encore jamais vu dans cet état la : je savais que cétait risqué et que si quelqu’un me voyait, j’allais passer pour une salope mais ses regards complices et ses sourires à chaque caresse de mon pied sur son entre jambe me forçaient à continuer.

Après le repas, nous sommes retourné en cours et c’est juste avant de rentrer dans la classe qu’il m’a prit à part. Il me chuchota à l’oreille qu’il avait adoré son petit traitement à table et que j’avais compris ce qu’il attendait de moi. Il m’expliqua qu’il n’avait jamais osé me le dire jusque la mais que pour qu’il tombe amoureux d’une fille, il a besoin de la sentir soumise et prête à tout pour lui, qu’il avait besoin de m’humilier pour prendre son pied et que ces humiliations devant les autres sont pour lui un moyen de s’assurer de mon amour pour lui et de mon appartenance à lui. Il finit son petit discours en me disant « Je sais que tu peux mal le prendre et que les filles n’aiment pas être soumise comme ça mais j’en ai besoin et ça me fait plaisir de voir que ce rôle te plat. Je lui répondis que si lui était heureux, alors je létais aussi et il m’embrassa une nouvelle fois avant de rentrer en cours.

Cétait vraiment très étrange : ce mélange de domination et de tendresse, d’insultes et de caresses, de coups et d’amour. Jétais complètement désorientée et la seule chose donc jétais sure était que je l’aimais, de plus en plus.

Laprès midi passa et ce n’est que le soir, alors que jétais dans ma chambre, sur Facebook, que je reçu un message de Julien : « Mes parents ne sont pas la ce week end ! Tu pourrais venir le passer chez moi ? On pourrait bien s’amuser…. Je répondis « Oh oui ce serait trop bien ! Je vais voir avec mes parents, je te dis demain. Le soir, à table, je leur parla de lidée de Julien et, sachant qu’ils le connaissaient bien et que Julien savait très bien faire bonne impression devant les parents ils ont dit oui.

Le lendemain, à la pause, il m’emmena dans un coin isolé du lycée, au fond d’un couloir ou il n’y avait plus de cours pour que je lui annonce la réponse de mes parents.

« Ils ont dit oui pour ce week end ! Je suis trop contente ! Tout le week end avec toi !! »

« Cool. Mais, je tiens à te prévenir : hier j’ai été gentil avec toi parce que je voulais texpliquer pourquoi je faisais ça mais ce week end je vais pas être aussi cool. Il va falloir que tu sois forte, c’est le premier week end que l’on passe tout les deux et j’ai bien l’intention d’en profiter. »

Pendant qu’il me mettait en garde, il avait glissé sa main dans mon jean et il était en train de me caresser le clitoris. Cétait très dur de se concentrer. Il mit un premier doigt. Nous étions très proches l’un de l’autre et il me regardait fixement. Au moment ou le doigt est rentré il pouvait voir sur mon visage l’effet qu’il me faisait…. Il entra un 2ém, puis un 3ém. Cétait trop bon. Chaque doigt en plus me faisait pousser un petit gémissement. Je sentais son regard pesait sur moi pendant qu’il me touchait. Cétait jouissif. Je les sentais remuer à lintérieur de moi, il me possédait. Je mouillais de plus en plus et je sentais ses doigts mieux glisser. Il sortit sa main et présenta ses doigts devant ma bouche en me souriant. Je les suça en le regardant. Je voyais dans ses yeux la satisfaction pendant que j’avalais ma propre semence.

« Reviens tout les jours ici à la même heure. Je t’offre ce moment, ne sois pas en retard. ».

Je pris ses instructions à la lettre et me rendis tout les jours à la même heure à cet endroit du lycée abandonné. Cette semaine la, il ne fit rien de plus que ces quelques doigts tous les jours car il disait vouloir me « préparer » à notre petit week end. Jétais à la fois impatiente et angoissée à l’idée de ces deux jours passés en sa compagnie mais chaque jour, mon envie de lui et de sa bite grandissait. Il me rendait complètement folle. Je ne savais pas ce qui allait se passer mais ce qui est sur, c’est que ce week end allait être inoubliable.

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