Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe soeur

Black Angel Vs Papillon De Nuit – Chapitre 5




Je me réveillai le lendemain matin en pleine forme aux côtés d’Océane. Je ne savais pas quelle heure il pouvait être, mais je m’en fichais. Le simple fait de la voir toute nue dans mon lit, sentir la chaleur de son corps et sa peau de pêche collée à la mienne a suffi pour me rappeler combien la journée d’hier passée en sa compagnie avait été parfaite. Je me tournai sur le côté, lui fis face et, appuyée sur le coude, je relevai ma tête afin de l’admirer. Avec mon index, je relevai quelques-unes de ses mèches brunes qui zébraient son visage et m’empêchaient de pleinement le contempler.

Je souriais sans m’en rendre compte en la regardant dormir comme une bienheureuse. Elle ressemblait à une jolie poupée que j’avais quand j’étais encore enfant. Je lui caressais tendrement les cheveux lorsque cette petite marmotte commença tout doucement à se réveiller. C’est mon visage radieux que ses yeux purent voir en premier lorsqu’ils se sont ouverts. Elle me sourit tendrement en retour.

Bonjour, Mademoiselle, murmurai-je tendrement.

Bonjour, Fr… Oooooh, non, pitié, ne me regarde pas, j’ai une tête abominable au réveil ! dit-elle en se cachant sous la couverture.

Mais non, pas du tout : tu es très mignonne, je t’assure, lui répondis-je en gloussant tout en la découvrant doucement.

Je me penchai afin de lui donner tendrement un petit baiser matinal. J’ai toujours estimé que le premier de la matinée est souvent le plus important.

T’as bien dormi ?

Comme un bébé ! dit-elle en s’étirant comme un félin.

Tu dois avoir faim, j’imagine.

J’ai une faim de loup, tu veux dire : je serais capable de manger un cheval.

Reçu cinq sur cinq. Mais serais-tu partante pour un petit câlin avant qu’on avale quoi que ce soit ?

Je veux bien faire cet effort… m’informa-t-elle avec un magnifique sourire, les bras ouverts.

Je me blottis contre elle et nous sommes restées quelques instant ainsi sans prononcer le moindre mot, tandis qu’elle caressait mes cheveux fins. Ce moment tendre n’appartenait qu’à nous et je me sentais bien avec quelqu’un pour la première fois de ma vie. Cette sensation m’était nouvelle et je voulais en savourer pleinement chaque seconde. Je finis par quitter ses bras, enfilai un chemisier pioché au hasard dans mon armoire, le boutonnai juste au milieu, mis une paire de socquettes et cest dans cette tenue que je préparai le petit déjeuner.

De son côté, elle avait enfilé son tee-shirt et sa culotte. Lorsque tout fut prêt, nous avons dévoré à pleines dents le festin matinal tout en discutant, et plus particulièrement des événements de la veille. Fort heureusement, ni l’une ni l’autre n’émit le moindre regret. Ouf !

Dis, est-ce que ça t’ennuie si je prends une douche avant de partir ? me demanda-t-elle.

Non, pas du tout. Fais comme chez toi, je t’en prie. Tu voudras une serviette supplémentaire pour tes cheveux ?

Non merci, une seule suffira.

Oui, Mademoiselle !

Je pris une serviette dans la salle de bain, la lui donnai, et elle partit se laver.

Je peux t’emprunter ton gel douche à la grenade ?

Oui, sers-toi.

Pendant que je débarrassais et rangeais la table du petit déjeuner, j’entendis Océane m’appeler.

Fran, tu peux venir une seconde ?

J’arrive !

Je pénétrai dans une salle de bain pleine de vapeur chaude qui lui donnait un petit air de sauna et me postai face à la cabine de douche.

Tout va bien ? Il te faut quelque chose en particulier ? m’inquiétai-je.

Ben, en fait, je…

Tout à coup, un bras mouillé surgit du petit espace entre le carrelage et le rideau comme un diable hors de sa boîte, m’agrippa afin de me faire entrer dans la cabine de douche alors que j’étais encore habillée. En une seconde, je me retrouvai complètement trempée sous le jet d’eau chaude, gloussant comme une collégienne sous l’effet de surprise. Océane me souriait ; elle m’enlaça et m’embrassa tendrement. Mon chemisier collait à ma peau ; pour ne pas être en reste, je me mouillai les cheveux que je plaquai en arrière. Mes tétons réagissaient ; ils se dressèrent fièrement presque tout de suite.

Le seul bouton de mon chemisier fut rapidement déboutonné, ce qui laissait voir une bande verticale de ma peau. Prétendre que cette situation ne m’excitait pas aurait été un vilain mensonge. Océane s’amusait à caresser sensuellement ma peau trempée du bout de ses doigts, agaçant mes tétons, les pinçant, tirant délicatement dessus à travers le tissu. Une de ses mains caressait tendrement l’intérieur de mes cuisses, mais lorsque je voulus la caresser, elle prit fermement mes mains pour me plaquer dos et mains contre le mur. Elle écarta doucement mes jambes à l’aide d’un de ses genoux sans que je ne songe à résister.

Elle saisit doucement le pommeau de la douche et régla l’eau de manière à ce que le jet ne soit pas trop chaud, mais le plus puissant possible. Elle le promena lentement sur moi, laissant sa main vagabonder sur mon corps trempé et immobile tout en plongeant ses yeux dans les miens. Son regard était chargé de sensualité, de désir; j’en tremblais, non pas de froid mais d’excitation : je n’aurais jamais cru qu’une femme puisse me faire un jour ce effet-là. Elle m’embrassa de façon encore plus passionnée.

Lentement, le jet d’eau se dirigea sur mon clito ; lorsque mon bourgeon fut mis en contact avec la forte pression, mon corps tout entier se crispa et je laissai échapper une plainte aigue du fond de ma gorge, ce qui la fit sourire. La température de l’eau était idéale pour ce genre de pratique, et la façon dont elle manipulait le pommeau pouvait laisser penser qu’elle devait souvent s’adonner à ce genre de caresse. Elle enserra ma taille avec son bras libre et se colla presque à moi pour me murmurer des mots tendres à l’oreille. C’était génial ; je prenais vraiment un pied d’enfer !

Regarde-moi dans les yeux, Fran! me dit-elle sur un ton à la fois sensuel et directif. Je veux voir ton regard se vider au fur et à mesure que le plaisir t’envahit.

Haletante, fièvreuse, tremblante, les yeux mi-clos, je lui obéis docilement comme un robot. Cette fille avait comme un pouvoir sur moi.

Ouiiii, comme ça, Fran, c’est bien ! Laisse cette fantastique sensation te submerger. Je te trouve très jolie, je dirais même à croquer, souffla-t-elle. Pouvoir admirer cette expression sur ton visage qui se déforme sous le plaisir est un vrai privilège, et tes petits cris sont adorables.

Son regard, ses caresses, les mots tendres et autres compliments qu’elle me murmurait eurent rapidement raison de moi. Ma bouche s’ouvrit et, dans un couinement suivi d’un cri, je me lâchai sous la caresse experte de mon amie. Je jouissais en étant debout pour la première fois de ma vie ; ce fut tellement intense que mes jambes ont été sur le point de se dérober, et je n’ai été retenue que par la force de son bras.

Alors, ma belle, tu as aimé ?

Pour toute réponse, j’ai saisi avec fermeté ses cheveux mouillés et je l’ai congratulée avec un long baiser passionné pour ce magnifique orgasme qui m’a complètement épuisée, puis je lui ai rendu la pareille avec le pommeau de la douche. Étant donné que je suis une novice dans cette pratique, elle m’a pas mal conseillée ou guidée et j’ai pu, à mon tour, avec une grande satisfaction, voir son visage se déformer sous leffet du plaisir, et elle a rapidement fini par jouir sous mes caresses.

Après cette séance très coquine sous la douche, nous avons fini par nous laver réellement toutes les deux, nous habiller, et Océane a dû rentrer chez elle.

On peut dire que cette journée avait magnifiquement démarré. Très peu de temps après qu’Océane soit partie, j’ai reçu un appel de ma mère me demandant si j’étais disponible pour la journée ainsi que celle du lendemain afin de l’aider pour le service. Naturellement, j’ai accepté ; mais malgré ma fatigue, le reste de la journée s’est passée sans le moindre pépin.

Une suite ?

Related posts

Frangine – Chapitre 1

historiesexe

Ses mercredis – Chapitre 1

historiesexe

Josette, ma copine – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .